阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

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羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Wednesday, August 27, 2008

Chine environnement




Chine : pas de pollution à la suite de l'explosion meurtrière dans une usine chimique

2008-08-27 16:18:35

YIZHOU, Guangxi, 27 août (Xinhua) -- L'explosion survenue mardi dans une usine chimique de la région autonome Zhuang du Guangxi (sud) n'a pas provoqué de pollution de l'air ni de l'eau, ont confirmé les autorités locales.
Selon le Département régional de la protection de l'environnement, les prélèvements n'ont mis aucune pollution en évidence après l'explosion survenue mardi à 06H00 dans un atelier de l'usine, appartenant à la Guangxi Guangwei Chemical Co., , .
Au moins seize personnes ont été tuées dans l'accident, six autres sont portées disparues et 57 autres ont été blessées, indique le centre des opérations de secours.
Quatorze des seize morts étaient ouvriers de l'usine, alors que l'identité des deux autres n'a pas encore été établie.
Une série d'explosions, entraînée par la première, ont persisté jusqu'à 13H00 mardi. Le feu s'est étendu sur plus de 10 000 m², a précisé une pompier participant aux opérations de secours. Le drame a été maîtrisé mardi soir, tandis que la recherche des disparus se poursuivent.
Quelque 11 500 habitants dans un rayon de trois km autour de l'usine ont été évacués, alors qu'une centaine de spécialistes chimiques ont été dépêchés sur place pour évaluer la situation. Une enquête menée par les autorités régionales de sécurité du travail est en cours.
L'usine produit principalement du polyvinylacétate (PVA) et du monomère d'acétate de vinyle (VAM). Elle se trouve dans une zone de développement de la ville de Yizhou, à quatre heures de route de Nanning, capitale régionale.
L'actif de la société se monte à 340 millions de yuans (50 millions de dollars). Elle produit 300 millions de yuans de produits chimiques chaque année.

Chine 2020 plbd internationale




Chine
27-08-2008
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La Chine et nousParlons un tout petit peu de Chine. Lorsque les chinois sont venus construire le stade de l'amitié à Kouhounou au début des années 1980, le sport populaire parmi certains intellectuels était de se moquer de leurs camions qui tombaient en panne, de leur pauvreté, de leur manque de sophistication et de finesse, de leurs uniformes, de leur appétit pour les lézards (à vérifier évidemment) et de leur idéologie.
Un de mes oncles qui s'était rendu en Chine à cette époque en revint proclamant qu'ils étaient pauvres, roulaient à bicyclette, et que nous ne gagnerions rien à avoir des relations avec des pauvres comme eux. Au même moment, mon frère participa à des jeux à Pékin et s'émerveilla de la largeur des boulevards qui, àcette époque, n'arboraient que des vélos. Ils avaient aussi noté que le "mentholatum" rouge qui commençait à pénétrer le marché béninois était largement utilisé par les sportifs chinois. Cela fait trente ans que nous côtoyons ces messieurs et nous n'avons pas encore appris à regarder avec lucidité les mécanismes qui font que leur société émerge et prospère. C'est seulement lorsque qu'elles arrivent presque à leur destination (ou sont suffisamment puissantes pour nous contrôler) que nous nous intéressons espérant pouvoir leur tendre la main ou les utiliser pour renforcer nosrégimes sans vision et sans ambition pour leurs peuples. Nous avons fait pareil avec la France et l'Occident, nos parrains bienveillants qui s'assurent que nous demeurons où nous sommes. Il est vrai que ces derniers sont bien installés dans notre moelle, si bien installés que nous ne les voyons pas bien ou plus, et que de là ils essaient de miner nos os quand ils peuvent.L'irruption des chinois en Afrique fait beaucoup de bruit, et la presse occidentale, un peu nostalgique de la perte de terrain et vitesse que l'Europe subit en Afrique, se morfond sur le sort des pauvres africains qui se font coloniser de nouveau, qui se livrent naïvement aux vautours chinois qui ne veulent pas du bien-être démocratique ou autre de ces "nègres." La Chine et l'Inde se sont pendant longtemps regardé, n'ont pas eu les "bailleurs de fonds," la Banque mondiale et le FMI à leurs portes pour leur prodiguer des conseils qu'ils suivaient à la lettre, ont éduqué très sérieusement leurs peuples, au moins pour satisfaire une certaine conception du développement et à l'industrialisation, ont mis en place les structures sanitaires nécessaires à leur épanouissement (vous souvenez-vous des médecins aux pieds nus?).Aujourd'hui la Chine et devenue le troisième pays à avoir envoyé des hommes dans l'espace. Après l'URSS et les USA et en enverra certains sur la lune d'ici à 2020.Je ne voudrais pas me positionner en admirateur béat de la Chine, mais ils on fait leur révolution industrielle en peu de temps, 40 à 60 ans, en partant d'une société féodale, paysanne et arriérée à une société industrialisée. Ils avaient connu une certaine gloire par le passé lointain, car nous ne devons pas oublier qu'ils ont inventé la boussole, la poudre à feu, l'imprimerie (pas Gutemberg). Mais ce qu'ils ont fait en 50 ans est remarquable. Le prix humain a été élévé et les coûts en matière d'environnement sont énormes, mais très peu de pays ont un passé plus léger. Peut-être certains pays scandinaves, Taiwan, Singapour, la Corée du Sud. Peut-être. Certainement pas nos dieux occidentaux qui ont systématiquement pillé les contrées du monde, installé des systèmes pour contrôler leurs finances et gouvernements, qui, militairement intimident avec des bases militaires partout, qui ont massacré des peuples entiers par génocide et autres opérations, pris leurs terres et les ont assujettis pendant des siècles.Ceci dit, je pense que l'Afrique ne doit pas souffrir de regarder du côté de la Chine, mais les Chinois ne nous offrent pas non plus un modèle de développement vraiment différent du modèle accumulateur, capitaliste sauvage, et vorace que ceux qui les ont précédés ont vulgarisé. En ce sens, mauvais exemple, sauf si nous voulons nous positionner sur le modèle de la compétition et de la productivité effrénée qui mènera à de nouvelles guerres, des pénuries sauvages (la nourriture déjà), de grandes misères, surtout parmi ceux qui, comme nous, sont faibles et pauvres. Les grands nepouvant plus se faire la guerre parce qu'ils ont tous la bombe atomique, les améliorent et ne révèlent pas au monde leurs recherches et progrès secrets dans ce domaine, se tourneront vers nous pour que nous puissions nous entredéchirer , pendant que eux continuent allègrement leur expansion. Et alors vive la recolonisation. La Chine serait donc un candidat !
Simon AkindesUniversity Professeur (Usa)

