阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

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指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Sunday, August 31, 2008

Django Reinhardt Youtube denise jean bernard


Election Européenne 2009 Wikipedia



Les élections européennes 2009 se dérouleront vers le mois de juin 2009. Elles auront pour but d'élire le nouveau parlement européen, et plus de 350 millions d'électeurs seront appelés à voter. Les bureaux de votes seront ouverts à des jours différents selon la tradition du pays, mais les résultats des vingt-sept états-membres ne seront dévoilés que le dimanche soir.
Ce sera la septième élection européenne. Le Parlement européen ne devant pas comporter plus de 750 membres, sauf temporairement (comme pour la période 2007-09), le nombre de députés par pays, en fonction du nombre d'habitants, sera revu — la plupart du temps à la baisse.

Giove-B satellite








Lancement de Giove-B, le second satellite-test du système Galileo

Giove-B, le second satellite-test de Galileo, a été tiré et a atteint son orbite avec succès dimanche, marquant un pas important pour le futur système de localisation européen après des années de déboires techniques et politiques.
Le satellite a été lancé par une fusée Soyouz à 04H16 locales dimanche (22H16 GMT samedi) depuis le cosmodrome de Baïkonour au Kazakhstan.
Après un peu moins de quatre heures, Giove-B s'est séparé de son lanceur et a atteint son orbite à 23.200 kilomètres de la Terre, au terme d'une opération qualifiée de "succès" par Jean-Yves Le Gall, le président de Starstem, la société russo-européenne chargée du lancement. Le satellite "a atteint son orbite nominale" et "les paramètres d'orbite sont excellents", s'est félicité Didier Faivre, chef du département navigation de l'Agence spatiale européenne (ESA).
Giove-B a ensuite déployé ses panneaux solaires correctement, a ajouté M. Faivre. Il faudra encore toutefois plusieurs heures pour que la mission puisse être considérée comme définitivement réussie. Giove-B, un cube de 500 kg construit par Astrium (EADS) et Thales Alenia Space, va prendre le relais du premier satellite test de Galileo Giove-A, lancé en décembre 2005. Son lancement a pris plus d'un an de retard en raison d'un problème technique qui avait été identifié sur un calculateur de bord.
Les deux Giove ne font pas partie de la constellation opérationnelle de trente satellites qui fera fonctionner Galileo mais servent à tester un certain nombre d'éléments techniques importants en vol. Giove-B contient en particulier l'horloge atomique la plus précise jamais envoyée dans l'espace, avec une déperdition de moins d'une nano-seconde par jour.
La précision est particulièrement importante pour un système de localisation, fondé sur le calcul du temps écoulé entre l'émission et la réception d'un signal. Galileo promet une localisation au mètre près, contre parfois une dizaine de mètres pour l'actuel GPS américain. La mise en orbite de Giove-B va en outre permettre à l'Europe de conserver l'accès à une fréquence réservée pour Galileo auprès de l'Union internationale des télécommunications (UIT).
Pour que Galileo fonctionne à l'horizon 2013 et puisse concurrencer le GPS, l'Europe doit désormais lancer les trente satellites opérationnels de la constellation. Les quatre premiers d'entre eux doivent être tirés au premier semestre de 2010, pour la phase dite de développement et de validation en orbite (IOV). Ensuite doivent être lancés les 26 satellites supplémentaires qui permettront au système d'atteindre sa capacité opérationnelle complète (FOC).
Le Parlement européen a donné mercredi le feu vert à la partie finale du projet, avec un financement de 3,4 milliards d'euros sur des fonds communautaires. Cette décision a été prise après l'échec d'un programme de co-financement par les industriels.
La Commission européenne et l'ESA vont désormais pouvoir lancer d'ici l'été les appels d'offres à l'industrie en vue de signer des contrats avant la fin de l'année. Pour le commissaire européen aux Transports Jacques Barrot, Galileo représente "un outil de souveraineté pour l'Europe" et marquera son "indépendance totale".

