阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门
指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Monday, March 22, 2010

Le Médiateur européen nouveau site interactif


Toudja musée de l’eau



Mme Bouhired inaugure le musée de l’eau
, Si Toudja n’existait pas, il aurait fallu l’inventer. C’est, en fait, une ville vestige où les monuments et sites se comptent à la pelle et où aussi l’eau coule de partout et à flots et déjà dans l’antique salade médiévale. Toudja desservait tout le bassin béjaoui de son eau minérale captée et livrée à travers un aqueduc qui 2 000 ans passés qui étonne encore par sa conception. L’association Gehiouab pur l’étude sur l’histoire des mathématiques à Béjaïa qui œuvre pour la connaissance du patrimoine de la ville antique, a pour cette fois-ci piloté ce projet de la maison de l’eau. Même si les locaux où il est installé sont inappropriés (l’ex-Souk El-Fellah), il n’en demeure pas moins qu’il restera cet espace autant historique, culturel, scientifique et touristique. Des vestiges de sources, de l’aqueduc romain, le pont de Tihnaine, le tunnel de Lahbel, des citernes, des thermes de Tiklat, le cippe romain. L’inauguration a vu la pésence de Mme Djamila Bouhired et d’une foule importante d’officiels qui ont eu droit aussi à une visite à travers, cette foi-ci, la route de l’eau. Celle-ci va de Toudja à Tiklat via Toudja. Notons aussi que ce musée est le premier de son genre en Algérie. B. M.-O.

Le programme quinquennal 2010-2014 l’intérêt des PME allemandes



Le programme quinquennal 2010-2014 focalise l’intérêt des PME allemandes
? Les hommes d’affaires de Bade-Wurtemberg (sud-ouest de l’Allemagne) s’intéressent au marché algérien des BTP. C’est ce qui ressort de la conférence de presse animée, hier, à l’occasion de la visite du ministre délégué au ministère de l’Economie du Land de Bade-Wurtemberg, Hans Freudenberg, accompagné d’hommes d’affaires allemands. Composée de quatre entreprises allemandes activant dans le BTP, à savoir Albert Sperber GmbH, Hauraton GmbH, Ingenieurburo Werner+Balci et Nattler architekten, la délégation veut booster les opportunités du marché algérien du BTP, a indiqué M. Freudenberg tout en ajoutant que «nous souhaitons un partenariat durable avec l’Algérie et sommes intéressés par une coopération à long terme».Donnant un aperçu sur l’économie du Land de Bade-Wurtemberg, M. Freudenberg souligne que «cette fédération est le premier exportateur allemand». En 2009, elle a exporté prés de 25 millions d’euros dont 17% à destination de l’Algérie. Son tissu industriel est composé de petites et moyennes entreprises, dont 4,5% est spécialisé dans le BTP. Evoquant le marché algérien, il l’a estimé «intéressant et prometteur». L’Algérie dispose d’un grand potentiel de coopération notamment avec le lancement du programme quinquennal 2010-2014 prévoyant d’énormes projets, entres autres, ceux lancés dans le secteur de l’habitat et des travaux publics. De ce fait, le ministre allemand a indiqué que le Land Bade-Wurtemberg «souhaite prendre part, notamment, à la réalisation du 1 million de logements et de la soixantaine d’hôpitaux annoncée pour le quinquennat 2010-2014». Intervenant à son tour, un représentant du ministère des Travaux publics, Abdelkader Lahmar, a affirmé que «l’envergure du programme de développement mis en œuvre est au-delà des capacités de l’outil national, nécessitant des apports externes que nous voulons de qualité technique et managériale très évoluée». Et de relever que les instituts spécialisés en management des grands projets et les laboratoires de matériaux, en voie de lancement en Algérie, «exigent» des partenariats scientifiques durables. Cela étant, il relèvera que les matériels et l’outillage indispensables aux mises à niveau des entreprises et des bureaux d’études techniques impliquent la «fidélisation des partenaires et des fournisseurs». B. A.
23-03-2010