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Nightwish 09Bless the child


Nightwish 08 High Hopes


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Chine 2020



Chine 2020
Regarder au-delà des cinq prochaines années est un exercice difficile et périlleux, surtout lorsque les cycles économiques se raccourcissent et qu'on n'arrive très difficilement à calculer le PNB de manière précise un an après la fin de l'année considérée. Pourtant, il semblerait que, dans le cas de la Chine, ce virage 2020 soit un moment historique pour la région et au-delà. Voici quelques questions autant faciles à poser que difficiles à répondre.
La Chine sera-t-elle capable de relever l'immense défi environnemental après que ces vingt dernières années de croissance économique effrénée aient ouvert la boîte de Pandore ?
Sans doute la croissance chinoise se calmera pour arriver sur des taux plus raisonnables de 5 à 7 %, en allant plus loin, on pourrait même considérer que la Chine ne performe pas à la hauteur des tigres asiatiques voisins que sont Taiwan ou la Corée.
D'autre part, la Chine devra faire face à deux grands manques en terme de leadership : le politique et le business.
Ce modèle top down, hyper-hiérarchique, qui a fait le bonheur des entreprises manufacturières pourra t-il s'adapter à une économie plus tournée vers le service et montant en valeur ajoutée ? Le rôle du middle management deviendra de plus en plus prépondérant. Le modèle du LaoBan (patron) devra sans doute évoluer et connaissant la xénophilie des chinois, évoluer vers un modèle plus occidental qui devra sans doute se décliner en une version de management à la chinoise moderne avec, par exemple, plus de responsabilisation des échelons opérationnels des sociétés opérants sur ce marché afin de créer des solutions à des problématiques plus complexes.
Le politique, afin de continuer à assurer crédibilité et représentativité face aux contestations sociales de plus en plus visibles et un écart entre les riches et les pauvres de plus en plus insupportable. Viendra s'ajouter sur ces problèmes sociaux une pression démographique sans précédent, avec pour la première fois de l'histoire de nos sociétés modernes, une Chine qui vieillira avant de devenir riche. La guerre des talents continuera à faire rage et l'insoluble question des transferts de technologie ne viendra pas aider les multinationales installées en Chine à savoir se positionner sur ce marché en termes d'opération et de politique de ressources humaines.
Là où l'on dit « avant de devenir riche », il faut le comprendre par le fait qu'on ne peut raisonnablement penser que le PNB par habitant, aujourd'hui 10 fois inférieur à ceux de nos modèles occidentaux puisse atteindre, en si peu de temps autre chose que 50 à 60% des niveaux des pays industrialisés.
2020 un tournant pour le politique car il faudra que Pékin et Taipeh arrêtent de soutenir la politique : tiens, si on laissait à la Chine du futur et à Taiwan du futur le soin de résoudre nos différends. La république populaire de Chine veut voir Taiwan tomber sous sa coupe, comme un fruit mûr, sans combattre, à la SunZi et y arrivera sans doute, surtout si Taiwan commence à retrouver de ses valeurs dans la Chine des capitales modernes et rayonnantes sur l'Asie.
Enfin, pour les étrangers de Chine, qui auront mis si longtemps à gagner de l'argent dans ce pays, les explorateurs deviendront des intérieurs délivrant les bonnes pratiques pour réussir dans ce pays. Ils démontreront qu'il n'y a pas que Marco Polo capable de faire des affaires en Chine.
Benoît Boisseuil (http://lustintranslation.blogspirit.com/)Reproduction avec l'aimable autorisation de l'auteur

