阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

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羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Saturday, March 06, 2010

Algerie petites et moyennes entreprises



Un programme national de 230 milliards de DA
Le ministre de la PME et de l’artisanat, Mustapha Benbada, a affirmé, jeudi à El-Tarf, que l’Etat a alloué une enveloppe financière de 230 milliards de dinars pour 2010, en vue de la mise à niveau des petites et moyennes entreprises (160 milliards) et du soutien à la production nationale (70 milliards). A l’issue d’une journée d’étude sur la mise à niveau et la promotion des PMI/PME, placée sous le thème «continuité du programme du président de la République», M. Benbada a exposé les grandes lignes de développement de son secteur qui se basent, notamment, sur la mise à niveau du tissu industriel existant. Il s’agit d’un développement «basé également sur une meilleure assise économique, impliquant les secteurs public et privé, à même d’entraîner une croissance continue pouvant stimuler davantage la consommation, avec un objectif de création de 1,7 million d’emplois durant le programme quinquennal 2010-2014», a souligné le ministre, devant un parterre constitué d’opérateurs économiques de la région. Réaffirmant le soutien de son département au produit national et aux entreprises algériennes, afin de faire face, notamment, à la concurrence des multinationales, le ministre a fait part de la création, courant 2010, d’un centre «national consultatif» chargé de faire connaître le produit algérien tant à l’échelle nationale qu’internationale. Une initiative, a ajouté M. Benbada, qui sera assortie de la mise en place d’un laboratoire d’analyses des produits locaux pour leur permettre une meilleure pénétration sur les marchés extérieurs et de structures spécialisées pour le financement des PMI-PME, la «non intégration» d’entreprises étrangères dans la réalisation de certains projets financés par l’Etat et une révision des lois régissant ce secteur. Concernant les mesures d’accompagnement pour un développement durable de la PME en Algérie, le premier responsable du secteur a insisté sur la promotion des entreprises de sous-traitance, créatrices de richesses et d’emplois, d’autant que leur nombre est passé de 180 000, en 2008, à 450 000 en 2009. R. E.

