阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

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指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Thursday, March 11, 2010

Moscow-Vladivostok: virtual journey on Google Maps Youtube


UE2020



La réussite de "UE2020 " repose sur les grands Etats membres
[Fenêtre sur l'Europe]
Un haut fonctionnaire de la Commission européenne a déclaré que l'Allemagne, la France et les grands Etats membres devront peser de tout leur poids pour que la nouvelle stratégie "Europe 2020" fonctionne.
"Nous ne pouvons avoir une stratégie qui impose des obligations à certains pays et pas à d'autres", a-t-il dit lors d'une rencontre organisée par Eurochambres le 11 mars. "C'est une question à laquelle les grands Etats membres devront répondre", a déclaré Gérard De Graaf, chef de l'unité " Objectif stratégique de Prospérité".

Algerie Grand Sud




Du Tassili à Djanet




Il existe mille façons de décrire le désert et de le vivre. Ces espaces infinis attirent le commun des mortels et ne les laissent pas indifférent face à son immensité.

Reportage réalisé par Nassima Bensalem
Aucun de nous ne peut résister à la tentation d'entreprendre au moins une fois dans sa vie une virée dans le désert. Seul, avec le silence des dunes et l'infini du ciel, un véritable voyage initiatique. Le désert a cette faculté d'éveiller notre spiritualité et nous permettre de renouer nos rapports originels avec les éléments. C'est ainsi que les astres, du jour ou autres retrouvent leurs places dans notre imaginaire. On risque, aussi, de couper court à certaines de nos idées reçues. Il est vrai que la plupart des profanes s'imaginent que le désert est une succession de dunes de sable fin à l'infini. Néanmoins, les contrées désertiques sont souvent composées de cailloux ou de rochers, même si les déserts de sable sont sans doute les plus beaux, les plus séduisants. On a besoin d'y revenir régulièrement afin de se ressourcer, pour la seule raison que la notion du temps n'a plus de signification. Et notre pays a cette particularité. Celle d'abriter l'un des déserts les plus étendus en termes de surface et l'un des plus captivants au monde. En effet, le sud algérien s'étend sur la majeure partie du grand Sahara. Que ce soit Timimoun, Tam ou encore Taghit, pour ne citer que celles-ci, ces oasis sont devenues au fil des ans la destination phare des pèlerins du tourisme saharien. Mais il est impossible de faire un circuit touristique dans le sud algérien sans faire escale à Illizi, plus exactement à Djanet. Cette oasis ne ressemble à rien de connu, le tableau qu'elle offre est tout simplement à couper le souffle ! Ici, on est en plein cœur du Sahara à quelques 2300 kilomètres de la capitale, Alger, à 100 km de la frontière avec la Libye et à 200 km de la frontière avec le Niger. Ici nous sommes également chez les hommes bleus. Djanet est une ville de près de 150 000 habitants principalement des Touaregs, elle se trouve plus précisément dans la région du Tassili N'Azadjer qui s'étend sur une surface de 83 000 km2 environ. Que signifie Djanet ? Selon certains Touaregs, Djanet signifie "paradis " prononcé jadis "Aldjanet". Selon d'autres Djanet signifie "chamelle " penché, une appellation qui relève d'une simple histoire. Autrefois, un chamelier qui faisait pâturer ses chamelles dans la zone du Tassili les a un jour perdu de vue, il demande à son compagnon où sont les chamelles ? Ce dernier lui répond en targui "jannat" qui veut dire "elles sont penchées ". Depuis on appelle cet endroit "Jannat". Subissant une transformation phonétique, jannat devient donc Djanet. Un séjour à Djanet l'enchanteresse est une expérience inoubliable. Pour y parvenir, en venant d'Alger, on a survolé pendant près de trois heures une étendue de sable, qui semble infinie jusqu'à Illizi. On parcourant le chemin de Illizi vers Djanet à bord de 4X4 sur plus de 400 kilomètres, on a eu la chance de contempler de l'ocre presque uniforme, partout et à perte de vue, sans traces de vie, sans végétation, sans village. Le départ d'Illizi vers Djanet était prévu à 6 heures du matin sous un froid glacial, mais que faire ! Le paysage est d'autant plus beau que le climat est hostile. Faire ce parcours vous permet d'êtres face à vous-mêmes, et pour unique alter ego le néant ou presque. Une sensation unique. Une expérience dont vous reviendrez plus fort. Après plus de huit heures de route, l'approche de Djanet est perçue comme une délivrance. Et quelle douce délivrance que celle d'être saisi par la beauté d'une ville où le contraste rime le piquant de ses 6 quartiers racontant chacun une histoire, une facette de Djanet, à l'image de Azellouaz, le plus ancien des quartiers de Djanet avec ses maisons de torchis effondrées et sa mosquée blanchie à la chaux. On est à l'affut de la moindre étoffe, du moindre bibelot ou objet Elmihan, dans le quartier commerçant, Tinkhatma sur les rives d'un oued caillouteux ; on est séduit par Djahil et sa palmeraie, ainsi que par Tindjadad. Mais Djanet ce n'est pas que les palmeraies et les maisons de torchis, c'est également une ville moderne fièrement représentée par Aghoum le nouveau quartier récemment construit à l'entrée de la ville. L'architecture de la ville de Djanet est unique mais le désert qui l'entoure est plus que fascinant. Se savoir au milieu de nulle part est une impression marquante mais l'on s'aperçoit vite que l'on ne se trouve pas nul part, on se trouve en plein milieu d'un musée à ciel ouvert, l'extraordinaire rencontre avec le Sahara vous marquera à vie. Sous de faux airs de néant, une vie intense s'y exprime : celle des éléments engagés dans une sculpture éblouissante de la nature ; celle de la faune et de la flore qui ont produit d'incroyables stratégies d'adaptation. Le rituel du thé, la noblesse d'une caravane, des noms de légende tels que Tassili, Djanet, la vache qui pleure... Tout cela et plus encore, non pas pour un simple voyage ou un circuit, mais réellement pour vivre un moment intense. Le spectacle est plus émouvant quand tombe la nuit, on se découvre en découvrant. Le ciel est si pur. On n'en revient pas qu'il soit peuplé d'autant d'étoiles. Un embouteillage galactique ! Les dunes aux courbes élégantes vous entraînent, changeant à chaque fois au gré des vents. Les masses rocheuses présentent des formes dont l'audace interpelle. Il y a aussi ces oasis si merveilleuses qu'on peut parfois les prendre pour des mirages. Que dire de ces villes où l'ocre ose se marier au rose et à l'indigo ?

