阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门
指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Monday, January 25, 2010

Algerie Fennecs




L'équipe d'Algérie de football (arabe : الفريق الوطني الجزائري) est constituée par une sélection des meilleurs joueurs algériens sous l'égide de la fédération algérienne de football
Surnommées Les Fennecs (les renards du Sahara), elle s'est qualifiée deux fois consécutivement aux mondiaux de 1982 et 1986 et a remporté la Coupe d'Afrique des Nations en 1990 en tant que pays hôte (finaliste de la CAN en 1980, 3ème en 1984 et 1988).
L'Algérie s'est qualifiée pour la Coupe du monde 2010 aux dépends de l'Égypte en match d'appui (match qui s'est déroulé au Soudan, le 18 novembre 2009). Par la même occasion, l'Algérie se qualifie pour la troisième fois de son histoire en coupe du monde.

Le partenariat euro-méditerranéen



Les grandes villes essaient de dynamiser le partenariat euro-méditerranéen
[Fenêtre sur l'Europe]
Lors de la séance inaugurale de l'Assemblée régionale et locale euro-méditerranéenne (ARLEM) à Barcelone, les maires des grandes villes de l'Union européenne et des pays méditerranéens partenaires se sont accordés pour unir leurs forces pour dynamiser le partenariat euro-méditerranéen.
Les maires ont exprimé leur détermination à aller au-delà des relations diplomatiques traditionnelles en lançant des programmes de coopération concrets dans des domaines tels que l'immigration, le changement climatique, le développement urbain ou les échanges culturels. Cette coopération, qui sous-tendra le cadre institutionnel de l'Union pour la Méditerranée, sera centrée avant tout sur la proximité des citoyens, une gestion de projet efficace, et les questions relevant de la vie quotidienne. Wolfgang Schuster, maire de la ville allemande de Stuttgart, a insisté sur les relations étroites et l'interdépendance qui existent entre les régions du Nord de l'Europe et la Méditerranée. Ahmed Hamza, président de la communauté urbaine de Nouakchott, en Mauritanie, espère que l'ARLEM permettra d'accroître la décentralisation dans la région méditerranéenne. Pour Hamid Chabat, maire de Fez, au Maroc, le lancement de l'ARLEM ouvre de nouvelles perspectives et permettra d’entamer un dialogue politique d’une qualité nouvelle. Le maire de la ville israélienne d'Haifa, Yona Yahav, a également souligné la nécessité d'un dialogue interculturel et interreligieux, tout en louant le caractère multiculturel modèle de sa ville, une bonne pratique à suivre pour assurer la réconciliation dans la région méditerranéenne. L'initiative de la création de l'ARLEM fait suite à la demande d'institutionnalisation du rôle des autorités locales et régionales au sein du partenariat euro-méditerranéen. Elle lui confère dès lors une dimension territoriale et vise à associer plus étroitement les collectivités territoriales aux projets concrets de l'Union pour la Méditerranée. La déclaration de Barcelone adoptée par la Conférence euro-méditerranéenne de novembre 1995 était explicite: "Les municipalités et les autorités régionales doivent être étroitement associées au fonctionnement du partenariat euro-méditerranéen. Des représentants de villes et de régions seront encouragés à se rencontrer chaque année pour passer en revue les défis communs qu'ils ont à affronter et pour confronter leurs expériences". L'ARLEM, un projet commun du Comité des régions, des collectivités territoriales des trois rives de la Méditerranée ainsi que d'associations internationales et européennes représentant les autorités locales et régionales actives sur le terrain, facilitera l'établissement des contacts, l'échange des bonnes pratiques entre les villes et les régions, ainsi que la promotion de la coopération intercommunale et interrégionale.

