阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

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指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Wednesday, April 28, 2010

Algerie Bordj Menaïel



Une ville, une histoire
Depuis que le monde est monde, Bordj Ménaïel a toujours été Bordj Ménaïel et son nom est tiré de la période turque car durant l’invasion romaine, Bordj-Ménaïel portait le nom de Vasara, allusion faite à l’ancienne Hippodium romain. Mais durant la période turque, ces derniers ne se contentèrent pas d’une installation territoriale mais ils construisirent une forteresse qui servait de camp militaire afin d’assurer maintien de l’ordre et la sécurité dans toute la région jusqu’au littoral de Boumerdès (Rocher-Noir), Zemmouri (Courbet marine), Cap-Djinet, Dellys et Tigzirt. Ainsi, c’est à partir de cette forteresse surnommée Bordj-Ménaïel, «le fort bleuté», que les Turcs étendaient leur domination sur les populations, l’appellation du mot Ménaïel est une définition provenant de la période turque car la lettre I porte deux points qui équivaut à l’alphabet employé dans la langue de la Turquie, manière de faire la phonétique. Aussi, il ne peut être question d’un mot français car la langue de Molière utilise le «y».Bordj veut dire «le fort», Ménaïel signifiant la couleur bleu étant donné que la forteresse avait toujours été peinte avec la couleur utilisée de la «Nila», allusion faite à la chanson chaâbi qui dit «dhak stah e aali li masbough ba nila». De toutes les invasions étrangères, c’est incontestablement l’Islam qui a le plus profondément imprégné la population de cette région.Bordj-Ménaïel à travers l’histoire a été érigée en commune de plein exercice par un arrêté préfectoral du 18 novembre 1870 et confirmé par décret. Elle est reliée par une route (actuellement autoroute) de grand trafic allant de Menerville (Thénia) à Fort National (Larbâa Nath Irathen) et est situé à 70 km d’Alger, 25 km de la wilaya de Boumerdès et 30 km de la wilaya de Tizi-Ouzou, elle a toujours offert aux passants une vue très agréable. Dans l’histoire ancienne, la ville de Bordj-Ménaïel et plus précisément durant l’époque romaine, elle portait le nom Vasara en reconnaissance à l’ancien Hippodium Romain. La colonisation française a agrandi la ville en 1863 qui fut détruite pendant l’insurrection de 1871 puis reconstruite la même année et élargie en 1872.
Un souvenir perduLes Issers Larôch étaient sous la domination turque, une grande famille des Issers qui s’étendaient depuis Dellys jusqu’à les Beni-Djaâd et qui était partagée en cinq factions, à savoir Isser Iarach, Isser El Djediane, Ouled Smir, Isser et Ouedianne, Isser Ras El Oued. Suite à plusieurs guerres qui ont longtemps agité cette contrée, les Issers Laârach ont été constitués en un commandement distinct par une décision du gouverneur général en date du 25 juillet 1863. Depuis, ils ont formé une tribu séparée, située à l’ouest de Dellys, chef-lieu de la subdivision et du cercle de ce nom. Les Issers Larach ont pu délimiter par le nord la tribu des Issers d’Ouled Smir, à l’est la tribu des Issers d’El Djedianne et celle de Sebaou El Kedima, au sud la tribu des Kabyles de Béni Amrane et la tribu des Zemmouls, à l’ouest la tribu des Khalfouns, celle des Kharchs de la montagne et l’oued Isser qui la sépare de la tribu des Issers El Ouidiane.Cependant, le décret impérial du 16 avril 1864 avait désigné la tribu des Issers Laârach pour être soumise aux opérations prescrites par le Senatus consulte du 22 avril 1863. La grande tribu des Issers tirait évidemment son nom de la rivière qui arrosait une grande partie considérable de son territoire. L’histoire reconnaît également que la faction des Issers formait la plus puissante des cinq autres, sans doute par affinité de race et d’intérêts, dont le souvenir est aujourd’hui perdu, et son organisation intérieure comprenait comme les autres factions un caïd dont les fonctions consistaient à assurer la rentrée des impôts.
La période turqueLes Ménaïlis ou les ex-Vasarien étaient très attachés à la terre. En 1830, ce Bordj n’était plus qu’une ferme de pacha d’Alger et l’autorité française avait réuni ce bordj avec toutes ses dépendances au territoire des deux Amalastes précitées à celui des villages de Teurfa et des Ouled Moussa, et créa le noyau d’une nouvelle tribu à laquelle il fut donné le nom de Zemouls. La tribu des Issers Larach possédait à titre de melk et de temps immémorial le territoire qu’elle occupe. Il est vrai que sur l’ensemble du territoire, elle présentait certaines dérogations du fait même du principe de possession depuis des siècles antérieurement à la promulgation du Senatus Consulte du 22 avril 1963, le territoire des Issers lié à celui de Bordj-Ménaïel renfermait cinq factions administratives placées sous le commandement d’antan de «cheikh el dechra» (le sage de village), qui centralisait les pouvoirs. Ces cinq factions dépendaient des Béni Athmane El Ghious. Les Beni Rabia, Larach El Rabate et les Larach Cheragas devenus plus tard (Raïcha et Ouled Aïssa).Les factions d’El Ghious comprenaient le pays qui s’entendait de la grande route d’Alger à la rive droite de l’oued Issers, celle des Béni Rabia qui elle était divisée en deux parties, la première située dans la montagne et qui occupait les hauteurs de Draâ El Gueffar composé du Haouch de Béni Bakhti Bechala et Ouled Amara à Haouch Guerrouma et à Haouch Kara Ahmed, la deuxième partie était constituée du haouch Sbaâ et Béni Hamid qui se composait d’un territoire se situant entre la route d’Alger et l’oued Isser d’une part et de l’autre part de l’oued Boumzar de Bordj-Ménaïel qui la séparait des Larachs Laraba.Elle dépendait, autrefois, de l’autorité du caïd des Issers, en l’occurrence El-Gharbi, puis passa sous le commandement de ce dernier lors de la réunion de toute la tribu à l’arrondissement d’Alger. Le centre de colonisation détruit lors de l’insurrection de 1871 fut reconstruit la même année au niveau de Bordj-Ménaïel et comprenait des lots urbains des lots ruraux et des concessions agricoles (huit familles d’origine française s’y sont implantées à l’origine). La rapide mise en valeur des terres et les ressources agricoles du pays ont provoqué une rapide évolution du centre agrandi en 1872. Ce complément de la ville de Bordj-Ménaïel était le Cap-Djinel qui représentait le contact du territoire communal avec la mer. La superficie de la daïra de Bordj-Ménaïel (autrefois sous préfecture) était de 97 et 80 km2. (A suivre)Kouider Djouab
28-04-2010