Joyeux Anniversaire Google 10ans





Joyeux anniversaire Google!
30 août 2008 - 10h54
La Presse
Alain McKenna
Photo AP

Google soufflera 10 bougies cette semaine. Une décennie passée à tenter d'organiser le réseau Internet, sa mission d'entreprise, qui se retrouve jusque dans son nom. Le terme est un dérivé de «googol», une expression mathématique référant au chiffre 1 suivi de cent zéros, et qui illustre l'énorme quantité d'information sur l'Internet. Aujourd'hui, son objectif n'a pas changé, même s'il est loin le jour où Larry Page et Sergey Brin, ses deux fondateurs, bossaient à partir du garage d'une amie de la Silicon Valley.Il faut dire qu'en 1998, les câbles informatiques qui composaient l'Internet étaient plutôt emmêlés. Les moteurs de recherche de l'époque, comme Altavista et Yahoo! , peinaient à s'y retrouver convenablement. «Avant Google, les résultats n'étaient pas semblables d'une recherche à l'autre», se souvient Éric Baillargon, spécialiste montréalais en optimisation web. «Google a créé une stabilité.» Pour le même terme, les mêmes références apparaissent dans le même ordre.Pourtant, l'entreprise aurait pu ne jamais voir le jour. La création de Google inc. s'est faite presque par hasard en septembre 1998. À l'époque, Brin et Page tentaient de convaincre les gros portails d'adopter leur nouvelle création, un système d'analyse d'hyperliens appelé BackRub. David Filo, fondateur de Yahoo! , leur aurait répondu: «Quand ce sera entièrement développé et fonctionnel, on s'en reparlera.» Suivant son conseil, ils s'installent dans le garage qu'une amie leur loue afin de développer leur technologie.Google fonctionne alors en version d'essai, mais répond à plus de 10 000 recherches par jour. En trois mois, sa rapidité et sa précision se méritent les éloges du USÀ Today, du Monde et du Time. Le site cessera d'être en bêta un an plus tard. Google utilise encore cette approche pour la mise en marché de ses nouveaux services.En 2000, l'entreprise californienne est devenue un modèle à suivre pour plusieurs startups d'Internet, à une époque où tout est permis. Les bureaux sont un mélange éclectique de pièces recyclées, il y règne une atmosphère de collégialité dopée par des matchs de roller-hockey impromptus et des réunions de bureau très informelles.Ces réunions donneront la «règle du 80-20», selon laquelle chaque employé peut passer jusqu'à 20% des heures de bureau sur ses propres projets. Après son moteur de recherche, «c'est probablement ce qui a le plus aidé Google à se faire connaître», estime Jean-Grégoire Bernard, chercheur au Service de l'enseignement des technologies de l'information à HEC Montréal.
Le génie
La même année, le répertoire des sites indexés par Google passe le cap du milliard, une première. L'entreprise signe des ententes avec des portails d'envergure en Amérique du Nord, en Europe et en Asie. Intégré à AOL, Netscape et Yahoo! , Google gère quotidiennement plus de 100 millions de recherches.Un ingénieux système d'affichage de publicités thématiques, fonctionnant à partir de mots-clés, offre à Google ses premiers profits. AdWords permet à tout annonceur possédant une carte de crédit de s'afficher aux côtés des résultats d'une recherche correspondant à des critères définis. En 2002, AdWords incorpore le paiement au clic.L'acquisition l'année suivante du service d'hébergement Blogger ouvre la voie à AdSense, un dérivé d'AdWords où les revenus publicitaires sont partagés avec les créateurs du site Web où la publicité est affichée. «Plus de gens font de l'argent avec AdSense qu'avec tout autre outil sur la Toile», confiait récemment au USÀ Today Jennifer Slegg, de JenSense, un blogue consacré à ce service. «AdSense a rendu beaucoup, beaucoup de gens millionnaires.»En 2004, Google fait une entrée plus que remarquée en Bourse. L'entreprise se diversifie et acquiert Picasa, un site d'archivage d'images. Gmail, le service de courriel issu de la fameuse «règle du 20%», voit le jour. Google met également la main sur une petite voisine, appelée Keyhole, qui cartographie et photographie la Terre à partir de satellites. Ça donnera naissance à Google Maps et Google Earth.«À part AdWords, l'entrée en Bourse et le lancement de Gmail sont les deux plus gros faits saillants de l'histoire de Google», croit Danny Sullivan, éditeur du portail Search Engine Land, qui suit Google depuis son tout début.
Une diversification
Aujourd'hui, Google gère plus de la moitié des recherches faites sur la Toile. À l'affût de nouveaux services à offrir aux internautes, le géant achète et rafraîchit des petites entreprises prometteuses.Comme l'avenir à moyen terme du réseau informatique s'annonce comme étant mobile, il n'est pas surprenant de voir Google s'inviter ces jours-ci dans la sphère très sélect du sans-fil. En 2005, elle a acquis la startup californienne Android, et lancé l'Open Handset Alliance, qui regroupe des exploitants de réseaux sans fil, des fabricants et des développeurs. Android est un mélange de Linux, de Java et d'autres plateformes logicielles qui vise à stimuler le développement, par des tiers, d'applications pour téléphones mobiles.Malgré cette diversification, l'entreprise n'entend pas délaisser son moteur de recherche pour autant, assure Danny Sullivan. «Même à long terme, la recherche sur Internet va demeurer le coeur des activités de Google, dit-il. C'est ce qu'ils font de mieux.»
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Google soufflera 10 bougies cette semaine. Une décennie passée à tenter d'organiser le réseau Internet, sa mission d'entreprise, qui se retrouve jusque dans son nom. Le terme est un dérivé de «googol», une expression mathématique référant au chiffre 1 suivi de cent zéros, et qui illustre l'énorme quantité d'information sur l'Internet. Aujourd'hui, son objectif n'a pas changé, même s'il est loin le jour où Larry Page et Sergey Brin, ses deux fondateurs, bossaient à partir du garage d'une amie de la Silicon Valley.

