阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

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指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Saturday, June 12, 2010

L’Algérie va demander à l’UE une adaptation du calendrier du démantèlement tarifaire



En prévision de la réunion de Luxembourg
L’Algérie va demander à l’UE une adaptation du calendrier du démantèlement tarifaire
Par : Rédaction de Liberte

L’Algérie va demander à l’Union européenne une adaptation du calendrier et des listes des produits concernés par le démantèlement tarifaire, arrêtés en 2002 dans le cadre de l’accord d’association Algérie-UE en vigueur depuis septembre 2005. À la veille du Conseil d’association qui doit réunir les deux parties mardi prochain au Luxembourg, Alger met sur la table un certain nombre de correctifs nécessaires pour la poursuite de la coopération. Selon une source proche de la délégation algérienne à Bruxelles, il existe six volets importants de coopération bilatérale. Le dialogue politique pour lequel “il n’y a pas de gros problèmes se déroule bien”. Sur le plan économique, cette source fera état de deux volets qui seront discutés : le premier consiste “à voir comment l’UE peut aider l’Algérie à mettre en place et adapter sa législation, et à améliorer les performances de l’administration pour rendre ces législations lisibles de part et d’autre de la Méditerranée”. Les deux parties vont voir “comment moderniser l’économie algérienne, ses entreprises et ses organismes”. Pour ce faire, les deux partenaires ont signé un accord sur le programme indicatif national doté d’un budget de 172 millions d’euros sur trois ans, et qui répond à des projets arrêtés en commun dans le cadre du soutien aux réformes engagées par l’Algérie afin d’assurer une meilleure économie. En outre, une nouvelle procédure d’appui budgétaire qui facilitera la concrétisation des objectifs assignés a été introduite en 2010, ajoute la même source. Le deuxième volet économique à l’ordre du jour concerne les investissements directs européens dont le flux est en deçà des attentes de l’Algérie. Les deux parties devraient également discuter de leurs échanges commerciaux hors hydrocarbures qui sont en défaveur de l’Algérie, avec des importations algériennes de l’UE qui ont pratiquement doublé en 3 ans, passant de 10 à 20 milliards de dollars, alors que les exportations algériennes hors hydrocarbures vers l’UE ont stagné. Dans cette perspective, deux séminaires seront organisés en juin en cours et en novembre prochain pour la promotion des exportations des produits agricoles algériens vers l’Europe

Mr le president Nicolas Sarkozy ,Mr le Premier ministre russe Vladimir Poutine scellent le partenariat franco-russe en matière de défense