Algerie Constantine artisanales




Les créations artisanales de la jeune fille à l'honneur



L'artisanat est considéré comme une créneau porteur qui permet d'impulser l'activité économique tout en préservant des pans entiers de notre patrimoine immatériel. Ainsi, et grâce à l'initiative de l'association "Izdihar" des arts traditionnels, les créations de la jeune fille dans le domaine de l'artisanat sont à l'honneur à Constantine qui leur a consacré un festival national de trois jours. La manifestation à la maison de jeunes Ahmed-Saâdia a regroupé des jeunes artisanes de plusieurs wilayas du pays. Elles sont venues de Ghardaïa, Touggourt, Ouargla, Tizi Ouzou, Alger, Blida et de Bordj Bou Arréridj pour montrer, aux côtés de leurs paires constantinoises, ce qu'elles savent faire de leurs mains. Le hall de la maison de jeunes Ahmed-Saâdi, a réuni pour cette occasion sur quelques mètres carrés, tout, ou presque tout ce que les différentes régions du pays offrent comme richesse et variété en matière d'habit traditionnel féminin, de literies, de pâtisserie et de mets du terroir. Mme Samia Benamor, à titre d'exemple, expose des échantillons du tapis traditionnel de la région de Ait Yahia (Tizi Ouzou), présentés sous forme de coussins, faute de ramener tous les types de ces tapis. Cette exposante qui pratique le tissage depuis plus de 25 ans a saisi cette occasion pour montrer son produit et aussi transmettre, à bon entendeur, son savoir-faire acquis à force de patience, de persévérance et d'application, à d'autres jeunes filles, notamment celles de son village natal à Akbou (Béjaia). Le stand de Mlle Houria Benmoussa, venue avec sa sœur Zohra du village de Tazghout Alebtène, dans la daïra de Ain El Hammam (Tizi Ouzou), expose des échantillons du costume kabyle féminin, et retient l'attention du visiteur par le magnifique burnous de la mariée, brodé de motifs berbères qu'elle a, affirme-t-elle, entièrement réalisé chez elle. Des Bibans, Mlle Taous Tassine est venue, pour sa part, avec un produit plutôt rare pour ne pas dire inédit chez la femme : 17 tableaux en cuivre repoussé représentant des scènes inspirées de l'histoire du pays et imaginées à partir d'autres thèmes. L'exposante espère que le public récompense à sa juste valeur, en venant nombreux découvrir son travail, son audace et son esprit de pionnière. La manifestation, dont le but est d'encourager la rencontre et l'échange entre les jeunes artisanes de différentes régions du pays dans le domaine de la préservation et de la promotion du patrimoine et la découverte de nouveaux talents, a également donné lieu à un concours dans les domaines de cuisine et des arts traditionnels ainsi qu'à des soirées artistiques.R.R.

