阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

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指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Sunday, August 31, 2008

Django Reinhardt Youtube denise jean bernard


Election Européenne 2009 Wikipedia



Les élections européennes 2009 se dérouleront vers le mois de juin 2009. Elles auront pour but d'élire le nouveau parlement européen, et plus de 350 millions d'électeurs seront appelés à voter. Les bureaux de votes seront ouverts à des jours différents selon la tradition du pays, mais les résultats des vingt-sept états-membres ne seront dévoilés que le dimanche soir.
Ce sera la septième élection européenne. Le Parlement européen ne devant pas comporter plus de 750 membres, sauf temporairement (comme pour la période 2007-09), le nombre de députés par pays, en fonction du nombre d'habitants, sera revu — la plupart du temps à la baisse.

Giove-B satellite








Lancement de Giove-B, le second satellite-test du système Galileo

Giove-B, le second satellite-test de Galileo, a été tiré et a atteint son orbite avec succès dimanche, marquant un pas important pour le futur système de localisation européen après des années de déboires techniques et politiques.
Le satellite a été lancé par une fusée Soyouz à 04H16 locales dimanche (22H16 GMT samedi) depuis le cosmodrome de Baïkonour au Kazakhstan.
Après un peu moins de quatre heures, Giove-B s'est séparé de son lanceur et a atteint son orbite à 23.200 kilomètres de la Terre, au terme d'une opération qualifiée de "succès" par Jean-Yves Le Gall, le président de Starstem, la société russo-européenne chargée du lancement. Le satellite "a atteint son orbite nominale" et "les paramètres d'orbite sont excellents", s'est félicité Didier Faivre, chef du département navigation de l'Agence spatiale européenne (ESA).
Giove-B a ensuite déployé ses panneaux solaires correctement, a ajouté M. Faivre. Il faudra encore toutefois plusieurs heures pour que la mission puisse être considérée comme définitivement réussie. Giove-B, un cube de 500 kg construit par Astrium (EADS) et Thales Alenia Space, va prendre le relais du premier satellite test de Galileo Giove-A, lancé en décembre 2005. Son lancement a pris plus d'un an de retard en raison d'un problème technique qui avait été identifié sur un calculateur de bord.
Les deux Giove ne font pas partie de la constellation opérationnelle de trente satellites qui fera fonctionner Galileo mais servent à tester un certain nombre d'éléments techniques importants en vol. Giove-B contient en particulier l'horloge atomique la plus précise jamais envoyée dans l'espace, avec une déperdition de moins d'une nano-seconde par jour.
La précision est particulièrement importante pour un système de localisation, fondé sur le calcul du temps écoulé entre l'émission et la réception d'un signal. Galileo promet une localisation au mètre près, contre parfois une dizaine de mètres pour l'actuel GPS américain. La mise en orbite de Giove-B va en outre permettre à l'Europe de conserver l'accès à une fréquence réservée pour Galileo auprès de l'Union internationale des télécommunications (UIT).
Pour que Galileo fonctionne à l'horizon 2013 et puisse concurrencer le GPS, l'Europe doit désormais lancer les trente satellites opérationnels de la constellation. Les quatre premiers d'entre eux doivent être tirés au premier semestre de 2010, pour la phase dite de développement et de validation en orbite (IOV). Ensuite doivent être lancés les 26 satellites supplémentaires qui permettront au système d'atteindre sa capacité opérationnelle complète (FOC).
Le Parlement européen a donné mercredi le feu vert à la partie finale du projet, avec un financement de 3,4 milliards d'euros sur des fonds communautaires. Cette décision a été prise après l'échec d'un programme de co-financement par les industriels.
La Commission européenne et l'ESA vont désormais pouvoir lancer d'ici l'été les appels d'offres à l'industrie en vue de signer des contrats avant la fin de l'année. Pour le commissaire européen aux Transports Jacques Barrot, Galileo représente "un outil de souveraineté pour l'Europe" et marquera son "indépendance totale".