PARIS (AP) — Nicolas Sarkozy a réaffirmé vendredi sa volonté de traiter la Russie comme "un partenaire, y compris en matière de sécurité et de défense", à l'occasion de sa rencontre avec Vladimir Poutine. Au centre des discussions: la décision française de vendre quatre navires porte-hélicoptères "Mistral" à Moscou, qui prévoit notamment des transferts de technologie.
Le chef de l'Etat français a reçu le Premier ministre russe pendant une heure et quart, pour un déjeuner de travail à l'Elysée. Vladimir Poutine a quitté l'Elysée sans s'exprimer.
"Dès lors qu'on veut que la Russie se comporte comme un partenaire, il faut la traiter comme un partenaire, y compris en matière de sécurité et de défense", a une nouvelle fois expliqué Nicolas Sarkozy, selon l'Elysée. Le président français a souligné que si la décision de vendre le BPC (bâtiment de projection et de commandement) "Mistral" ''a des avantages économiques pour la France", elle constitue "avant tout un signal politique que la France voulait envoyer à la Russie".
"La négociation maintenant se poursuit au niveau technique avec une volonté de part et d'autre de l'accélérer", a précisé l'Elysée. La France et la Russie doivent se partager la fabrication de quatre navires, dont le premier serait fabriqué dans les chantiers navals de Saint-Nazaire (Loire-Atlantique). La question des transferts technologiques, notamment, reste en cours de négociation.
"Nous sommes déterminés à répondre aux grands défis de sécurité de l'Europe (...) ensemble", avait déclaré le Premier ministre François Fillon vendredi matin devant son homologue, lors de l'inauguration de l'Exposition nationale russe.
Par ailleurs, MM. Sarkozy et Poutine ont "souligné l'approfondissement sensible de la volonté -côté européen et côté russe- de travailler ensemble", selon l'Elysée. Sur le plan bilatéral, ils se sont félicités de la progression des relations économiques, soulignant que la France est passée en trois ans du rang de dixième investisseur en Russie à celui de cinquième.
Le Premier ministre russe, qui a donné une tonalité économique à sa visite en France, a notamment rencontré vendredi matin le patron de Total, Christophe de Margerie. "Nous vous avons soutenu, nous continuerons à vous soutenir", a assuré M. Poutine, souhaitant que le géant pétrolier français développe davantage ses activités en Russie.
En outre, Nicolas Sarkozy a évoqué "ses priorités pour le G-20", estimant avoir "des éléments de convergence évidents" avec la Russie, notamment sur la réforme du système monétaire international et la lutte contre la spéculation sur les matières premières. Le président français a souhaité "travailler à encadrer le cours des matières premières, notamment les hydrocarbures, pour éviter des amplitudes très fortes dans les cours, qui pénalisent à la fois les producteurs et les consommateurs", a indiqué l'Elysée.
En ce qui concerne l'Iran, le chef de l'Etat a "salué" la décision russe de se joindre à l'adoption des sanctions par le Conseil de sécurité des Nations unies, selon la même source.
Nicolas Sarkozy doit se rendre la semaine prochaine en Russie, à l'occasion du Forum économique international de Saint-Pétersbourg organisé les 18 et 19 juin. AP
sc/cov/sb

La secrétaire d'État chargée de l'Écologie.Madame Chantal Jouanno et les parcs naturels de l’Union pour la Méditerranée



Le colloque "Les parcs naturels et l’Union pour la Méditerranée" qui se déroule en ce moment à La Garde dans le Var s’inscrit dans le cadre de l’Année internationale de la biodiversité Ces rencontres sont l’occasion de lancer une réflexion de fond sur les enjeux communs des aires protégées en Méditerranée et de s’inscrire ainsi dans la stratégie pour l’Union pour la Méditerrannée" voulue par le Gouvernement. Chantal Jouanno participe à l ’ouverture de ce colloque. Ainsi, le 11 juin 2010, des responsables politiques, des scientifiques, des gestionnaires de parcs de la Méditerranée, des responsables de réseaux méditerranéens et des experts échangeront sur les thématiques partagées que constituent : * la gouvernance des espaces protégés de la Méditerranée * le tourisme durable et l'accueil du public dans les parcs naturels de la Méditerranée * l'agropastoralisme dans les parcs naturels de la Méditerranée * l'impact des changements globaux dans les écosystèmes méditerranéens. Ces travaux ont d'une part pour ambition de promouvoir les échanges et des coopérations futures entre les aires protégées de la Méditerranée. Ils doivent, par ailleurs, avec l'appui des réseaux et structures existants, permettre de dynamiser un réseau des espaces protégés en Méditerranée.

Algerie regroupement thématique de la commission Intersectorielle CIS "Matières premières et énergie"



