阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

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指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Tuesday, December 08, 2009

YouTube, CNN et France 3 font cause commune Google








A l'occasion de la Convention-cadre des Nations-Unies sur les changements climatiques de Copenhague (UNFCC ou COP15), France 3 s'associe à l'opération Raise Your Voice (Exprimez-vous) mise en place par YouTube et CNN.A travers cet espace en ligne d'expression, les sociétés américaines, CNN, chaîne d'information internationale, et YouTube (Google), plateforme de partage vidéo, invite les internautes à témoigner et/ou à interroger les acteurs des sphères politique, académique et associative sur l'impact des changements climatiques.Sur les marchés francophones, la chaîne publique France 3 s'est associée à CNN International. Elles vont enrichir leurs programmes respectifs de vidéos créées par les internautes, vidéos en rapport direct avec la Convention organisée au Danemark du 7 au 18 décembre 2009.Une sélection de contributions des internautes sera diffusée quotidiennement dans le 19/20 présenté par Laurent Bignolas et Catherine Matausch. Sur CNN International et sur CNN.com, des questions d'internautes seront traitées mardi 15 décembre au cours de l'émission « CNN YouTube Debate on climate change » animée par la journaliste britannique Becky Anderson

Béjaïa Deuxième festival national de la chanson kabyle




Un rendez-vous à 100% festif


Pour la seconde fois, le Festival de la chanson kabyle qui a débuté jeudi dernier, se déroule à la maison de la culture de la ville de Béjaïa. La contrée compte ainsi deux festivals d'expression amazighe en plus de celui du cinéma auparavant itinérant, et qui s'était depuis l'an dernier, fixé sur décision du ministère de la Culture au niveau de cette wilaya. La chanson kabyle ne doit pas sortir de son canton. On la veut communautaire et cantonnée dans un espace qui la comprend, comme si le lyrisme avait sa langue. Les Kabyles ont leur fête. Spectacles, danses folkloriques, chansons d'amour, festivités seront jusqu'au 08 du mois en cours, au menu de ce rendez-vous populaire qui permet aux gens non pas de penser mais de se défouler. Pour ça, il y a eu le sulfureux, Mohamed Alaoua le " savant " chanteur qui a mis le feu aux arènes, pour le spectacle d'ouverture. On a dit que ce festival contrairement au précédent était moins guindé plus débridé car épuré des rencontres universitaires et des réflexions autour de la chanson kabyle. " Le festif qui est la vocation première d'un festival va dominer " avait promit le commissaire de l'événement, Benbaba, visiblement ravi de l'ambiance conviviale imprimée a cette journée d'ouverture. Le décor est planté pour que tous se mêlent à la fête sans retenue aucune. Les Kabyles sont chez eux, les organisateurs leur ont préparés le décor selon les couleurs locales. Rien qu'à voir les hôtesses en tenue de carnaval aux visages cachés sous des effigies de figures emblématiques de la chanson kabyle, un patio transformé en Afrag, courette typique des vieilles maisons de la région et éventé par de larges tentures frappées aux couleurs du soleil et un décor scénique affriolant, tout dédié à la Sainte de Béjaïa, Yemma Gouraya, rappellent les signes et symboles d'une contrée typique et séculaire qui malgré le passage du temps est restée très attachée à sa culture.Pas moins de 11 wilayas dont Béjaïa, Tizi-Ouzou, Bouira, Boumerdès, Alger, Sétif, Bordj Bou-Arréridj et Jijel participeront durant six jours à cette fête compétitive où le public ira à la rencontre de plusieurs noms sacrés de la variété kabyle à savoir, Hassiba Amrouche, Bouhi, les Abranis. La surprise s'appellera Nouara, la grande vedette des années post-indépendance qui monte de plus en plus rarement sur scène. Comme dans la plupart de ce genre de rencontres, il est également prévu des conférences-débats, conçues en forme d'hommage entièrement dédié aux grosses pointures de ce genre musical dont Allaoua Zerrouki et Nouara, mais qui seront l'occasion d'évoquer d'autres personnalités non moins prestigieuses, à l'instar de Taleb Rabah , khima, Ait-Ouarab, et Alioua Amara. Des ateliers d'écriture, en poésie, musique et art dramatique sont également au programme. De quoi initier les jeunes à l'aréne lyrique sans plus.
Rebouh H.
L'histoire de la culture et des arts de Mostaganem: M'sila sur la route de la découverte Le festival culturel local des arts et cultures populaires de la wilaya de Mostaganem s'est ouvert mercredi à la bibliothèque centrale de la capitale du Hodna, M'sila. Une riche exposition a mis en valeur, à cette occasion, la grande diversité culturelle de la wilaya de Mostaganem ainsi que son histoire, depuis la période phénicienne jusqu'à aujourd'hui. Les visiteurs de l'exposition ont pu se familiariser avec les grandes figures artistiques enfantées par cette région, dont Abderahmane Abdelakader plus connu sous le nom artistique de Kaki (théâtre), cheikh Hamada, Djilali Ain Tadelès (chant bédouin), Maâzouz Bouadjadj (chant chaâbi) et Mohamed Khedda (arts plastiques).R.C.

