阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

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羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Sunday, May 16, 2010

AlgerieFestival Dimajazz de Constantine : Entre fraîcheur belge et gaieté vietnamienne



Les guitaristes Nguyên Lê et Philippe Catherine ont fait un tabac, un « tapage nocturne ».
Constantine
De notre envoyé spécial
Le dialogue entre la guitare et la trompette était parfait en cette soirée pluvieuse à Constantine. Les belges, Philippe Catherine et Philippe Aerts, se parlaient, s’entendaient et s’amusaient sur la scène du théâtre régional de Constantine (TRC) où se tient le festival international du jazz (Dimajazz). Au milieu, Bert Joris, à la basse s’éclatait lui aussi à sa manière. A twice a week (deux fois par semaine) lançait un concert de plus d’une heure. Le trio enchaînait avec How deep is the ocean ? (quelle est la profondeur de l’océan ?). Autant dire que le public, bavard au début, se laissait emporter par les vagues mélodiques d’une fraîcheur irrésistible. Philippe Catherine prenait le soin d’expliquer les titres qu’il interprétait dont cet hommage rendu à sa mère, Letter from my mother, qui lui a valu une salve d’applaudissements.
Toutes les couleurs du jazz étaient touchées par le trio. Philippe Catherine, qui ne se lasse jamais de chercher la perfection, est à l’avant-garde du jazz européen. Il doit beaucoup à son grand-père, violoniste à l’orchestre symphonique de Londres, mais aussi à Georges Brassens, qui l’a convaincu, rien qu’en l’écoutant, que la guitare était l’instrument de sa vie. Depuis 1961, et sa rencontre avec Lou Benett, Philippe Catherine ne s’arrête pas de tourner, de produire, de créer… Il vient à peine de sortir un album, Live at Cap Breton, résultat d’un récital exceptionnel avec Hein Van de Geyn et Joe Labarbera. En 2008, il a produit son unique album en solo, Guitars two. Autre son, autre créativité.
Le franco-vietnamien, Nguyên Lê, a embarqué les présents sur le bateau ivre du jazz aux sonorités rock. Avec les mains endiablées d’un Francis Lassus à la batterie et d’un Linley Marthe à la basse, l’adhésion du jeune public en attente de plus de rythmes. Nguyên Lê connaît parfaitement les « Dimajazziens », puisqu’il avait déjà pris part à l’édition de 2006 pour célébrer Jimmy Hendrix. Vendredi soir, il a presque cassé la baraque. Il n’est pas « funambule de l’instrument » pour rien !
Second couteau avec Karim Ziad
A 51 ans, il a déjà produit 15 albums, le dernier en date remonte à 2009. Saiyuki est un album particulier, puisque Nguyên Lê a fait appel au japonais, Mieko Miyazaki, et à l’indien, Prabhu Edouard. L’artiste s’inspire sans complexe des mélodies traditionnelles asiatiques. A Constantine, il a joué Le cheval noir, inspiré d’un chant festif vietnamien. « Le son du galop est un symbole de la gaieté. Celle-ci est universelle. J’avoue que toutes les cultures m’inspirent. J’aime aussi l’improvisation, car on est d’abord des jazzmen. Le rock est pour moi une énergie, pas un style. Cette énergie me permet de communiquer rapidement avec le public », nous a expliqué, à la fin du spectacle, Nguyên Lê.
L’artiste a avoué aimer le public constantinois. « Je n’ai jamais vu un public aussi chaud et enthiousiaste », a-t-il appuyé. Bientôt, Nguyên Lê va jouer avec le jazzman algérien, Karim Ziad, et le maître gnawi marocain, Hamid El Kasr, pour produire un album et animer des concerts. « Les musiques algériennes et marocaines se ressemblent. Les frontières sont plus coloniales qu’historiques », a relevé l’artiste qui a travaillé avec Mami et Safy Boutella.
Par Fayçal Métaoui