Portail Algérien des ÉNERGIES RENOUVELABLES
Vendredi 11 juin 2010
La Direction Générale de la Recherche Scientifique et du Développement Technologique DGRSDT, organise le 28 Juin 2010 à l’Université M’hamed Bougara de Boumerdès un regroupement thématique de la commission Intersectorielle CIS "Matières premières et énergie" en rapport avec les programmes nationaux de recherche suivants :
Exploration et exploitation des matières premières ;
Valorisation des matières premières et industrie ;
Energie et technique nucléaires ;
Energies renouvelables ;
Hydrocarbures.
Les programmes nationaux de recherche (PNR) ont été lancés jeudi à l’université de Constantine lors d’un regroupement thématique de la commission intersectorielle (CIS) Habitat, urbanisme, transport et travaux publics. Cette rencontre à laquelle ont participé des cadres de la direction générale de la recherche scientifique et du développement technologique du ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique (MESRS), a permis de réunir les directeurs centraux des ministères constituant la CIS, ainsi que des représentants de l’université et des responsables locaux. L’harmonisation, la coordination, la coopération et la concertation en vue de concrétiser les PNR dont l’impact sur le développement est ’’extrêmement positif’’ ont été soulignées par le directeur de la programmation, de la recherche, de l’évaluation et de la prospective au sein du ministère de tutelle. S’adressant aux membres de la CIS réunis en séance plénière à l’auditorium de l’université Mentouri, le Pr Mokhtar Sellami a notamment rappelé la politique et l’orientation générale de la recherche scientifique et du développement technologique avant d’exposer la stratégie et la mise en œuvre des PNR. Ces programmes nationaux qui sont au nombre de 34, traitent de la problématique de développement économique, social et culturel du pays pour en faire un ensemble cohérent d’objectifs et d’actions de recherches scientifiques et de développement technologique, a-t-il indiqué, rappelant les objectifs scientifiques dans les domaines de l’habitat, de l’urbanisme, du transport et des travaux publics. Ce regroupement a été également consacré à éclairer les participants sur le rôle dévolu par les textes de loi aux dix commissions intersectorielles représentant 28 départements ministériels, eu égard à leur implication directe et leur responsabilité dans la gestion des PNR. Ces commissions se doivent de veiller particulièrement à la périodicité des rencontres pour étudier les moyens et modalités de mise en œuvre de ces PNR et organiser la concertation entre l’administration, les organismes de recherche et les entreprises économiques directement ou indirectement concernées par le domaine de recherche considéré en vue d’assurer une meilleure coordination et d’activer les projets fédérateurs et interdisciplinaires, a souligné M. Sellami.
Université de Boumerdès / APS

Alger le wali inspecte les grands projets structurants de la capitale 2015-2020




Reportage : Alger
Le wali inspecte les grands projets structurants de la capitale
Alger prépare sa mue
Par : Ali Farès