Google Infos



Multimédia
Android: tous les smartphones Google intégreront une boutique logicielle

PNUE





Progression des Mécanismes de Développement Propres
(src : CP - PNUE)
Mardi, le Programme des Nations Unies pour l'Environnement (PNUE) a présenté de nouvelles données sur la progression de projets Mécanismes de Développement Propre (MDP) en Afrique sub-saharienne.
Le Mécanisme de Développement Propre (MDP), qui fut élaboré en 1997 dans le cadre du Protocole de Kyoto, permet aux pays développés de compenser leurs émissions de gaz à effet de serre en finançant des projets d’efficacité énergétique dans les pays en développement donnant droit à des crédits d’émission appelés Réductions d’émissions certifiées (CER). Ces projets englobent plusieurs secteurs : biomasse, éolien, captage du méthane émanant des décharges, et encouragent l’utilisation de combustibles moins polluants ou centrales électriques.
On a craint que les pays d’Afrique ne bénéficient pas des avantages du MDP, qui est un instrument politique contrasté avec de multiples bénéfices sociaux, économiques et environnementaux, bien distinct des subventions aux énergies fossiles, explique le PNUE.
Jusqu’à présent, les principaux bénéficiaires ont été les pays émergents comme la Chine, le Brésil, l’Inde et l’Afrique du Sud.
Les nouvelles données récoltées par le Centre Risoe du PNUE au Danemark indiquent que cela est en train de changer, et pour la première fois depuis 18 mois, des projets MDP ont vu le jour dans six pays : République démocratique du Congo, Madagascar, Maurice, Mozambique, Mali et Sénégal.
Parmi ces projets : un puits de pétrole, la réduction des gaz torchés en la République démocratique du Congo, et un projet hydraulique à Madagascar.
De nouveaux projets ont aussi vu le jour au Kenya dont : l’extension du réseau géothermique (35 MV), l’exploitation des roches chaudes, ainsi que la production d’énergie à partir de déchets de canne à sucre par l’entreprise Mumias Sugar.
M. Steiner a déclaré : « Alors que les subventions aux énergies fossiles sont des instruments mal adaptés qui perpétuent des modèles économiques révolus et inéfficaces, le MDP est un mécanisme de marché plus performant, qui encourage la transition vers une économie verte. » a commenté Achim Steiner, Directeur exécutif du PNUE
Il a ajouté que l’adhésion de l’Afrique au MDP découle du Cadre de Nairobi – un plan d’action lancée par les Nations Unies en 2006, impliquant aux côtés du PNUE et du PNUD plusieurs autres partenaires, visant à renforcer les capacités institutionnelles des pays les plus pauvres pour accéder au financement carbone. Des activités de sensibilisation sur les opportunités offertes par l’économie verte ont aussi eu lieu sur ce continent auprès des banques et des acteurs industriels.
Le Centre Risoe du PNUE a suivi pendant un certain temps les tendances mondiales des investissements MDP avec les impacts des activités. Même si le nombre de projets en Afrique reste bas quand il est comparé aux 3.500 projets MDP actuellement en cours dans le monde, une évolution est envisageable, estime le PNUE.
« En tenant compte des effets des nouvelles politiques et du renforcement des capacités, le marché devrait faire preuve d’une croissance exponentielle comme celle des autres régions », a dit Glenn Hodes, administrateur de programme MDP au Centre Risoe. En effet, Hodes et Appelquist estiment que dans l’ensemble, l’Afrique devrait bénéficier de près de 230 projets MDP d’ici 2012 à condition que les gouvernements parviennent à un nouvel accord plus ambitieux sur le climat en 2009.
Ces projets devraient générer plus de 65 millions d’unités de réduction certifiée des émissions, équivalent à un milliard de dollars selon un taux moyen de crédit carbone de 15 dollars.
«En suivant l’exemple prodigieux de l’Inde, l’Afrique devrait aussi bientôt voir éclore plusieurs projets MDP » a ajouté Hodes.