Algerie Blida les pépinières




Les pépinières, un créneau rentable



La Mitidja veut retrouver sa prospérité d'antan et on compte bien y relancer l'arboriculture fruitière. Ainsi, dans la wilaya de Blida les pépinières se multiplient. Selon le chef du service de production végétale à la DSA, "la wilaya compte actuellement 42 pépinières agréées bénéficiant notamment de visites de contrôle de la part des ingénieurs agronomes de la DSA". La tâche de ces derniers consiste, entre autres, à constater "l'état de santé" des plantes et végétaux en serre, et lutter contre les différentes maladies entravant leur bon développement, est-il souligné. La grande majorité de ces pépinières est implantée dans la partie Est, plus particulièrement à Hallouiya, Bouinan et Soumaa, des régions réputées pour leurs activités horticoles à l'échelle nationale. "Il existe deux types de pépiniéristes à l'échelle locale, les diplômés, agréés par la direction des services agricoles (DSA), et les "empiristes", dont la compétence repose sur une expérience professionnelle cumulée sur de nombreuses années d'activités dans ce domaine", indique-t-on à la DSA. Lors de visites sur le terrain, les agronomes de la DSA veillent à prendre des échantillons de ces pépinières, qui devront obligatoirement être soumis à des analyses au niveau de la station régionale de Boufarik relevant de l'Institut national de production végétale d'El Harrach, en vue de "déceler une éventuelle atteinte par la CTV pour ce qui est des agrumes, ou par les cochenilles (de type Saint José notamment) pour les autres essences arboricoles", selon la même source. "En cas de détection de l'une de ces affections, l'échantillon en question est immédiatement incinéré", a assuré le même responsable, en faisant également part d'autres prises d'échantillons pour analyses en laboratoires, effectuées d'octobre à décembre, coïncidant avec la période de mise en terre d'arbustes et plantes, puis vers la fin décembre pour constater leur développement et bonne santé. "Pour ouvrir droit à l'agrément de la DSA, une pépinière doit compter une surface de 9 ha de terre dotée d'une source d'irrigation, tout en étant facile d'accès, notamment, pour les agents de la DSA", apprend-on du chef du service de production végétale, qui ajoute que la structure en question doit être "encadrée par un spécialiste agricole (ingénieur ou technicien), au moment où son promoteur est détenteur d'une carte d'agriculteur". Le deuxième type des pépiniéristes de Blida (non agréés), dont certains ont été approchés par l'APS, en marge des floralies qui se tiennent dans la ville des roses, ces derniers ont tenu à exprimer certaines de leurs préoccupations professionnelles, notamment celles liées à la commercialisation de leurs produits. Actuellement, la seule opportunité offerte à ces producteurs c'est ces floralies qui se tiennent annuellement au niveau du boulevard "Laichi Abdellah" du centre-ville où ils peuvent écouler leurs produits. Certes, des efforts ont été consentis par l'APC qui a prolongé la durée de cette manifestation à un mois au lieu de 15 jours initialement, mais cette faveur demeure "insuffisante" à leurs yeux. D'autres pépiniéristes rencontrés au niveau de ces floralies, estiment "très contraignante" la condition exigeant une surface de 9 ha pour l'agrément d'une pépinière, car une majorité d'entre eux, disent-ils, "ne peut remplir une telle condition et détiennent des lots ne dépassant pas, dans le meilleur des cas, un (1) ha de terre". La majorité de ces pépiniéristes se félicite d'être structurés au sein de l'association de wilaya "Chlorophylle" qui leur a dédié une section spéciale, dite "promoteurs de pépinières", qui se targue de compter en son sein Ami Hocine, le doyen des pépiniéristes de Blida, qui a consacré une cinquantaine d'années de sa vie aux plantes et végétaux.R.R.

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Énergie Solaire: Cevital participe à un projet pour alimenter l’Europe