Algerie Batna



Batna : 22 troupes au 1er Festival national du théâtre amazigh

Vingt-deux troupes théâtrales dont celles du Théâtre national algérien (TNA) et des théâtres régionaux de Bejaia, Batna et Tizi-ouzou prendront part du 10 au 18 décembre à Batna au 1er Festival national du théâtre amazigh, a-t-on appris hier du commissaire du festival. Selon M. Mohamed Yahiaoui, les spectacles d’expression amazighe seront en lice au cours du festival pour plusieurs prix dont ceux du meilleur spectacle, de la meilleure mise en scène, du meilleur texte, de la meilleure interprétation masculine et de la meilleure interprétation féminine. Les pièces seront présentées au théâtre régional de Batna et à la maison de la culture "Mohamed Laïd Al Khalifa", a également précisé le commissaire du festival, soulignant que certaines œuvres seront également présentées dans les villes d’Arris, Seriana, Merouana, Ain Touta et El-Madher. Des conférences, des tables rondes et des ateliers de formation sur l’art dramatique, le jeu d’acteur et la mise en scène seront animées par des hommes de théâtre tout au long du festival.

Barcelone Zoom sur le 7ème art d'expression kabyle


Premières Journées cinématographiques du cinéma amazigh de Barcelone

Voila que le film amazigh n'est pas seulement l'apanage d'un lieu (Tizi Ouzou) où les pouvoirs publics l'ont cantonné cette année, et intéresse outre mer. C'est ainsi que cette semaine se sont déroulées dans la capitale espagnole, Barcelone, les premières journées cinématographiques du film amazigh. A l'affiche pour représenter l'Algérie, y avait " Mimezrane " de Ali Mouzaoui qui a déjà raflé pleins de prix notamment au festival du film d'Agadir et au festival du film itinérant amazigh fixé cette année et pour de bon à Tizi Ouzou. Ce récit relate l'histoire d'une jolie fille, ainsi nommée pour la beauté de ses tresses qui, malgré la pauvreté, vécut en son village une enfance paisible en compagnie de son ami Hennouche, jusqu'au jour où ce dernier, sur sollicitation de sa copine, brûla un horrible épouvantail planté dans un champ pour effrayer les oiseaux.La beauté sublime de l'enfant orpheline attirait sur elle la jalousie des filles du village qui lui faisaient endurer de multiples déboires, car ne pouvant rivaliser avec elle malgré les beaux atouts dont elles se paraient, contrastant singulièrement avec les guenilles de la belle. Mais Hennouche est toujours à ses côtés pour la consoler et la réconforter. Devenus adultes, leur amitié évolua en amour. Cependant, en demandant la main de sa dulcinée, Hennouche découvrit que celle-ci avait été frappée d'une malédiction, l'ayant condamnée à la stérilité, tant qu'elle ne porterait pas les deux bracelets de la fécondité enfouis, l'un, dans les neiges du Djurdjura, sous la garde de Ouaghzene (l'ogre), l'autre est porté par une gazelle, vivant dans un désert lointain. Le soupirant promit à sa bien- aimée de lui rapporter ces deux anneaux magiques. Réussira t-il dans cette périlleuse entreprise ? Le film était financé par le Fonds du développement des technologies et des industries cinématographiques (FDATIC) et le budget de l'année "Alger, capitale de la culture arabe". En collaboration avec L'École de Cinéma de Barcelone "ECIB", l'Observatoire catalan de la langue amazighe "CLA" ces journées de cinéma amazigh à Barcelone, ont été organisées en présence de nombreux amazighophones de la méditerranée. Du côté des projections, ladite rencontre était une opportunité pour le grand public pour découvrir encore une fois les films amazighs qui ont brillé dans différentes festivités. Au menu, le cinéma en expression Soussi avec la projection du film "Tizza wul" (les arêtes du cœur) de Hicham Ayouch. Le cinéma rifain était également au rendez-vous avec la projection de 3 cours métrages, " Aller Simple ", " Muslims in a Church " de Zakaria Bakkali et " Sellam Demetan ", de Mohamed Amin Benamraoui. Il est à signaler que des débats seront ouverts autour de ces films qui seront animés par des spécialistes en la matière. C'est ainsi que le poète et écrivain Amazigh résident en catalogne, " Salem Zenia " a donné une conférence sur " La langue amazighe et le défi de nouveaux genres d'expressions : la littérature écrite et le cinéma " alors que la table ronde sur " Le Cinéma et conscience identitaire dans les langues minorisées, le cas de l'amazigh et le catalan " a été animée par de grands cinéastes qui ont tenté chacun de leur côté de réfléchir à ce courant cinématographique minoritaire qui est né à peu près dans les années 90.
Par Rebouh H.

