阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

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指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Sunday, December 06, 2009

Algerie phonothèque patrimoine musical et poétique de Béchar



Patrimoine : Création prochaine d’une phonothèque du patrimoine musical et poétique de Béchar Une phonothèque est en voie de création à la maison de la culture de Béchar dans le but de la collecte et de l’enregistrement du patrimoine musical et poétique de la région, a-t-on appris dimanche du responsable de cette institution culturelle. L'opération, qui s’inscrit dans le cadre des efforts pour la sauvegarde du patrimoine culturel, vise aussi à enrichir les connaissances, la documentation et les archives sonores sur les différentes formes d’expression artistique, populaire et traditionnelle de la région de Béchar. Cette dernière compte une soixantaine d’expressions artistiques, lyriques et chorégraphiques, a rappelé la même source. En plus de l’enregistrement sur support numérique de ces expressions appelées à être diffusées et mises à la disposition des chercheurs et autres personnes ou institutions intéressées par le patrimoine de la région, la phonothèque aura aussi comme tache la collecte des documents et autres ouvrages ayant trait aux différentes expressions artistiques et orales de la wilaya, poursuit le responsable de la maison de la culture. Cet établissement qui passe pour être un espace de rayonnement culturel dans la wilaya a, en plus de l’organisation annuelle d’une centaine de manifestations culturelles et artistiques d'envergure, ouvert ses portes aux différents artistes de la région à travers ses ateliers de peinture, de musique, de théâtre et de danses populaires et modernes, et ce, dans la perspective d’une meilleure prise en charge des jeunes talents, a-t-il ajouté. En plus de ces activités, la maison de la culture de Béchar organise depuis quatre ans, le prix national du luth, qui regroupe annuellement des luthistes des différentes régions du pays. Une manifestation musicale qui mérite, a-t-il dit, ''de par l’engouement qu’elle suscite auprès des participants et du public, d'être promue en festival national''

ALgerie France MEDEF



Après la visite du MEDEF : Les entreprises françaises moins frileuses ?

La semaine dernière, une forte délégation du MEDEF, le patronat français, a séjourné en Algérie. Cette délégation était présidée par Denise Parisot, ce qui constitue un indice probant de l’intérêt porté par le MEDEF à notre pays. Cette visite s’imposait pour permettre aux deux parties, française et algérienne, de discuter du présent mais aussi de l’avenir.Le partenaire français était avide de dissiper les malentendus créés par les implications de la loi de finances complémentaire 2009. Il faut dire que beaucoup d’encre a coulé à ce sujet car, l’on fait tout dire à cette loi alors que les choses étaient tout simplement claires. En effet, l’Algérie a de prendre des mesures pour renforcer les équilibres, tant internes qu’externes, résultant de la baisse drastique de ses revenus d’hydrocarbures. Ils ont chuté de moitié en 2009 par rapport à 2008. Le MEDEF, au cours de ses entretiens avec les responsables algériens, a pris acte de ces mesures et s’engage à s’y adapter à l’avenir. Cela est tout à fait normal car l’Algérie est un pays souverain et aucun pays au monde ne peut contester les décisions pour protéger ses intérêts supérieurs. Il faut souligner que ces mesures ne remettent pas en cause les principes fondamentaux qui caractérisent les choix stratégiques du pays, à savoir le respect de l’économie de marché et la liberté pour les actes d’investir et de commerce. Les partenaires étrangers l’ont bien compris et le débat est donc clos.Sur un autre plan, il est important de replacer dans son contexte, cette visite des responsables du MEDEF à Alger. Il s’agit de faire aussi le point des investissements français. Pour la partie algérienne, les résultats sont mitigés. D’ailleurs, les responsables du MEDEF l’ont admis implicitement puisqu’ils ont promis de porter le niveau des investissements à 5 milliards de dollars. L’Algérie a, à juste titre, attiré leur attention sur les formidables potentialités qu’elle recèle et donc les opportunités de faire des affaires.Les entreprises françaises ont fait preuve, jusqu’à présent, de frilosité. Les chiffres le montrent aisément : 410 entreprises et 35 000 emplois créés pour un montant global d’investissements d’environ 2 milliards de dollars. Le MEDEF lui-même a reconnu qu’il est possible de faire plus et mieux.L’Algérie a des arguments en béton pour encourager les IDE, en général et les investisseurs français, en particulier, à venir chez elle. Elle a un potentiel et ne veut plus apparaître comme un marché où l’on déverse des marchandises mais comme un partenaire stratégique, ce qui veut dire tout simplement qu’il faut s’inscrire dans la durée. C’est là, le message de l’Algérie pour ses partenaires étrangers.Mehdi C.

