阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

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指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Thursday, June 19, 2008

Présidence de l'Union Européenne



D'ici quelques jours, la France prendra la présidence de l'Union européenne (UE) pour six mois. Une fonction double. D'une part, le président de la République, Nicolas Sarkozy, assumera la présidence du Conseil européen, composé des chefs d'État et de gouvernement des 27 pays membres. D'autre part, l'ensemble des ministres du gouvernement français pourra être conduit à présider le conseil des ministres, également appelé Conseil de l'Union européenne, et qui réunit les ministres des États membres en fonction du sujet placé à l'ordre du jour.
"Il existe 9 formations différentes du conseil des ministres en fonction des sujets abordés : affaires générales et relations extérieures, agriculture et pêche, économie et finances etc.", précise Julien Gascard, conférencier chargé de mission pour l'association Jean Monnet (mandatée par le Parlement européen pour animer la maison du père de l'Europe). Ainsi, à compter du 1er juillet 2008 et jusqu'au 31 décembre prochain, le ministre français de l'Agriculture et de la Pêche, Michel Barnier, présidera l'ensemble des conseils des ministres de l'UE relevant de son domaine de compétence.
"La présidence de l'Union européenne est donc une lourde machine qui entraîne généralement des travaux particuliers et des charges particulières dans chacun des départements ministériels du pays qui l'assume, et qui s'y prépare en général au moins un an par avance", explique Jean-Claude Gautron, professeur émérite de l'université Montesquieu-Bordeaux4, également président honoraire de la Commission pour l'étude des communautés européennes (CEDECE).

2 ème états généraux de l'Europe 21 juin 2008


Questions d'Europe


Droit européen


questions Europe


Algerie Union pour la Mediterranée Mr Belkhadem





Abdelaziz Bouteflika participera-t-il au sommet qui lancera l'Union pour la Méditerranée le 13 juillet prochain à Paris ? Oui ! Du moins à se fier à la réponse de Abdelaziz Belkhadem à une question à propos dans une interview qu'il a accordée, hier mercredi, au quotidien français Le Monde.
«Je ne peux pas m'avancer, mais le président Bouteflika nous a toujours habitués à être là quand l'Algérie doit être représentée à son plus haut niveau.» Relancé sur la question, le chef du gouvernement ajoutera, tout aussi prudemment : «Je dis qu'il n'est pas exclu que le président Bouteflika vienne à Paris pour ce sommet.» Mais s'agissant de l'objet même du sommet, Belkhadem se montrera moins circonspect et exprime, crûment, les réserves de l'Algérie par rapport au projet de Sarkozy : «L'Algérie est favorable à toute initiative qui rapprocherait les deux rives de la Méditerranée. Mais celle qui nous a été exposée en 2007 par le président Sarkozy n'est plus celle qui nous est présentée aujourd'hui.» Il s'explique : «Initialement, il s'agissait des seuls pays de la Méditerranée. L'objectif était de construire une union du même type que l'Union européenne, avec des projets à géométrie variable. Aujourd'hui, c'est une Union pour la Méditerranée, et non plus une Union méditerranéenne et son contenu reste flou.» Belkhadem enfonce encore le clou : «Cette union regroupe 44 pays et s'intègre fidèlement dans le processus de Barcelone, qui nous a déçus. Sur les trois volets — politique, économique et humain — il n'y a guère eu d'avancées. Sur le plan humain, les choses se sont même dégradées, à la suite des mesures prises par les Etats de l'Union européenne, après le 11 septembre 2001. Et la France se limite à mettre en relief l'amélioration des conditions matérielles de délivrance des visas, sans préconiser des mesures tangibles pour mettre fin aux restrictions et discriminations auxquelles sont soumis les ressortissants algériens.» Puis, enfin l'argument décisif et qui, vraisemblablement, scelle définitivement le refus algérien. «J'ajouterai, enfin, que si l'Algérie est favorable à une union de projets à géométrie variable, il ne faut pas que ces projets soient une couverture pour une normalisation rampante avec Israël.» Belkhadem confirme, là, publiquement, ce que tout le monde sait depuis la dernière visite d'Etat de Sarkozy en Algérie : entre Alger et Paris, les relations sont revenues à leur plus bas niveau. Difficile, en effet, de ne pas le constater depuis quelques mois, et ce, en dépit du défilé de visites officielles de hauts responsables des deux côtés. A l'origine de ce froid, les réserves de Sarkozy quant au souhait de Bouteflika de voir Paris le soutenir pour un troisième mandat. Que l'on se rappelle d'ailleurs la fameuse campagne «d'exhortation collective », priant Bouteflika de procéder à une révision de la Constitution et de se présenter pour un troisième mandant, qui avait «subitement » pris le départ pendant le dernier séjour de Sarkozy en Algérie, fin 2007. La prochaine visite du Premier ministre français en Algérie, François Fillon, prévue les 21 et 22 juin en cours, fera-t-elle baisser la tension entre les deux chefs d'Etat ? Belkhadem profite, en tout cas, de l'opportunité que lui offre Le Monde pour relancer l'objet du litige. Evoquant, en effet, la question de la révision de la Constitution, Belkhadem, affirmatif, lancera : «De mon point de vue, cette révision aura lieu, c'est une question de temps (…) Ce verrou de deux mandats nous paraît antidémocratique. C'est au peuple de décider s'il veut redonner sa confiance au président pour un troisième mandat. Nous sommes favorables à une élection présidentielle sans exclusion. A l'heure actuelle, c'est le président qui souffre d'exclusion en raison de cette limitation à deux mandats.»
Source : LE SOIR D'ALGERIE