Algerie Guelma




Des programmes supplémentaires pour renforcer le réseau routier



Le ministre des travaux publics qui était en visite dimanche dans la wilaya de Guelma, a annoncé que cette wilaya bénéficiera prochainement de programmes supplémentaires destinés à renforcer le réseau routier et à réaliser des ouvrages d'art. Et d'ajouter que ces programmes "consacrent les efforts remarquables déployés par le secteur des travaux publics dans cette wilaya". Cette dernière bénéficiera, au titre de l'année 2010, selon le ministre, de pénétrantes vers l'autoroute Est-Ouest, en direction d'Annaba et de Constantine, ainsi que d'un projet d'entretien des routes nationales et des chemins de wilaya. Il est également prévu, a ajouté M. Ghoul, la construction et l'équipement de deux nouvelles maisons cantonnières qui s'ajouteront aux 9 structures similaires déjà lancées en travaux dans le cadre du programme quinquennal 2005-2009. Le ministre a également indiqué que la wilaya de Guelma bénéficiera de la construction d'un parc d'engins de travaux publics, d'une pépinière destinée aux besoins du secteur, notamment pour boiser le voisinage des infrastructures, ainsi que d'autres projets d'ouvrages d'art visant à éliminer des "points noirs" au niveau du réseau routier. M. Ghoul a supervisé, au cours de cette visite, l'achèvement de plusieurs projets inscrits au titre du programme quinquennal 2005-2009, réalisés, selon lui, dans des conditions "satisfaisantes" pour permettre le lancement des programmes de l'année 2010. Le renforcement de la RN 102 reliant Oued Zenati à Tamlouka, une opération qui a mobilisé une enveloppe de 318,6 millions de dinars et dont la première tranche de 15 km est achevée, a été inspecté par le ministre qui s'est enquis du lancement de la tranche suivante qui sera lancée, selon les responsables locaux du secteur, "dans les tout prochains jours". Un projet analogue, portant sur le renforcement de la RN 20 entre Guelma Mezedj Amar sur une distance de 18 km, pour un coût de 693,8 millions de DA a également été inspecté par le ministre qui a reçu des explications relatives à la construction d'un futur échangeur entre la RN 20 et la RN 80, desservant la ville de Skikda. Cette infrastructure, longue de 33 m pour 5 m de hauteur, sera livrée "dans le courant de cette année". Une trémie est également annoncée pour le réseau routier urbain de la ville de Guelma. D'une longueur de 300 m pour 8 m de large, cette infrastructure permettra d'éliminer "un dangereux point noir" au niveau du carrefour du carré des Chouhada. M. Ghoul a également visité le nouveau siège de la direction des travaux publics qui couvre 1.000 m2 dont 828 m2 bâtis, comptant 31 bureaux, une salle de conférence et d'autres dépendances. Avant de poursuivre sa tournée dans la wilaya voisine de Souk Ahras, le ministre a inspecté deux ouvrages d'art récemment réceptionnés moyennant une enveloppe de 96 millions de dinars, sur la RN 19.R.R.