Barack Obama Energie


Friday, August 29, 2008

Programme énergétique de Barack Obama





Le programme énergétique de Barack Obama
(src : Reuters, Rue89)
Le sénateur Barack Obama a été désigné hier comme candidat officiel du parti démocrate. L'occasion pour lui de réaffirmer les grandes lignes de son programme.

Mettre fin à la dépendance pétrolière des Etats-Unis à l'égard du Moyen-Orient d'ici 10 ans
Exploiter les réserves de gaz naturel américaines, investir dans les technologies de charbon propre et trouver des moyens d'exploiter l'énergie nucléaire en toute sécurité. "l'exploration [pétrolière] n'est qu'une mesure transitoire", a-t-il promis.
Aider les compagnies automobiles américaines à renouveler leurs équipement pour produire des véhicules moins consommateurs de carburant en Amérique.
Investir 150 milliards dans les 10 ans à venir pour développer des énergies renouvelables abordables : l'éolien et le solaire, et la nouvelle génération de biocarburants. Le sénateur de l'Illinois estime que ces nouvelles industries pourraient représenter 5 millions de nouveaux emplois qualifiés.

Energie du soleil





Thursday, August 28, 2008

JO 2008 Paralympique Pékin

http://en.paralympic.beijing2008.cn/



U E Youtube L'Europe


Europe


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Energie Franco-Jordanien



Jeudi 28 Août 2008
Energie : Signature d’un accord nucléaire franco-jordanien
[Fenêtre sur l'Europe]
A l’occasion de sa visite sur le territoire français, le Roi Abdallah II de Jordanie a signé un accord de coopération nucléaire avec la France.
Le Premier ministre jordanien a fait savoir que son pays a acheté un réacteur nucléaire français pour produire de l’électricité et de l’uranium enrichis à des fins pacifiques, comme l’avait déjà annoncé le Roi Abdallah II il y’a déjà deux ans.Pour cela, la Jordanie a conclu un accord de coopération avec le groupe industriel français Areva. Ce nouveau projet d’énergie fait partie du nouveau plan jordanien qui consiste à aller vers l’indépendance énergétique grâce à ses abondantes ressources d’uranium.On estime que la Jordanie peut extraire environ 80.000 tonnes d’uranium de ses mines, et que par ailleurs ses réserves de phosphate avoisinent les 100.000 tonnes.Selon le Roi de Jordanie, une centrale nucléaire verra le jour à l’horizon 2015. Il a par ailleurs estimé que l’électricité nucléaire devrait représenter environ un tiers de sa production d’ici 2030. P.G.

