阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

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指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Tuesday, August 26, 2008

Chine Corée du sud




La Chine et la Corée du Sud s'engagent à renforcer les relations bilatérales

2008-08-26 07:03:02

SEOUL, 25 août (Xinhua) -- La Chine et la République de Corée a publié lundi un communiqué conjoint à Séoul, promettant de fortifier les relations bilatérales.
Ces deux pays asiatiques maintiendront de fréquents échanges de visites et des contacts de haut niveau, selon ce communiqué.
Les corps diplomatiques des deux pays pourraient organiser des dialogues stratégiques cette année, en tant que le point de départ de l'application d'un méchanisme des discussions stratégiques portant sur des affaires importantes en ce qui concerne les intérêts communs.
Par ailleurs, les ministères chinois et sud-coréen des Affaires étrangères établiront un mécanisme de coordination en vue de renforcer les échanges de vue sur la politique étrangère et la situation internationale, indique ce communiqué.
A l'égard de la coopération économique et commerciale, les deux pays ont promis d'intensifier la coopération dans les domaines tels que le commerce et l'investissement, l'inspection et la quarantaine, l'assistance commerciale et les droits de la propriété intellectuelle, dans le cadre des efforts pour atteindre l'objectif d'un volume d'échanges annuel de 200 milliards de dollars d'ici à 2010.
Entretemps, les deux pays faciliteront l'ajustement et la mise en oeuvre de la Vision du développepent à moyen et long terme pour la coopération économique et commerciale sino-sud-coréenne.
Les deux pays souhaitent travailler ensemble pour étendre la coopération économique et commerciale bilatérale, en renforçant la coopération dans d'autres secteurs tels que l'environnement, l'information et la communication, la logistique et l'énergie, selon le communiqué.
Le président chinois Hu Jintao s'est rendu lundi matin à Séoul pour une visite officielle de deux jours, peu après la visite en mai de son homologue sud-coréen Lee Myung-bak en Chine.
Il s'agit de la deuxième visite du président Hu en Corée du Sud, dont la première remonte en novembre 2005.

Edward Kennedy émotion





Si le discours de Michelle Obama a été le point d'orgue de la première journée de la convention démocrate, lundi 25 août, le sénateur Edward Kennedy a, quant à lui, fourni l'un de ces moments d'émotion qui marquent les mémoires. Lorsqu'il est apparu, la foule s'est levée d'un seul mouvement. Avant même qu'il ne s'exprime, cette émotion était palpable.


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Jusqu'au bout, sa présence était restée incertaine. Malgré le lourd traitement qu'il subit depuis la découverte, début juin, d'une tumeur incurable au cerveau, Edward Kennedy, 76 ans, le "survivant", le "vieux lion" du Sénat, l'icône du Parti démocrate, incarnation d'une tradition "libérale" (progressiste) mais modérée, était bien là. La totalité des délégués, oubliant dans l'instant leurs différends passés, leurs inquiétudes actuelles sur la capacité de Barack Obama, leur champion, à l'emporter en novembre, lui ont réservé une acclamation, scandant longuement son nom.
Qui mieux que "Teddy" pouvait donner à la convention démocrate sa première impulsion ? "Il est notre rocher à tous, le plus grand législateur américain des temps modernes. Sa vie a été consacrée à ceux qui souffrent. Il incarne l'unité de notre parti", expliquait Sanford Cloud, un entrepreneur, délégué du Connecticut. "Ted" n'a pas déçu. Il avait offert un premier cadeau, en janvier, à Barack Obama en lui apportant son soutien lors des primaires dans sa bataille contre Hillary Clinton. Lundi soir, à Denver, il lui a non seulement réitéré son soutien avec une emphase qui avait tout de la sincérité, mais il l'a aussi intronisé en disant que l'Amérique n'avait plus connu un tel candidat depuis son frère, John Fitzgerald Kennedy, élu en 1960.
"OUI, ON PEUT ATTEINDRE LA LUNE"
Vindicatif à souhait contre des républicains moquant l'image d'espoir que vise à générer M. Obama, le sénateur du Massachusetts a rappelé à la foule que "oui, on peut atteindre la lune" et que, d'ailleurs, son frère l'avait réalisé, "et, jusqu'ici, le drapeau américain y flotte". Manière de dire : n'écoutez pas ceux qui vous disent que "les objectifs sont si lointains qu'il ne faut pas même essayer d'y parvenir". Ce que son frère a fait, "on peut le refaire". Avec Barack Obama, on pourra enfin en finir avec les vieux blocages qui minent ce pays et "garantir que tout Américain bénéficie de soins de qualité, que l'assurance-maladie soit un droit fondamental et non plus un privilège réservé aux mieux lotis", a-t-il déclaré.
"Je suis venu parmi vous pour changer l'Amérique, pour restaurer son avenir et faire élire Barack Obama président", a-t-il lancé enfin à des délégués à la fois extatiques et stupéfaits devant tant de vigueur. Pugnace, parlant sans notes, sur un ton enflammé, faisant reprendre en chœur le slogan de campagne de son poulain – "Yes we can, yes we will!" ("Oui nous le pouvons, oui nous le ferons !") –, Ted Kennedy a promis qu'il serait là pour assister, en janvier 2009, à son intronisation. Alors, "le flambeau sera transmis à une nouvelle génération d'Américains".
Emerveillés et un peu groggy, les délégués l'ont alors vu quitter la scène, d'un pas lourd mais sans assistance. Avec le sentiment d'avoir, peut-être, écouté son dernier discours.
Sylvain Cypel