Chanson kabyle deuxième festival national




Un rendez-vous à 100% festif




Pour la seconde fois, le Festival de la chanson kabyle qui a débuté jeudi dernier, se déroule à la maison de la culture de la ville de Béjaïa. La contrée compte ainsi deux festivals d'expression amazighe en plus de celui du cinéma auparavant itinérant, et qui s'était depuis l'an dernier, fixé sur décision du ministère de la Culture au niveau de cette wilaya. La chanson kabyle ne doit pas sortir de son canton. On la veut communautaire et cantonnée dans un espace qui la comprend, comme si le lyrisme avait sa langue. Les Kabyles ont leur fête. Spectacles, danses folkloriques, chansons d'amour, festivités seront jusqu'au 08 du mois en cours, au menu de ce rendez-vous populaire qui permet aux gens non pas de penser mais de se défouler. Pour ça, il y a eu le sulfureux, Mohamed Alaoua le " savant " chanteur qui a mis le feu aux arènes, pour le spectacle d'ouverture. On a dit que ce festival contrairement au précédent était moins guindé plus débridé car épuré des rencontres universitaires et des réflexions autour de la chanson kabyle. " Le festif qui est la vocation première d'un festival va dominer " avait promit le commissaire de l'événement, Benbaba, visiblement ravi de l'ambiance conviviale imprimée a cette journée d'ouverture. Le décor est planté pour que tous se mêlent à la fête sans retenue aucune. Les Kabyles sont chez eux, les organisateurs leur ont préparés le décor selon les couleurs locales. Rien qu'à voir les hôtesses en tenue de carnaval aux visages cachés sous des effigies de figures emblématiques de la chanson kabyle, un patio transformé en Afrag, courette typique des vieilles maisons de la région et éventé par de larges tentures frappées aux couleurs du soleil et un décor scénique affriolant, tout dédié à la Sainte de Béjaïa, Yemma Gouraya, rappellent les signes et symboles d'une contrée typique et séculaire qui malgré le passage du temps est restée très attachée à sa culture.Pas moins de 11 wilayas dont Béjaïa, Tizi-Ouzou, Bouira, Boumerdès, Alger, Sétif, Bordj Bou-Arréridj et Jijel participeront durant six jours à cette fête compétitive où le public ira à la rencontre de plusieurs noms sacrés de la variété kabyle à savoir, Hassiba Amrouche, Bouhi, les Abranis. La surprise s'appellera Nouara, la grande vedette des années post-indépendance qui monte de plus en plus rarement sur scène. Comme dans la plupart de ce genre de rencontres, il est également prévu des conférences-débats, conçues en forme d'hommage entièrement dédié aux grosses pointures de ce genre musical dont Allaoua Zerrouki et Nouara, mais qui seront l'occasion d'évoquer d'autres personnalités non moins prestigieuses, à l'instar de Taleb Rabah , khima, Ait-Ouarab, et Alioua Amara. Des ateliers d'écriture, en poésie, musique et art dramatique sont également au programme. De quoi initier les jeunes à l'aréne lyrique sans plus.
Rebouh H.
L'histoire de la culture et des arts de Mostaganem: M'sila sur la route de la découverte Le festival culturel local des arts et cultures populaires de la wilaya de Mostaganem s'est ouvert mercredi à la bibliothèque centrale de la capitale du Hodna, M'sila. Une riche exposition a mis en valeur, à cette occasion, la grande diversité culturelle de la wilaya de Mostaganem ainsi que son histoire, depuis la période phénicienne jusqu'à aujourd'hui. Les visiteurs de l'exposition ont pu se familiariser avec les grandes figures artistiques enfantées par cette région, dont Abderahmane Abdelakader plus connu sous le nom artistique de Kaki (théâtre), cheikh Hamada, Djilali Ain Tadelès (chant bédouin), Maâzouz Bouadjadj (chant chaâbi) et Mohamed Khedda (arts plastiques).R.C.