Tassili N'Azadjer : sur les traces de nos ancêtres
Il y a surtout ce musée à ciel ouvert avec ses nombreuses oeuvres rupestres dont certaines précèdent de 5000 ans les pyramides pharaoniques d'Egypte. Le Tassili N'Azadjer et situé dans le Sahara central, au sud-est algérien, le Parc national du Tassili correspond à l'ensemble des plateaux du "Tassili " et leurs ergs périphériques. Le mot Tassili en tamaheq (langue des touaregs) signifie plateau et Azdjer en référence à la tribu qui y habite. Avec ses 80 000 km2, ce parc est l'un des plus vastes au monde. Les frontières avec la Libye et le Niger le limitent à l'est et au sud, le parc est entièrement dans la zone climatique saharienne mais la présence des plateaux dont l'altitude varie de 1 400 m à près de 2000 m, lui fournit des conditions privilégiées de nos jours comme dans le passé. Certaines régions au sein du parc sont ouvertes aux visiteurs, d'autres sont en réserve. Le Parc national du Tassili est habité. La densité y est faible mais plusieurs petits centres de culture profitent des vallées abritées où l'on y pratique de l'élevage du petit bétail et un peu d'agriculture. La Parc recèle, en effet, des richesses extrêmement variées en paysages, sites rupestres, faune et flore. Il abrite de remarquables biens culturels dont les plus célèbres sont les peintures et les gravures rupestres. L'intérêt de ces ressources lui a valu d'être inscrit parmi les sites du patrimoine mondial de l'Unesco en 1982 et d'être classé Réserve de la biosphère dés 1986 par la MAB. Il existe dans le Tassili une variété de cyprès dont près de 230 exemplaires vivent dans la partie la plus élevée du plateau. Ce sont de véritables fossiles, peut être plusieurs fois millénaires, qui ne se reproduisent plus sur place. Les animaux se sont, eux aussi, adaptés à des conditions extrêmes, d'où leur intérêt tout particulier. Les grands mammifères sont présents, si les antilopes ont disparu récemment, le mouflon à manchettes se maintient bien dans les régions les plus escarpées. Bien que menacées, surtout dans les ergs, les gazelles sont nombreuses dans les grands oueds du Tassili. En revanche, le guépard est en voie de disparition. Si le dernier crocodile a été tué il y a quelques dizaines d'années, il reste encore dans certaines gueltas des poissons et toute une microfaune remarquable.