Bureau Européen Irlande Traité de Lisbonne





BRUXELLES, BUREAU EUROPEEN
La perspective d'un second référendum sur le traité de Lisbonne agite la rentrée politique en Irlande. Pour la première fois depuis la large victoire du non le 12 juin – à 53,4 % –, dans un entretien au quotidien Irish Independent publié lundi 25 août, le secrétaire d'Etat irlandais aux affaires européennes, Dick Roche, s'est prononcé en faveur d'une consultation populaire : "Nous ne pouvons pas exclure la possibilité qu'à un certain moment, et dans les bonnes circonstances, il pourrait être nécessaire de consulter la population une nouvelle fois", a-t-il indiqué. "Mon opinion est qu'un référendum est la réponse appropriée à la position dans laquelle nous nous trouvons. Il s'agit vraiment de mon opinion personnelle", a-t-il ajouté.
La petite phrase va dans le sens du scénario de sortie de crise imaginé dans les capitales européennes. Début juillet, au début de la présidence française de l'Union européenne, Nicolas Sarkozy avait estimé que les Irlandais "devraient revoter". A l'époque, ce commentaire tenu en privé avait agacé des dirigeants irlandais, peu enclins à agir sous la pression de leurs partenaires. "Si nous voulons rester un Etat membre constructif, nous ne pouvons pas simplement ne rien faire et continuer à dire, comme certains le souhaiteraient de notre part : Non, c'est non ", convient aujourd'hui M. Roche.
Le premier ministre irlandais, Brian Cowen, doit de nouveau rencontrer M. Sarkozy en septembre, à Paris, afin de réfléchir aux modalités d'une ratification du traité en Irlande.
A Bruxelles, les responsables continuent d'espérer l'organisation d'un référendum avant les élections européennes de juin2009. Mais le contexte paraît difficile : selon un sondage publié en juillet, 71 % des Irlandais restent opposés à la perspective d'un nouveau vote. Et la tenue d'élections locales pourraient transformer le scrutin en test pour le gouvernement. La presse irlandaise spécule plutôt sur un second vote fin 2009.
Les réactions aux commentaires de M. Roche montrent que le sujet reste explosif. Le Sinn Fein, seule formation parlementaire qui avait appelé à voter non, estime que ce serait "un affront à la volonté de la population démocratiquement exprimée".
Philippe Ricard

Actualitées Obama





mardi 26 août 2008
Quatre personnes auraient cherché à tuer Barack Obama

Quatre personnes ont été arrêtées à Denver, avec des armes en leur possession. Ils sont soupçonnés d’avoir voulu tirer sur Barack Obama.
Le candidat démocrate à la Maison blanche, Barack Obama, semble être passé près d’un attentat ce matin. Quatre personnes, arrêtées à Denver, dans l'ouest des Etats-Unis, sont en effet soupçonnées d'avoir voulu le tuer. Une d’elles a été interpellée après la découverte de deux fusils de forte puissance dans son camion de location.
Selon la chaîne américaine CBS34, l'un des hommes arrêtés aurait indiqué aux autorités qu'ils « allaient tirer sur Obama depuis une position très favorable, avec un fusil, à une distance de 750 mètres ».
La chaîne précise également que l'attentat contre Barack Obama était supposé se produire jeudi. C’est ce jour-là qu’il doit prononcer son discours d'intronisation comme postulant du Parti démocrate à la présidentielle de novembre, dans un stade où sont attendues 75.000 personnes.
Le procureur "confiant"
Un autre homme arrêté était, selon la chaîne, en possession d'une croix gammée et pourrait avoir des liens avec les groupes suprématistes et racistes blancs.
Le procureur de Denver, Troy Eid, a toutefois tenu à se déclarer « confiant dans le fait qu'il n'y a pas de menace crédible contre le candidat, la convention démocrate ou la population du Colorado ».