Joyeux Anniversaire Google 10ans





Joyeux anniversaire Google!
30 août 2008 - 10h54
La Presse
Alain McKenna
Photo AP

Google soufflera 10 bougies cette semaine. Une décennie passée à tenter d'organiser le réseau Internet, sa mission d'entreprise, qui se retrouve jusque dans son nom. Le terme est un dérivé de «googol», une expression mathématique référant au chiffre 1 suivi de cent zéros, et qui illustre l'énorme quantité d'information sur l'Internet. Aujourd'hui, son objectif n'a pas changé, même s'il est loin le jour où Larry Page et Sergey Brin, ses deux fondateurs, bossaient à partir du garage d'une amie de la Silicon Valley.Il faut dire qu'en 1998, les câbles informatiques qui composaient l'Internet étaient plutôt emmêlés. Les moteurs de recherche de l'époque, comme Altavista et Yahoo! , peinaient à s'y retrouver convenablement. «Avant Google, les résultats n'étaient pas semblables d'une recherche à l'autre», se souvient Éric Baillargon, spécialiste montréalais en optimisation web. «Google a créé une stabilité.» Pour le même terme, les mêmes références apparaissent dans le même ordre.Pourtant, l'entreprise aurait pu ne jamais voir le jour. La création de Google inc. s'est faite presque par hasard en septembre 1998. À l'époque, Brin et Page tentaient de convaincre les gros portails d'adopter leur nouvelle création, un système d'analyse d'hyperliens appelé BackRub. David Filo, fondateur de Yahoo! , leur aurait répondu: «Quand ce sera entièrement développé et fonctionnel, on s'en reparlera.» Suivant son conseil, ils s'installent dans le garage qu'une amie leur loue afin de développer leur technologie.Google fonctionne alors en version d'essai, mais répond à plus de 10 000 recherches par jour. En trois mois, sa rapidité et sa précision se méritent les éloges du USÀ Today, du Monde et du Time. Le site cessera d'être en bêta un an plus tard. Google utilise encore cette approche pour la mise en marché de ses nouveaux services.En 2000, l'entreprise californienne est devenue un modèle à suivre pour plusieurs startups d'Internet, à une époque où tout est permis. Les bureaux sont un mélange éclectique de pièces recyclées, il y règne une atmosphère de collégialité dopée par des matchs de roller-hockey impromptus et des réunions de bureau très informelles.Ces réunions donneront la «règle du 80-20», selon laquelle chaque employé peut passer jusqu'à 20% des heures de bureau sur ses propres projets. Après son moteur de recherche, «c'est probablement ce qui a le plus aidé Google à se faire connaître», estime Jean-Grégoire Bernard, chercheur au Service de l'enseignement des technologies de l'information à HEC Montréal.
Le génie
La même année, le répertoire des sites indexés par Google passe le cap du milliard, une première. L'entreprise signe des ententes avec des portails d'envergure en Amérique du Nord, en Europe et en Asie. Intégré à AOL, Netscape et Yahoo! , Google gère quotidiennement plus de 100 millions de recherches.Un ingénieux système d'affichage de publicités thématiques, fonctionnant à partir de mots-clés, offre à Google ses premiers profits. AdWords permet à tout annonceur possédant une carte de crédit de s'afficher aux côtés des résultats d'une recherche correspondant à des critères définis. En 2002, AdWords incorpore le paiement au clic.L'acquisition l'année suivante du service d'hébergement Blogger ouvre la voie à AdSense, un dérivé d'AdWords où les revenus publicitaires sont partagés avec les créateurs du site Web où la publicité est affichée. «Plus de gens font de l'argent avec AdSense qu'avec tout autre outil sur la Toile», confiait récemment au USÀ Today Jennifer Slegg, de JenSense, un blogue consacré à ce service. «AdSense a rendu beaucoup, beaucoup de gens millionnaires.»En 2004, Google fait une entrée plus que remarquée en Bourse. L'entreprise se diversifie et acquiert Picasa, un site d'archivage d'images. Gmail, le service de courriel issu de la fameuse «règle du 20%», voit le jour. Google met également la main sur une petite voisine, appelée Keyhole, qui cartographie et photographie la Terre à partir de satellites. Ça donnera naissance à Google Maps et Google Earth.«À part AdWords, l'entrée en Bourse et le lancement de Gmail sont les deux plus gros faits saillants de l'histoire de Google», croit Danny Sullivan, éditeur du portail Search Engine Land, qui suit Google depuis son tout début.
Une diversification
Aujourd'hui, Google gère plus de la moitié des recherches faites sur la Toile. À l'affût de nouveaux services à offrir aux internautes, le géant achète et rafraîchit des petites entreprises prometteuses.Comme l'avenir à moyen terme du réseau informatique s'annonce comme étant mobile, il n'est pas surprenant de voir Google s'inviter ces jours-ci dans la sphère très sélect du sans-fil. En 2005, elle a acquis la startup californienne Android, et lancé l'Open Handset Alliance, qui regroupe des exploitants de réseaux sans fil, des fabricants et des développeurs. Android est un mélange de Linux, de Java et d'autres plateformes logicielles qui vise à stimuler le développement, par des tiers, d'applications pour téléphones mobiles.Malgré cette diversification, l'entreprise n'entend pas délaisser son moteur de recherche pour autant, assure Danny Sullivan. «Même à long terme, la recherche sur Internet va demeurer le coeur des activités de Google, dit-il. C'est ce qu'ils font de mieux.»
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Google soufflera 10 bougies cette semaine. Une décennie passée à tenter d'organiser le réseau Internet, sa mission d'entreprise, qui se retrouve jusque dans son nom. Le terme est un dérivé de «googol», une expression mathématique référant au chiffre 1 suivi de cent zéros, et qui illustre l'énorme quantité d'information sur l'Internet. Aujourd'hui, son objectif n'a pas changé, même s'il est loin le jour où Larry Page et Sergey Brin, ses deux fondateurs, bossaient à partir du garage d'une amie de la Silicon Valley.