Des gravures rupestres : un patrimoine en péril
Une randonnée dans le Tassili est surprenant où l'âpre beauté du désert contraste avec la douceur des oasis et promet un dépaysement complet. Dans le Tassili, les hommes du néolithiques ont senti le besoin et la nécessité de représenter leur monde en gravant et en peignant sur les parois et plafonds des abris ainsi que sur les dalles et planchers. Aujourd'hui, ces grottes sont devenues des lieux de pèlerinage des touristes étrangers et nationaux. De magnifiques fresques, peintes et gravées couvrent les parois rocheuses du Tassili, cette manifestation artistique révèle la richesse des activités, des styles et techniques. Des peuples divers en furent les auteurs, se succédant sur une période de plusieurs milliers d'années. A partir d'une comparaison de ces styles et des techniques des gravures rupestres, une classification par période a été admise et couvre environ 7000 à 8000 ans. Les plus belles œuvres représentent la grande faune des mammifères de la zone tropicale : éléphants, hippopotames, girafes, rhinocéros et des bovidés en nombre important ; l'homme y est présent aussi. Sur les parois, les plafond des abris, sur les dalles et les planchers, des sites sont gravés, peints notamment à Oued Djerat, Tin Taghirt, Tan Zoumaitak, Sefar, Idjabaren, Tamadjert… Ces œuvres et témoins iconographiques rupestres se traduisent à un stade supérieur de leur évolution en écriture par l'élaboration de caractères à valeurs phonétiques, d'ou subsiste le Tifinagh. Le Tassili est l'un des plus fabuleux musées d'art préhistorique du monde, toutes les parois rocheuses, rives d'oued, pitons de grès épargnés par l'érosion nous ont conservé le message de civilisations disparues, des milliers de peintures et gravures rupestres parlent de ces peuples de chasseurs et de bergers qui occupèrent le Sahara jadis. Parmi les gravures, les plus célèbres il convient de citer celle baptisée "La vache qui pleure" le site abrite un pilier gréseux qui est orné d'un très beau bas-relief représentant deux vaches dont les yeux semblent déborder de larmes ; c'est une œuvre d'art aux traits profondément entaillés, véritable emblème de la gravure tassilienne. Un patrimoine, un trésor inestimable qui n'est malheureusement pas à l'abri des pilleurs. 947 pièces archéologiques ont été saisies au niveau de l'aéroport de "Tiska" à Djanet, wilaya d'Illizi, par les services des Douanes au cours de l'année 2006.

Un cérémoniel du thé chez les hommes bleus
Si dans la conception occidentale de la société, la famille est la cellule de base, chez les Touareg il faut remplacer cette notion de famille par la notion de campement. Monté sur son méhari (chameau), le Targui parcourt des kilomètres dans le désert, à la recherche de pâturages pour les bêtes et de puits, l'eau étant si précieuse car si rare. A l'origine, les voiles sont teints avec de l'indigo (bleu violacé) qui déteint très facilement sur le visage des hommes qui le portaient, d'où l'appellation "hommes bleus". La langue parlée par les Touaregs est le Tamahek qui appartient au groupe des langues berbères. Elle est aujourd'hui, la langue restée la plus pure et la mieux connue grammaticalement, grâce aux admirables travaux laissés par le Père de Foucauld, A. Basset, J.M.Caurtad, Motylinski. D'après ces chercheurs, le Tamahak est une forme évoluée de la vieille langue lybique parlée dans tout le nord de l'Afrique et tout le Sahara central et occidental. Le Tamahak se divise en plusieurs dialectes : le Tamahek parlé dans le Hoggar et le Tassili, le Tamachek parlé dans l'Adagh des Iforas et le Tamajert dans l'Aïr. Mais cette différence reste au niveau de la prononciation de quelques lettres. La langue Tamahek est une des rares en Afrique qui possède un alphabet propre : le Tifinagh, qui est encore en usage chez les Touaregs. Le Tifinagh est composé de caractères à formes géométriques simples. Des points, des traits, des cercles ou figures dérivées ou associées, le tout au nombre de 24 dont on distingue trois voyelles a, i et ou. Il s'écrit de droite à gauche ou de gauche à droite, de haut en bas ou de bas en haut. Le Tifinagh, aujourd'hui, est surtout employé pour tracer des inscriptions laconiques, souhait, avertissement, demande de rendez-vous, déclaration amoureuse ou marques de propriété d'un objet. Ces inscriptions peuvent être gravées ou peintes sur un rocher, sur une dalle ou sur des objets artisanaux. Mais elles peuvent aussi servir à la fonction de courts messages et s'écrit alors sur peau, parchemin ou sur du papier, comme l'atteste un grand nombre de lettres envoyées par les chefs ou notables touaregs entre eux. Les Touareg portent traditionnellement une sorte de long vêtement souvent nommé "boubou" (en étoffe de coton nommé "bazin"), et un chèche appelé aussi taguelmoust (tagelmust en berbère), ou encore "turban". Le chèche est une sorte de turban d'environ 4 à 5 mètres de long qui s'enroule sur la tête pour se protéger du soleil, du vent, de la pluie, du sable, du froid... Traditionnellement, l'homme ne quitte jamais son turban. Il peut être de différentes couleurs, telles que rouge, jaune, vert, mais deux couleurs ont une signification spéciale. Le blanc est porté pour montrer un signe de respect, un jour particulier. Le chèche indigo est fait à partir du lin, souvent avec un tissage complexe. Il est porté les jours de fête (et les jours de froid car il est plus chaud que le chèche en coton). Sa teinture tend à déteindre sur la peau, donnant au Targui le surnom d'homme bleu. Le cérémonial du thé chez les Touaregs est une manière de montrer l'hospitalité, et un prétexte pour discuter avec le visiteur de passage. Il n'est pas très poli de refuser un thé ou de ne pas boire les trois thés. En effet les mêmes feuilles de thé vert sont utilisées pour confectionner trois services de la suite. Le premier thé est amer comme la vie, le second est fort comme l'amour et le dernier est doux comme la mort. En somme, voyager dans le désert relève d'une expérience intime, voire d'une rencontre avec l'inconnu ; en tout cas quelque chose de très fort qui vous domine et vous échappe. On portera toujours le désert en soi, car il offre un terrain idéal pour mieux se connaître, il renvoie à l'essentiel ; là-bas tout devient d'une incroyable évidence, et c'est ainsi qu'il aide à mieux supporter le stress de la vie quotidienne. Le Sahara est l'endroit où la réalité se déguise en mythe. C'est aussi l'endroit où l'on trouve ce qu'on passe toute une vie à chercher : la découverte de soi.
N. B.

