阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

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指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Wednesday, November 18, 2009

PME Viadeo, LinkedIn Facebook, Ziki

L'entreprise .com

Les patrons de PME plébiscitent le web
Pour les patrons de PME, Internet est un outil d’information, mais aussi une vitrine pour l’entreprise. Ils sont devenus familiers des réseaux sociaux, pour divers usages, allant de la veille concurrentielle au recrutement, d’après un sondage réalisé par Sage et L’Entreprise, dévoilé en avant-première.
Pour 92 % des dirigeants de PME Internet est aujourd’hui un outil dont ils ne sauraient se passer, selon une enquête réalisée par l’Institut Sage en partenariat avec L’Entreprise (200 dirigeants de PME interrogés du 6 au 12 novembre 2009).
Le web d’accord mais pour quoi faire ? Plébiscitée comme un outil professionnel (pour 95 % des patrons interrogés) la toile sert principalement de vitrine pour faire connaître l’entreprise (67% des sondés), Internet étant perçu d’abord comme un média plus que comme un canal de distribution.
Et si 57 % des dirigeants interrogés déclarent acheter sur Internet seuls 31 % d’entre eux affirment vendre par ce même canal. Dans le même temps près d’un dirigeant sur deux (19%) utilise les réseaux sociaux généralistes (Facebook, Ziki) ou professionnels (Viadeo, LinkedIn).
Objectifs : promouvoir son activité (40%), détecter des innovations intéressantes (47%) mais aussi suivre l’actualité de ses marchés (38%) et l’actualité de la concurrence (36%).
Les médias sociaux peuvent également être utilisés de façon ponctuelle pour trouver des prospects, des partenaires commerciaux ou financiers (36 %) animer une communauté d’utilisateurs ou de clients (23%), recruter ( 21%).
En revanche ces mêmes médias sociaux n’ont pour l’heure encore aucune efficacité commerciale, 93% des dirigeants interrogés déclarant ne pas avoir obtenu de résultats probants dans ce domaine.
Philippe Flamand

UE premier ministre Belge



Pressenti à la tête de l'UE, le premier ministre belge est contesté dans son pays

epuis que Herman Van Rompuy est cité parmi les prétendants sérieux à la présidence du Conseil européen, le chef du gouvernement belge a vu pleuvoir questions et critiques. Un sommet se tiendra, jeudi 19 novembre à Bruxelles, pour décider des nominations à la tête de l'Europe, aux postes instaurés par le traité de Lisbonne. M. Van Rompuy n'est, officiellement, candidat à rien. Le leader chrétien-démocrate flamand s'est contenté de rappeler le nécessaire "consensus" qui doit préluder au choix du candidat.

Ses détracteurs évoquent, pêle-mêle, son absence de notoriété sur la scène mondiale, son faible charisme ou le fait qu'il soit issu d'un pays traditionnellement fédéraliste. Rien que de très attendu. Le premier ministre n'avait pas prévu, en revanche, qu'il serait l'objet d'une attaque venue de son propre pays. Pire : d'un élu de sa coalition.
Le député francophone Denis Ducarme, membre du Mouvement réformateur (MR, libéral), l'un des cinq partis actuellement au pouvoir, a rompu le pacte tacite conclu en Belgique. Il ne veut pas d'un Flamand à la tête du Conseil des Vingt-Sept parce que, selon lui, "la Flandre ne respecte simplement pas le droit européen". "Comment penser que M. Van Rompuy pourrait, demain, contrer des Etats membres qui remettraient en cause des droits fondamentaux alors qu'il tolère, chez lui, des situations comparables ?", s'emporte M. Ducarme.
Le député francophone égrène les mesures discriminatoires prises récemment par le pouvoir régional flamand, dont le fait que l'achat de biens publics soit conditionné à la connaissance du néerlandais. Idem pour l'obtention d'un logement social. "La Flandre viole les règles du libre établissement et de la libre circulation, maltraite ses minorités et développe une action contraire aux idéaux européens", affirme M. Ducarme.
Nomination "très positive"
Il s'est déjà plaint auprès de la Commission européenne et entend plaider devant la commission des libertés du Parlement européen. Il devrait rappeler, aussi, que les responsables de la Flandre refusent de nommer trois maires francophones élus démocratiquement dans la périphérie flamande de Bruxelles.
A cela, M. Van Rompuy pourra répliquer qu'il est ministre fédéral, et non ministre-président régional. "Les Européens s'en moquent : il appartient au premier parti de Flandre et aurait pu éviter cela", objecte M. Ducarme. Le parti de ce dernier évoque "une prise de position personnelle". Selon le MR, la nomination de M. Van Rompuy serait "très positive pour la Belgique".
Jean-Pierre Stroobants

Coca-Cola Environnement








La nouvelle bouteille "écolo" de Coca-Cola
(src : Coca-Cola)
La compagnie Coca-Cola annonce l'arrivage progressive en rayon de nouvelles bouteilles en plastique PET PlantBottle - dont une partie est d'origine végétale - et avec comme objectif, la production de 2 milliards de bouteilles d'ici la fin 2010.
Au dela du fait d'une moindre dépendance envers une ressource non renouvelable comme le pétrole, ce nouvel emballage demeure 100% recyclable. Selon Coca-Cola, "les premières études ont montré que l'empreinte carbone de l'emballage PlantBottle est inférieure à celle des bouteilles en plastique traditionnel".L'emballage PlantBottle est issu d'un processus de transformation de la canne à sucre et de mélasse, un dérivé du sucre, en un constituant clé du plastique PET. La firme d'Atlanta fait savoir que "la canne à sucre utilisée à cet effet provient essentiellement de cultures irriguées par l'eau de pluie et transformées en éthanol, et non en sucre raffiné".L'objectif de la compagnie à terme est de faire appel à des déchets végétaux non alimentaires comme les copeaux de bois ou la paille de blé pour produire des bouteilles en plastique PET recyclable.
"Coca-Cola s'approvisionne actuellement en matière première auprès de fournisseurs brésiliens dont des organismes tiers ont vérifié qu'ils appliquent des pratiques agricoles de premier ordre", a déclaré Dr Jason Clay, le vice-président du marché de transformation au WWF. "La préservation des ressources naturelles par une agriculture durable est indispensable pour des entreprises comme Coca-Cola désireuses de trouver des moyens d'atténuer les défis environnementaux."Si le constituant d'origine biologique peut représenter jusqu'à 30 % du plastique résultant de l'emballage PlantBottle, le taux varie ausis pour des bouteilles qui contiennent aussi du PET recyclé. Le Danemark utilise ainsi du contenu recyclé dans l'emballage PlantBottle. L'ensemble contenu d'origine végétale et recyclé représente jusqu'à 65 % du matériau, dont 50 % est issu de matériau recyclé et 15 % de matière d'origine végétale.Dans le cas de l'emballage PlantBottle aux États-Unis et au Canada, jusqu'à 30 % du contenu du plastique de PET est d'origine végétale.Les sodas de la marque (50 cl et 2 litres) sont désormais disponibles dans ce type d'emballage au Danemark.
D'autres pays seront prochainement concernés comme le Brésil, le Japon, le Mexique, la Chine (à l’occasion de l’Expo 2010 de Shanghai) ou encore le Canada (à l'occasion des Jeux olympiques d'hiver 2010 de Vancouver)