El-Tarf l'arboretum du lac Tonga




L'arboretum du lac Tonga ouvert au public



L'arboretum du lac Tonga dans la wilaya d'El-Tarf est ouvert au public depuis le week-end dernier à l'occasion de la célébration de la journée mondiale de l'arbre, a indiqué dimanche le directeur du parc national d'El-Kala (PNEK) à l'APS. Partie intégrante de ce dernier, ce sanctuaire de la biodiversité attire, depuis son ouverture, de très nombreux citoyens, mordus de la nature ou simples promeneurs, notamment des jeunes avides de découverte et de détente dans un milieu propre et préservé. Cet arboretum qui s'étend sur une dizaine d'hectares en bordure de la RN 44 et qui regroupe un ensemble d'arbres rares et un sous-bois fourni, est une véritable curiosité pour les visiteurs, généralement accompagnés de guides du PNEK qui leur fournissent volontiers des explications quant à l'origine de certains arbres hauts de plus d'une vingtaine de mètres, et les renseignent sur la fonction des polypodes (type de fougères que l'on appelle aussi réglisse des bois) que l'on ne rencontre que dans cet espace. Au milieu de cette végétation fournie, constituée d'espèces nobles et souvent rares comme l'acacia, l'aulne, l'orme blanc et le saule, les connaisseurs (mais pas seulement) s'intéressent tout particulièrement aux cyprès chauves ramenés des Etats-Unis d'Amérique au 17e siècle. Originaire du sud-est des USA, emblème de l'Etat de Louisiane, cet arbre au feuillage léger, gracieux et souple, formé de feuilles claires disposées en spirales, peut mesurer jusqu'à une cinquantaine de mètres. Les visiteurs qui pénètrent pour la première fois à l'intérieur de cet espace ombragé peuvent également découvrir toute une panoplie de plantes ligneuses et herbacées, médicinales, cosmétiques et autres fleurs rares. Pouvant constituer un véritable "temple" pour l'écotourisme, l'arboretum du lac Tonga, partie intégrante du PNEK, est une alternative au tourisme de haut standing. Il ne nécessite en effet que l'organisation de randonnées pédestres de découverte qui pourraient s'étendre à tout le parc national et sa superficie de 54.000 hectares. Les amateurs de VTT (vélo tout terrain), d'oiseaux d'eau et de bivouacs en forêt ne peuvent qu'y trouver leur bonheur. C'est le cas d'un visiteur venu tout droit, en famille, depuis la région de Sétif, visiblement enthousiasmé après avoir effectué un tour à l'intérieur de l'arboretum: "j'étais franchement loin de me douter que de tels endroits pouvaient exister en Algérie. Il n'y a pas à dire, l'algérien doit avant tout découvrir son pays au lieu de songer à partir ailleurs". Selon ce promeneur, plutôt habitué à la rudesse du climat des Hauts plateaux, "ce genre de tourisme de découverte, scientifique et culturel est à la portée de toutes les couches sociales durant les quatre saisons". Ayant pu découvrir, au gré de ses pérégrinations, de nombreuses autres régions du pays, il assure que chaque coin d'Algérie offre une particularité : le plaisir de la mer et de la forêt en été, les randonnées pédestres et équestre au printemps, l'observation des oiseaux d'eau en hiver et en automne... Participant de bonne grâce à la distribution de plantes d'ornement, remises gratuitement aux visiteurs et aux passants, le directeur du PNEK, M. Moncef Bendjedid, après avoir lancé un "appel pressant" pour la sauvegarde des lieux par un comportement "responsable, respectueux et citoyen", assure que l'arboretum de Tonga demeurera désormais ouvert pour tout visiteur et tout touriste avide de découverte, de détente et de loisirs sains.R.R.

Viadeo réseau professionnel aux applications tierces




CommentCaMarche
Viadeo : Ouverture du réseau professionnel aux applications
Viadeo propose à ses membres d’enrichir leur profil avec des applications développées par la plate-forme OpenSocial de Google. Le réseau s’ouvre ainsi aux développeurs externes, tout en répondant aux nouvelles attentes des professionnels. Viadeo et l’initiative OpenSocial Viadeo, premier réseau social professionnel en Europe, a annoncé hier que ses membres pourraient intégrer à leur profil des applications tierces développées par la plate-forme de Google. Viadeo encourage les développeurs à soumettre leurs applications au format OpenSocial et à vocation professionnelle. Open Social met à disposition des développeurs un ensemble d’APIs (Application Programming Interfaces) pour créer des applications compatibles avec les membres du programme, autrement dit sites, blogs et réseaux sociaux. Les spécificités techniques de chacun d’entre eux ne constituent plus un frein au développement. OpenSocial et ses applications à vocation professionnelle Les premières applications OpenSocial sélectionnées par Viadeo pour mieux personnaliser votre profil sont les suivantes : - Google Presentation, pour le partage de diaporamas Powerpoint. - Ayos Ishare, pour le téléchargement direct de documents (plaquettes de présentation, dossiers de presse, etc.) - Wipolo, pour centraliser et partager en temps réel toutes les informations relatives à vos voyages. - Poll Daddy, pour la création et la publication de sondages grâce à un outil de statistiques. - Twitter, pour accéder à votre compte et diffuser vos tweets. - YouTube, pour afficher des vidéos hébergés par le site (démonstration de produits, reportages, etc.). Plus d’informations sur Open Social.