Printpack alger 2010




Le rendez-vous des leaders technologiques

Printpack Alger 2010, qui se tiendra au palais des expositions d'Alger au mois d'avril prochain, constitue une excellente occasion de présenter vos solutions de pointe à une audience professionnelle de toute l'Algérie. C'est en ce haut lieu que les décideurs du secteur, les experts techniques, les leaders technologiques et les professionnels se rencontrent pour créer des réseaux de contacts et faire des affaires. Cet évènement se tiendra conjointement avec plast alger 2010, le Salon international euro-méditerranéen pour l'Industrie plastique et chimique algérienne et africaine. Une excellente synergie profitant à tous les visiteurs et exposants du Salon ! L'Algérie est déterminée à devenir une société moderne et ouverte. D'importants revenus pétroliers et gaziers accompagnés d'une ouverture économique, de libéralisations et de privatisations sont à l'origine d'une augmentation constante du PIB de plus de 5 % au cours de ces dernières années. Avec un PIB dépassant les 171 milliards de dollars US en 2008 - après 135 milliards en 2007 - des réserves de change de 104 milliards de dollars US et des exportations de produits pétrochimiques s'élevant à 59,5 milliards de dollars US, l'Algérie est, après l'Afrique du Sud, le plus puissant moteur économique du continent africain. Le secteur de l'impression et de l'emballage en Algérie connaît un niveau de croissance inégalé en Afrique du Nord. Grâce à la relance de l'économie, les revenus disponibles au sein des populations en croissance sont orientés à la hausse. Les Algériens sont financièrement de plus en plus aptes et disposés à réaliser des dépenses, ce qui a pour effet une envolée de la demande en machines à imprimer et à emballer ainsi qu'en matériel de conditionnement. Dans le contexte d'une nouvelle poussée des secteurs de l'édition, de la fabrication et de la transformation des aliments, et, par conséquent, du secteur de l'impression et de l'emballage, des centaines de nouvelles usines seront construites au cours des années à venir dans le cadre d'investissements de multimilliards de dollars. Il faut noter que la dernière édition du printpack a été marquée par des perspectives d'affaires prometteuses pour l'après-salon et quelque 2 500 visiteurs professionnels, le tout assorti d'une organisation impeccable, soucieuse des moindres détails. " Satisfaits " et " très satisfaits " des contacts d'affaires initiés, telles ont été les conclusions exprimées par la grande majorité des 32 exposants de 13 pays ayant participé et parmi lesquels se trouvaient de nombreux poids lourds multinationaux et algériens. Réalisé sous les auspices du ministre de la Petite et Moyenne entreprise au Palais des expositions, à Alger, du 2 au 5 novembre 2008, ce tout premier événement des technologies de l'impression et de l'emballage est aussi parvenu à attirer un grand nombre de participants aux conférences et aux présentations techniques d'entreprises qui se sont tenues durant les " Journées d'Information ".
D.T

