阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门
指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Monday, April 05, 2010

Aigle Azur ouvre une ligne entre Bâle-Mulhouse et Oran en Algérie



Aigle Azur ouvre une ligne entre Bâle-Mulhouse et Oran en Algérie La compagnie Aigle Azur élargit son réseau au départ de l’aéroport de Bâle-Mulhouse, avec une nouvelle ligne sur Oran.

L’Airbus A319 mono-classe d’Aigle Azur (144 sièges) desservira Oran en Algérie tous les jeudis : départ d'Euroairport à 16h10 et arrivée à Oran à 17h35 et départ d'Oran à 11h45 et arrivée à l'Euroairport à 15h10. Pour fêter la mise en place de cette nouvelle liaison, les billets sont au tarif de lancement : 309 euros TTC aller et retour. Cette nouvelle liaison vient renforcer le programme au départ de Bâle vers Alger, Constantine et Sétif, soit 5 vols par semaine.

Alger L’ENSEMBLE BADILA EN CONCERT À IBN ZEYDOUN



Fabuleux voyage en Orient

Par : Hana Menasria

En une soirée, le public algérois a fait escale dans plusieurs pays, dont l’Inde, l’Iran et la France. Ce voyage a eu lieu grâce à la formation Badila, avant-hier, à la salle Ibn Zeydoun (Riadh El Feth). Le concert a été organisé par l’Agence nationale pour le rayonnement culturel (AARC). Dès la première note, la salle a été transportée au pays des maharadjas. Dans une ambiance très mystique et sensuelle, à travers notamment la gestuelle de la danseuse soufie Ava. Une fusion magique et chaleureuse a été créée par la rencontre des cultures occidentales et orientales, et l’ensemble Badila a interprété ses plus belles poésies sur les airs profonds de l’Orient, composé du percussionniste français, Bastien Lagatta,du chanteur virtuose indien au rabab, Rajasthani Mame Khan Manghaniyar et deux chanteurs et instrumentistes iraniens Javid Yahyazadeh et Sardar Mohamadjani . Le concert purement acoustique a réuni plusieurs sortes d’instruments comme la tabla, l’oud, le ney et le zar, un instrument kurde iranien. L’ensemble Badila a connu un succès triomphal après une tournée au Yémen en 2004. Par la suite, en 2005, le groupe enregistre son premier album Qalandar express, chants d’amour des cavaliers mystiques, et entame une tournée mondiale au Pakistan, en Afrique de l’Est, en Europe, au Moyen Orient et en Asie. “Cette expérience extraordinaire leur permet de resserrer les liens qui les unissent, de mettre en commun leur richesse artistique pour atteindre une profonde harmonie.” L’ensemble Badila (l’amoureux à fière allure en dialecte marwari) a agrémenté le public de ses chants hypnotisants, générant ainsi une symbiose générale avec le public, qui semblait entièrement conquis par cette musique qui offre un voyage gratuit. Les instruments, le chant et la danse formaient une seule personne sur scène, sur une musique originale où se mêlent des rythmes méditatifs. Durant une heure et demie de spectacle, le public fort nombreux était époustouflé par cette performance et subjugué par cette alchimie provoquée par les rythmes perses et indiens mélangés d’une pincée occidentale.

Musée des arts modernes d’Alger



Exposition de photographies au Musée des arts modernes d’Alger
Une tranche de vie au pluriel

Par : Amine IDJER

Regards reconstruits 2”, tel est l’intitulé de l’exposition de photographies qui se tient, depuis hier et ce, jusqu’au 30 du mois en cours, au Musée d’art moderne et contemporain d’Alger (Mama), réunissant des photographes connus pour certains ou qui débutent pour d’autres. Ils sont douze (Mohamed Badawi, Yassin Belahsène, Nadir Djama, Hachemi Himeur, Leïla Gueddoura Achour, Mohamed Amine Boumdjane, Madina Kermiche, Mohamed Yacef, M’hamed Kerrouche, Abderrahmane Mostefa, Lyes Meziani et Rafik Zaïdi), venus d’horizons divers. Leur point commun : la photographie. Si dans “Regards reconstruits 1” de l’année dernière, la thématique était le voyage, dans cette deuxième édition, elle reste ouverte. Dans cet ensemble photographique, les artistes ont volé une tranche de vie. Chacun a voulu, à travers ces instantanés, accrocher sa vision, sa perception de la vie. Les sujets proposés peuvent plaire ou l’inverse ; une histoire de goût et surtout de sensibilité. Le noir et blanc y est fort présent. Pour l’artiste Leïla Gueddoura Achour, c’est “un retour aux sources de la photographie et il s’accompagne du plaisir de traiter soi-même ses photos d’un bout à l’autre”. C’est aussi l’effet d’optique qui est présent au point de le coller à la réalité d’une manière époustouflante. Il y a aussi le regard d’un homme sur la vie via la télévision. Celui de Mohamed Badawi dans Le Code. Décodage d’une information, ou tentative de voir comment elle est traitée par différentes chaînes satellitaires. La déambulation se poursuit, des photographies par-ci, des photos sur toile par-là (et à ce propos, l’impression diminuait la qualité de l’œuvre). Douze photographes, douze sujets ou propositions qui, au premier regard, peuvent paraître différents mais, au fur et à mesure de cette promenade qui donne le tournis, le lien se révèle, devient plus palpable. C’est la vie au quotidien. Comme c’est le cas chez Abderrahmane Mostapha qui vole au vif les gestes et autres comportements de gens au sortir d’une mosquée, au détour d’un café ou devant une zaouïa. Dans Évasions indigos de Rafik Zaïdi : des kakémonos avec en arrière-fond des photographies accrochées au mur, jouant avec la transparence. Des ombres courent, s’enfuient… Des traces de pas sur le sable. Des traces qui s’estompent. C’est l’évasion. Une fuite en avant, en hommage “à tous ces jeunes d’Afrique qui fuient le mal de vivre”, dira l’artiste. Avec “Regards reconstruits 2”, le public peut lire une histoire. Celle d’une vie d’ici et d’ailleurs.Une vie où l’espoir est permis. Douze sujets exposés, douze histoires racontées, mais qui ne font qu’une : celle de l’Humanité. Des histoires volées le temps d’un clic, le temps d’une prise de vue.Exposition de photographies “Regards reconstruits 2” tous les jours jusqu’au 30 avril 2010 au Musée d’art moderne et contemporain d’Alger (Mama).