Algérie l’enjeu du transfert de technologie



L’Algérie face à l’enjeu du transfert de technologie
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A maintes reprises, le Président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, n’a eu de cesse de rappeler aux citoyens la nécessité de mettre à niveau l’économie du pays dans une logique d’équation entre le développement et la recherche. Il est, en effet, impensable de relever certains défis de l’heure, notamment la performance des PME et PMI, facteurs de croissance, la productivité et le développement du pouvoir d’anticipation sur les aléas de la conjoncture, comme cela est le cas face à la crise économique mondiale, sans l’effort de décloisonnement des économies et d’harmonisation des moyens de production dans les normes requises. Il est clair que, contrairement au passé, les enjeux sur le développement ne se jouent plus sur l’accès ou le non accès à la technologie, mais plutôt sur les capacités de maîtrise de celle-ci et la haute qualification des ressources humaines qui lui sont mobilisées dans le pays.Alors que l’université algérienne ne cesse de livrer au pays, annuellement, des masses importantes d’ingénieurs et de techniciens dans les différents filières, formés en Algérie et ailleurs, de nombreuses infrastructures voient le jour chaque année pour donner une assise matérielle au savoir, à la science et à la technologie. A la faveur d’une visibilité fiable ayant été développée depuis la décennie précédente, l’Algérie, en matière d’infrastructures technologiques, s’enorgueillie aujourd’hui d' avoir réalisé des mégas projets n’ayant rien à envier à ceux que l’on retrouve dans les pays émergents. A l’image du Centre de développement de la technologie avancée, des structures nationales assurent des actions de recherche scientifique, d’innovation technologique, de valorisation et de formation dans les domaines des sciences et des technologies d’information sont menées partout dans le pays. Aussi, des technologies industrielles et de la robotique, des dépôts et des traitements des matériaux, voire des applications et des technologies des lasers sont déposées. A Sidi Abdallah (30 km d’Alger), nous assistons à la naissance d’un cyberparc dédié aux TIC pour accueillir des incubateurs, des chercheurs et des entreprises. Le Cyberparc d'Alger sera un parc technologique de classe mondiale qui offrira une infrastructure de pointe et des services aux entreprises et institutions. Pionnière dans le domaine, et en collaboration avec ses partenaires locaux et internationaux, cette infrastructure servira de plaque tournante pour la grappe des TIC. Le Centre africain des TIC sera bientôt lancé, et s’étendra sur plus de 9 ha dans la zone est du périmètre d’urbanisation de la ville nouvelle de Sidi Abdellah. Sa réalisation en Algérie fait suite au partenariat signé en mars 2006 par le Président Abdelaziz Bouteflika et son homologue coréen Roh Moo Hyun. Ce Centre doit promouvoir les recherches et développement en TIC et autres technologies avancées, mettre en place des programmes de recherche et de développement, organiser des relations entre les universités, les centres de recherche, les laboratoires et les entreprises nationales et internationales, faciliter les échanges de post graduant et de chercheurs, et, enfin, inviter des étudiants et des stagiaires des pays du continent africain. Ce centre africain des TIC va sûrement créer un réseautage nécessaire des experts et chercheurs africains, et, surtout, former les experts, le consultants et les chercheurs nécessaires pour les pays africains. Sachant que le processus de transfert de technologie ne saurait aboutir qu’à la faveur d’actions de partenariats satisfaisantes avec les différents pays détenteurs de hautes technologies, l’Algérie a su tirer profit du confort de sa place régionale et internationale pour négocier à la faveur des intérêts de la nation, de nombreuses situations de transfert du savoir et de la technologie. Ainsi en a été le cas pour son industrie dont certaines se sont déjà doté de laboratoires de recherches afin de placer leurs produits et services dans les marchés internationaux. Il est clair que pour évoluer vers une économie diversifiée, la dynamisation du rapport entre l’entreprise et l’innovation est fortement recommandée pour notre pays qui doit relever le défi de la compétitivité mondiale pour s’assurer une digne d’un pays en voie d’émergence.Z. M.