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PNUE





Progression des Mécanismes de Développement Propres
(src : CP - PNUE)
Mardi, le Programme des Nations Unies pour l'Environnement (PNUE) a présenté de nouvelles données sur la progression de projets Mécanismes de Développement Propre (MDP) en Afrique sub-saharienne.
Le Mécanisme de Développement Propre (MDP), qui fut élaboré en 1997 dans le cadre du Protocole de Kyoto, permet aux pays développés de compenser leurs émissions de gaz à effet de serre en finançant des projets d’efficacité énergétique dans les pays en développement donnant droit à des crédits d’émission appelés Réductions d’émissions certifiées (CER). Ces projets englobent plusieurs secteurs : biomasse, éolien, captage du méthane émanant des décharges, et encouragent l’utilisation de combustibles moins polluants ou centrales électriques.
On a craint que les pays d’Afrique ne bénéficient pas des avantages du MDP, qui est un instrument politique contrasté avec de multiples bénéfices sociaux, économiques et environnementaux, bien distinct des subventions aux énergies fossiles, explique le PNUE.
Jusqu’à présent, les principaux bénéficiaires ont été les pays émergents comme la Chine, le Brésil, l’Inde et l’Afrique du Sud.
Les nouvelles données récoltées par le Centre Risoe du PNUE au Danemark indiquent que cela est en train de changer, et pour la première fois depuis 18 mois, des projets MDP ont vu le jour dans six pays : République démocratique du Congo, Madagascar, Maurice, Mozambique, Mali et Sénégal.
Parmi ces projets : un puits de pétrole, la réduction des gaz torchés en la République démocratique du Congo, et un projet hydraulique à Madagascar.
De nouveaux projets ont aussi vu le jour au Kenya dont : l’extension du réseau géothermique (35 MV), l’exploitation des roches chaudes, ainsi que la production d’énergie à partir de déchets de canne à sucre par l’entreprise Mumias Sugar.
M. Steiner a déclaré : « Alors que les subventions aux énergies fossiles sont des instruments mal adaptés qui perpétuent des modèles économiques révolus et inéfficaces, le MDP est un mécanisme de marché plus performant, qui encourage la transition vers une économie verte. » a commenté Achim Steiner, Directeur exécutif du PNUE
Il a ajouté que l’adhésion de l’Afrique au MDP découle du Cadre de Nairobi – un plan d’action lancée par les Nations Unies en 2006, impliquant aux côtés du PNUE et du PNUD plusieurs autres partenaires, visant à renforcer les capacités institutionnelles des pays les plus pauvres pour accéder au financement carbone. Des activités de sensibilisation sur les opportunités offertes par l’économie verte ont aussi eu lieu sur ce continent auprès des banques et des acteurs industriels.
Le Centre Risoe du PNUE a suivi pendant un certain temps les tendances mondiales des investissements MDP avec les impacts des activités. Même si le nombre de projets en Afrique reste bas quand il est comparé aux 3.500 projets MDP actuellement en cours dans le monde, une évolution est envisageable, estime le PNUE.
« En tenant compte des effets des nouvelles politiques et du renforcement des capacités, le marché devrait faire preuve d’une croissance exponentielle comme celle des autres régions », a dit Glenn Hodes, administrateur de programme MDP au Centre Risoe. En effet, Hodes et Appelquist estiment que dans l’ensemble, l’Afrique devrait bénéficier de près de 230 projets MDP d’ici 2012 à condition que les gouvernements parviennent à un nouvel accord plus ambitieux sur le climat en 2009.
Ces projets devraient générer plus de 65 millions d’unités de réduction certifiée des émissions, équivalent à un milliard de dollars selon un taux moyen de crédit carbone de 15 dollars.
«En suivant l’exemple prodigieux de l’Inde, l’Afrique devrait aussi bientôt voir éclore plusieurs projets MDP » a ajouté Hodes.

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