MAROC FRANCE PME



Le Maroc, une réelle opportunité de sortie de crise pour les PME françaises Soumis par tomaLe Maroc représente une réelle opportunité de sortie de crise pour les PME françaises désireuses de retrouver le chemin de la croissance, ont affirmé, jeudi à Paris, les intervenants à une conférence sur le thème "France-Maroc: Ensemble comment sortir de la crise?".
Ils ont d'emblée mis en exergue les relations ancestrales d'amitié et de coopération multiformes entre les deux pays, l'importance du partenariat économique bilatéral, ainsi que l'environnement d'affaire au Maroc, favorable à plus d'un égard aux entreprises françaises, ce qui milite, ont-ils plaidé, en faveur d'un partenariat gagnant-gagnant pour sortir ensemble de la crise.
Prenant la parole à cette occasion, le ministre de l'Industrie, du commerce et des nouvelles technologies, M. Ahmed Réda Chami, a rappelé que bien que les banques marocaines aient été épargnées par la crise financière mondiale, le Maroc a été rattrapé par la récession globalisée qui s'est traduite par la baisse des recettes touristiques et des transferts des Marocains résidant à l'étranger ainsi que celle des exportations.
En revanche, a poursuivi le ministre, le Maroc dispose de "moteurs assez importants lui permettant de continuer" à renforcer sa compétitivité et à développer ses infrastructures quel que soit l'environnement.
Il a, dans ce cadre, invité les entreprises françaises désireuses de renforcer leur part de marché à venir s'installer au Maroc d'où elles peuvent servir, à la fois, le marché local et le marché international.
Pour ce qui est du marché local, M. Chami a fait état d'une demande intérieure en forte croissance, précisant que le PIB par habitant est passé de 2.000 euros en 2000 à 3.000 euros en 2008, soit une croissance de 50 pc.
S'agissant du marché international, le ministre a souligné que le Maroc, seul pays au monde à avoir signé des accords de libre-échange à la fois avec l'Union européenne (UE) et les Etats Unis, outre ceux conclus avec la Turquie et quatre pays arabo-méditerranéens, offre une importante plate-forme d'exportation pouvant desservir un marché de plus de 700 millions d'habitants.
Il a également évoqué le marché africain où plusieurs entreprises marocaines sont déjà implantées, ce qui pourrait donner l'occasion à des partenariats gagnants-gagnants avec leurs partenaires français intéressés par le continent.
Abondant dans le même sens, M. Jean-René Fourtou, président du conseil de surveillance de Vivendi, groupe français leader mondial de la communication, s'est dit entièrement satisfait de l'investissement de son groupe dans Maroc Telecom, opérateur à travers lequel l'entreprise française a pu atteindre le marché africain.
Il a estimé, à cet égard, que le couple franco-marocain représente un "excellent vecteur de développement en Afrique", grâce à la fois au savoir-faire français et aux ressources humaines marocaines qui sont "internationalement compétitives".
Le même témoignage a été livré par M. Guy Moreau, président de BM Electronic Systems Maroc, qui a plaidé en faveur d'investissements qui permettent le transfert des technologies et non pas ceux qui cherchent à profiter d'une main d'œuvre moins chère.
"S'engager au Maroc, c'est investir dans un partenariat fiable et de proximité", a-t-il lancé aux entrepreneurs français.
Pour sa part, le président de la Confédération générale des Entreprises marocaines (CGEM), M. Mohamed Horani, qui a passé en revue les différentes mesures mises en œuvre par le patronat et le gouvernement marocains pour faire face à la crise, a indiqué que l'objectif a été de "profiter de cette conjoncture pour renforcer nos compétitivités". Résultat: les entreprises ont résisté à la crise et l'impact sur l'économie du pays a été minime, s'est-il félicité.
"La crise est aussi une opportunité qu'il faut saisir pour développer la collaboration entre les PME des deux pays", à travers des partenariats dans des secteurs comme celui de l'énergie solaire, a-t-il dit, rappelant dans ce cadre le méga-projet solaire lancé par SM le Roi Mohammed VI récemment à Ouarzazate.
De son cô té, M. Thierry Courtaigne, vice-président directeur général de MEDEF international (patronat français), a axé son intervention sur le besoin de financement des entreprises pour le développement, soulignant que "l'accès au financement des PME au Maroc est le meilleur par rapport à plusieurs pays du sud de la Méditerranée".
D'autres intervenants ont, par ailleurs, débattu des différentes mesures prévues par les deux pays pour la période post-crise.
A cet égard, le président directeur général du Groupe Banque Populaire, M. Mohamed Benchaaboun, a souligné la nécessité d'accroître le taux de bancarisation et de renforcer l'accès au financement, plaidant, par ailleurs, en faveur de la réduction des écarts entre le Nord et le Sud.
Pour M. Jean-François Copé, président du groupe UMP (parti au pouvoir) à l'Assemblée Nationale française, qui s'est félicité du taux de croissance de 5,6 pc réalisé au Maroc en 2008, malgré la conjoncture actuelle, cette crise "mondialisée et systémique", nécessite, a-t-il estimé, une réponse politique mondialisée pour remettre de l'ordre dans le système financier.
Il a, à cet égard, plaidé pour que le groupe G20 soit fusionné avec le Conseil de sécurité afin d'unifier les structures de la gouvernance mondiale.
Clô turant les travaux de cette conférence, l'ambassadeur du Maroc à Paris, M. El Mostapha Sahel, a souligné que la résilience dont a fait preuve le Maroc face à la crise ainsi que la performance de son économie est aussi le fruit de la confiance que les opérateurs économiques français ont su placer aux autorités marocaines, une confiance qui ne s'est jamais démentie.
Initiée par le Cercle d'Amitié Franco-Marocain, avec le soutien de l'ambassade du Maroc en France et de la Chambre de commerce et d'industrie de Paris (CCIP), cette conférence a réuni d'imminentes personnalités du monde de l'entreprise et de la finance marocains et français.
Le thème a attiré une nombreuse assistance dont des opérateurs économiques et des banquiers français ainsi que des étudiants marocains des Grandes écoles parisiennes.

Le Port de Tanger Med



Le Port de Tanger Med, un "projet spectaculaire"Soumis par toma le jeu Le Port de Tanger Med, "fruit de la volonté exemplaire de SM le Roi Mohammed VI de développer la région Nord du Maroc", est "un projet spectaculaire vraiment magnifique", estime la Secrétaire d'Etat française au Commerce extérieur, Anne-Marie Idrac.
"Tanger-Med est l'un de ces grands projets que j'ai souhaité visiter, dans une optique de co-développement franco-marocain, et méditerranéen", écrit-elle dans son blog personnel à son retour d'une visite au Maroc, en février.
Pour elle, "le choix fait pour l'aménagement de ce site, c'est non seulement des investissements énormes, mais d'emblée un très haut niveau technique et d'efficacité, aux meilleurs standards mondiaux".
"Tanger Med a vocation à devenir le premier port d'Afrique d'ici quelques années et les autorités marocaines se sont indéniablement donné les moyens de leur ambition, sans la réduire, malgré la crise", ajoute-elle, soulignant que "l'implication de grandes entreprises françaises dans ce projet est essentielle".
Outre les groupes français Bouygues construction, CMA-CGM, et le groupe SNCF, pour le port lui-même, et Renault, pour la partie développement industriel, la ministre fait état de 400 entreprises installées dans la zone franche de Tanger, en majorité des PME, dont près de la moitié (170) sont françaises.
Selon la ministre française, "le défi de Tanger Med n'est pas seulement celui du Maroc, c'est également un défi pour l'Europe-le type même de réalisation qui donnent corps à notre ambition d'Union Pour la Méditerranée, avec en particulier des liens privilégiés à créer avec le port de Marseille".
Mme Idrac a, par ailleurs, qualifié d'"exemplaire" la relation économique entre les deux pays. "Premier fournisseur, premier client, premier contributeur pour l'aide publique au développement, premier investisseur, première destination étrangère pour les étudiants marocains,... la France truste les premières places", s'est-elle félicitée, ajoutant que les quelques 1.200 implantations françaises représentent plus de 100.000 emplois au Maroc.
"Cette situation est certes le fruit de l'Histoire, une histoire forte entre nos deux pays, confortée par l'excellente relation personnelle entre SM le Roi Mohammed VI et le Président français Nicolas Sarkozy", explique la secrétaire d'Etat.
Mme Idrac a ainsi plaidé pour le développement de cette relation "originale" qu'il faut nourrir et l'enrichir à la faveur en particulier de grands projets, tels Les tramways de Rabat et de Casablanca, le futur TGV.
Donnant raison aux autorités marocaines qui "souhaitent passer d'une simple relation client-fournisseur à de nouveaux partenariats", elle reconnu que "nous avons tout avantage, politiquement et économiquement, à considérer les pays du sud de la Méditerranée comme des alliés pour un développement conjoint, face à nos vrais concurrents communs que sont les pays émergents".
Elle a, à ce titre, annoncé l'organisation, début mai prochain, d'une opération de promotion commune des entreprises françaises et marocaines en direction des pays de l'Afrique francophone.