Énergie Solaire: Cevital participe à un projet pour alimenter l’Europe
L’initiative lancée par la fondation Desertec commence à donner ses premiers résultats. 12 compagnies, en majorité allemandes, ont signé, hier à Munich, un mémorandum d’entente
Selon la fondation, « 12 entreprises ont signé, aujourd’hui lundi à Munich, un protocole d’accord en vue de créer un bureau d’études : Desertec Industrial Initiative (DII) ». « Cette initiative a pour objet l’analyse et la mise en place d’un cadre technique, économique, politique, social et écologique en faveur d’une production d’énergie sans émission de CO2 dans les déserts d’Afrique du Nord. Le concept Desertec, conçu et réalisé par l’initiative Trec du Club de Rome, décrit les perspectives d’un approvisionnement électrique durable pour toutes les régions du monde avec accès au potentiel énergétique des déserts », précise le protocole signé.
Les sociétés fondatrices de DII, principalement concentrées en Europe, au Proche-Orient et en Afrique du Nord (Mena), sont les suivantes : ABB, Abengoa Solar, Cevital, Deutsche Bank, E.On, HSH Nordbank, MAN Solar, Millénium, Münchener Rück, M+W Zander, RWE, Schott Solar, Siemens », ajoute le texte. Mis à part Cevital (Algérie), ABB (Suisse) et Abengoa (Espagne), les autres sociétés sont allemandes. Parmi les missions du bureau d’études qui doit être créé au plus tard le 31 octobre 2009 figure « l’élaboration de plans d’exploitation concrets et de projets de financement associés, ainsi que le lancement des préparatifs industriels pour la construction d’un grand nombre de centrales solaires thermiques interconnectées et réparties dans toute la région Mena ». L’objectif serait de couvrir les besoins en électricité de l’Europe à hauteur de 15% et une part considérable des besoins en électricité des pays producteurs situés dans le Sud.
Les plans d’investissement que doit initier le bureau devraient être réalisables dans un délai de 3 ans. Les entreprises qui s’impliqueraient y trouveraient des perspectives commerciales et des potentiels économiques, écologiques et sociétaux liés au projet, selon ses concepteurs, qui citent « une sécurité énergétique renforcée dans les pays ue et Mena, des perspectives de croissance et de développement pour la région Mena grâce aux énormes investissements réalisés par les investisseurs privés, une garantie du futur approvisionnement en eau potable dans les pays Mena grâce à l’utilisation du surplus d’énergie dans des usines de dessalement d’eau de mer et une réduction des émissions de carbone et, donc, une contribution non négligeable pour soutenir les objectifs de protection du climat de l’Union européenne et du gouvernement allemand ».Les concepteurs du projet comptent attirer des investissements se chiffrant à 400 milliards d’euros. Le bureau d’études spécialisé DII, qui sera créé sous forme de Sarl régie par le droit allemand, pourra être rejoint par d’autres entreprises, selon le protocole signé.
source: elwatan

Algérie Europe Energie solaire




L’Algérie veut profiter de la technologie solaire européenne
L’Algérie souhaite bénéficier de l’expérience européenne en matière de technologie solaire pour se développer dans les énergies renouvelables.mardi 27 avril 2010.
Le groupe informel des 5+5 s’est réuni pour la 1re fois hier à Oran pour discuter de l’environnement et des énergies renouvelables. A ce titre, Ahmed Chikouche, directeur général de l’Unité de développement des équipements solaires, a indiqué hier matin sur les ondes de la Chaîne III de la Radio nationale que « l’Algérie veut profiter de ce cadre de coopération qui se met en place pour bénéficier de l’expérience des pays de la rive nord en matière d’énergies nouvelles ». Ainsi, selon l’invité de la rédaction chargé du module énergie renouvelable pour cette réunion, il est attendu de la réunion d’Oran le lancement d’un plan méditerranéen pour le développement de l’énergie solaire. Citant l’exemple du Portugal qui a mis en place l’une des plus grandes centrales photovoltaïques au monde, M. Chikouche relèvera que l’Algérie doit également pouvoir bénéficier, dans le cadre du groupe des 5+5, des échanges en matière d’énergies renouvelables, notamment en termes de transfert de technologies, afin d’améliorer et perfectionner ses programmes de recherche ayant trait au domaine de ces énergies.
A ce propos, M. Chikouche soulignera que « le concept est accepté, reste à définir les mécanismes ». Par ailleurs, l’invité de la rédaction indiquera qu’un programme national vient d’être tracé et concernera dans un premier temps la fabrication de plaquettes de silicium et des modules solaires. Néanmoins, il soulignera qu’« il n’y a pas que le solaire. Nous voulons développer également l’éolien, la thermodynamique et la géothermie ». Aussi, rappellera- t-il, l’Etat a dégagé une enveloppe de un milliard de dinars pour développer les énergies renouvelables. En outre, l’invité de Soriya El Hachemi fera remarquer, lors de son intervention, qu’outre le volet des énergies renouvelables, d’autres thèmes, à savoir l’avancée du désert, la pollution marine et la protection du littoral seront discutés lors de cette réunion. Pour rappel, les 5+5 regroupent le Portugal, l’Espagne, la France, l’Italie, Malte, le Maroc, la Mauritanie, l’Algérie, la Tunisie et la Libye.
Synthèse de Mourad, www.algerie-dz.com D’après Le Jour d’Algérie

citoyens du monde



Se nomment citoyens du monde certaines personnes estimant que les habitants de la Terre forment un peuple commun avec des droits et devoirs communs, en dehors des clivages nationaux, et placent l'intérêt de cet ensemble humain au-dessus des intérêts nationaux.