Algerie 1er festival international de musique symphonique d’Alger



Lesoirdalgerie.com Art, échange et rapprochementLe 1er Festival culturel international de musique symphonique se déroulera du 9 au 14 décembre à Alger avec la participation d’orchestres de douze pays étrangers, a annoncé, dimanche, Abdelkader Bouazzara, le commissaire du festival, lors d’une conférence de presse consacrée à l’évènement.
La soirée d’ouverture de cette manifestation musicale, dont le slogan est «Art, échange et rapprochement», sera animée par l’Orchestre symphonique national et sa chorale qui présenteront un programme varié, composé de plusieurs extraits de chefs-d’œuvre classiques. Ainsi, les musiciens de l’Orchestre symphonique national, qui seront près d’une centaine sur scène, gratifieront le public de morceaux tirés des opéras Les noces de Figaro et L’enlèvement au sérail de Mozart, La Traviata et Nabucco de Verdi et Carmende Bizet.
Ce premier évènement du genre en Algérie verra, pendant six jours, le passage de divers orchestres symphoniques étrangers. Son programme comprend, également, des conférences thématiques et des masters classes ainsi que des hommages à de noms célèbres nationaux qui ont œuvré pour le développement et l’épanouissement de cette musique dans le pays. Cette manifestation «s’inscrit dans l’ambition de renforcer la connaissance et l’intérêt porté par nos concitoyens à la musique universelle ; elle représente aussi une consécration des efforts menés, jusqu’à présent, pour inculquer la musique universelle dans la vie culturelle de nos citoyens», a rappelé le commissaire du festival. Les soirées auront lieu au Théâtre national algérien Mahieddine-Bachtarzi tandis que les conférences et les masters classes sont prévues à l’institut supérieur de musique.
R. C.

Afrique Sommet de Copenhague





Sommet de Copenhague : l’Afrique aura son mot à dire La 15e Conférence sur le climat se déroule du 7 au 18 décembre au Danemark


L’Afrique est sur le qui-vive. Le continent attend que le sommet sur le climat adopte de vrais engagements sur les réductions de gaz à effet de serre. La 15ème Conférence sur le climat qui se déroule du 7 au 18 décembre, à Copenhague, s’est fixée pour objectif la diminution des émissions mondiales à partir de 2020 et le maintien du réchauffement moyen sous le seuil de 2°C.