Hillary Clinton Support Obama Youtube


president bill Clinton Obama


Turquie barrages





Plan de développement des barrages en Turquie
http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/55701.htm
Un projet pour réhabiliter la région du Sud-est
Le GAP (Güneydogu Anadolu Projesi), ou Projet pour l'Anatolie du Sud-est, est un immense plan de développement conçu à la fin des années 70 afin de rattraper les inégalités entre cette région sous-développée et le reste de la Turquie. Ce plan doit permettre à terme la production sous forme hydraulique de 22% de la consommation électrique turque (projections pour 2010), l'irrigation de 1,7 million d'hectares de terres cultivables, et la création de 3,5 millions d'emplois.
Le premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan a dévoilé, le 27 mai dernier à Diyarbakir, le projet du gouvernement pour le sud-est du pays. Accompagné de douze ministres et d'une cinquantaine de députés AKP (le Parti de la Justice et du Développement), il a annoncé un investissement de près de 9 milliards d'euros d'ici à cinq ans dans ce "programme de réhabilitation sociale et de fraternité".
L'action du gouvernement suivra les grandes lignes du projet démarré il y a près de trente ans : construction de barrages, implantation de 1500 écoles, amélioration du système de santé, du réseau d'infrastructures et de transports, promotion de l'agriculture biologique, ou encore développement de programmes en langue kurde à la télévision.
La stabilité économique et politique de cette zone de troubles est aussi un objectif majeur de ce plan, pariant sur le fait que le développement social et économique de la région amènera un changement des mentalités et une meilleure intégration de cette région à population majoritairement kurde au sein du territoire turc. Par ailleurs, la croissance de l'activité agricole devrait permettre à la Turquie d'alléger considérablement ses importations dans ce secteur.
Un bilan mitigé, à quelques années de la fin du projet
Si, grâce aux nombreux barrages déjà construits et dotés de centrales hydroélectriques, les objectifs du GAP en matière de production d'électricité sont aujourd'hui remplis à 85%, seulement 25% des projets d'irrigations sont réalisés. Le développement social et économique s'est essentiellement fait ressentir dans le département de Gaziantep où un réel essor industriel est constaté. L'irrigation de la région d'Urfa, en revanche, n'a pas eu que des conséquences positives. L'environnement brutalement transformé a eu des répercussions sur le climat, la faune et la flore locales, et l'adaptation du mode de vie des populations locales à ces changements reste difficile.
Par ailleurs, certaines critiques s'élèvent au regard des conséquences de ces barrages sur les trésors archéologiques de la région comme le site de Zeugma, submergé après la construction du barrage de Birecik, ou celui d'Hasankeyf, menacé par le barrage très controversé d'Ilisu, dont la construction a encore été repoussée. Enfin, les lacs artificiels ont provoqué de nombreux déplacements de population qui ont alimenté l'exode kurde vers les grandes villes de l'Ouest du pays.
Un enjeu géostratégique majeurLe Tigre et l'Euphrate prennent leur source en Turquie qui dispose respectivement de 12% et 28% de la superficie de leur bassin. Selon l'état d'ouverture des vannes des barrages en amont, la Turquie garde le contrôle de leur débit en aval, notamment en Syrie et en Irak , pays dans lesquels les deux fleuves constituent la ressource principale en eau.
Sans gisement important d'hydrocarbures, la Turquie importe la quasi-totalité de son énergie fossile. La maîtrise de l'or bleu lui permet ainsi de rivaliser avec ses voisins en matière d'énergie.
[BE Turquie numéro 9 (19/08/2008) - Ambassade de France en Turquie / ADIT - http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/55701.htm]