Méditerranée



Espace commun et significations différentes La Méditerranée est un espace commun avec des attentes et des significations différentes, plus positives que négatives, déterminées par des facteurs notamment politiques et culturels, souligne une étude réalisée par un groupe de chercheurs de pays méditerranéens à l'initiative de la Fondation Anna LindhUne partie des résultats de cette enquête d'opinion sur les tendances et les interactions culturelles dans l'espace euro-méditerranéen, réalisée auprès d'un échantillon de 13.000 personnes de 13 pays membres de l'Union pour la Méditerranée, dont le Maroc, a fait l'objet, vendredi à Barcelone, d'une session plénière dans le cadre du Forum Anna Lindh 2010 qui connaît la participation de près d'un millier d'ONG euro-méditerranéenne.L'une des données significatives révélées par cette enquête est que une personnes sur trois des sondées a affirmé avoir rencontré ou interagit avec un habitant de l'autre rive de la Méditerranée.Le chercheur et universitaire marocain, Mohamed Tozy, membre du groupe d'experts qui ont conçu cette étude et analysé une partie de ses données, a souligné que cette enquête a débouché sur des résultats très importants relatifs notamment aux attentes des citoyens de l'Union pour la Méditerranée, à la signification de cette espace et aux valeurs à transmettre. D'après cette enquête, les personnes du sud de la Méditerranée attendent surtout de pouvoir faire des affaires et circuler facilement, alors que l'enrichissement culturel est le principal souhait des gens du nord du bassin méditerranéen, a-t-il expliqué dans une déclaration à l'agence MAP. «La Méditerranée signifie beaucoup de choses : c'est un espace qui signifie, pour certains, l'hospitalité, un style de vie singulier, un héritage commun et qui signifie, pour d'autres, une réalité conflictuelle», a-t-il ajouté, précisant que les réponses varient selon les parcours de chaque société et son contexte politique notamment. Concernant les valeurs à transmettre, les personnes sondées appartenant à la rive nord de la Méditerranée ont insisté sur «les valeurs familiales», alors que celles représentant les pays du sud de la Méditerranée ont souligné l'importance de «l'autonomie et de l'indépendance des individus», a poursuivi M. Tozy.Le chercheur marocain a relevé que cette étude a montré l'existence d'un niveau important d'interaction entre les populations du nord et du sud de la Méditerranée, même si les conditions de cette interaction ne sont pas les même de part et d'autre. «Les gens du nord de la Méditerranée interagissent avec ceux du Sud essentiellement à travers le tourisme, alors que ceux du Sud du pourtour méditerranéen interagissent avec le nord à travers l'immigration», a-t-il précisé. M. Tozy a relevé que cette interaction se fait aussi en l'absence de la possibilité de se déplacer physiquement, et ce à travers Internet, faisant savoir que les Marocains et les Turques viennent en tête des personnes sondées âgées de moins de 30 ans qui interagissent quotidiennement à travers Internet avec des gens de l'Europe. Il a souligné que malgré cette interaction, la connaissance mutuelle reste «limitée», mettant l'accent sur l'importance de l'éducation, des médias et de la volonté politique comme leviers d'action à même d'aider à changer cette situation. Le Forum Anna Lindh 2010 est le plus important rassemblement jusqu'à présent des acteurs de la société civile des pays de l'UPM ayant pour objet la promotion des actions interculturelles à travers la région méditerranéenne et le débat au sujet des actions à même de en favoriser le dialogue, la compréhension mutuelle et la paix.Initié du 4 au 7 mars à Barcelone en partenariat avec l'IEMed, ce Forum, auquel prennent part d'éminents spécialistes dans les domaines politique, culturel et économique de l'espace de l'UPM, se penche sur l'examen des moyens de développer la coopération régionale et veut servir d'outil pour influencer la mise en place de politiques consacrées au dialogue interculturel