USA la réforme de la santé votée une date historique



Amériques
USA: la réforme de la santé votée après un siècle d'espoirs déçus

AP 22.03.2010 17:41
La réforme de la couverture maladie adoptée par la chambre des représentants dimanche marque un succès historique pour Barack Obama après un an de débats enflammés, des décennies d'échecs et un siècle d'espoirs déçus sur le dossier de l'assurance-maladie aux Etats-Unis.
Le plan de Barack Obama devrait rester comme l'une des mesures les plus importantes jamais adoptées sur le plan intérieur, à l'instar du régime public des retraites (Social Security) et des programmes publics d'assurance santé pour les personnes âgées et les pauvres (Medicare et Medicaid).
Barack Obama a désormais en commun avec son lointain prédécesseur Lyndon Johnson le fait d'être l'un des deux seuls présidents à avoir réussi à faire passer une loi fondatrice sur la santé. Pour "LBJ", c'était le Medicare en 1966.
Lors de la promulgation du Medicare à Independance, dans le Missouri, Johnson avait signé le texte en présence du tout premier Américain à s'inscrire au programme: l'ancien président Harry Truman, qui avait vu la fin de la Seconde Guerre mondiale mais n'avait pas réussi à instaurer une couverture santé nationale.
"Des soins pour les malades, de la sérénité pour ceux qui ont peur", avait déclaré Johnson ce jour-là. "Dans cette ville et dans un millier de villes comme celle-ci, il y a des hommes et des femmes dans la souffrance qui vont maintenant trouver le soulagement."
Des freins culturels expliquent que la réforme voulue par Barack Obama ait été si difficile à faire passer. Les Américains ont en effet tendance historiquement à ne compter que sur eux-mêmes et à se méfier d'un Etat fort dont ils craignent les intrusions dans leur vie.
En 1854, le président Franklin Pierce avait mis son veto à une loi sur la santé mentale, arguant que l'Etat n'avait pas à s'occuper de la santé, un domaine qu'ils considérait comme purement privé. En 1929, l'Association américaine de médecine dénonçait des propositions de services médicaux organisés comme une "incitation à la révolution" entre les mains de "soviets médicaux"...
Cette réticence à l'intervention de l'Etat explique l'échec à réformer le système de santé au fil des décennies. Les présidents Teddy Roosevelt et Franklin Roosevelt n'ont pas été en mesure de la réaliser, même s'ils ont marqué par ailleurs l'histoire du pays.
Pourtant les choses ont évolué vers une plus grande prise en charge de l'Etat. En 1930, près de 80% des frais de santé étaient assumés par les seuls patients. Aujourd'hui, les autorités fédérales et locales couvrent la moitié de ces dépenses. Ce rôle croissant des pouvoirs publics montre que l'individualisme n'est pas la seule valeur qui compte aux Etats-Unis, où la notion de solidarité est également importante.
Avant Barack Obama, le président républicain Richard Nixon avait fait siennes des idées aujourd'hui farouchement combattues par les républicains et figurant dans la réforme adoptée dimanche. Il était ainsi prêt à obliger les entreprises à fournir une couverture à leurs employés, sous peine de lourdes amendes, et entendait subventionner l'assurance-santé des travailleurs pauvres.
Reste qu'il échoua à réformer le système de santé. Tout comme Bill Clinton, dans les années 90. S'appuyant sur son expérience, M. Clinton a conseillé en décembre aux démocrates de faire passer un texte même imparfait, les mettant en garde contre la logique du tout ou rien. "L'Amérique, a-t-il dit, ne peut se permettre de laisser la perfection être l'ennemie du bien".
Barack Obama a retenu les leçons du passé. Privilégiant le pragmatisme à l'idéologie, il a renoncé à la création d'une couverture médicale publique. Un système qui a fait ses preuves ailleurs mais qui reste éloigné des valeurs traditionnelles américaines. AP