Un label du patrimoine européen



Culture : Un label du patrimoine européen
[Fenêtre sur l'Europe]
La Commission européenne a adopté le 9 mars 2010 une proposition visant à établir un Label du patrimoine européen. Ce label vise à mettre en valeur des sites qui ont marqué l'histoire et la construction de l'Union Européenne.
Les objectifs du Label du patrimoine européen sont de renforcer le sentiment d’appartenance à l’Union européenne chez les citoyens européens, en s’appuyant sur l’histoire et le patrimoine qu’ils partagent de même que sur la valeur de la diversité, et d'encourager le dialogue interculturel. À cette fin, le label vise à mettre en valeur des sites qui ont marqué l’histoire et la construction de l’Union européenne et à les promouvoir. Par la même occasion, il devrait aider les citoyens européens à mieux comprendre la construction de l’Europe ainsi que leur patrimoine culturel commun – et néanmoins diversifié –, en particulier les valeurs démocratiques et les droits de l’homme qui sous-tendent l’intégration européenne. La proposition de la Commission fait suite aux conclusions adoptées par le Conseil des ministres de l’Union européenne le 20 novembre 2008 et qui invitaient la Commission européenne à lui soumettre une proposition appropriée portant création par l’Union européenne d’un “Label du patrimoine européen” et précisant les modalités pratiques de mise en œuvre de ce projet. Le concept initial de «Label du patrimoine européen» est né en 2005, comme un moyen de combler le fossé séparant l’Union Européenne de ses citoyens. Ce fossé s’est creusé, dans une large mesure, en raison de la méconnaissance de l’histoire européenne, du rôle de l’Union Européenne et de ses valeurs. L'initiative a été lancée officiellement en avril 2006 par plusieurs pays européens, sur une base intergouvernementale. L’objectif était d’exploiter le potentiel du patrimoine culturel pour renforcer le sentiment d’appartenance à l’Europe chez les citoyens et favoriser un sentiment d’identité européenne. À ce jour, soixante-quatre sites ont obtenu le label. À la suite de l’adoption des conclusions du Conseil et de la demande des États membres de transformer l'actuel Label du patrimoine européen intergouvernemental en une action formelle de l’Union européenne, la Commission européenne a réalisé une analyse d’impact. Cette analyse d'impact a montré que le label présentait un potentiel élevé, mais que ce potentiel ne pouvait être exploité pleinement dans le cadre des modalités intergouvernementales. Elle a également démontré que l’intervention de l’Union européenne créerait une véritable valeur ajoutée et aiderait l’initiative à gagner en qualité et, partant, à produire des effets tangibles. La proposition de la Commission pour une Décision du Parlement européen et du Conseil introduit de nouveaux critères communs, clairs et transparents pour le label qui seraient appliqués par tous les Etats membres participants (la participation des Etats membres se ferait sur une base volontaire). De nouvelles procédures de sélection et de monitoring assureraient que seuls les sites les plus pertinents obtiendraient le label et que le label puisse être retiré des sites ne respectant plus les critères. La mise en œuvre de l’action par la Commission assurerait une plus grande stabilité et permettrait ainsi à l'expertise et à l'échange des bonnes pratiques de se développer au niveau européen à travers notamment la mise en réseau des sites labellisés. Ceci devrait permettre de renforcer la crédibilité, la visibilité et le prestige du label. Une attention toute particulière a été accordée lors de la préparation de la proposition à la valeur ajoutée du Label du patrimoine européen par rapport aux autres initiatives internationales dans le domaine du patrimoine culturel, telles que par exemple la Liste du patrimoine mondial de l'UNESCO ou les Itinéraires culturels du Conseil de l'Europe. Cette valeur ajoutée est fondée sur le fait que le nouveau Label du patrimoine européen ne serait attribué qu'à des sites ayant joué un rôle clé dans l'histoire de l'Union Européenne. Il ne récompenserait pas la beauté d'un site ou sa qualité architecturale, mais sa valeur symbolique pour l'intégration européenne. Enfin, il ne concernerait pas la restauration ou la conservation d'un site en tant que telle, mais les activités mises en œuvre par ces sites et leur dimension éducative, tout particulièrement pour les jeunes. Après son adoption par le Parlement européen et le Conseil, la proposition de la Commission pourrait entrer en vigueur en 2011 ou 2012.