Union pour la Méditerranée l'Arlem



L'Union pour la Méditerranée crée l'Arlem
Le "Palau de Pedralbes" de Barcelo ne qui abrite le siège de l'Union pour la Méditerranée, a vu naître une nouvelle structure transfrontalière : l'Arlem (assemblée régionale et locale euro-méditerranéenne). Ses fondateurs se défendent vivement de paraître créer une énième structure : pour preuve, c'est directement le Président du Comité des Régions de l'Union européenne, le Flamand Luc Van den Brande, qui coprésidera l'Arlem, aux côtés d'un partenaire de l'extrême sud, le maire d'Al Hoceima (Maroc), Mohammed Boudra. Van den Brande a voulu parer à toute critique en choisissant
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le "parler vrai". "Notre but n'est pas de dupliquer des forums de politique internationale déjà existants et auxquels nous ne pouvons que confirmer notre appui". Le président du Comité des Régions a bien insisté sur le fait que l'Arlem n'est pas une association mais un "organe" devant servir à coordonner les projets des collectivités locales et des régions entre pays de l'union européenne et aussi du bassin méditerranéen sud et est. Donc, mieux qu'un "lobby": un "interlocuteur" auprès de l'Union européenne et des pays du Maghreb. Un organe qui dépasse par conséquent les différentes Eurorégions transfrontalières créées au fil de ces dernières années. L'objectif d'Arlem est de "faciliter la rencontre entre collectivités régionales et locales du Nord et du Sud ; de toute l'Union européenne, car le dialogue ne doit pas s'arrêter aux terres d'oliviers....comme c'est le cas dans certaines enceintes de dialogue territorial déjà existantes", a-t-il laissé tomber. Il s'agit non seulement de faire avancer des projets déjà ficelés et disposant de financements, mais aussi de "surveiller" leur mise en place correcte. Cet "instrument" opérationnel avait en effet été réclamé en octobre dernier à Barcelone, lors de l'assemblée de l'Eurorégion que présidait à ce moment-là Georges Frêche. L'appel a été entendu ; tant et si bien que le 1 er décembre dernier, la tenue à Barcelone de la première réunion officielle de l'Assemblée régionale et locale euro-méditerranéenne avait été annoncée, à l'issue d'une rencontre à Bruxelles entre le président du Comité des régions et les représentants de l'Union pour la Méditerranée, des institutions européennes et des autorités régionales et locales de trois rives de la Méditerranée. L'année prochaine la réunion annuelle de l'Arlem se fera au Maroc.
Joana Viusà

le programme Global Entrepreneurship



Lors de son discours lors du Sommet présidentiel sur l'entreprenariat le 27 avril. 2010, secrétaire d'État Hillary Clinton a lancé un certain nombre de nouveaux programmes. Le tout premier d'entre eux était le Global Entrepreneurship Program, qui elle a annoncé ce qui suit: "Voici certains des résultats de ce sommet, à ce que les États-Unis ont l'intention de le faire. Tout d'abord, nous lançons le programme Global Entrepreneurship