Algerie Oran Saison estivale: Les grands préparatifs commencent



par Djamel B.

A l'instar de l'année précédente, d'importantes mesures seront prises par l'ensemble des directions de l'exécutif et par les communes pour la réussite de la saison estivale, apprend-on de sources proches de la commission du tourisme et de l'environnement de l'APW d'Oran. Nos sources indiquent que la direction du tourisme entamera dans les tout prochains jours une vaste opération de contrôle des infrastructures touristiques notamment les hôtels et les restaurants. En parallèle, d'autres agents se chargeront du contrôle des agences touristiques. Selon nos interlocuteurs, l'opération ciblera plus d'une centaine d'hôtels répartis entre les communes du littoral et Oran ville, ainsi qu'une trentaine d'agences touristiques. Les responsables de la direction du tourisme, ajoutent nos sources, auront à constater sur place les conditions d'accueil des estivants, en matière d'hébergement, de restauration, d'hygiène, entre autres. La direction du tourisme, rappelons le, reprendra à partir de cette saison estivale la gestion de la concession des plages. Sur les 33 plages autorisées à la baignade, 19 sont concernées par la concession et la direction du tourisme prendra en charge les plages dotées de plans d'aménagement. L'initiative de la direction du tourisme permettra une meilleure gestion de ces plages. Outre le programme de contrôle initié par la direction du tourisme, nos interlocuteurs signalent que le wali d'Oran a donné instruction à tous les présidents d'APC pour préparer dès à présent la saison estivale en procédant à la mobilisation d'agents et de matériel pour des opérations régulières de nettoyage des plages, des travaux d'embellissement et de ravalement des façades. En plus des travailleurs communaux, le wali a exhorté les maires à solliciter les services des jeunes notamment les micros entreprises spécialisées dans la collecte et le nettoyage. Le premier responsable a, d'autre part, insisté sur le respect des cahiers des charges inhérents à la concession des espaces au niveau des plages et le droit du citoyen d'y accéder gratuitement. Les mêmes instructions ont été données pour la concession des parkings au niveau des communes côtières. Les services de l'environnement, ainsi que les maires des communes côtières ont été aussi instruits pour prendre les mesures qui s'imposent contre les entreprises et autres infrastructures touristiques pollueuses notamment celles qui rejettent les eaux usées directement en mer. A l'intérieur du tissu urbain des communes côtières, les maires sont tenus de procéder à l'aménagement des aires de stationnement et les espaces verts. Le premier responsable de l'exécutif a, en outre, appelé les P/APC à procéder à la démolition de constructions érigées illicitement notamment au niveau de certaines plages de la corniche. Concernant la sécurité des baigneurs, les mêmes sources signalent que la Protection civile mobilisera d'importants moyens humains et matériels. A ce titre, les espaces réservés aux usagers des Jet Skis seront délimités par des bouées au niveau des plages, notamment à Ain El Turck, les Corales, la Grande Plage, les Andalouses, entre autres. Des mesures coercitives sont prévues à l'encontre de ceux qui outrepassent les espaces qui leurs ont été délimités. Pour la protection des baigneurs, nos sources indiquent qu'à l'image de l'année dernière un important contingent de maîtres nageurs sera mobilisé au niveau de plus d'une trentaine de plages autorisées à la baignade. De leur côté, les membres de la commission du tourisme de l'APW s'attelleront au suivi sur le terrain des recommandations prises lors de la dernière session de l'assemblée. Notre source rappelle qu'à ce titre les membres de la commission insistent sur le principe de l'accès gratuit aux plages et le respect des clauses des cahiers des charges en matière de concession et des espaces limités pour l'utilisation des Jet Skis, et ce en mettant en place une commission qui veillera en permanence au contrôle des plages. 0 fois lus
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La Commission lance une consultation publique sur l’avenir des industries culturelles et créatives