L’Afrique n’est pas prête à signer n’importe quel accord tant que nos revendications et nos exigences ne sont pas prises en compte », a déclaré mardi à Dakar, Djibo Leyti Kâ, le ministre sénégalais de l’Environnement. Le ton est donné, le continent compte défendre ses politiques et ses stratégies de lutte contre le changement climatique, lors de la 15e conférence sur le climat qui doit se dérouler du 7 au 18 décembre, à Copenhague, au Danemark.
En novembre dernier, lors d’une rencontre internationale à Addis Abbeba, en Ethiopie, les chefs d’Etat africains s’étaient mis d’accord sur les questions clés à aborder lors de ce sommet. Les objectifs à atteindre sont, dans les prochaines années, l’atténuation des changements climatiques, l’adaptation de l’Afrique aux changements climatiques, le transfert des technologies, le renforcement des capacités des pays africains, et le financement.
Le problème du financement
Un point soulevé à l’occasion du 7e Forum mondial pour le développement durable, début octobre, à Ouagadougou, au Burkina Faso. Les dirigeants africains ont alors statué sur le montant des compensations qu’ils demanderaient à Copenhague. « Nous pensons qu’il faut 65 milliards de dollars (44 millions d’euros) pour pouvoir faire face, d’un point de vue continental, à ces phénomène de changement climatique », a annoncé le président du Comité d’organisation, Salifou Saxwadogo.
Une requête entendue par le ministre français du développement Jean-Louis Boorlo qui, dans ses propositions en vue du sommet de Copenhague, a inclus un « Plan Justice Climat ». Un document ambitieux qui prévoit la somme de 410 milliards de dollars (275 milliards d’euros) sur 20 ans en direction des pays les plus exposés au réchauffement climatique, dont 305 milliards de dollars reviendraient au continent africain.
Le front commun des pays émergents
Malgré ces promesses de financement, l’Afrique du sud, comme d’autres pays émergents, n’entend pas remplir les objectifs fixés par le Sommet de Copenhague, qui se veut plus contraignant que le protocole de Kyoto. Avec la Chine, l’Inde et le Brésil, le pays a proposé mardi un texte pour la Conférence sur le climat différent du projet de déclaration finale envisagé par le Danemark. Le même jour, cette proposition a été soumise à la discussion lors d’une réunion préparatoire avec des représentants des pays développés, a indiqué le négociateur en chef de l’Afrique du Sud, Alf Wills. « Il y a deux positions différentes sur la table, et le processus doit maintenant établir s’il y a des points communs », a-t-il affirmé.
Ces deux propositions traduisent les points de vue divergents entre pays industrialisés et pays en développement. Ces derniers sont hostiles à l’adoption d’un objectif de réduction des émissions de gaz à effet de serre (GES) d’ici 2050. Ils récusent également tout engagement en faveur d’une réduction des émissions mondiales à partir de 2020 et du maintien du réchauffement moyen sous le seuil de 2°C.
Pourtant, les conséquences de l’effet de serre touchent l’Afrique de plein fouet : désertification, dérèglements climatiques (inondations, sècheresse). Selon le groupe intergouvernemental d’études sur le climat (GIEC), créé en 1992, les pluies ont diminué de 25% en trente ans dans le Sahel et la température a augmenté en moyenne de 0,7 degrés en Afrique en un siècle.
Lire aussi :
Réchauffement climatique : l’Afrique met les pays riches sous pression Réchauffement climatique : l’Afrique veillera à ses intérêts à Copenhague

Algerie Ghardaïa Sud'Agral 2009 21 au 25 décembre




Une quarantaine d'exposants au rendez-vous

Organisé par Krizalid communications, le salon de l'agriculture saharienne et steppique se tiendra du 21 au 25 décembre à Ghardaïa. Ainsi, une quarantaine d'exposants sont attendus à la cinquième édition de Sud'Agral. Aux côtés des organismes d'encadrement, d'études et de financement, les constructeurs,fabricants, importateurs et distributeurs, présentent les équipements, produits et services en relation avec l'agriculture saharienne et steppique Selon les organisateurs, l'agriculture saharienne et steppique est loin d'avoir livré tout son potentiel, mais la conjonction d'un savoir-faire traditionnel millénaire avec des technologies d'avant-garde a produit des miracles qui ouvrent toutes les espérances. L'Algérie et les pays du Sahel ont en commun des régions désertiques, arides ou semi-arides, pour lesquelles ont été développées des techniques agricoles et pastorales spécifiques. Ces techniques méritent d'être connues du plus grand nombre possible de décideurs, d'investisseurs, et d'agriculteurs. L'échange de savoir-faire et d'expériences réussies est à encourager entre tous les intervenants. L'intégration réfléchie entre plusieurs secteurs d'activités est indispensable à la réussite des vastes projets de valorisation (Industrie mécanique, pétrochimie, hydraulique, énergies renouvelables, céréaliculture, arboriculture,....) Aussi, Sud'Agral s'adresse en priorité aux opérateurs de l'Algérie et des pays du Sahel : Mali, Niger, Cap Vert, Gambie, Burkina Fasso, Guinée Bissau, Mauritanie, Sénégal, Tchad pour lesquels ont été constatés une ferme volonté de stopper la desertification et même de fertiliser des millions d'hectares de terres arides, de nombreux projets de dimension nationale ou intégrant plusieurs pays, plusieurs expériences réussies, l'espoir de donner du travail et de la nourriture à des millions de personnes. Parallèlement au salon , un séminaire regroupe chercheurs, universitaires, et opérateurs économiques pour un échange de connaissances dans le créneau. Notons que la fondation Filaha Innove a décidé d'apporter son soutien au Sud'agral. C'est ce qui a été annoncé par son président au cours d'une séance de travail avec le président du comité d'organisation de SUD'AGRAL. La fondation sera présente au 5ème SUD'AGRAL et s'impliquera dans la journée d'études et les ateliers par plusieurs communications qui seront faites par les experts qui y sont affiliés.
D.T.