Amitech Algérie: Une technologie de pointe au service de l’AEP Pollutec 2010






Les acteurs algériens et opérateurs internationaux du secteur de l’hydraulique se retrouvent à Oran du 17 au 20 mai pour la 6e édition du Salon international des équipements, des technologies et des services de l’eau ( Pollutec 2010 ).
Ce Salon réunira les entreprises ayant acquis une solide expérience dans le domaine des équipements hydrauliques, à l’image d’Amitech Algérie Spa qui sera présente en force à ce rendez-vous. Amitech Algérie Spa est une filiale du Groupe Amiantit, leader mondial dans la fabrication de tuyaux et raccords en polyester renforcé avec fibre de verre PRV. Depuis plus d’un quart de siècle, Amiantit joue un rôle clef dans le perfectionnement des canalisations en développant de nouveaux produits et des technologies innovantes.
Amitech Algérie a développé dans la périphérie de Mostaganem une usine de fabrication de canalisations et autres produits en PRV selon les procédés Flowtite. Les canalisations et accessoires d’Amitech Algérie sont conçus conformément aux normes internationales et standards les plus sévères (normes AWWA, ASTM, DIN, ISO 14001 et EN). Amitech Algérie a développé dans la région de Mostaganem, une usine de fabrication de canalisations en PRV (Polyester renforcé de fibre de verre) afin de supporter l’ambitieux programme algérien de développement.
Actuellement, Amitech algerie apporte son expérience dans le domaine de l’hydraulique et des solutions dans le choix des matériaux pour les réseaux d’eau potable, d’irrigation, d’assainissement, la réhabilitation d’ouvrages, le fonçage et les applications industrielles. L’usine, qui occupe une superficie de 50.000 m2, est spécialisée dans la réalisation de systèmes de canalisations pour les réseaux d’eau potable, d’eaux brutes, d’assainissement, d’irrigation.
Elle produit aussi tous types de raccords et de pièces spéciales en PRV nécessaires pour les canalisations et compte parmi ses autres activités le conseil en management. Amitech Algérie est actuellement l’unique titulaire de la License Flowtite en Algérie. Elle est la seule entreprise en Algérie autorisée par ce label à produire des canalisations et produits Flowtite avec son » Know-how » et sa technologie. Le matériau PRV Flowtite permet de répondre aux attentes grandissantes des utilisateurs sur la qualité et la pérennité des réseaux de transport d’effluents notamment.
L’acronyme PRV qui veut dire Polyester renforcé de verre, est un matériau composite très utilisé aussi dans des industries de pointe, telles que l’aéronautique et l’automobile. Si l’on croit les spécialistes, le processus de fabrication mis en place donne des conduites étanches et anticorrosives. Le choix des matières premières (résines, fibre de verre, sable siliceux et autres additifs), garantit une qualité certaine aux produits usinés. Rien à voir donc avec l’amiante dont les méfaits ont été prouvés. Face au vieillissement des réseaux d’assainissement et d’eau potable, à l’augmentation des fuites et des dépenses liées aux remplacements, les canalisations en PRV se présentent comme la solution idéale.
Les produits Amitech Algérie sont réputés pour leur meilleur rapport qualité/prix par rapport aux produits concurrents. Amitech Algérie occupe ainsi une place prépondérante tant par la qualité de ses produits et de ses activités que par l’importance de son potentiel, alliés au savoir faire d’une main-d’œuvre qualifiée et d’un encadrement à l’expérience avérée, notamment en matière d’ingénierie. Amitech Algérie appartient au groupe Amiantit, leader mondial de fabrication de tuyaux et raccords en PRV. Depuis plus d’un quart de siècle, Amiantit joue un rôle clef dans le perfectionnement des canalisations en polyester renforcé avec fibre de verre, en développant de nouveaux produits et les technologies de fabrication qui permettent d’obtenir une grande qualité et fiabilité de ses produits.
Le Groupe Amiantit est une organisation industrielle leader dans la fabrication de systèmes de canalisation, systèmes d’étanchéité et d’isolation, produits de caoutchouc, technologies pour la fabrication de tuyauteries et systèmes de gestion de l’eau. Amiantit est impliqué dans les domaines du génie civil, de l’irrigation, de l’industrie et de l’énergie, en aidant au développement d’infrastructures au niveau global.
Le Groupe Amiantit est composé d’un grand nombre d’entreprises qui disposent des technologies leader dans leurs divers secteurs, en assurant l’excellence dans leurs produits et en mettant à la disposition de leurs clients l’expérience et la qualification de leurs équipements professionnels. L’entreprise, originaire du royaume d’Arabie Saoudite, a effectué un important processus d’expansion, en offrant une vaste gamme solutions et technologies dans un cadre global.
À travers l’innovation, la créativité et l’extension d’alliances au niveau global, Amiantit emploie son expérience dans le monde du transport de fluides pour développer de nouveaux produits capables de générer une importante valeur ajoutée dans ses applications.
source: Le maghreb

Festival de la culture africaine à Tizi Ouzou



Algérie – La beauté africaine dans toute sa splendeur était à l’honneur les 13 et 14 mai à Tizi Ouzou. L’occasion : la tenue de la 1re édition du Festival de la culture et de l’expression de la beauté en Afrique subsaharienne.Organisée par l’Union panafricaine des étudiants stagiaires étrangers en Algérie (Upesea), cette manifestation a drainé près de 300 participants venus des universités d’Oran, Mostaganem, Béjaïa, Blida et Tizi Ouzou. Outre une exposition retraçant les cultures, les traditions, l’artisanat, le patrimoine et les plats traditionnels du continent noir, un programme d’activités artistiques a marqué la deuxième journée de cette rencontre. L’animation a été confiée à trois trublions présentateurs, dont deux charmantes filles qui ont su admirablement apporter une sacrée dose de bonne humeur et de convivialité au nombreux public qui a fait le déplacement à la maison de la culture Mouloud Mammeri. Il faut dire qu’en matière de divertissement, il y en avait pour tous les goûts en ce vendredi.
La première partie du show était consacrée aux chorégraphies folkloriques des 31 pays participant dont l’Algérie. Vêtues de chatoyantes et séduisantes tenues, les troupes qui se sont succédé sur scène ont épaté l’assistance par des chorégraphies mettant en relief la richesse culturelle des pays de l’Afrique subsaharienne. Des chants traditionnels et modernes, des karaokés, des sketchs et des récitals poétiques figuraient également au programme. Mais le clou de la soirée aura été incontestablement l’élection de Miss Africa 2010.
Défilant sous les airs de Didi, l’immortel tube de l’inusable Cheb Khaled, avec des tenues dévoilant des corps de rêve et une beauté naturelle inégalable, les prétendantes au sacre étaient sélectionnées suivant des critères physiques mais aussi intellectuels. Le jury mis en place pour la circonstance notait également les mensurations, la démarche sur scène et l’élégance. Rappelons que ce festival est organisé dans le cadre de la commémoration du 47e anniversaire de la Journée mondiale de l’Afrique et de la célébration de l’anniversaire de la création de l’Organisation de l’unité africaine (OUA), le 25 mai 1963.
Selon les organisateurs, l’objectif de cette manifestation, préparée en collaboration avec la direction de la culture et de la sous-direction des activités culturelles et sportives de l’université de Tizi Ouzou, est la valorisation des cultures et des traditions africaines. Il s’agit aussi de « créer un espace de communication et de découverte des richesses culturelles de l’Afrique subsaharienne au peuple algérien ». « C’est une manifestation à caractère culturel, durant laquelle nous avons voulu faire découvrir au peuple algérien les cultures africaines à travers leurs richesses ethniques et cela dans le cadre de l’intégration interafricaine.
Nous voulons aussi expliquer, à travers cette première édition, les traditions et les cultures des sociétés subsahariennes d’Afrique, la beauté africaine dans ses états et donner une vocation culturelle forte à notre organisation (Upesea) », a indiqué un membre du comité d’organisation.
source: Elwatan