Boumerdès





Réalisation d'une cité administrative moderne

Le mégaprojet de réalisation d'une cité administrative moderne à Boumerdès a été présenté officiellement la semaine dernière à l'occasion de la tournée du wali dans la commune de Boumerdès. La premier magistrat de la wilaya a écouté avec une attention particulière les arguments sur cette esquisse par le concepteur du projet dont l'objectif recherché est de faire de cette infrastructure administrative un véritable centre de rayonnement de la ville de Boumerdès. Projetée sur une surface de près de huit hectares, située entre le boulevard de l'indépendance et celui du 1er- novembre 1954 de la cité urbaine, la structure se présente sous la forme d'une entité architecturale unie, aux lignes futuristes et offrant des commodités aux normes universelles, notamment sa dotation en espace conviviaux et de services. Le programme de la cité administrative comprendra deux zones, l'une regroupera dans un ensemble architectural harmonieux du nouveau siège de l'APC, une bibliothèque principale, une maison de l'artisanat traditionnel, un théâtre régional et diverses activités de commerce et de services. Afin, de permettre une meilleure accessibilité et une bonne circulation dans cet espace, des parkings souterrains seront aménagés pour les pôles administratifs et culturels. Poursuivant sa virée à travers les artères et agglomérations de la ville, le chef de l'exécutif de la wilaya a constaté et mesuré de visu l'Etat d'avancement des travaux de réalisation des différentes structures des services extérieurs de l'Etat (la protection civile, l'environnement, l'industrie et les mines, le tourisme, la petite et moyenne entreprise, les affaires religieuses …); le volume et la consistance de ces équipements publics traduisent la rigueur et la détermination de l'administration publique en vue de l'amélioration et du perfectionnement des missions de service public. Le secteur de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique bénéficie d'un intérêt particulier des pouvoirs publics, aussi le pôle universitaire qui comprend un programme de réalisation de 4000 places pédagogique réparties entre les facultés de sciences et des sciences de l'ingénieur ainsi qu'une cité universitaire de 500 lits a fait également l'objet d'une inspection du wali, les 2000 places pédagogiques de l'ex INELEC devraient être livrées à la rentrée universitaire 2010/2011, par contre, le retard accumulé dans le chantier de réalisation de l'institut de physique à cause des défaillances d'organisation et d'approvisionnement a conduit le maître d'œuvre à engager la procédure de résiliation avec l'entreprise. Sinon pour les chantiers 1000 places pédagogiques réservées à l'institut d'informatique et la cité universitaire 500 lits dans le même site, le rythme des travaux est assez cadencé d'ailleurs, les responsables des moyens de réalisation en charge de ces projets se sont engagés à être dans les délais de livraison. Intervenant à l'occasion de la présence des responsables de l'ENPI/SPA sur le chantier de réalisation de logements promotionnels à " tatareg " le wali s'est montré très critique envers ces derniers quant à l'avancement et la concrétisation du programme de réalisation d'un ensemble d'habitation de 120 logements semi-collectifs et d'un ensemble urbain de 75 logements de type standing ainsi que d'un ensemble résidentiel de 24 villas promotionnelles à " l'albatros ". A la cité " Frantz Fanon " le responsable de l'exécutif