Lisbonne Portugal Algerie partenariat



Lisbonne prêt à investir en Algérie
AFP.
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Le Premier ministre portugais José Socrates a appelé lundi à Alger les entreprises de son pays à participer aux grands projets de développement de l'Algérie, notamment dans l'hydraulique et les énergies renouvelables. "Nous souhaitons aller plus loin dans le cadre du partenariat inter-entreprises pour relever les défis de la modernisation des infrastructures en Algérie", a-t-il déclaré à l'ouverture d'une rencontre d'hommes d'affaires algéro-portugais."Il y a un grand nombre d'entreprises portugaises qui souhaitent travailler en Algérie", a ajouté M. Socrates, en visite lundi à Alger. Il a également appelé la centaine d'hommes d'affaires portugais présents à la rencontre à avoir confiance en l'économie algérienne qui présente "un potentiel énorme en matière d'investissements". Selon le Premier ministre algérien Ahmed Ouyahia, l’Algérie s’apprête à lancer un deuxième programme quinquennal d’investissements publics d'un montant supérieur à 250 milliards de dollars. "L'Algérie vous invite à tirer profit de son programme d'investissements publics de plus de 250 milliards de dollars durant les cinq prochaines années, en vous associant aux entreprises algériennes publiques et privées", a déclaré M. Ouyahia."L'Algérie vous offre un financement local pour vos investissements chez elle et une main-d'oeuvre de formation élevée avec des salaires plus compétitifs par rapport à ceux appliqués en Europe", a-t-il ajouté. L'Algérie a lancé en 2005 un plan quinquennal d'investissements publics d'un montant de 140 milliards de dollars, destiné notamment au développement des infrastructures de base et à la construction de plus d'un million de logements.M. Socrates a été reçu par le chef d'Etat algérien Abdelaziz Bouteflika. L'Algérie et le Portugal sont liés par un traité d'amitié, de bon voisinage et de coopération, entré en vigueur en mars 2006.Source : AFP -->
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Journée mondiale de l'eau



La Journée mondiale de l'eau a été instituée par l'Organisation des Nations unies après le sommet de Rio en 1992. Elle se célèbre le 22 mars de chaque année avec des thèmes différents.À l'occasion de la journée mondiale de l'eau 2009, le CICR appelle les gouvernements à garantir un approvisionnement en eau potable et des systèmes d'assainissement décents aux civils qui vivent dans des zones de conflit. Dans de nombreux conflits armés, les maladies tuent davantage de civils que les balles