La Commission européenne vient de lancer une consultation publique en ligne concernant les industries culturelles et créatives d’Europe, dont elle souhaite libérer tout le potentiel.
Cette consultation est liée à un nouveau livre vert qui souligne la nécessité d’améliorer l’accès au financement, en particulier pour les petites entreprises, afin de permettre au secteur de la culture et de la création de prospérer et de contribuer à une croissance durable et ouverte à tous. Pour Androulla Vassiliou, la commissaire européenne à l'éducation, à la culture, au multilinguisme et à la jeunesse, les industries culturelles et créatives d’Europe ne sont pas seulement essentielles à la diversité culturelle de notre continent, elles constituent aussi l’un de nos secteurs économiques les plus dynamiques. Elles peuvent vraiment aider l’Europe à sortir de la crise. La commissaire a ouvert la consultation publique lors d’une conférence de presse à Bruxelles, en compagnie de Peter Dundas, directeur de la création chez Emilio Pucci, l'une des plus anciennes marques de luxe italiennes. Mr Dundas se félicite du lancement du livre vert de la Commission européenne car il souligne le rôle essentiel joué par les secteurs de la création et de l'art dans la stimulation de la croissance économique européenne. Le secteur de la culture et de la création, qui englobe les arts du spectacle les arts visuels, le patrimoine culturel, les films, la télévision et la radio, la musique, l’édition, les jeux vidéo, les nouveaux médias, l’architecture, le design, la création de mode et la publicité, fournit des emplois de qualité à cinq millions de personnes dans l’Union européenne. Il représente 2,6 % du PIB européen, c’est-à-dire plus que beaucoup d’industries manufacturières. Les industries culturelles et créatives connaissent également une croissance plus rapide que la plupart des secteurs de l’économie. La numérisation et la mondialisation ouvrent de nouveaux marchés, en particulier aux petites entreprises. Toutefois, ces entreprises rencontrent souvent des obstacles qui les empêchent d’exploiter tout leur potentiel. Cette consultation publique encouragera les parties intéressées et d’autres acteurs à se pencher sur certaines questions, telles que: Comment faciliter l’accès au financement pour les petites entreprises et les microentreprises dont le seul atout est la créativité? Comment l’Union européenne peut-elle aider à assurer une combinaison adaptée de compétences créatives et de compétences managériales dans ce secteur? Comment stimuler l’innovation et l’expérimentation et encourager notamment un usage plus large des technologies de l’information et de la communication? Les industries culturelles et créatives contribuent également à la compétitivité et à la cohésion sociale de nos villes et de nos régions. Les capitales européennes de la culture, comme Lille, Liverpool et bien d’autres, ont montré qu’investir dans ce secteur créait de l’emploi et aidait à faire évoluer l’image des villes. Si le développement des industries culturelles et créatives s’effectue d’abord aux niveaux local et régional, leur portée peut toutefois être internationale, contribuant à assurer la présence de l’Europe dans le monde. Soutenir ces industries dans leur environnement local et régional peut les aider à prendre leur envol vers une réussite mondiale. Les industries culturelles et créatives peuvent aussi avoir des retombées positives sur un large éventail d’autres entreprises et sur la société dans son ensemble. Les designers, par exemple, sont progressivement devenus des éléments essentiels des équipes de direction de nombreuses grandes compagnies. La consultation publique ouverte par le livre vert durera jusqu’à la fin du mois de juillet.Pour participer :http://ec.europa.eu/culture/our-policy-development/doc2577_fr.htm

UE Plan solaire méditerranéen et de l'initiative DESERTEC,



Union pour la Méditerranée : résoudre les conflits régionaux
Parlement Européen (Communiqué de presse) - ‎Il y a 15 minutes ‎
La résolution soutient une mise en oeuvre "rapide" du Plan solaire méditerranéen et de l'initiative DESERTEC,

Algerie Alger archéologique fenêtre sur l'histoire algérienne.




Un sondage archéologique réalisé au pied de la Casbah sur plus de sept mètres d'épaisseur ouvre une fenêtre sur l'histoire algérienne.François Savatier
Puniques, Romains, Vandales, Arabes, Espagnols, Turcs, Français... L'histoire de l'Algérie se résume à l'assimilation par une majorité berbère d'apports successifs divers. L'équipe d'archéologues de Kamel Stiti, du Centre national de la recherche archéologique (CNRA, Algérie) et de François Souq, de l'Institut national d'archéologie préventive (Inrap, France) est en train de mettre au jour cette réalité à Alger.
Sans précédent en Algérie, le sondage archéologique de la place des Martyrs, au pied de la Casbah («village fortifié» en berbère) précède la construction d'une station de métro. « Pour nous, il s'agit de répondre à ceux qui continuent de penser que l'archéologie est antinomique du développement, alors qu'elle peut l'accompagner », souligne K. Stiti.
Sous le bitume, les archéologues ont d'abord découvert les traces de la colonisation française de 1830 : ce qui deviendrait la Place du gouvernement a été aménagée en une place d'armes. Ensuite sont apparus des souks ottomans sous la forme de deux rues pavées accueillant des échoppes et des ateliers d'artisans. Parmi eux, un atelier de ferronnerie avec ses sols marqués par les enclumes ou aménagés pour entreposer forges et fours. Icosium, l'Alger romaine, transparaît ensuite dans les niveaux sous-jacents : un bâtiment de taille respectable se révèle être une basilique paléochrétienne, du Ve siècle probablement. Les squelettes de la nécropole qui fut installée dans ses ruines devraient aider à dater a quel moment cette basilique a été désaffectée.
Les archéologues ont découvert que le sol le plus profond de la basilique consistait en une mosaïque polychrome, qui pourrait remonter au IVe ou Ve siècle de notre ère. Sous la céramique et son décor constitué de cercles dentelés alternativement rouges et verts, et d'une série de panneaux carrés décorés, il reste environ trois mètres de sol à fouiller avant de buter sur le socle schisteux algérois. Y retrouvera-t-on Ikosim, le comptoir punique qui précéda Icosium, puis encore en dessous une occupation préhistorique ?