Algérie: Premier essai technique concluant du tramway d’Alger





Algérie – Le premier essai technique du tramway d’Alger a été effectué samedi à Alger au niveau du tronçon de Bordj El Kiffan sur une distance de près de deux (2) kilomètres, sous les applaudissements d’une foule nombreuse.Le ministre des Transports, M. Amar Tou, qui a assisté à cet essai, s’est dit « confiant de voir le projet se réaliser dans les délais, les travaux avançant à un bon rythme ».
Massés le long des quais à Bordj El Kiffan, les citoyens, ravis, découvrent pour la première fois les rames peintes en bleu et blanc du tramway algérois sur la principale avenue. Des parents accompagnés de leurs enfants ont même été invités par le ministre à monter à bord et à effectuer le trajet retour.
source: APS

UMA: La BMICE sera lancée en septembre 2010





UMA – A l’occasion du 2ème forum des hommes d’affaires maghrébins, la question de la concrétisation de la Banque maghrébine d’investissement et de commerce extérieur (BMICE) a été au centre de tous les regards.Il faut dire qu’à l’occasion de la tenue de ce forum le premier ministre tunisien, M. Mohamed Ghannouchi, a affirmé que la mise en place de la BMICE constitue un mécanisme nécessaire pour le financement des projets mixtes, la facilitation du transfert des capitaux et le développement des échanges commerciaux, exprimant la volonté de voir l’activité de cette banque démarrer dans les plus brefs délais.
Aussi, le secrétaire général de l’UMA, M. Habib Ben Yahia a indiqué au cours d’une conférence de presse organisée au terme du forum que la BMICE sera lancée sous peu. En effet, M. Ben Yahia évoque des avancées et se félicite du fait que les 5 pays membres soient arrivés « à aplanir les divergences pour les textes ».
Le secrétaire général de l’UMA rappelle que les réunions des ministres des finances à Alger du 16 mars 2010 ont permis d’élaborer un échéancier pour le lancement effectif des activités de la BMICE. Il faut rappeler dans ce sens qu’au cours de la réunion d’Alger, 500 millions de dollars ont été affectés à la création de cette banque, « équitablement répartis entre les cinq pays membres de l’UMA » dont 150 millions de dollars représentant un capital libéré, a indiqué le ministre, précisant que 25% du capital de la banque devront être libérés la veille de la tenue de l’assemblée constitutive de la Banque dont le siège sera établi à Tunis.
Sur ce point, M. Ben Yahia annonce que la contribution des Etats membres se fera fin juin 2010. Quant à la date du lancement effectif de la banque, M. Habib Ben Yahia indique que le démarrage de la BMICE aura lieu en septembre 2010. Il y a lieu de rappeler que l’accord relatif à la création de cette banque a été signé en 1991, à Ras Lanouf (Libye), par tous les pays de l’UMA.Il faut dire que de plus en plus des voix s’élèvent pour demander aux pays membres de l’Union de hâter la mise en service de la BMICE dont l’assemblée constitutive a été convoquée, une première fois, au mois de mars 2007, à Tunis.
Déjà, en novembre 2008, M. Dominique Strauss-Kahn, directeur général du Fonds monétaire international (FMI), avait appelé à l’accélération de la mise en place de cette Banque pour faciliter la réalisation de projets fédérateurs dans la zone du Maghreb. Rappelons que le deuxième forum maghrébin des hommes d’affaires a consacré un panel au système financier sous le thème » Le système financier maghrébin : moteur de l’intégration économique maghrébine « . La coopération bancaire maghrébine a eu un cadre organisationnel (l’Union des Banques maghrébines, UBM) qui a été créée le 7 décembre 1990 à l’initiative des présidents des banques des 5 pays du Maghreb : Tunisie, Algérie, Libye, Maroc, et Maurétanie.
L’espace a gardé son caractère macro pour engendrer encore et encore un coût très célèbre : Le coût de non Maghreb. La zone compte 93 banques, 104 établissements financiers, 12 600 points de vente, 6 400 GAB et engendre 155 000 banques. Un environnement de calibre qui n’a pas contribué comme prévu à l’accroissement de l’espace économique maghrébin, sauf l’expérience d’Attijariwafa Bank qui a réussi son réseau régional pour le mettre au service des hommes d’affaires opportunistes.
source: Le maghreb