Romanie éolien Europe





Le plus grand parc éolien d'Europe prévu en Roumanie
(src : CEZ)
Mardi, le groupe tchèque CEZ a annoncé la concrétisation d'un double projet éolien en Roumanie, qui, à terme, devrait devenir le plus grand parc éolien d'Europe.
CEZ et Continental Wind Partners, un développeur de projets éoliens, ont conclu la vente des parcs Fantanele et Cogealac, en Roumanie.
CES rachète ces deux projets adjacents, qui, une fois réunis, constitueront le plus grand parc éolien onshore d'europe : pour un montant de 1,1 milliard d'euros, CES se dotera de 600 Mw de capacité éolienne.
Fantanele et Cogealac sont situés dans la province de Dobrogea, au nord de la ville de Constanta, à 17 km de la Mer Noire.
La première étape prévoit l'installation de 347,5 MW, via 139 turbines de 2.5xl fournies par GE. Ces modèles ont une hauteur de 100 mètres, et un rotor de 99 mètres de diamètre, pour une capacité de 2,5 MW. Elles seront opérationnelles à la fin de l'année 2009.
La seconde phase de 252,5 MW est, elle, programmée pour la fin 2010.
Ce double projet représentera près de 30% du marché roumain d'énergie renouvelable, hydroélectricité comprise. Actuellement, l'énergie éolienne ne représente qu'une capacité installée de 7 MW.
Parmi ses projets en Roumanie, CEZ prévoit également la construction de centrales à gaz et celle d'une nouvelle cnetrale nucléaire.

ERDF





Wednesday, August 27, 2008

Chine environnement




Chine : pas de pollution à la suite de l'explosion meurtrière dans une usine chimique

2008-08-27 16:18:35

YIZHOU, Guangxi, 27 août (Xinhua) -- L'explosion survenue mardi dans une usine chimique de la région autonome Zhuang du Guangxi (sud) n'a pas provoqué de pollution de l'air ni de l'eau, ont confirmé les autorités locales.
Selon le Département régional de la protection de l'environnement, les prélèvements n'ont mis aucune pollution en évidence après l'explosion survenue mardi à 06H00 dans un atelier de l'usine, appartenant à la Guangxi Guangwei Chemical Co., , .
Au moins seize personnes ont été tuées dans l'accident, six autres sont portées disparues et 57 autres ont été blessées, indique le centre des opérations de secours.
Quatorze des seize morts étaient ouvriers de l'usine, alors que l'identité des deux autres n'a pas encore été établie.
Une série d'explosions, entraînée par la première, ont persisté jusqu'à 13H00 mardi. Le feu s'est étendu sur plus de 10 000 m², a précisé une pompier participant aux opérations de secours. Le drame a été maîtrisé mardi soir, tandis que la recherche des disparus se poursuivent.
Quelque 11 500 habitants dans un rayon de trois km autour de l'usine ont été évacués, alors qu'une centaine de spécialistes chimiques ont été dépêchés sur place pour évaluer la situation. Une enquête menée par les autorités régionales de sécurité du travail est en cours.
L'usine produit principalement du polyvinylacétate (PVA) et du monomère d'acétate de vinyle (VAM). Elle se trouve dans une zone de développement de la ville de Yizhou, à quatre heures de route de Nanning, capitale régionale.
L'actif de la société se monte à 340 millions de yuans (50 millions de dollars). Elle produit 300 millions de yuans de produits chimiques chaque année.