Google signe un accord avec l'Italie



L'Etat italien a signé, mercredi 10 mars, à Rome, un accord avec le géant de l'Internet Google afin qu'il numérise et mette en ligne un million de volumes, publiés avant 1860, appartenant aux bibliothèques de Rome et de Florence. C'est la première fois que la firme californienne parvient à un tel résultat, qui lui donne également accès à toutes les bibliothèques nationales de la PéninsuleLe ministre italien des biens et des activités culturelles, Sandro Bondi, a salué "l'ouverture d'une nouvelle voie pour la culture, l'entreprise et les nouvelles technologies". Mario Resca, directeur général pour la valorisation du patrimoine, a insisté sur la "mise en sécurité" des ouvrages en rappelant les dommages causés par la terrible inondation de Florence en 1966.
Pour Google, qui a engagé des tractations avec l'Italie depuis août 2008, cet accord est aussi une victoire politique. Jusqu'à présent le groupe américain - qui a déjà conclu des accords de numérisation avec une quarantaine de bibliothèques, dont huit européennes - n'était jamais parvenu à une entente avec un Etat.
Souvent présenté comme un prédateur culturel plus occupé de faire main basse sur le patrimoine que de le mettre en valeur, Google fait l'objet d'une plainte aux Etats-Unis déposée par Microsoft, Yahoo!, Amazon, ainsi que par des éditeurs. Ils soupçonnent l'entreprise de vouloir s'accaparer la lecture sur Internet et "d'ouvrir un grand magasin" dont il aurait le monopole d'accès.
En France, où Google a signé un accord avec la bibliothèque de Lyon, la société américaine - elle convoitait la numérisation d'une partie des fonds de la "BN", la Bibliothèque nationale de France - a été jugée trop "conquérante", par le ministre de la culture, Frédéric Mitterrand. "Beaucoup lui ont ouvert la porte en signant des accords que je trouve inacceptables. Ils reposent sur une confidentialité excessive, des exclusivités impossibles, des clauses désinvoltes, voire léonines au regard du droit d'auteur", a-t-il déclaré au Monde le 13 janvier.
Dans ce contexte, l'accord signé à Rome vient à point pour Google. Les négociations, menées dans la discrétion, n'ont soulevé aucune polémique. Google ne numérisera que des livres imprimés avant 1860 - c'est-à-dire tombés dans le domaine public - afin de respecter la législation sur le droit d'auteur, question qui préoccupe aussi la Commission européenne. Pour réaliser cette tâche - cela devrait prendre deux ans - le groupe installera un centre de numérisation en Italie qui, selon le ministre transalpin de la culture, devrait employer 100 personnes. Nikesh Arora, directeur du développement de Google, a pris grand soin, au cours de la conférence de presse, de faire vibrer la corde de l'orgueil national en évoquant "la diffusion de l'exceptionnel patrimoine culturel de la Péninsule". Plus prosaïque, il n'a pas caché son souhait que ce "précédent italien" soit suivi "d'autres projets tout aussi importants dans le reste de l'Europe". Selon un responsable de la société, Google, qui veut diversifier l'offre linguistique de sa bibliothèque virtuelle, est intéressé par les fonds d'Europe de l'Est.
Paradoxalement, cet accord intervient dans un climat de défiance entre l'Italie, Google et l'Internet en général. Trois cadres de la société ont été condamnés en première instance par un tribunal de Milan, le 24 février, à six mois de prison avec sursis pour avoir violé la vie privée d'un enfant italien atteint d'autisme en laissant publier, sur Google Video, une séquence où on le voyait maltraité par des élèves de son école. Google a estimé que ce verdict "posait la question essentielle de la liberté sur laquelle Internet a été construit".
En janvier, l'entreprise américaine s'est aussi alarmée des répercussions de l'adoption d'un décret par le Parlement italien qui oblige les sites diffusant des contenus audiovisuels à demander une autorisation préalable au ministère des communications. Les responsables de Google, propriétaire du site de partage de vidéos YouTube, se sont déclarés "inquiets" de cette nouvelle mesure.
Philippe Ridet