Turquie Européenne


Turquie adhésion union Européenne





La Turquie fait un nouveau petit pas vers l'adhésion à l'UE
LUXEMBOURG - La Turquie a fait un nouveau petit pas mardi vers l'adhésion à l'Union européenne, en ouvrant deux nouveaux chapitres thématiques parmi les 35 qui jalonnent ses négociations, mais a regretté la lenteur des discussions et dénoncé des obstacles "politiques".
Les 27 Etats membres de l'UE et le ministre turc des Affaires étrangères Ali Babacan ont ouvert à Luxembourg des chapitres portant sur le "droit des sociétés" et le "droit de la propriété intellectuelle", a-t-on appris de source européenne.
Cela porte à huit le nombre de chapitres ouverts depuis le début des pourparlers en octobre 2005, des négociations qui pourraient prendre au moins dix ou quinze ans.
Les 27 avaient déjà pris la semaine dernière la décision de principe d'ouvrir ces chapitres et, pour une fois, sans polémique, la France, un des principaux opposants à l'adhésion turque avec Chypre, n'ayant pas fait de difficulté.
Habituellement, les débats sont très controversés sur l'avenir européen de ce pays à cheval entre l'Europe et l'Asie, certes jugé "stratégique" mais qui serait aussi le premier grand pays musulman à rejoindre l'UE.
M. Babacan a d'ailleurs regretté mardi que les négociations d'adhésion avancent à un "rythme lent", dénonçant les obstacles "politiques" mis sur sa route par certains Etats membres alors que l'ouverture des chapitres ne devraient se faire, selon lui, que sur des critères "techniques".
Il a notamment, sans la citer, critiqué la France pour avoir refusé l'an dernier d'ouvrir le chapitre sur l'Union économique et monétaire, pour lequel la Commission européenne n'avait pas posé de conditions.
Ce chapitre fait partie des cinq chapitres que la France refuse d'ouvrir car ils sont pour elles directement liées à l'adhésion, alors que le président Nicolas Sarkozy a dit à plusieurs reprises son hostilité à l'entrée de la Turquie dans le bloc européen.
A deux semaines du début de la présidence française de l'UE, M. Babacan a malgré tout espéré "que le processus d'adhésion continuera à progresse pendant la présidence française" de l'UE qui commence le 1er juillet.
"Nous espérons que la présidence française se voudra juste, impartiale et transparente, comme cela nous a été promis à plusieurs reprises à plusieurs niveaux", a insisté le ministre turc.
Le directeur général Elargissement de la Commission européenne, Michael Leigh, a de son côté indiqué que sept chapitres pourraient être ouverts dans les prochains mois, "dès que la Turquie respectera les conditions" pour leur ouverture.
Il ne reste de toute façon plus beaucoup de chapitres que l'UE puisse ouvrir, 18 sur 35 étant de facto gelés: 8 chapitres l'ont été formellement en décembre 2006 en raison du refus de la Turquie d'ouvrir ses ports et aéroports aux navires et avions chypriotes grecs, 5 autres sont "directement liés" à une adhésion et à ce titre bloqués par la France, plus quelques autres bloqués par Chypre ou la Commission européenne elle-même.

radio web


Union pour la Méditerranée



Ehoud Olmert et Bachar el-Assad pourraient avoir des "contacts directs" au sommet de l?Union de la Méditerranée
PARIS — Le secrétaire général de l'Elysée Claude Guéant a annoncé mercredi que le président syrien Bachar el-Assad sera présent les 12 et 13 juillet à Paris pour le sommet de l'Union de la Méditerranée, qui pourrait être "l'occasion de contacts directs" avec Israël.
"On voit maintenant M. (Ehoud) Olmert (le Premier ministre israélien NDLR) qui suggère que le sommet du 13 soit l'occasion de contacts directs, il y a un enjeu et c'est la vocation pacifique de la France que d'essayer de faire en sorte que cela marche", a souligné Claude Guéant sur Europe-1.
Interrogé sur sa visite de dimanche auprès du président Bachar el-Assad, le secrétaire général de l'Elysée a précisé que "l'objet de notre entretien (...) était de commencer à parler de l'Union de la Méditerranée, de le sensibiliser à ce que pourront être les travaux", mais aussi sur "les raisons pour lesquelles le président a repris contact avec la Syrie".
Ce dernier avait posé comme condition "l'élection d'un président, c'est fait", a expliqué M. Guéant, qui s'était rendu à Damas avec le conseiller diplomatique du président de la République Jean-David Lévitte.
"Les enjeux sont de deux ordres, c'est l'avenir du Liban, la France est profondément attachée (...) à l'indépendance du Liban, il faut que le Liban soit un Etat libre", a-t-il rappelé. "La réponse que nous attendons, (...), c'est l'établissement de relations diplomatique avec le Liban, ce qui témoigne de la reconnaissance d'indépendance".
"Le deuxième enjeu tout à fait majeur c'est celui d'Israël, qui a deux volets, le volet palestinien et syrien", car l'Etat hébreu est "en guerre formellement" avec son voisin depuis 1948.
Quant à la présence de Bachar el-Assad le 14 juillet pour le défilé du 14-Juillet, Claude Guéant a souligné que le président syrien "n'est absolument pas un invité d'honneur" et qu'il "ne sait pas s'il sera là". Mais "le 12 et 13, il sera là".
Quant au refus du président libyen Mouammar Kadhafi, il "ne sait pas s'il est définitif, nous verrons", mais "nous avons bon espoir que le président (algérien NDLR) Bouteflika sera là".