et la délégation qui l'accompagne se sont longuement attardés au niveau des projets des 93 logements AADL confiés à une entreprise libanaise, avec un taux d'avancement de 55% ainsi qu'au lycée 1000 places dont 200 en demi-pension pour un montant du marché de l'ordre de 236 922 282,00 DA, le chantier a démarré en juin 2009 et devrait être livré en août prochain. Toujours au quartier les " 800 logements " en réponse aux préoccupations des habitants, principalement celles relatives au cadre de vie dans la cité; ce dernier a expliqué que " l'agglomération urbaine a bénéficié de plusieurs opérations de réhabilitation et de renouveau urbain et d'autres sont en voie de lancement, comme par exemple la réalisation d'un marché de proximité, l'aboutissement d'un tel projet permettra l'organisation des activités commerciales dans la cité ". Partant du principe que toute action de développement ne peut avoir de sens pour la collectivité sans une maîtrise efficiente des besoins des citoyens, le premier responsable de la wilaya a exhorté les élus de la commune, les partenaires de la société civile et les agents de l'Etat " à conjuguer leurs efforts et à œuvrer positivement pour un meilleur développement à la mesure de la ville et des aspirations de la population de Boumerdès " considérant que la commune de Boumerdès comme étant la locomotive du développement de toute la wilaya, le wali annoncera que dans le cadre du réaménagement et de la modernisation de la ville, prochainement le lancement d'opérations d'études et de réalisation d'un centre commercial original, d'une capacité de 140 locaux commerciaux, l'aménagement d'un marché de proximité ainsi que le renforcement et la rénovation de l'infrastructure sanitaire du centre-ville. Le manque du foncier reste un véritable handicap de la commune dans la concrétisation de certains projets dans différents secteurs de développement. Pour juguler cette contrainte, il a été procédé dernièrement par le conseil de wilaya à l'examen du PDAU révisé de Boumerdès par conséquent des recommandations et des recomposition urbaines ont été préconisées par l'élaboration de plans d'occupation du sol (POS). Ainsi un vaste programme d'équipements a été défini ; au niveau des sites Sahel et Sablière, le wali en marge d'une inspection de projets en cours de réalisation, 200 logements sociaux locatifs et 554 logements financés par le fonds arabe de développement, implantés à la périphérie de la ville, a pris connaissance des programmes d'équipements et d'habitat proposés. Ces programmes ciblent tous les types de constructions confondus, un hôpital 240 lits en voie de lancement, une faculté de médecine, des structures scolaires et culturelles (école, collège, lycée, bibliothèque, mosquée …). En écoutant l'exposé sur les plans d'occupation du sol, le chef de l'exécutif à exhorter l'assistance à réfléchir sur de nouvelles conceptions architecturales des espaces en vue de répondre aux aspirations de la population. Cette visite s'inscrit dans une dynamique d'amélioration de la qualité de vie des citoyens, c'est l'expression d'une volonté de promouvoir la ville de Boumerdès comme véritable centre attractif. Les collectivités locales se doivent d'assumer la plénitude de leurs missions de puissance publique afin de poursuivre le développement durable. Ils 'agit essentiellement de veiller au respect des lois et règlements relatifs aux règles d'urbanisme. C’est sur cette réflexion qu'achèvera le wali sa tournée à Boumerdès.
R.R.