Alger écologie




Restituer à Oued El Harrach son rôle écologique

Redonner à Oued El-Harrach sa place d'antan dans la capitale. Tel est l'objectif du ministère de l'Aménagement du territoire de l'Environnement et du tourisme. Selon le directeur de l'Assainissement et de la Protection de l'environnement au ministère des Ressources en eau, Hacen Aït Amara, la pollution de Oued El Harrach provient de trois sources principales, agricoles avec l'utilisation de produits pesticides chimiques, urbaine causée par les rejets d'eaux usées domestiques, et industrielle en raison du déversement des unités industrielles avoisinantes de déchets toxiques. Les eaux de cet Oued, autrefois propre à la pêche et à la nage, dépasse actuellement 400 fois les normes établies par l'Organisation mondiale de la santé (OMS), selon un chercheur japonais. Il renferme des déchets nocifs comme le plomb, le chlore, le zinc, le chrome, l'arsenic et bien sûr le mercure, élément chimique très dangereux, dont le taux dépasse de 30 fois les normes acceptées mondialement.Aussi, plusieurs actions communes ont été entreprises par les secteurs des Ressources en eaux et ceux de l'Environnement, pour redonner à Oued El Harrach son rôle écologique et lui restituer son écosystème. Ces actions, à court et moyen terme, permettront, selon les experts, de réduire la pollution, les risques d'inondations et prendre en charge les odeurs nauséabondes qui se dégagent de l'Oued. Oued El Harrach, d'une longueur de 67 km, prend sa source près de Hammam Melouane (Rocher des pigeons), il traverse la plaine de la Mitidja, siège d'une forte activité agricole ainsi que différentes zones industrielles, aussi bien à Alger qu'à Blida."Pour faire face à la pollution d'origine urbaine, le secteur des Ressources en eaux a entrepris plusieurs actions en matière de dépollution et pris des mesures préventives pour parer aux risques d'inondations de Oued El Harrach", a expliqué ce responsable. C'est dans ce sens, que le secteur a lancé en 1976 une étude générale sur l'assainissement du grand Alger, appelée "Schéma directeur du grand Alger".Parmi les actions qui ont découlé de ce schéma, explique la même source, il y a lieu de citer "la réalisation de la station d'épuration de Baraki, censée permettre la collecte des eaux usées se déversant dans la mer et dans les oueds, principalement Oued El Harrach et Oued Smar". Cette station, qui a connu un disfonctionnement pour quelques temps, a été réhabilitée et prend actuellement en charge toutes les eaux usées urbaines de tout le centre d'Alger. Une fois traitées, ces eaux, seront refoulées vers le futur barrage de Douera, en cours de réalisation, pour leur réutilisation dans l'agriculture. Les travaux d'extension de la station d'épuration de Baraki "vont probablement démarrer en janvier 2010, afin de prendre en charge toutes les eaux usées des localités du centre, conformément au Schéma directeur général d'assainissement, puisque la capacité de l'actuelle station est presque dépassée", a déclaré M. Aït Amara. Il a souligné dans le même cadre que "plus de 200 km de collecteurs d'assainissement ont été réalisés pour éviter les rejets à Oued El Harrach"."120 km de réseau d'assainissement, sont en cours de réalisation pour réaliser un double objectif: la dépollution de Oued El Harrach et la lutte contre les inondations dans la ville d'Alger", a-t-il ajouté. Des collecteurs d'assainissement sont en cours de réalisation à travers plusieurs quartiers de la capitale pour parer aux risques d'inondations, à l'instar du collecteur de Oued Mkassel (Frais vallon), de 4 m de diamètre et 57 m de profondeur, et qui prend fin à Bouzaréah, le collecteur inter-communal qui prend naissance à El-Biar traverse les communes d'Alger-centre et Sidi M'hamed pour aboutir au port d'Alger, ainsi que le collecteur de Pointe-Pescade (Raïs Hamidou).Sur les eaux usées industrielles, le responsable a indiqué qu'"actuellement les rejets des entreprises industrielles se font directement dans l'Oued sans sélection ni traitement", chose qui sera, selon lui, "désormais interdite sauf avec autorisation". Pour ce faire, un dispositif réglementaire a été mis en place par le ministère des Ressources en eaux fixant les modalités d'octroi des autorisations de déversement des eaux usées autres que domestiques dans les réseaux d'assainissement ou dans les stations d'épuration.Le décret, N° 09-209 du 11 juin 2009 intervient précisément dans le but d'éviter le déversement des rejets industriels dans les stations et réseaux d'assainissement puisque l'existence de ces rejets dans ces lieux risque de leur causer un disfonctionnement général. "Le déversement se fera sous autorisation, et la nature des rejets sera examinée", a affirmé M. Aït Amara. Dans le même cadre, "le secteur est en contact permanent avec le ministère de l'aménagement du Territoire et de l'Environnement, et nous somme convenus de la nécessité de doter toutes les unités industrielles existantes sur les deux rives de l'Oued, d'unités de pré-traitement de leurs propres déchets". "Une étude, sous la charge du ministère de l'Environnement, est en cours de réalisation pour la conception d'un système de pré-traitement de rejets industriels. Elle sera mise à la disposition de ces entreprises qui n'ont qu'à financer ce pré-traitement et le mettre en marche", a précisé le même responsable. "ça sera une petite station d'épuration à l'échelle de l'unité industrielle, qui pourra, sans aucun doute, baisser le niveau de pollution dans cette zone et nous éviter de nombreux problèmes dans le futur", a-t-il ajouté.
R.R.