Algérie-UE : L'Algérie va proposer la révision de la charte euro-méditerranéenne pour l'entreprise



L'Algérie devrait proposer la modification de la charte euro-méditerranèenne pour l'entreprise, adoptée dans le cadre de l'application du processus de Barcelone, a indiqué hier un responsable du ministère de l'Industrie et de la Promotion des investissements (MIPI). L'Algérie veut ériger les deux volets, relatifs à l'environnement et l'innovation, comme des dimensions de la charte, a indiqué à l'APS le directeur des programmes zones industrielles au MIPI, M. Mohamed Kirat lors de la présentation de la 3e évaluation de la mise en oeuvre de cette charte par l'Algérie. Adoptée en 2004 en Italie par les 35 ministres de l'Industrie des pays de cette région, la charte contient actuellement 10 dimensions politiques clés relatives notamment aux procédures simples pour les entreprises, éducation et formation à l'esprit d'entreprise, financement et fiscalité appliquée à l'investissement, accès des entreprises au marché, organisations professionnelles et qualité des services d'appui aux entreprises. Ces dimensions servent à évaluer la mise en œuvre de cette charte par les pays partenaires, a expliqué ce responsable, précisant toutefois que l'application de cette charte dépendra des propres priorités de chacun des pays. La charte comprend les principes communs sur lesquels les politiques d'entreprises des partenaires de la région méditerranéenne doivent se fonder et ce en perspective de la création de la vaste zone de libre échange euro-méditerranéenne, prévue initialement pour 2010, ajoute ce responsable. Les propositions algériennes seront débattues en juin prochain à Bruxelles au niveau du groupe des experts pour ensuite être discutées, si elles seront retenues, par les ministres euro-méditérranèens de l'Industrie en octobre. Plusieurs pays du Sud, secoués par la crise économique internationale, tels que la Jordanie et l'Egypte ont souhaité la révision de cette charte notamment sur les aspects financement et commerce international. Par ailleurs la dernière évaluation interne de la mise en œuvre de cette charte par l'Algérie, effectuée en mai en 2009, fait ressortir une nette amélioration de l'environnement économique par rapport à celle de 2008. L'avancée a été constatée sur les aspects facilitations pour la création d'entreprises et financement des entreprises, a souligné M. Kirat qui a noté aussi une stagnation sur les autres aspects liés à l'information économique claire et ciblée et le dialogue entre les aurorités et les organisations professionnelles. Cette évaluation a été élaborée à partir d'un questionnaire standard, établi par les 35 pays membres de la zone euroméditerranéenne et concerne les dix dimensions clés et 77 indicateurs relatifs à l'environnement économique.Près de 45 structures et institutions nationales, représentant les parties prenantes concernées par les aspects liés à cette charte, ont participé à cette évaluation préliminaire, selon lui. Elle a concerné environ une douzaine de ministères, banques, associations professionnelles, et instituts. Concernant l'aspect des procédures simples pour les entreprises, l'étude relève une insuffisance dans le partage des responsabilités pour les politiques d'entreprises, en soulignant la centralisation des grandes décisions. Mais, l'évaluation note toutefois une nette amélioration concernant la coordination entre les ministères, assurée à travers le conseil interministériel et une meilleure simplification de la législation et des procédures administratives relatives aux commerce, à la création d'entreprises et à l'allégement de l'inscription au registre du commerce. Quant à la dimension éducation et formation à l'esprit d'entreprise, l'enquête souligne l'insuffisance de l'apprentissage sur cet aspect, dû à l'absence d'une stratégie nationale en la matière. Même constat établi pour la dimension accès à la formation pour les entreprises, qui reste aussi insuffisant, selon cette évaluation qui note l'absence de formation spécifique pour les entreprises en démarrage, alors que la formation en entreprise reste une pratique limitée dans certaines grandes entreprises. S'agissant de la dimension accès des entreprises algériennes au marché, l'évaluation relève l'insuffisance des initiatives Ad hoc pour la mise en oeuvre d'un politique commerciale proactive et l'accès encore limité à l'information réglementaire et procédurale relative au commerce extérieur. En revanche, l'évaluation du MIPI fait ressortir une amélioration de l'accès au financement, notant à ce propos la mise en place des systèmes de garantie de crédits, l'accès aux marchés des capitaux et la fiscalité favorable à l'investissement à travers les avantages fiscaux accordés par l'ANDI, et les dispositifs Ansej et Cnac. Concernant la dimension organisations professionnelles, les résultats de l'enquête soulignent que le cadre de consultation entre le gouvernement et le secteur public/privé "reste également insuffisant", en raison du degré d'engagement qui reste faible ainsi que par la mise en place de plusieurs organes de consultation tels que le Conseil national consultatifs des PME ou la CACI.
La commission des finances de l'APN rencontre des experts financiers de l'UE La commission des finances et du budget de l'Assemblée populaire nationale (APN) a tenu hierà Alger une réunion avec une délégation d'experts financiers de l'Union européenne (UE), a indiqué cette institution parlementaire dans un communiqué. Cette rencontre a permis aux deux parties de procéder à ''un échange de points de vue sur la procédure appelée +appui budgétaire+, son cadre d'application et ses objectifs'' ainsi que le lien entre ce thème et la question de la souveraineté nationale, ajoute la même source. Les deux parties ont ainsi convenu de la possibilité d'organiser une ''rencontre de concertation'' après avoir défini ses objectifs et son cadre juridique.