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Turboliennes dans le 20ème Paris





Non, ce n'est pas un poisson d'avril ! l'inauguration de deux Turboliennes a bien eu lieu hier, à la Maison de l'Air, dans le 20ème arrondissement de Paris, près du parc de Belleville, rue Piat. Enerzine avait déjà eu l'occasion de faire l'écho de cette technologie proposée par Eléna Energie en décembre2009
Ainsi, de part leurs dimensions et leurs émissions sonores "très réduites", les Turboliennes demeurent compatibles avec un cadre urbain. Les deux éoliennes produiront chacune jusqu’à 15 000 kWh par an, ce qui correspond aux besoins énergétiques de 6 ménages (hors chauffage). L'énergie produite servira au fonctionnement de la Maison de l'Air et permettra d'économiser 2,6 tonnes de CO2 par an.Selon la Ville de Paris, "des appareils de mesure enregistrent en continu la vitesse du vent, la vitesse de rotation, la production instantanée d’électricité – visible pour le public sur un compteur - et l'émission de bruit".
Par ailleurs, d'autres zones favorables à l'implantation d'éoliennes ont été identifiées par la Mairie de Paris. Il s'agit des Buttes-Chaumont (19e), de Montmartre (18e), de Belleville (20e), et du couloir de vent de l'avenue de France (13e).
[ Credit images : Eléna Energie ]
La Turbolienne Le profil extérieur de la carène (brevetée) et son aileron augmentent la vitesse du flux d'air interne en créant une dépression à l'arrière de la machine. C'est le même principe qu'une voile dont la conception permet à un bateau d'avancer plus vite que le vent. Pour un vent de 6 m/s on atteint ainsi 15 m/s devant le second rotor à l'intérieur de la carène.Les deux rotors fonctionnent à contre rotation et à vitesse variable. Ils sont conçus pour assurer un écoulement non perturbé du flux d'air, améliorant ainsi la productivité. Leur fonctionnement est piloté par un système électronique optimisant à chaque instant la production d'électricité pour une vitesse de vent donnée.La vitesse du vent, mesurée par un anémomètre, et le couple transmis aux pales par l'écoulement de l'air sont analysés en permanence.Par vent faible, si ce couple positionne la Turbolienne en un cycle de production d'énergie électrique, une impulsion donnée au premier rotor permet de mettre en mouvement le second rotor. Ce dispositif permet ainsi d'amorcer la production plus tôt qu'une éolienne traditionnelle.En situation intermédiaire, le premier rotor reste libre et crée le moins de perte de charge possible pour ne pas gêner la production du second. La production de celui-ci est optimisée en permanence.Par vent fort, le premier rotor fonctionne en génératrice. Ceci permet de poursuivre la production à la puissance maximale pendant que les éoliennes traditionnelles se mettent en sécurité.La puissance nominale est atteinte ainsi plus rapidement et la production est assurée sur une plage de vent plus large. La capacité de production de la Turbolienne rapportée à sa taille se révèle ainsi exceptionnelle.

17e Conférence de la COPEAM du 8 au 11 avril 2010 à Paris



Du 8 au 11 avril 2010, la Conférence Permanente de l'Audiovisuel Méditerranéen (COPEAM) se réunira à Paris sous le haut patronage de Nicolas Sarkozy. Co-organisée par l'Institut National de l'Audiovisuel (INA), cette 17e Conférence générale aura pour thème : « Le pari audiovisuel de la Méditerranée ». Ce projet s'inscrit dans la perspective de la réunion des Ministres de la Culture puis des chefs d'Etat et de Gouvernement réunis en sommet de l'Union pour la Méditerranée en juin prochain. La COPEAM est un acteur important de l'espace culturel méditerranéen et un partenaire privilégié des projets audiovisuels développés dans le cadre de l'Union pour la Méditerranée. Cette année, la Conférence de la COPEAM aura un caractère exceptionnel puisqu'elle présentera notamment quatre projets phares adoptés en avril 2009 lors de sa conférence du Caire : - la chaîne de la Méditerranée : première chaîne de télévision méditerranéenne, multiculturelle et multilingue, diffusée par satellite ; - MeD MeM : premier portail Internet sur le patrimoine audiovisuel méditerranéen ; -l'Université Audiovisuelle de la Méditerranée : premier réseau d'universités et d'écoles d'enseignement audiovisuel et de cinéma du bassin méditerranéen. - EuroMed News : renforcement des échanges d'information avec la production de flux d'information, de magazines et de documentaires à caractère régional.