Algerie Tindouf




Un ambitieux programme pour le développement des PTIC


Le ministre de la Poste et des Technologies de l'information et de la communication (PTIC), Hamid Bessalah, a affirmé, samedi à Tindouf, que son département ministériel a mis au point un ambitieux programme pour le développement de son secteur dans la wilaya de Tindouf. Ce programme prévoit, outre le lancement d'une série de projets de développement du secteur, la numérisation des différentes stations téléphoniques et la généralisation du haut débit de connexion à l'Internet (ADSL) dans cette région du sud du pays, a indiqué M. Bessalah lors d'une séance de travail avec les cadres du secteur des PTIC au terme d'une visite d'une journée dans la région. Le ministre a précisé que cette opération qui devra toucher, dans un premier temps, près de 2.000 abonnés à l'Internet devra contribuer à la promotion des prestations des PTIC dans cette vaste région du sud-ouest du pays. ''L'hôpital Si El Houes de Tindouf devrait être relié, au titre des nouvelles technologies de la communication, aux structures hospitalières universitaires du nord du pays en vue de permettre aux praticiens exerçant à Tindouf de tirer profit, à la faveur de la télémédecine, des expériences et des opportunités de la formation continue'' a expliqué le ministre. M. Bessalah a, à cette occasion, exhorté les responsables du secteur d'œuvrer à l'élaboration d'une étude technique sur les besoins téléphoniques, à court et long termes, de la wilaya qui connaît un développement urbain rapide. Une même instruction a été formulée par le ministre en direction des responsables de l'opérateur mobil ''Mobilis'' pour la mise au point d'une étude portant prise en charge des prestations téléphoniques reliant les deux régions de Hassi Nagua et la commune d'Oum Lassel sur une distance de 100 km, ainsi que l'extension des prestations téléphoniques mobiles aux deux régions de Ghar Djbilet et Merkala.
R.R.

Patrick Parisot, l’ambassadeur du Canada en Algérie



L’ambassadeur canadien en visite à Oran
Attention aux agences de l’immigration !
Par : DJAMILA LOUKIL .Patrick Parisot, l’ambassadeur du Canada en Algérie, a évoqué, lundi, à la Chambre de commerce et d’industrie de l’Oranie (CCIO), la coopération algéro-canadienne, en marge d’une visite de trois jours qu’il effectue à Oran et à Sidi Bel-Abbès. C’est ainsi qu’un projet destiné à l’amélioration des capacités d’exportations de 5 pays, dont l’Algérie, vient d’être initié par l’Agence de développement international du Canada pour un montant de 9,1 millions de dollars canadiens. Ce programme a été confié, pour son exécution, au centre de commerce international basé à Genève et rattaché à l’OMC. À noter que les autres pays concernés sont le Maroc, la Tunisie, l’Égypte et la Jordanie. À l’heure actuelle, la phase de sélection des entreprises est en cours. Toujours en matière d’échanges économiques, l’ambassadeur souligne la présence de nombreuses entreprises canadiennes dans les secteurs de l’eau, des voies ferrées, de l’énergie, de la réalisation de barrages et d’autres projets structurants. Mais pour M. Parisot, ce sont surtout les relations avec les PME/PMI qui doivent être approfondies. et de citer dans ce cadre la mise en place au niveau de l’ambassade d’un service qui, grâce aux technologies de l’information, rapproche les PME canadiennes et algériennes en vue d’un contact direct, “limitant ainsi les frais de déplacements et de démarchages. Nous évoluons dans un contexte où les ressources doivent être utilisées avec précaution”, précise encore l’intervenant. Interrogé sur la multiplication des Agences d’immigration au Canada et autres bureaux de recrutement qui parfois se sont avérés être des escroqueries, l’ambassadeur n’aura qu’un seul mot, celui de recommander aux Algériens de ne s’adresser qu’à la section de l’immigration à l’ambassade pour les démarches et les informations.