Union pour la Méditerranée Italie



Union pour la Méditerranée - Italie : Les participants à une conférence à Palerme appellent à la création d'une "macrorégion méditerranéenne"
Les représentants de plus de 50 institutions régionales représentant 21 pays du pourtour méditerranéen, réunis samedi à Palerme (Sicile-sud de l'Italie), ont appelé à la création, dans les plus proches délais, d'une "macrorégion méditerranéenne".Cette macrorégion permettra "la gouvernance d'une stratégie commune, de par la coordination et la valorisation de tous les réseaux et les articulations déjà existants ou qui peuvent être mis en place entre les institutions, les collectivités locales et les formes organisées de la société civile", peut-on lire dans la déclaration adoptée au terme de cette conférence placée sous le thème "Unis pour la Méditerranée".Les participants à cette conférence, organisée dans le cadre des festivités marquant le 64ème anniversaire de l'octroi du statut d'autonomie régionale à la Sicile, ont exprimé leur volonté d'œuvrer, de façon concrète et efficace, pour consolider le processus de paix et de stabilité dans cette zone, sortir définitivement de la crise, renforcer et mener au succès l'Union pour la Méditerranée et les instruments mis en place à cet effet.Ils ont proposé plusieurs pistes prioritaires pour la réalisation de stratégies et programmes communs "fonctionnels à la constitution de la macrorégion Méditerranée", telles la préservation et la valorisation de l'habitat terrestre et maritime, la coordination de la protection civile intégrée, l'intensification des transports terrestre (de fer et routier), maritime et aérien et la promotion du rôle des instituts déjà existant, comme EMUNI ou ERASMUS.Les participants à la conférence ont également appelé à la promotion d'un meilleur équilibre entre globalisation et développement local, l'intégration de la dimension supranationale de gouvernance des flux migratoires, la valorisation du rô le croissant des villes pour le développement durable et la relance du rôle des îles dans les relations interméditerranéennes.La partie marocaine à cette conférence était représentée par MM. Bouamor Taghouan, président du Conseil de la région Rabat-Salé-Zemmour-Zaër et Mohamed Boudra, président de la région Taza-Al Hoceima-Taounate.Joint par téléphone par la MAP, M. Taghouan s'est félicité de la participation marocaine à cette importante conférence ainsi qu'à la réunion instituant le Prix "Asharif Al Idrissi" en hommage à ce grand géographe marocain qui a été le premier à avoir mis au point une carte de la méditerranée.Après avoir rappelé que la région de Rabat-Salé-Zemmour-Zaër est liée à celle de la Sicile par des accords de partenariat embrassant divers domaines, M. Taghouan s'est réjoui de la prise de conscience relevée auprès des participants quant à la nécessité de promouvoir le rapprochement entre les deux rives de la méditerranée et de renforcer le dialogue interculturel et interreligieux.Cette prise de conscience augure une nouvelle phase dans les rapports entre les partenaires méditerranéens marquée par le démantèlement des barrières et le renforcement des échanges dans divers domaines, a-t-il affirmé, estimant nécessaire de créer des groupements à l'intérieur de l'espace méditerranéen sur la voie de la réalisation de l'intégration et de la complémentarité.M. Taghouan a mis l'accent, à cet égard, sur l'importance de l'Union du Maghreb arabe (UMA) et son insertion pleine et entière dans le processus d'édification auquel aspire la région méditerranéenne.