Plein feux sur le Maghreb



Plan solaire marocain : plein feux sur le Maghreb La France et le Maroc ont convenu de mettre en place un partenariat institutionnel, technique et financier afin d’assurer le succès du Plan Solaire Marocain : 2 GW d'énergie solaire d'ici à 2019.
Le ministre de l'environnement français Jean-Louis Borloo et le ministre de l’Énergie marocain Amina Ben Khadra ont inauguré le Plan Solaire Marocain . Ce plan prévoit la construction d’une capacité de production électrique utilisant l’énergie solaire de 2GW entre 2015 et 2019. Un premier appel d’offre sera lancé dès cet automne pour construire et exploiter plusieurs centrales d’une capacité de 500 MW à Ouarzazate. Les objectifs du Plan Solaire Marocain sont cohérents avec ceux du Plan Solaire Méditerranéen (PSM), volet particulièrement important de l’Union pour la Méditerranée, qui vise à développer des projets de centrales électriques utilisant des sources d’énergies renouvelables sur les rives Sud et Est de la Méditerranée pour une production additionnelle totale de 20 GW d’ici 2020.Ce plan prend place alors que le gouvernement allemand a l'intention d'appuyer le projet Désertec. Un projet imaginé par un consortium d'entreprises et de banques allemandes qui a pour objet d'installer dans certains pays d'Afrique du Nord, des centrales solaires et des parcs éoliens qui couvriraient à terme 15 % des besoins énergétiques européens. Le ministre allemand de l'économie, Rainer Brüderle, a ainsi annoncé lundi à l'issue d'une rencontre avec les représentants de sociétés allemandes impliquées dans le projet, comme la Deutsche Bank, Siemens, E.ON et RWE, que le gouvernement prônait un renforcement des crédits Hermes à l'exportation afin de promouvoir l'initiative du projet international énergétique. Les participants à la réunion ont affirmé à leur tour qu'ils attendaient la collaboration d'autres sociétés et banques, notamment françaises, italiennes, néerlandaises, marocaines et tunisiennes. Le responsable du projet, Paul van Son, a déclaré que les premiers chantiers du réseau énergétique afro-européen pourrait commencer dans moins de dix ans et que son bon fonctionnement nécessiterait obligatoirement la création d'un nouvel itinéraire d'acheminement de l'électricité.

10e édition du Festival du film amazigh


Il est prévu du 15 au 20 mars à Tizi Ouzou
Organisé sous le haut patronage du président de la République, cet événement culturel grandiose verra l’entrée en compétition de pas moins de 13 films dont des longs métrages pour les premières places, selon le commissaire du festival, Si El-Hachemi Assad qui fait état de la participation à ce rendez-vous culturel de plus de 250 festivaliers. Un budget d’un montant global de l’ordre de 800 millions de centimes a été dégagé par le ministère de la Culture cette 10e édition de cette rencontre cinématographique pour laquelle les responsables de l’ENTV ont apporté leur soutien, notamment les moyens mis à la disposition des organisateurs. Ces derniers, à leur tête le commissaire du Festival culturel annuel du film amazigh, Si El-Hachemi Assad font cas d’une cagnotte d’un montant de 130 millions de centimes, dégagée pour la récompense des meilleurs réalisateurs, à la clôture de l’événement dont 40 millions de centimes pour le premier film. Les organisateurs de ce festival ont rappelé que depuis l’année 2005, la tutelle accorde beaucoup d’intérêt à cette manifestation culturelle dont notamment le soutien financier. Un soutien qui conforte notre démarche pour la promotion de la production cinématographique d’expression amazighe comme fondement essentiel de la culture nationale et comme apport et enrichissement à la culture universelle», selon les organisateurs. Pour eux, le fait de domicilier ce festival dans la wilaya de Tizi-Ouzou, c’est reconnaître la charge symbolique de l’identité amazighe de notre pays et sa contribution à l’essor de la culture algérienne dans ses dimensions, millénaire et contemporaine. Cet événement cinématographique, bien qu’ancré en Kabylie poursuivra tout au long de l’année des panoramas itinérants à travers les quatre coins de l’Algérie pour offrir au large public principalement les mordus du 7e art, des films nationaux et internationaux mais aussi des sessions de formation et des initiations pédagogiques, selon toujours les organisateurs. Rappelant que pour la présente édition, il a été prévu une déconcentration et une décentralisation des activités. Ainsi, plusieurs localités de la wilaya de Tizi-Ouzou pourront voir des films en tamazight et d’autres en langue nationale et, étrangères. Pour ce rendez-vous culturel, la présente édition de ce festival sera rehaussée par la présence de Roumains en qualité d’invités d’honneur, succédant ainsi aux irlandais, Libanais, Helvétiques (Suisse) et, Iraniens.En quelques années seulement, le Festival du film amazigh est devenu le rendez-vous incontournable des cinéphiles, des amateurs et des professionnels du 7e art, aussi bien algériens que maghrébins, a noté la ministre de la Culture, Mme Toumi, dans son message. «Né dans des conditions difficiles, le festival a su s’imposer grâce au ferme engagement de ses organisateurs, de ses animateurs et du public fidèle, mais aussi grâce au soutien indéfectible des institutions de l’Etat et de Son Excellence, le président de la République qui accorde pour la cinquième année consécutive, son haut patronage à ce rendez-vous cinématographique majeur.»Notons, par ailleurs, que pour cette édition, la présidence du jury a été confiée au romancier et scénariste, Akli Tadjer. Et qu’à la veille de l’ouverture de ce festival, soit le 14 du mois en cours, les responsables ont prévu l’organisation d’un colloque international en hommage à Mouloud Feraoun, dans le cadre des activités de ce rendez-vous culturel. Avec en prime, la projection en avant-première d’un documentaire d’Ali Mouzaoui sur la vie de l’auteur du Fils du pauvre. Deux chanteurs, Cherif Kheddam et Kamel Hammadi y assisteront en tant qu’invités d’honneur à ce rendez vous culturel.Rabah M.
11-03-2010