A qui appartient.... le Ciel





À qui appartient... le ciel ?
T. V.26/08/2008 Mise à jour : 15:22
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La Patrouille de France à l'entraînement, au-dessus de Perros-Guirec. Crédits photo : Le Figaro
Au-dessus de son territoire, chaque État est souverain, donc propriétaire de l'espace aérien. Il en tire des revenus non négligeables.

Ossétie, Liban, Iran-Irak… Nombre de conflits démarrent par une violation - réelle ou supposée - de l'espace aérien. Le ciel est devenu un enjeu dès l'apparition des premiers aéronefs. À Paris, en 1784, un règlement de police soumettait à autorisation les vols de ballons. En traversant la Manche en 1909, Blériot n'a pas seulement réalisé un exploit technique. Il a montré que l'avion pouvait se jouer des frontières terrestres et maritimes. C'est, bien sûr, la Grande Guerre qui a rendu nécessaire le droit aérien. Il s'ébauche à la conférence internationale de Paris de 1925 et se précise à Varsovie en 1929. Celle-ci fixe les premières règles relatives au transport aérien international. Certaines sont toujours en vigueur. En 1944, la convention de Chicago crée, dans l'orbite de l'ONU, l'Organisation de l'aviation civile internationale (OACI).
Surtout, la convention de Chicago institue des règles de l'air et entérine la souveraineté nationale au-dessus du territoire jusqu'à 12 milles des côtes. En haute mer, les pays riverains reçoivent une délégation de gestion. Ainsi, les contrôleurs aériens de Brest et de Bordeaux ont autorité sur une partie du golfe de Gascogne et ceux de Marseille sur une large étendue en Méditerranée. Le droit français transpose ces règles dans le code de l'aviation civile.
Les États sont donc les seuls propriétaires des cieux. De même que le propriétaire foncier ne peut pas revendiquer le sous-sol de son bien, il n'a aucun droit sur l'«éther». Il bénéficie, en revanche, de ce qui tombe du ciel, la pluie le plus souvent… Il doit même demander une autorisation pour une construction élevée susceptible de gêner le trafic aérien. Les éoliennes, en particulier, peuvent être interdites dans les trouées d'atterrissage des aérodromes ou dans certains couloirs militaires où des avions évoluent à très basse altitude.
Les libertés de l'air

Commission Européenne Fujitsu






Commission européenne signe un contrat avec Fujitsu Services
Publié le mardi 26 août 2008par Emilien Ercolani
Fujitsu Services, la division de fourniture de services informatiques du constructeur japonais, vient de signer un contrat pour une mission de quatre ans auprès de la Direction générale pour les relations extérieures (DG Relex) de la Commission européenne.

Suite à un appel d’offres lancé par la Direction générale pour les relations extérieures (DG Relex) de la CE, la division Fujitsu Services a remporté le contrat.
Elle hérite, donc, d’une mission importante auprès de la Commission européenne, puisqu’elle sera chargée de faire face à certains changements organisationnels et au développement des activités de ses délégations.
Le nouveau contrat comprend la fourniture de services informatiques, parmi lesquels : la gestion du Helpdesk et de l’infrastructure, le support aux utilisateurs et la gestion de projets des délégations de la Commission européenne (5000 utilisateurs, 134 délégations au niveau mondial).
Le contrat est entré en vigueur le 1er juin 2008, et une vingtaine d’experts de Fujitsu Services travaillent déjà sur le site de la Direction générale pour les relations extérieures de la Commission européenne à Bruxelles.
A lire aussi :- Europe : les travaux scientifiques disponibles sur le Web !