Béjaïa Toudja musée de l'eau




Inauguration d'un musée de l'eau à Toudja



A la veille de la Journée mondiale de l'eau, célébrée le 22 mars de chaque année, un musée de l'eau, "unique en son genre", a été inauguré samedi à Toudja, à 40 km à l'ouest de Béjaïa, célébrant essentiellement l'usage de l'eau dans la région durant l'époque romaine et les techniques ingénieuses développées alors pour acheminer, grâce à un aqueduc, de l'eau depuis le site antique de Tiklat jusqu'à la ville de Béjaïa. Implanté sur les lieux et place d'un ancien Souk-el-fellah, au coeur de la localité de Toudja, le musée se décline en un ensemble d'espaces culturel, scientifique, pédagogique et touristique. Il regroupe la fameuse source de Toudja, déjà notoire pour ses eaux minérales (El-Ainceur), ses cascades, une maison de l'eau, un moulin hydrique, des retenues, l'aqueduc romain et des sites contenant encore des vestiges d'époques, notamment des mosaïques, des citernes et des thermes. Financé, grâce à un montage financier collectif, incluant l'Union européenne par le truchement de son programme d'appui aux ONG, les collectivités locales (APC de Toudja et APW de Béjaïa) et l'Association universitaire "Géhimab", le musée renferme une exposition permanente, entièrement dédiée à la problématique de l'eau dans la région de Toudja dont une partie réservée à l'aspect historique, notamment la construction de l'aqueduc et une seconde, à la mise en valeur des savoirs faire locaux et qui fait la part belle aux modes de répartition de l'eau dans l'antiquité, l'invention et l'usage des moulins à eau ainsi que les poteries locales. A terme, l'espace est prévu pour élargir ses choix thématiques en intégrant celle de l'eau dans toutes ses formes, selon le président de l'association "Géhimab", M. Aissani. Le projet, qui a valu une mobilisation générale entend, par ailleurs, non seulement contribuer à la préservation de tout le site antique de Tiklat, considéré comme un trésor à ciel ouvert, mais aussi à donner l'opportunité à cette région rurale de développer une vocation touristique, en mettant en valeur un circuit qui reprend toute la boucle d'acheminement de l'eau de Toudja à Béjaïa. Celle-ci prend naissance, à hauteur du siège du musée, s'étend sur la région, aboutit à Cap Carbon et les aiguades sous le mont de Yemma Gouraya, puis au siège de l'APC de Bejaia, un monument architectural de premier ordre, avant de longer la route de l'oued Soummam et enfin le site de Tiklat. R.R.