Tata Nano





Tata Nano : l'auto Meta Low Cost ! (ajout vidéo)
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Par Denis Adams Pile à l'heure ! L'auto la moins chère du Monde devait faire irruption sur la planète automobile en janvier 2008 : elle est là, elle s'appelle Tata Nano et elle coûte bien 2500 $ !La future cousine des Jaguar et autres Land Rover qui ressemble à une Subaru R2 light vient d'être présentée par le boss en personne, Ratan Tata.

African manager


Kyoto Accra Ghana




Négociations post-Kyoto à Accra, au Ghana
(src : Meedaat)
Une nouvelle étape de négociation onusienne sur le changement climatique se déroule actuellement à Accra, au Ghana. Ces travaux doivent faire avancer l’adoption d’un accord international en vertu de la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC), ainsi que celle d’une réduction post 2012 des émissions des pays développés dans le cadre du Protocole de Kyoto.
Plus d’un millier de participants, dont les représentants des gouvernements, des représentants du secteur économique et industriel, des organisations environnementales et des instituts de recherche sont réunis depuis jeudi à Accra. La rencontre fait partie du processus de négociation des Nations Unies lancé en décembre 2007 et qui réunira les 2 groupes de travail post 2012. Les discussions se tiennent jusqu'à demain.
Pour rappel , un Groupe de travail de la Convention (AWG-LCA ) regroupant les 180 pays liés par la Convention Climat avait été crée à Bali en décembre 2007 et un autre Groupe de travail (AWG-KP), a été créé en décembre 2005, qui lui ne traite que des engagements de réduction des pays industrialisés après 2012.
En effet la Conférence des Parties à la Convention Climat qui s’est réunie à Bali en 2007 a permis l’adoption d’une feuille de route qui doit conduire la communauté internationale vers un accord global sur un régime post 2012 de lutte contre le changement climatique fin 2009 à la Conférence de Copenhague ; accord qui devra impliquer tous les pays et qui devra donner une suite au Protocole de Kyoto dont la première période d’engagement s’achève en 2012.
L’essentiel des négociations d’Accra comprend la troisième session du Groupe de travail Ad hoc sur l’action coopérative de long terme en vertu de la Convention (AWG-LCA 3) et la première partie de la sixième session du Groupe de travail Ad hoc sur les engagements futurs des pays développés dans le cadre du Protocole de Kyoto (AWG 6- KP , partie I).
Dans le cadre des négociations futures du Protocole de Kyoto, le travail devra aboutir à un accord sur les moyens à disposition des pays développés pour atteindre leurs objectifs de réduction des émissions post 2012. Il s’agit de préciser le fonctionnement notamment des mécanismes de flexibilité et des règles de prise en compte des puits de carbone ainsi que certains points méthodologiques comme par exemple l’inclusion de nouveaux gaz et secteurs.
L’Union européenne sous présidence française devra faire avancer ces négociations afin de prouver vis à vis des pays émergents et en développement l’engagement fort des pays développés dans le régime post 2012 . Faute de progrès sur ces questions à Accra, les pays en développement pourraient chercher à retarder les négociations post 2012.
Dans le cadre du processus de négociation sur le renforcement de l’action internationale contre le changement climatique, deux ateliers thématiques interviendront à Accra sur la foresterie et les approches sectorielles comme moyens d’atténuation des émissions de gaz à effet de serre. Ces ateliers devront favoriser la réussite de la Conférence de Poznan en décembre qui devra discuter des principaux éléments du régime post 2012 et entamer de réelles négociations lors de la conférence de Poznan afin de mettre en place les conditions pour la réussite des négociations en 2009.

Avion solaire 80 Heures





Record de durée de vol pour un avion solaire
(src : Qinetiq, BBC news)
Entièrement alimenté à l'énergie solaire, le Zephyr-6 a battu fin juillet son propre record de temps de vol, avec 80 heures passées dans le ciel.
Pendant près de 3 jours et demi, ce petit avion sans pilote a parcouru le ciel à 20 000 mètres d'altitude, la hauteur de vol du Concorde. Le Zephyr a d'abord été guidé par télécommande jusqu'à une altitude de 18 km, avant d'être dirigé par satellite.
Le Zephyr est alimenté par des panneaux photovoltaïques qui assurent la charge de ses batteries.Conçu en fibre de carbone, il ne pèse que 30 kg, pour une envergure de 18 mètres. Deux moteurs électriques assurent sa propulsion.
Le record n'a pas été homologué par ses concpteurs, Qinetiq. Il s'agissait d'une démonstration pour l'armée américaine, à laquelle participait également le gouvernement britannique.
Le précédent record (officieux lui aussi) était de 54 heures de vol.