Algérie-USA : Atelier sur l'éthique parlementaire



Les travaux de l'atelier de perfectionnement sur l'éthique parlementaire et la déontologie de l'élu dans l'exercice de son mandat, organisé par l'Assemblée populaire nationale (APN), en collaboration avec la Conférence nationale des législatures des Etats américains (NCSL/USA), se sont poursuivis hier pour leur deuxième et dernière journée dans l'hémicycle. Lors de la première session de la matinée, la problématique abordée par les participants a été celle relative à la crise de conscience. Ce fut l'occasion pour les législateurs américains de décrire une situation dans laquelle différentes valeurs sont en conflit. Cet état de fait appelle un certain nombre de questionnements pour les élus comme par exemple comment concilier les besoins de leur circonscription par rapport à ceux de leur Etat ou de la nation, comment gérer une situation où ils seraient en désaccord avec la majorité représentative de leur circonscription ou, encore, quel est le rôle de la discipline de parti dans la politique américaine. Lors de son exposé, M. Bruce Starr, sénateur de l'Etat de l'Oregon, a parlé, en guise d'illustration, de son expérience personnelle, en l'occurrence un projet de loi qu'il a présenté et qui a trait à l'augmentation du prix du gaz (dans son Etat) en vue de financer les grands projets de construction de routes. Il a évoqué la situation de désaccord avec la majorité des membres de son parti, lesquels ont opposé un non catégorique à sa proposition à telle enseigne "que je me suis vu contraint, a-t-il dit, d'aller chercher aide et soutien chez les démocrates dans le but de faire passer mon projet". L'autre thème abordé au cours des travaux de cette première partie de la deuxième journée de cet atelier de formation et de perfectionnement concerne l'étude de cas nés de l'expérience législative. Des exemples de dilemmes éthiques dans les assemblées législatives et les conflits de valeurs que ces dilemmes sous-tendent ont fait l'objet de débats parfois passionnants. Divisés en petits groupes, et tout en partageant leurs analyses lors d'un débat général, les participants ont examiné les différentes études de cas sur la manière dont ces valeurs sont appliquées. Des situations telles que la conciliation entre les exigences du travail parlementaire et celles liées à la vie de famille, la réaction d'un parlementaire surpris de voir ses propos (sur un journal) altérés alors qu'il n'a parlé à un journaliste qu'à titre privé, le cas d'un parlementaire qu'on informe de l'imminence de la construction d'une ligne de métro près de sa maison (avec tous les désagréments imaginables), ou encore du parlementaire qui se voit proposer un cadeau en contrepartie d'une intervention auprès des impôts au profit d'une connaissance. Dans ces différentes situations, il a été signalé que des valeurs étaient en perpétuelle opposition, voire en conflit, à l'image de la loyauté, l'objectivité, l'amitié et la bonne conduite

Mr le président Barack Obama Algerie


«Obama considère l'Algérie comme un pays clé au Maghreb» Par ailleurs, l'Algérie est un grand pays clé au sein du Maghreb et le Maghreb constitue une zone d'intérêt importante pour les Etats-Unis. ...