Algerie Coopération algéro-portugaise




Visite d'une délégation d'hommes d'affaires afin de nouer des partenariats

A l'initiative de la Chambre de commerce et d'industrie arabo-portugaise (CCIAP) et en collaboration avec l'Association des Industriels de la Région de Leiria (Nerlei), une délégation d'hommes d'affaires portugais sera en visite à Alger durant la période du 13 au 17 décembre 2009. A cet effet, la CACI organise, en collaboration avec la CCIAP, une rencontre de mise en relation d'affaires regroupant les membres de la délégation portugaises avec les représentants des entreprises algériennes au siège d'Algex, sise route nationale n°05 - El Mohammadia (Cinq-Maisons) - Alger, et ce à partir de demain. Les principaux secteurs d'activités et les centres d'intérêt des entreprises portugaises sont : l'industrie de transformation de la roche d'ornement (transformation de pierre). Dans se sens, l'entreprise s'intéresse à rencontrer des entreprises du marbre ou des agents du même secteur, en vue d'exporter ses produits ou établir des partenariats, la transformation de brique et de la pierre plate pour partenariat notamment avec des opérateurs dans le domaine de la construction, l'industrie chimique et automobile, précisément la fabrication de composite de caoutchouc pour l'industrie de pneus neufs, et tous les produits pour le rechapage de pneus, ainsi que le matériel auxiliaire pour cette industrie, notamment enveloppes, rubans et adhésifs, la fabrication de matériel orthopédique et instruments médico-chirurgicaux, notamment l'appareillage de stérilisation, meubles hospitaliers en acier inoxydable et composantes électroniques, la production de portes basculantes, portes rapides, portes vitrées automatiques, portes de sécurité, portes coupe-feu et multi usage. L'objectif de cette entreprise est de faire des contacts avec opérateurs dans les domaines de la construction, serruriers et intermédiaires. Les autres intérêts qui favorisent la coopération entre les deux pays sont les études et solutions dans le domaine des énergies renouvelables (efficacité énergétique, climat et environnement) ainsi que dans le domaine des produits pétroliers (distribution de combustibles, gaz et lubrifiants). L'intérêt de cette entreprise se porte sur un partenariat pour la production des énergies renouvelables à travers la construction de champs de panneaux photovoltaïque, production d'eau chaude pour l'industrie. En dernier, les ressources humaines (travail temporaire spécialisé), constitue également les intérêts de la coopération algéro-portugaise, dans l'objectif d'effectuer des contacts avec des entreprises ayant besoin de main-d'œuvre qualifiée et spécialisée pour l'exécution de leurs projets, tels les grandes entreprises dans la construction et les travaux publics, la métalomécanique, la construction navale, les centrales énergétiques, etc. En outre, la coopération économique entre l'Algérie et le Portugal consiste à examiner toutes les possibilités qu'offrent les économies des deux pays par l'instauration de relations rénovées et privilégiées.
Nassim I.

L’Algérie à l’« Horizon 2025 »



L’Algérie à l’« Horizon 2025 »

L’Algérie ambitionne de mettre en place le schéma national d’aménagement du territoire dit « Horizon 2025 », avec la participation du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique et celui de l’Environnement et de l’Aménagement du territoire.Pour mettre en oeuvre efficacement ce schéma de développement, une série de rencontres similaires est programmée avec tous les ministères et organismes concernés pour asseoir une synergie commune de travail qui doit rassembler toutes les potentialités humaines et matérielles. Ce « schéma », dénominatif différent du mot « plan », est au terme de son achèvement, a pour sa part déclaré Rahmani qui a précisé qu’il sera présenté en automne aux conseils de gouvernement et des ministres avant d’être soumis aux deux chambres pour son approbation et une adoption législative.
Plusieurs « scénarios » meublent ce schéma de développement d’une Algérie qui s’urbanise et dont le Mesrs est un « aiguillon » important qui aidera le pays à adopter une synergie dans le cadre euro- méditerranéen, a déclaré le ministre. Ces chapitres sont relatifs aux modes d’occupation du territoire, aux problèmes des grandes villes et moyennes, des zones rurales, à l’alimentation en eau. L’on recense trois grandes interrogations auxquelles répond le schéma directeur. Il s’agit, en particulier, de rendre attractif le territoire marqué notamment par la délocalisation des industries, chez nous et dans le monde, les capacités, les bilans de production, la capitalisation et l’innovation permanente en matière de création. Ce concept nouveau est important au sein du Mesrs dont l’action centrale (savoir et création) anime les stratégies du schéma vers lequel il doit se déployer.
A la stratégie de concertation avec le Mesrs, viendront s’ajouter celles de tous les départements ministériels (transports, énergie, ressources en eau, santé...) autant de schémas nécessaires qui nécessiteront une écoute attentionnée des chercheurs universitaires, architectes d’une véritable géographie universitaire future, à même de « combiner ce système avec ce qui se fait ailleurs ». Rahmani indiquera en outre que la transformation des grandes villes du Nord en métropoles économiques est un « phénomène naturel » mais ceci ne doit pas empêcher la création de pôles administratifs ou économiques notamment dans les Hauts-Plateaux.
Synthèse de Kahina, algerie-dz.com D’après l’Expression