Le secteur de la PME en plein essor


Mustapha Benbada
L’Algérie compte plus de 450 000 petites et moyennes entreprises dont 30 000 ont été crées en 2009, a indiqué hier Mustapha Benbada, ministre de la PME et de l’Artisanat. «Le nombre de PME existant en Algérie est passé de 110 000 en 2001à 180 000 en 2008 à 455 000 au cours de l’exercice 2009 » a encore précisé le ministre sur les ondes de la Chaîne I, dont il était l’invité de l’émission Tahaoulet. Ceci pour M. Benbada reflète «le dynamisme et l’avancement de ce secteur notamment dans les dix dernières années», mais toutefois, ce nombre est dérisoire par rapport aux potentiels réels du pays, a t-il ajoute. Le ministre a en outre rappelé que les pouvoirs publics ont mis en place un riche programme d’accompagnement pour un développement durable de la PME, et ce à travers divers démarches de sensibilisation et de promotion des entreprises de sous-traitance, créatrices de richesses et d’emploi. Concernant le programme de mise à niveau des PME algériennes, le ministre a dit que «cette démarche qui vise à mettre à niveau environ 200 000 unités est en cours d'élaboration par le ministère de la PME et celui de l'Industrie et de la Promotion des investissements (MIPI)».En affirmant que «nous sommes en train de mettre en place un programme national unique de mise à niveau des entreprises qui concernera à la fois le ministère de la PME et de l'Artisanat et celui de l'Industrie et de la Promotion des investissements». Il a jouté qu’une enveloppe de 200 milliards de DA, sera allouée à cet effet. S’agissant du nouveau code des marchés, le ministre a réaffirmé qu’il sera incessamment présenté au gouvernement, en faisant savoir que la nouvelle mouture prévoit un meilleur accès aux marchés publics pour les entreprises algériennes. Outre la caution de bonne exécution qui sera étalée sur le temps, l’allègement de la caution de garantie, l’encouragement du gré à gré au profit de l’entreprise publique, l’introduction de l’allotissement des projets, la suppression de certaines exigences, Mustapha Benbada a affirmé que la nouvelle loi, une fois promulguée, portera notamment sur l’augmentation du taux de la préférence nationale passant de 15% à environ 20 ou 25%, et sur la possibilité de lancer des appels d’offres exclusivement nationaux «lorsqu’il s’agit d’un marché petit ou moyen» alors que la réglementation en vigueur exige des appels d’offres nationaux et internationaux pour tous types de marchés, a expliqué le ministre. L’amendement du code des marchés publics «vise aussi à permettre à des entreprises spécialisées d’accéder à un même grand marché et à encourager le lancement d’avis d’appel d’offres restreints entre entreprises spécialisées notamment publiques» a-t-il expliqué.Nassima B.
11-03-2010Nassima B.

La production d’olives à huile en Algérie



La production d’olives à huile en Algérie en baisse

La production d’olives à huile en Algérie a reculé de plus de un million de quintaux par rapport à l’année dernière.jeudi 11 mars 2010.
C’est ce qu’a indiqué hier M. Amar Assabah, directeur de la régulation et du développement des productions agricoles au ministère de l’Agriculture et du Développement rural. M. Assabah a expliqué que le recul de la production d’olives à huile en Algérie est dû, notamment, « aux insuffisances des conduites culturales, à l’effet de l’alternance, bien qu’il soit [parfois] contesté, ainsi qu’aux mauvaises conditions climatiques »… En revanche, il a été enregistré cette année une bonne récolte en olives de table, a-t-il ajouté hier, lors de son passage à la Chaîne III. La production de dattes, elle, a été bonne, atteignant 6,5 millions de quintaux, contre 6,2 millions de quintaux l’année dernière, soit une hausse de 8 %, selon le même responsable.
Concernant la production de pommes de terre d’arrière-saison, elle s’est située à plus d’un million de quintaux en Algérie et sera suivie par la production de primeurs, actuellement en cours de récolte, avec plus de 90 000 tonnes attendues. S’exprimant sur l’appel lancé la semaine dernière par le ministre du Commerce, M. El-Hachemi Djaâboub, pour l’arrêt de l’importation de blé dur, M. Assabah a expliqué que cela est motivé par le fait que les stocks de l’Office algérien interprofessionnel des céréales sont bien constitués, après la bonne récolte de la campagne 2008-2009 et les importations qui étaient venues en appoint. Ainsi, « les stocks sont là. Ils permettent de faire face aux besoins de la population pour une bonne période », a-t-il insisté.
Synthèse de Mourad, www.algerie-dz.com D’après le Jeune Indépendant