Algerie développement de l'industrie agroalimentaire




Vers la création de 500 entreprises à l'horizon 2014



Dans le cadre de la promotion et la mise en œuvre de la nouvelle stratégie industrielle, adoptée en février 2007, un vaste programme de développement des industries agroalimentaires appelé ''Plan national d'appui aux industries agroalimentaires'' (PNDIAA) sera opérationnel avant la fin de l'année en cours. C'est du moins ce qu' a fait savoir, hier, le ministre de l'Industrie et de la Promotion des investissements, Abdelhamid Temmar, lors de l'ouverture officielle des premières assises nationales de développement des industries agroalimentaires (IAA) qui se tiennent à la résidence El Mithak à Alger. "Ce programme de développement repose sur la réalisation de diagnostics stratégiques de toutes les filières, la promotion des territoires agricoles à haut potentiel ainsi que la mutualisation et la mise en réseaux des entreprises en vue d'une intégration totale de toutes les activités liées aux IAA", a-t-il souligné, ajoutant que ce programme est bien évidemment élaboré par des groupes de travail et un comité de pilotage chapeautés par le ministère de l'Industrie et de la Promotion des investissements, en concertation avec des opérateurs nationaux. Ce programme devrait contribuer à la création de 500 entreprises engendrant quelque 100 000 emplois jusqu'à 2014. A noter que la mise en exécution de ce projet est prévue avant fin 2010, à l'instar des dix autres secteurs restructurés dans le cadre de la stratégie industrielle, à savoir la pétrochimie, les matériaux de construction, les industries électroniques, pharmaceutiques et mécaniques, l'industrie automobile et les technologies de l'information et de la communication (TIC). D'après le ministre, le document inhérent ce projet, une fois adopté par les parties prenantes à l'issue de ces assises, sera soumis au gouvernement afin de prendre les mesures adéquates pour sa mise en exécution. Les grands axes de ce plan ont trait, essentiellement, à l'intégration de la production nationale et la substitution aux importations, à la promotion des exportations et au positionnement des produits à l'international, au renforcement des compétences et des qualifications au niveau des industries agroalimentaires (IAA) et à la mise en place d'un cadre institutionnel de coordination et d'harmonisation des politiques publiques, a expliqué de son côté, le directeur général de l'intelligence économique, des études et de la prospective auprès du MIPI, M. Mohamed Bacha, lors de ces premières Assises. Le PNDIAA a pour principal objectif d'accroître de 10 points la contribution des IAA dans le PIB industriel, en la faisant passer de 50% en 2009 à 60% en 2014 et réaliser au moins 5 000 contrats industriels-agriculteurs par an, a-t-il avancé. Le plan vise également à densifier le tissu industriel des IAA à travers la création de 500 entreprises au sein d'agropoles entre 2010 et 2014 et la création de 100 000 emplois jusqu'à 2014. Ce programme s'est fixé aussi comme objectif de mettre à niveau aux normes ISO un nombre de 500 entreprises relevant des IAA, dont 200 certifiées ''ISO 22000'' éligibles aux opérations d'exportation, de multiplier par 10 les exportations des IAA à l'horizon 2014 et de renforcer les capacités d'exportation avec la création de 5 consortiums d'exportation à l'horizon 2014. Dans ce contexte, ce responsable a préconisé 17 fiches d'orientation et 50 actions pour la mise en oeuvre du PNDIAA, dont 5 ont trait aux instruments de pilotage, 15 aux leviers de compétitivité, 7 à l'amont agricole, 12 à la transformation, 3 à l'agrofourniture et 8 à l'encadrement du marché. Il a suggéré également la création d'une délégation interministérielle aux IAA, la mise en place d'un centre technique industriel à caractère national, la création d'un comité interministériel de logistique (CIL), d'un observatoire économique des IAA (OIAA), d'un fonds spécial de soutien (FSSIAA) d'une dotation initiale de 50 milliards de DA et la création de quatre (4) technopoles agroalimentaires à vocation régionale. Samira H.

Entretiens de la Méditerranée




Tunisie : Plus de 1000 participants aux « Entretiens de la Méditerranée »
Afrijcan Manager
L’Institut de Prospective Economique du monde Méditerranéen (IPEMED) et l’Institut Arabe des Chefs d’Entreprise (IACE) organisent en collaboration avec l’Institut Européen de la Méditerranée (IEMed) la deuxième édition des Entretiens de la Méditerranée, les 27 et 28 mai 2010 à Hammamet en Tunisie. Ces entretiens seront marqués par la présence de plus d mille participants de quarante quatre pays des deux rives de la Méditerranée. Ils contribueront à consolider et à préciser un nouvel élan porteur de promesses et de richesses pour le monde méditerranéen ainsi qu’à la formulation de propositions opérationnelles utiles aux populations des pays de la Méditerranée.
Cette manifestation d’envergue rassemblera d’éminentes personnalités politiques, des chefs d’entreprises et des experts de renom. Ces Entretiens de la Méditerranée sont organisés à la veille du Sommet des Chefs d’Etats des pays de l’Union pour la Méditerranée, afin de porter les conclusions des débats et de soumettre les attentes et propositions du secteur privé à ce deuxième Sommet des Chefs d’Etat, le 7 juin prochain.
Le lancement de l’Union pour la Méditerranée en juillet 2008 a été à la base d’une dynamique d’envergure aux relations économiques et politiques euro-méditerranéennes. Afin de consolider cette dynamique, est née l’initiative des entretiens de la Méditerranée, une initiative, soutenue par des entreprises partenaires, auxquelles s’associent des organismes publics et privés ainsi que des médias méditerranéens. L’enjeu de ces entretiens est d’organiser un forum annuel de décideurs, permettant de faire se rencontrer les milieux de l’expertise, de l’entreprise et du monde politique. L’objectif de ces entretiens est de prendre conscience d’une convergence d’intérêts et de destins qui ne cesse de se développer.