阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

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指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Friday, June 19, 2009

Union européenne Algerie projet La Méditerranée






Le chef de la délégation de l'Union européenne (UE) en Algérie, l'ambassadrice Laura Baeza, s'est félicitée «du dynamisme des universités algériennes dans ses actions de partenariat». Intervenant hier lors de la deuxième journée de la rencontre «Jeunes chercheurs autour de la Méditerranée», organisée à Oran, Mme Baeza a indiqué que l'UE est «très impliquée ces dernières années en Algérie dans des programmes ayant un rapport direct avec la jeunesse et la communauté estudiantine». Ces programmes, portant notamment sur les projets Tempus, Erasmus et Euromed, seront renforcés par un autre dispositif, qui sera lancé prochainement en collaboration avec le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, a-t-elle affirmé. «L'Algérie participe activement au volet externe du programme Erasmus Mundus, qui vise à encourager la mise en place de partenariats entre les universités européennes et non européennes», a indiqué le chef de la délégation de l'UE en Algérie. Mme Baeza, qui a mis en relief l'intérêt que suscite ce programme auprès de la communauté universitaire, a précisé que l'enveloppe financière allouée a été multipliée par quatre pour couvrir les quatre années de sa mise en oeuvre. La promotion du dialogue interculturel, à travers notamment la mobilité des chercheurs et universitaires des deux rives de la Méditerranée, a été également soulignée par Mme Baeza. Elle a indiqué que la rencontre d'Oran, qui regroupe une centaine de jeunes chercheurs de plusieurs pays, s'inscrit en droite ligne avec le partenariat euro-méditerranéen initié en 1995 à Barcelone. A noter qu'une centaine de chercheurs de plusieurs universités algériennes et de pays arabes, africains et européens prennent part aux travaux du 2e Colloque international des jeunes chercheurs de la Méditerranée, ouvert avant-hier à l'université d'Oran. Une rencontre scientifique, initiée de concert avec l'université d'Oran, l'UNESCO et l'université de Tarragona, qui a pour objectif de débattre et d'examiner les mécanismes de développement de la gestion universitaire à travers les plans de réformes de ce secteur. Evoquant le volet relatif aux actions menée par l'UE à destination de la société civile, Mme Baeza a indiqué que plus de 300 associations algériennes bénéficient du soutien financier et technique accordé par le programme ONG 2. L'ambassadrice a précisé à cet égard que les associations bénéficiaires activent dans divers créneaux, tels que la sauvegarde du patrimoine historique et archéologique, l'écotourisme, la promotion de la femme et la protection de l'environnement. Le programme ONG 2, qui s'inscrit dans le cadre des échanges bilatéraux entre l'Algérie et l'UE, constitue le prolongement du programme ONG 1 (2004/2006). Il vise notamment à appuyer financièrement les associations et à consolider leurs capacités opérationnelles et à les accompagner dans la prise en charge de leurs projets.
Houari Barti

La ville impériale de Petropolis devient capitale de l'énergie propre



Romandie News

PETROPOLIS (Brésil) - Située dans les montagnes, à 65 km de Rio, la ville touristique de Petropolis est devenue la capitale brésilienne de l'énergie propre grâce à un projet de production d'énergie à partir des eaux usées.
L'idée, à l'initiative d'une organisation non gouvernementale, l'Institut environnemental (OIA), a déjà servi de modèle au Nicaragua, en République Dominicaine, en Haïti et en Espagne, et se fonde sur un principe simple: un biodigesteur traite les eaux usées pour produire de l'énergie.
Petropolis, pionnier au Brésil, compte aujourd'hui plus de 80 biodigesteurs. Cette technique permet, après trois phases de fermentation, de récupérer le biogaz - un mélange de méthane et de carbone - produit naturellement à partir des eaux usées et le canalise pour un usage domestique.
"Ce gaz à effet de serre, nuisible pour l'atmosphère quand il est libéré, est récupéré de façon utile", a expliqué à l'AFP Jorge Gaiofato, directeur technique de l'OIA.
La boue qui résulte du traitement du biodigesteur peut être utilisée comme engrais pour les cultures et l'eau restante, moins contaminée, peut être déversée dans les rivières voisines.
Ce projet peut avoir un grand avenir au Brésil, où d'après les statistiques officielles, un peu plus de la moitié des communes font la collecte des eaux usées et seulement 20% les traitent, selon M. Gaiofato.
Cette énergie propre alimente aujourd'hui cinq quartiers populaires de Petropolis, l'ancienne ville impériale de l'Etat de Rio, soit 20.000 personnes environ.
"Le biodigesteur recycle et réutilise les eaux usées. Les traiter est le rôle du gouvernement car le volume produit est trop grand. Cependant, le biodigesteur est une solution pour des systèmes situés là où il n'y a pas de réseau" de collecte et de traitement des eaux usées, a précisé le responsable de l'OIA.
Quand dix maisons traitent leurs effluents urbains avec des biodigesteurs, cela produit suffisamment de gaz pour permettre à l'une d'entre elles d'être autosuffisante en gaz, a-t-il ajouté.
L'entreprise Aguas do Imperador, en charge des services d'assainissement de Petropolis, a ainsi adopté le système du biodigesteur dans les favelas de la ville.
De plus le coût d'un biodigesteur est jusqu'à trois fois moins cher que l'installation d'un réseau traditionnel de traitement des eaux usées.
Selon l'ONG, le coût d'un biodigesteur capable de couvrir quatre maisons est de 1.000 à 1.500 dollars.
Il y a deux mois, Gean (bien Gean) Carlos dos Santos, un professeur de 35 ans, a changé la fosse septique de sa maison contre un biodigesteur qu'il a aidé à construire.
"J'avais une fosse septique et, après un cours d'écologie, j'ai décidé de la changer contre un biodigesteur. Nous ne polluons plus la rivière et, de plus, nous pouvons utiliser le biogaz" pour la cuisine, a-t-il dit. L'économie avec le biogaz est si grande qu'il pense maintenant l'utiliser pour chauffer l'eau.
(©AFP / 19 juin 2009 09h19)

Union pour la Méditerranée énergie


Solaire Energie Europe Désert





Du solaire dans le désert pour alimenter l'Europe

En juillet prochain sera lancé à Munich le consortium Desertec, qui réunira parmi les groupes industriels les plus importants d'Allemagne. Son objet : poser les premiers jalons d'un projet pharaonique de production d'énergie solaire dans le désert africain.
Le projet Desertec pourrait répondre à 15% de la demande énergétique européenne, pour un investissement évalué à 400 milliards d'euros, dont 50 employés à la mise en oeuvre d'un réseau électrique jusqu'en Europe.
Un tel projet pourrait être mis en place en l'espace de 10 ans, estime-t-on à l'Institut de thermodynamique technique du centre aéropspatial allemand (DLR). Les plans concrets pourraient être proposés dans les deux à trois ans.
Desrrière ce projet figure l'idée que les déserts reçoivent suffisamment d'énergie pour alimenter l'humanité en énergie pour une année entière, en seulement 6 heures.
La centrale de Desertec pourrait recouvrir plusieurs milliers de kilomètres carrés de miroirs paraboliques, pour ptroduire de la vapeur d'eau. L'électricité produite par turbinage serait acheminée vers l'Europe, alimenterait les industries locales, ou les centrales de dessalinisation.
La fondation Desertec, initiée par le Club de Rome, réunira des groupes tels que la Deutsche Bank, E.ON, RWE et Siemens, plusieurs ministères allemands et des représentants de la Commission européenne.