Partenariat Euromed Wikipedia



Le partenariat Euromed (Euro-Méditerranée) dit aussi Processus de Barcelone a été créé en 1995 à Barcelone à l'initiative de l'Union européenne (UE) ainsi que dix autres États méditerranéens (l'Algérie, l'Autorité palestinienne, l'Égypte, Israël, la Jordanie, le Liban, le Maroc, la Syrie, la Tunisie et la Turquie). La Libye avait un statut d'observateur jusqu'en 1999, mais depuis 2004, la normalisation des rapports avec l'UE prépare l'intégration de ce pays dans le processus de Barcelone. Depuis novembre 2007, l'Albanie et la Mauritanie sont membres de l'Euromed.
Euromed est fondé sur les rapports culturels et de paix entre ces différents États appartenant à une même aire socio-culturelle riche d'une histoire commune d'échanges réciproques. Les membres de l'UE et les dix partenaires ont à cœur de s'impliquer dans le processus de paix israélo-palestinien. Au niveau économique, le processus vise à l'instauration d'un marché de libre-échange en 2010, adoptant sans ambiguïté une perspective libérale. Cet objectif a été réaffirmé lors du sommet de Barcelone de 2005, ainsi que celui de lutte contre l'immigration clandestine.
Les dix partenaires bénéficient de fonds de la Banque européenne d'investissement au sein du programme MEDA de développement méditerranéen.
La possible perspective à très long terme serait le rattachement des dix pays à l'UE ou la création d'une Union méditerranéenne.
Le 6 mai 2007, Nicolas Sarkozy a lancé un appel, lors de son premier discours, à l'issue du deuxième tour de l'élection à la présidence de la République française, à « bâtir une Union méditerranéenne », tel un message fort de relance du processus de Barcelone

Shell biocarburants 2nde génération





Shell investit dans les biocarburants 2nde génération
(src : CP - Shell)
Royal Dutch Shell et Iogen Corporation ont annoncé le renforcement de leur partenariat commercial en vue d’accélérer le développement de l’éthanol cellulosique.
Cet accord prévoit un investissement significatif de la part de Shell dans un programme de développement technologique commun avec Iogen Energy Corporation, entreprise spécialisée dans la fabrication d’éthanol cellulosique.
Les termes de cet accord permettront à Shell d’accroître sa participation dans Iogen Energy Corporation qui passera de 26,3 à 50 %. En 2002, Shell avait déjà pris une première participation dans le capital de cette entreprise.
Le projet de coopération avec Iogen est présenté comme une composante majeure du programme stratégique d'investissement et de développement de Shell dans les biocarburants de prochaine génération, produits à partir de denrées non-alimentaires. Ces carburants, générés à partir de matières premières comme la paille de blé, devraient réduire de 90 % la production de CO2 par rapport à celle à celle d’un carburant classique.
Iogen a ouvert sa première usine pilote commerciale à Ottawa en 2004. Shell envisage d'investir dans des unités commerciales d'éthanol cellulosique à grande échelle et apportera sa contribution aux études de faisabilité et de conception d’Iogen.
S'exprimant à propos de cette prise de participation, Graeme Sweeney, Vice-Président Exécutif de Shell Future Fuels & CO2 a déclaré : "Ensemble, nous avons déjà parcouru un long chemin dans le développement de cette technologie particulière qui conduit à la production de biocarburants durables. Nous allons resserrer nos liens afin de relever les défis techniques et commerciaux que constitue leur production à grande échelle."
L’activité "biocarburants" de Shell s’appuie également sur d’autres coopérations, notamment avec Choren (production de BTL), Codexis (transformation des enzymes), Virent (développement de bio-essences), ainsi qu’une joint venture appelée Cellana spécialisée dans la culture d’algues marines pour la fabrication de carburants végétaux.

Panneaux solaire alimentation solaire





Des panneaux solaires pour alimenter un cargo
(src : RedOrbit, Romandie)
La compagnie de transport maritime japonaise Nippon Yusen teste actuellement la génération d'énergie solaire à bord de ses cargos.
A partir de cette expérience, Nippon Yusen compte généraliser les cargos transporteurs équipés de panneaux solaires, à partir de 2010. L'objectif étant de réduire la production d'électricité à bord, actuellement générée à partir du carburant.
En décembre sera mis à l'eau un cargo équipé de 40 kW de panneaux solaire. Destiné au constructeur Toyota, il pourra transporter 6 400 automobiles et sera doté de 328 panneaux solaires. Il servira à évaluer la résistance du système au vent, à l'eau, au sel et au tangage.
"Le développement de bateaux alimentés par de nouvelles énergies, renouvelables, est devenu pour nous une question-clé, du fait de la nécessité de réduire les émissions de dioxyde de carbone" a expliqué Nippon Yusen. Selon ses prévisions, les panneaux solaires pourront remplacer 6,5% de l'électricité produite à bord.
Les expérimentations dureront un ou deux ans.

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