E-Mediterranee


PME-PMI Tanger,Europe Maroc




Les instruments européens au service des PME-PMI marocaines est le thème d’un séminaire économique dont les travaux ont été ouverts, lundi à Tanger, avec la participation de plus de 200 entreprises et opérateurs économiques de la région de Tanger-Tétouan.
Baptisée "Eurosymposium 2004", cette manifestation, la troisième après celles de Casablanca (juin 2003) et Marrakech (janvier 2004), est destinée à la promotion des instruments de coopération économique et financière auprès des représentants des entreprises et des organisations professionnelles de la région.
A l’ouverture de cette rencontre, le président de la Chambre de commerce, d’industrie et de services (CCIS) de la wilaya de Tanger, M. Brahim Dehbi, a souligné l’importance de ce séminaire consacré à la présentation des outils d’accompagnement, d’assistance et de conseil pour la mise à niveau de l’entreprise du Nord.
Dans un contexte économique marqué par la mondialisation des échanges, la mise à niveau est un pari vital que l’entreprise se doit de relever pour l’amélioration de ses facteurs de compétitivité, a-t-il estimé, ajoutant qu’il importe à l’entreprise marocaine d’établir un diagnostic approfondi pour déterminer ses forces et ses faiblesses et anticiper sur les impacts du démantèlement tarifaire.
Le tissu des PME au Maroc est essentiellement handicapé par le problème du financement avec son cortège de contentieux dont souffrent les banques, a de son côté indiqué le président du conseil régional de Tanger-Tétouan, M. Badelhadi Benallal, qui a mis l’accent sur l’impératif d’imprimer davantage de célérité et d’efficacité à l’action de la justice et d’alimenter l’entreprise de cadres compétents afin de surmonter la morosité qui caractérisent certains secteurs.
Revenant sur le dynamisme formidable des PME de la région, il a néanmoins déploré leur concentration géographique sur Tanger qui s’accapare 86 pc du nombre d’unités industrielles (contre 8 pc à Larache et 6 pc à Tétouan), en raison du manque d’infrastructures et d’avantages fiscaux dont souffre la périphérie.
A ces problèmes structurels s’ajoute la floraison de l’activité informelle qui, selon une étude du Haut commissariat au plan, concerne près de 113 mille unités industrielles de la région de Tanger-Tétouan, participe à la création de 168 mille emplois et réalise un chiffre d’affaires de 16,5 milliards de DH par an, a-t-il expliqué.
Dans un contexte pareil, il serait intéressant d’examiner les raisons profondes de la frilosité des PME-PMI vis-à-vis des instruments d’accompagnement et d’assistance européens, a de son côté enchaîné M. Mounir Chraïbi de la CGEM (section Nord), qui, tout en déplorant les demandes excessives de garanties exigées par les banques en matière de financement, a invité les instances européennes à revoir les conditions d’accès à certains fonds et autres lignes de crédit.
Mais, avec toutes la sensibilité que revêt le processus de la mise à niveau enclenché au Maroc, il importe de signaler que cette phase de transition est similaire à celle entamée par les pays membres de l’Union européenne dans leur passage vers l’intégration, a pour sa part fait observer l’ambassadeur de l’UE au Maroc, M. Sean Doyle, mettant en exergue les réformes profondes et les changements que connaît Royaume en vue de se donner les moyens de ses ambitions.
Animé par une pléiade d’experts économiques et financiers marocains et étrangers, ce séminaire a été ponctué d’une série d’exposés sur les lignes européennes de financement des PME, les fonds de garantie mis en place par les pays européens au service des PME-PMI et les différents programmes de coopération, de valorisation de la recherche, du management et de la mise à niveau, ainsi que sur les fonds d’appui aux associations professionnelles.
Cette manifestation est une initiative des missions économiques des ambassades de l’Union européenne et de France au Maroc en collaboration avec la CCIS de Tanger, la CGEM (section Nord), l’Association de la zone industrielle de Tanger (AZIT), l’Association marocaine des industries du textile et de l’habillement (AMITH, section Nord), le centre régional d’investissement et l’Union des PME-PMI (section Nord).
MAP