Copenhague 12 jours ?




COP15 : 12 jours pour sauver la planète
(src : UE, COP15 La conférence des Nations Unies sur le changement climatique a débuté le 7 décembre 2009 par le visionnage d'un film présentant le changement climatique dans une perspective d'enfant. Le message lancé par les générations futures était clair : « S'il vous plaît, aidez-nous à sauver la planète! »
La cérémonie d'ouverture de la conférence des Nations Unies sur le changement climatique COP 15 à Copenhague a eu lieu au Bella Center, devant une salle comble. Le film présentant les effets du changement climatique sur la planète dans une perspective d'enfant, a clairement donné le ton de cette journée d'ouverture. Après des chants interprétés par la chorale de jeunes filles de la Radio danoise, le Premier Ministre danois, Lars Løkke Rasmussen, et le Maire de Copenhague, Ritt Bjerregård, entre autres, ont souhaité la bienvenue à l'ensemble des délégués.Lars Løkke Rasmussen a insisté sur le fait que le réchauffement global ne connaît pas ni limite ni discrimination: le réchauffement climatique frappe tout le monde et à tous les niveaux de la société. Il a estimé qu'il était temps de mettre en place un accord radical, et qu'un tel accord était aujourd'hui à portée de main.« La volonté politique est là, nous vous soutenons. Mettons-nous d'accord sur une convention qui soit efficace, constructive et facile à mettre en œuvre. Soyez visionnaires. Le monde entier compte sur vous. »Ritt Bjerregård a elle aussi adressé un message aux délégués rassemblés. « Aidez-nous à faire de Copenhague une « Hopenhague », une ville d'espoir, pendant ces deux semaines. S'il vous plaît, scellez l'accord ».
L'UE veut aller jusqu'à 30 %L'objectif est, qu'à la fin de la semaine prochaine, les négociations de l'accord sur le climat soient plus ou moins arrivées à leur terme, tout d'abord au niveau des délégués représentants les différents pays, et ensuite au niveau des ministres de l'environnement. Au moins 110 chefs d'État et de gouvernement sont attendus pour la phase finale de la conférence, pendant laquelle ils devraient, selon les plans, signer un nouvel accord sur le climat.Le Ministre suédois de l'environnement, Andreas Carlgren, s'adresse au nom de l'Union européenne pendant la conférence sur le changement climatique. « Je suis ici pour qu'un accord soit conclu. L'UE veut augmenter sa mise et passer de 20 à 30 pour cent de réduction des émissions, mais cela dépend des concessions réalisées par les États-Unis et par la Chine. La décision finale ne sera pas adoptée avant la phase finale de la conférence. »La conférence sur le changement climatique prend ses responsabilités. Les deux tiers de la nourriture qui est servie pendant la conférence est biologique et produite localement, et les bouteilles d'eau ont été bannies de l'enceinte de la conférence au profit de l'eau du robinet. Au lieu de remettre des souvenirs ou cadeaux coûteux aux milliers de participants, les organisateurs de la conférence ont désigné onze jeunes lauréats d'une bourse climatique. Ils reçoivent une bourse d'études de deux ans, leur permettant de réaliser un master à Copenhague et de transmettre par la suite leurs connaissances dans leurs pays d'origine respectifs

[Photo : Rajendra Kumar Pachauri : Président du GIEC depuis 2002 ]

Copenhague pays pauvres ?



Copenhague : Qu'en est-il des pays pauvres ?
[Fenêtre sur l'Europe]
Le Chef de l’Unité en charge du changement climatique de la Commission Européenne, Philip Mikos, tiendra une visioconférence de presse, le demain à 11 heures, sur les négociations sur le changement climatique qui ont commencé hier à Copenhague.
Au cours de cette visioconférence de presse, organisée par l’Organisation de la Presse Africaine, Philip Mikos, Chef de l’Unité en charge du changement climatique de la Commission Européenne répondra à vos questions :· Nous dirigeons-nous vers un échec ?· Que va-t-il se passer pour les pays pauvres ?· L’Europe va-t-elle les aider à payer le coût de leur adaptation ?Contact : Organisation de la Presse Africaine : +41 22 534 96 97 / +33 661 797 718 / sec.sg@apo-opa.org http://www.apo-opa.org/