l’ASCAME



L'Européen
Depuis le mois de juillet 2007, Murat Yalçintas est le président de l’Association des CCI de la Méditerranée. Créée en 1982 à Barcelone, l’ASCAME regroupe 180 Chambres situées dans 23 pays

A seulement 42 ans, Murat Yalçintas cumule les fonctions de président de l’ASCAME et de la Chambre de commerce d’Istanbul (depuis 2005). Il plaide pour une coopération économique et politique plus forte entre les pays méditerranéens, mais aussi avec la zone Europe.
Commerce International : Comment avez-vous abordé vos fonctions au second semestre 2007 ? Murat Yalçintas : « Je voudrais tout de suite exprimer mon émotion d’avoir été choisi comme président de l’ASCAME, qui s’identifie à la Méditerranée… car la direction de l’ASCAME est pour moi une mission qui ne se limite pas aux frontières des États. Grâce au dénominateur commun économique et commercial, nous avons pour objectif d’étendre le développement et la prospérité dans cette région, géographiquement la plus importante dans l’histoire, qui a vu l’établissement des premières civilisations et a donné naissance à notre civilisation actuelle.Être président de l’ASCAME expose à une responsabilité bien plus importante que la présidence d’une quelconque association. Nous espérons que chacun de nos membres puisse bâtir un avenir de paix et de bien-être dans une structure faite de tolérance et de conciliation. Nous avons conscience que cela ne passe pas uniquement par l’établissement de relations commerciales, mais aussi par la contribution au développement des pays et des peuples, avec la mise en place de bonnes relations. »
C.I. : Quel bilan tirer des activités réalisées au cours de ces 10 dernières années par l’ASCAME ? M. Y. : « Notre union a parcouru du chemin pour l’obtention d’une coopération entre les Chambres de la Méditerranée. D’autre part, tout en travaillant au développement des relations étroites avec les institutions européennes et diverses institutions internationales, elle est désormais présente dans différents champs du secteur privé. Elle représente aujourd’hui un important réseau pour le développement du secteur privé, la coopération entre l’Europe et la Méditerranée et pour la réalisation du processus d’intégration. L’ASCAME génère des projets qui visent à rapprocher les deux rives de la Méditerranée par le commerce, en utilisant l’avantage pour beaucoup de ses membres de l’être aussi de l’Union européenne (UE). Meditour, l’association pour le partenariat des centres touristiques de la Méditerranée, est l’un de ces projets. Le projet EMED visant à développer le commerce électronique entre les entreprises des pays membres en est un autre. »
C.I. : À quoi attribuez-vous l’augmentation des relations entre entreprises de la Méditerranée, en particulier les PME ?M. Y. : « Les PME ont compris la nécessité d’une nouvelle mentalité commerciale ouverte sur le monde. Et le poids des PME dans l’économie mondiale va croissant, du fait de leur capacité d’adaptation aux nouvelles conditions du marché. En posant les bases d’une coopération Europe - Méditerranée avec la Déclaration de Barcelone, en 1995, l’un des principaux objectifs était d’amener la Méditerranée à devenir prospère. Dans ce contexte, la nécessité d’augmenter le soutien indispensable donné aux PME, tout en développant la coopération entre celles-ci, a été soulignée. Les mécanismes et programmes existants à l’usage des PME au sein de l’UE ont pour finalité d’être étendus aux pays de la Méditerranée non membres de l’UE. Le programme Medpartenariat est l’un des exemples les plus révélateurs de ces avancées. Son objectif était de rassembler les entreprises méditerranéennes, tout comme l’initiative Med-Interprise. C’est pourquoi, au point où nous en sommes aujourd’hui, nous devons faire valoir les relations et la coopération croissantes entre les entreprises méditerranéennes, plus particulièrement les PME. Mais elles n’ont pas encore atteint le niveau requis. Nous devons assurer la pérennité de la croissance atteinte. La nouvelle direction de l’ASCAME entend produire de nouveaux projets et former des ressources pour réaliser ces volontés. »
C.I. : La création d’une zone de libre-échange en 2010 assurera aux entreprises de la Méditerranée de nouvelles possibilités d’association et d’investissement. Qu’en pense l’ASCAME ?M. Y. : « Nous accordons beaucoup d’importance à la réalisation de la zone de libre-échange Europe-Méditerranée. Cet objectif assurera l’augmentation de la puissance de concurrence des investisseurs méditerranéens sur les marchés mondiaux, dans un environnement d’économie globale, et apportera de nouveaux investissements et coopérations. Je voudrais souligner qu’aujourd’hui, la part de la zone Europe-Méditerranée dans le commerce mondial et les investissements du capital étranger est en dessous de son potentiel existant. La formation d’une zone de libre-échange, en assurant l’augmentation de cette part, contribuera au développement économique de la région.Il ne nous reste qu’une courte période de 2 ans. Une importante fonction et des responsabilités incombent autant aux gouvernements des états de la région qu’aux institutions telles que la nôtre. »