Chine 2020 plbd internationale




Chine
27-08-2008
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La Chine et nousParlons un tout petit peu de Chine. Lorsque les chinois sont venus construire le stade de l'amitié à Kouhounou au début des années 1980, le sport populaire parmi certains intellectuels était de se moquer de leurs camions qui tombaient en panne, de leur pauvreté, de leur manque de sophistication et de finesse, de leurs uniformes, de leur appétit pour les lézards (à vérifier évidemment) et de leur idéologie.
Un de mes oncles qui s'était rendu en Chine à cette époque en revint proclamant qu'ils étaient pauvres, roulaient à bicyclette, et que nous ne gagnerions rien à avoir des relations avec des pauvres comme eux. Au même moment, mon frère participa à des jeux à Pékin et s'émerveilla de la largeur des boulevards qui, àcette époque, n'arboraient que des vélos. Ils avaient aussi noté que le "mentholatum" rouge qui commençait à pénétrer le marché béninois était largement utilisé par les sportifs chinois. Cela fait trente ans que nous côtoyons ces messieurs et nous n'avons pas encore appris à regarder avec lucidité les mécanismes qui font que leur société émerge et prospère. C'est seulement lorsque qu'elles arrivent presque à leur destination (ou sont suffisamment puissantes pour nous contrôler) que nous nous intéressons espérant pouvoir leur tendre la main ou les utiliser pour renforcer nosrégimes sans vision et sans ambition pour leurs peuples. Nous avons fait pareil avec la France et l'Occident, nos parrains bienveillants qui s'assurent que nous demeurons où nous sommes. Il est vrai que ces derniers sont bien installés dans notre moelle, si bien installés que nous ne les voyons pas bien ou plus, et que de là ils essaient de miner nos os quand ils peuvent.L'irruption des chinois en Afrique fait beaucoup de bruit, et la presse occidentale, un peu nostalgique de la perte de terrain et vitesse que l'Europe subit en Afrique, se morfond sur le sort des pauvres africains qui se font coloniser de nouveau, qui se livrent naïvement aux vautours chinois qui ne veulent pas du bien-être démocratique ou autre de ces "nègres." La Chine et l'Inde se sont pendant longtemps regardé, n'ont pas eu les "bailleurs de fonds," la Banque mondiale et le FMI à leurs portes pour leur prodiguer des conseils qu'ils suivaient à la lettre, ont éduqué très sérieusement leurs peuples, au moins pour satisfaire une certaine conception du développement et à l'industrialisation, ont mis en place les structures sanitaires nécessaires à leur épanouissement (vous souvenez-vous des médecins aux pieds nus?).Aujourd'hui la Chine et devenue le troisième pays à avoir envoyé des hommes dans l'espace. Après l'URSS et les USA et en enverra certains sur la lune d'ici à 2020.Je ne voudrais pas me positionner en admirateur béat de la Chine, mais ils on fait leur révolution industrielle en peu de temps, 40 à 60 ans, en partant d'une société féodale, paysanne et arriérée à une société industrialisée. Ils avaient connu une certaine gloire par le passé lointain, car nous ne devons pas oublier qu'ils ont inventé la boussole, la poudre à feu, l'imprimerie (pas Gutemberg). Mais ce qu'ils ont fait en 50 ans est remarquable. Le prix humain a été élévé et les coûts en matière d'environnement sont énormes, mais très peu de pays ont un passé plus léger. Peut-être certains pays scandinaves, Taiwan, Singapour, la Corée du Sud. Peut-être. Certainement pas nos dieux occidentaux qui ont systématiquement pillé les contrées du monde, installé des systèmes pour contrôler leurs finances et gouvernements, qui, militairement intimident avec des bases militaires partout, qui ont massacré des peuples entiers par génocide et autres opérations, pris leurs terres et les ont assujettis pendant des siècles.Ceci dit, je pense que l'Afrique ne doit pas souffrir de regarder du côté de la Chine, mais les Chinois ne nous offrent pas non plus un modèle de développement vraiment différent du modèle accumulateur, capitaliste sauvage, et vorace que ceux qui les ont précédés ont vulgarisé. En ce sens, mauvais exemple, sauf si nous voulons nous positionner sur le modèle de la compétition et de la productivité effrénée qui mènera à de nouvelles guerres, des pénuries sauvages (la nourriture déjà), de grandes misères, surtout parmi ceux qui, comme nous, sont faibles et pauvres. Les grands nepouvant plus se faire la guerre parce qu'ils ont tous la bombe atomique, les améliorent et ne révèlent pas au monde leurs recherches et progrès secrets dans ce domaine, se tourneront vers nous pour que nous puissions nous entredéchirer , pendant que eux continuent allègrement leur expansion. Et alors vive la recolonisation. La Chine serait donc un candidat !
Simon AkindesUniversity Professeur (Usa)

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