阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

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指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Monday, April 20, 2009

Changements climatiques : le pire est évitable





Changements climatiques : le pire est évitable
(src : UCAR)
La menace liée au réchauffement climatique pourrait être largement attenuée si l'on parvenait à réduire de 70% les émissions de gaz à effet de serre au cours du siècle à venir.
Selon une nouvelle étude, il serait possible d'éviter en partie la fonte massive des glaces de l'Arctique et du permafrost, et de limiter la hausse du niveau des mers.
Cette étude a été menée par le National Centre for Atmospheric Research (NCAR). L'équipe de chercheurs a utilisé les supercalculateurs du centre pour concevoir des modèles informatiques et comparer deux scénarios : l'un prenant en compte une réduction conséquente des émissions de gaz à effet de serre dans les dix ans à venir, l'autre en laissant les émissions perdurer sans restriction.
Le scénario de réduction s'appuie sur le chiffre de 450 ppm (particule par million). Ce taux de concentration du dioxyde de carbone dans l'atmosphère provient du Climate Change Science Program, qui estime qu'il est possible d'atteindre un tel niveau si le monde adopte rapidement des pratiques et de nouvelles technogies vertes pour réduire de façon drastique les émissions.
En revanche, si rien n'est fait, les émissions sont en bonne voie pour atteindre les 750 ppm d'ici 2100.

Si le dioxyde de carbone est maintenu à un taux de 450 ppm, la température du globe devrait augmenter de 0,6°C d'ici la fin du siècle, ont révélé les modèles informatiques. Elle augmenterait de 2,2 °C si les émissions poursuivent leur cours actuel.
"Cette étude indique que nous ne pouvons plus éviter un réchauffement significatif durant ce siècle" commente Warren Washington, son principal auteur. "Mais si le monde mettait en oeuvre un tel niveau de réduction des émissions, nous pourrions stabiliser la menace de changement climatique et éviter la catastrophe."
Depuis l'époque pré-industrielle, la température a connu une hausse de 1 degré celsius dans le monde. Une grande partie de ce réchauffement est dû aux activités humaines. Dans l'atmosphère, la concentration de dioxyde de carbone a grimpé de 284 ppm à 380 ppm aujourd'hui. Les résultats de l'étude montrent qu'un réchauffement supplémentaire d'environ 1 degré celsius pourrait mener à des changements dangereux.
Selon les deux scénarios, les chercheurs ont obtenus les résultats suivants :
L'élévation du niveau des mers suite à la dilatation thermique de la température de l'eau serait de 14 centimètres, au lieu de 22 centimètres. La fonte des calottes glaciaires et des glaciers devrait en tous les cas s'ajouter à cette élévation.Les glaces de l'Arctique devraient diminuer de volume, d'un quart en été, et se stabiliser en 2100 en cas de limitation des émissions. Les trois quarts de leur volume auront fondu en 2010 si les émissions se poursuivent. Il est possible de restreindre ce réchauffement et de contribuer ainsi à préserver la pêche et les populations d'oiseaux de mer et de mammifères dans des régions telles que le nord de la mer de Béring.
Les changements climatiques ne toucheront pas seulement les régions arctiques, mais l'ensemble du monde. Aux Etats-Unis, il faut s'attendre à un changement du régime des précipitations, avec une baisse de celles-ci dans le sud-ouest, et une augmentation dans le Nord des USA et au Canada. Ces changements peuvent être contenus pour moitié en cas de maintien de la concentration de CO2 à 450 ppm.
Le principal enseignement de cette étude est qu'une réduction des émissions permettrait de stabiliser l'évolution du climat en 2100.
Les auteurs soulignent qu'il ne leur appartient pas d'étudier la manière dont ces réductions pourraient être réalisées, ni de préconiser une politique particulière. "Notre objectif est de fournir aux décideurs politiques des recherches appropriées pour qu'ils puissent prendre des décisions éclairées", souligne le Professeur Washington.
"Cette étude fournit un peu d'espoir, qui montre qu'il reste possible d'éviter les pires impacts du changement climatique"
Les résultats de cette recherche seront publiés la semaine prochaine dans la revue Geophysical Research Letters.
CLIMAT

Brésil et UE renforcent leurs relations énergétiques




Le Brésil défend la production de biocarburants

La semaine dernière s'est tenue à Sao Paulo la 1ère conférence internationale sur les biocarburants. Réunis à l'inititive du Président brésilien Lula da Silva, 44 pays étaient représentés. Les trois premiers jours étaient consacrés à des réunions d'experts, et deux jours à des rencontres ministérielles.
Pour le Brésil, il s'agissait avant toute chose de présenter la production de biocarburants comme une opportunité, en particulier pour les pays émergents, de faire face à la crise économique internationale. Le Président Lula a notamment plaidé pour l'abandon des "barrières protectionnistes", concernant le commerce mondial de l'éthanol et du biodiesel
Le commissaire européen Andris Piebalgs a pour sa part insisté sur l'intégration des biocarburants dans les objectifs environnementaux de l'UE, tout en réclamant "l’application de normes de durabilité", qui "exigera un effort supplémentaire de la part des producteurs, mais garantira que le recours aux biocarburants n’est pas contraire aux objectifs écologiques."
"Même si les analyses actuelles indiquent que la politique européenne en matière de biocarburants a peu d’effet sur le prix des denrées alimentaires, la Commission européenne suivra l’évolution de la situation et en rendra compte régulièrement", a-t-il affirmé.
Ces derniers mois, l'enthousiasme autour des biocarburant s'est refroidi, en raison de la hausse des cours des denrées alimentaires.
Pour la défense du deuxième producteur mondial derrière les Etats-Unis, le ministre brésilien des Mines et de l’Énergie, Edison Lobão, a décliné toute responsabilité : "Il y a eu une augmentation du prix des aliments ? Certes, mais ce n’est pas la faute des biocarburants, mais des engrais importés dont les coûts ont plus que doublé, et du prix du pétrole, qui rend plus cher le coût du transport des aliments" a-t-il déclaré.
Le ministre a également tenu à souligner qu’au Brésil la canne à sucre est plantée dans des lieux où l’on ne cultive pas de denrées alimentaires. « L’accusation selon laquelle nous nous servons de terres productives est inacceptable. Le Brésil produit 140 millions de tonnes de grains et possède 90 millions d’hectares de terres disponibles pour l’agriculture », a-t-il déclaré.
Les sessions plénières ont concerné les sujets suivants (le résumé est fourni par le gouvernement brésilien) :
Biocarburants et sécurité énergétique (.PDF)
suggère un mélange obligatoire de 10 % d'éthanol dans l'essence consommée dans le monde. Biocarburants et changement climatique (.PDF)
Le changement climatique est probablement le plus grand défi rencontré par l'humanité. Il nécessitera une large champ d'action et de technologies, qui inclut les biocarburants.Biocarburants et durabilité (.PDF)
La crise financière internationale présente une réelle opportunité dans laquelle les biocarburants peuvent être le vecteur d'une révolution agricole.
Biocarburants et innovation (.PDF)
La promotion de l'innovation, en connexion avce les chaînes de production, est ce qui peut assurer le plus d'efficacité dans le processus de conversion de la biomasse.
Biocarburants et marché international (.PDF)Plus de production, moins de barrières commerciales, tarifaires ou non, et des ppolitiques publiques publiques renforcées sont des conditions essentielles au développement du marché.
Voir aussi : Le site officiel de la conférence

Consultant Viadéo




Communiqué de Viadeo du 16 Avril 2009
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