C.I. : Quels sont les projets de l’ASCAME concernant les nouvelles technologies ?M. Y. : « Grâce aux nouvelles technologies, les frontières entre les pays ont été franchies. Je pense qu’il faut que nous profitions, en tant que pays méditerranéens, de la généralisation du commerce grâce aux technologies existantes. Actuellement, le projet EMED, soutenu par des fonds de l’UE, est le plus avancé dans ce domaine. Il présente un intérêt pour les PME qui veulent perdurer dans un contexte de mondialisation. La constitution d’une zone de libre-échange entre les pays d’Europe et de la Méditerranée en 2010 fait partie de ce projet. Le premier secteur défini est l’agriculture. Tous les investisseurs et les entrepreneurs qui s’intéressent au secteur agricole pourront réaliser des entretiens sur un portail consacré à ce secteur. La réussite de ce projet, dans la droite ligne de nos principaux objectifs, présente un grand intérêt pour l’ASCAME. »
C.I. : L’ASCAME travaille avec les Chambres de commerce locales pour soutenir la création de nouvelles entreprises dans la région Méditerranée. Comment s’y prend-elle ?M. Y. : « Nous encourageons effectivement la communication entre les Chambres de la Méditerranée et nous assurons qu’elles se rencontrent sur des plates-formes telles que des forums ou des foires. Nous pensons que chaque nouvelle entreprise créée rapporte aussi de nouveaux espoirs de paix et de prospérité dans le domaine du commerce en Méditerranée. L’ASCAME joue un rôle de médiateur et de promoteur pour les nouvelles entreprises. Bien sûr, ce faisant, nous collaborons avec les Chambres de commerce auxquelles sont rattachées ces entreprises en devenir. Dans la revue publiée par l’association, nous accordons une place aux annonces de recherches de collaboration entre sociétés et différentes opportunités d’affaires. »
C.I. : Quelles sont les réflexions de l’ASCAME en matière environnementale ?M. Y. : « Mon opinion est très claire : je ne suis pas favorable à une économie qui met l’environnement au défi. Nous soutenons un développement économique au service de l’homme, qui ne soit pas destructeur mais en accord avec la nature et l’environnement. La Méditerranée, centre des plus anciennes civilisations, peut jouer un rôle vital pour la protection des merveilles naturelles inestimables, pour la conservation de l’équilibre écologique planétaire et contre l’épuisement des ressources énergétiques. C’est pourquoi, une très importante responsabilité incombe aux pays des rives de la Méditerranée. Dorénavant, les décisions importantes concernant les sociétés ne doivent plus être prises uniquement par les politiques, mais aussi par tous les acteurs sociaux. D’où la fonction importante, sur ce point également, d’organismes tels que l’ASCAME. En tant qu’hommes d’affaires de ces pays, nous devons trouver des formules qui assureront un partage équitable de ces ressources non pas uniquement pour les hommes de la région, mais pour les hommes du monde entier. Cela se transformera en projets qui contribueront au renforcement des relations humaines et commerciales. Nous sommes finalement obligés de convaincre les décideurs politiques de développer et d’appliquer leurs politiques conformément à ces sensibilités. »
C.I. : En tant que président de l’ASCAME et homme d’affaires turc, que pensez-vous du projet d’Union méditerranéenne avancé par la présidence de la République française ?M. Y. : « Je considère très sérieusement la proposition du Président français. Elle est la traduction en langage politique de ce que l’ASCAME veut réaliser avec les Chambres de commerce. Et si la Méditerranée devient un lac de paix, les peuples des trois continents, l’Europe, l’Afrique et l’Asie, en profiteront.Concernant la Turquie, puissant pays de la région, il lui revient d’entretenir des relations avec l’Orient, l’Occident, le Sud et le Nord. Elle ne doit tourner le dos à aucun de ses voisins. Une Turquie membre de l’UE serait la garante et le plus important encouragement à la réalisation d’une Union méditerranéenne. »
Cécilia Dubé

UE/Monténégro



UE/Monténégro : le Premier ministre ne comprend pas la fatigue de l'élargissement
[Fenêtre sur l'Europe]
En visite à Washington pour promouvoir la candidature du Monténégro à une adhésion à l'UE et à l'OTAN, le Premier ministre monténégrin Milo Djukanovic a déclaré ne pas pouvoir comprendre la fatigue de l'élargissement qui s'est emparée de certains Etats membres.
"L'Europe et l'OTAN n'ont pas d'autre alternative", a t-il déclaré, en ajoutant que tous les pays des Balkans occidentaux "doivent prendre part à l'UE