La capitale a bénéficié pour son programme de développement de plus de 1 000 milliards de dinars destinés aux projets structurants et de proximité. Une œuvre colossale qui permettra à l’horizon 2015-2020 de parler d’Alger métropole dans le bassin méditerranéen.
L’immense chantier à ciel ouvert qu’est devenue la wilaya d’Alger ces dernières années suscite pour une catégorie de citoyens, les pessimistes s’entend, la colère et le mécontentement. Cela se comprend en partie si l’on considère les désagréments que toute sorte de travaux génèrent. Les plus optimistes vivent cela avec philosophie en pensant qu’il y a une fin à tout. Mais à y voir de près, les choses semblent normales et augurent au contraire des horizons meilleurs. C’est du moins ce que nous retenons de la visite sur terrain que nous avons effectuée les 2 et 3 mars avec une délégation d’élus de l’APW d’Alger, conduite par le président nouvellement installé de cette instance, Djamel Madi, et du SG de la wilaya, Oulad Salah Zitouni. Le premier point de la visite concerne l’étude et la réalisation du plus grand collecteur du centre de la capitale à savoir le collecteur Pointe-Pescade 4e tranche.À l’occasion, le directeur des ressources en eau a rappelé que le taux de raccordement en AEP est de 97% et que le budget sectoriel de la wilaya pour assurer l’alimentation et la maintenance du réseau est de plus de 36 milliards de dinars. Direction Frais-Vallon, dans la commune de Oued Koriche où la délégation s’informe de l’état d’avancement de la réalisation de la télécabine devant assurer la desserte entre cette localité et les hauteurs de Bouzaréah sur une longueur totale de près de 3 000 mètres avec un dénivelé dépassant les 300 mètres. La télécabine sera dotée de 57 cabines de 15 places avec une cadence de transport de 2 400 personnes/h. Les usagers, suspendus dans les airs, pourront en l’espace d’une dizaine de minutes s’offrir un voyage avec vue panoramique imprenable. La réalisation de ce projet est confiée à la société suisse Garaventa alors que les CES sont à la charge d’une société chinoise Bing Kun.
Enseignement supérieur : la part du lionLa Direction des équipements publics travaille sur plusieurs fronts. De l’école primaire aux ensembles universitaires en passant par les lycées et les CFPA. À Châteauneuf, la structure de la faculté de médecine de 10 000 places prend de plus en plus forme. Les infrastructures devant abriter respectivement les étudiants en médecine, chirurgie-dentaire et l’administration sont à 98% achevées. La bibliothèque est à 90%. Seul le bloc pharmacie est, pour des raisons liées à la nature du sol ayant nécessité une plus grande intervention, est à 45%. De ce fait, les travaux ont atteint un taux global de 69%. La livraison de la faculté de médecine est prévue pour la rentrée 2011. Le coût du marché confié au groupe Cosider est de plus de 5 milliards de dinars. Dans le quartier Saïd-Hamdine (Bir-Mourad-Raïs), l’attention est retenue par un ensemble de bâtiments dont les façades promettent une grande beauté architecturale. Il s’agit de la future faculté de droit dans ses trois formes d’enseignement : législatif, judiciaire, exécutif. Après la levée de certaines contraintes posées par le groupe turc USU/Aslan, en charge de la réalisation de cette faculté de 10 000 places pédagogiques, le SG de la wilaya a insisté auprès du DG de ce même groupe pour la livraison de l’ouvrage en septembre 2010. À noter que les projets livrés durant l’année écoulée concernent quatre opérations à savoir : la faculté de communication et d’information de 2 000 places (Hydra), l’Institut supérieur du commerce de 1 000 places (Hydra), l’extension de l’École d’architecture, Epau, de 500 places et la résidence universitaire de 4 000 lits à Ouled-Fayet. Pour les projets en cours, nous retenons le pôle universitaire de Sidi-Abdallah, le centre des langues de Bab-Ezzouar, le centre des archives de l’USTHB, la bibliothèque centrale de l’ENS (Kouba) et le restaurant central de la faculté de communication et de l’information de Hydra. À l’USTHB de Bab-Ezzouar, la délégation a été conviée à visiter la maison de la science d’une capacité de 500 places. Le bâtiment compte un étage consacré aux sociétés savantes, un étage aux relations extérieures et recherche. Le Pr Bouhadef a expliqué que cet espace sera fonctionnel dès la prochaine rentrée universitaire. Le coût du projet est de 170 millions de dinars. Deux autres projets sont en cours, l’espace Internet dédié aux étudiants avec vidéoconférence, administration, campus numérique et locaux techniques, et un ensemble de laboratoires de 2 000 places. Les taux d’avancement des travaux sont respectivement de 60% et 20%. Les enveloppes allouées sont de 160 millions et 400 millions de dinars. Quant au lycée international de Kouba, dont la réalisation est confiée à la société étatique chinoise CSCEC, la cadence de travail semble soutenue après un flottement dont on renvoie les raisons à la nature du terrain, mais aussi aux expropriations des indus occupants. Il faut savoir que le futur établissement dont le taux d’avancement des travaux est de l’ordre de 45% aura une capacité de 1 960 places pédagogiques dont 360 pour le primaire, 600 pour le moyen et1 000 pour le secondaire. Il sera doté également d’un internat de 376 lits, d’un réfectoire de 750 places, de 8 logements d’astreinte et même d’une crèche de 40 places. Le coût du projet est de un milliard et 149 millions de dinars. Là aussi, le SG a insisté pour que ce lycée soit livré à la prochaine rentrée scolaire. Pour ce qui est du programme inscrit pour l’année en cours, la wilaya a inscrit sept opérations suivantes : étude pour la réalisation de 2 000 places pédagogiques au profit de l’USTHB, 1 000 places pour l’université d’Alger, la réalisation d’un restaurant de 800 places au site d’El-Harrach, un bloc de structures pédagogiques complémentaires en sciences de la mer ; un bloc administratif pour l’ENP, un centre de calcul et de téléenseignement à l’INA, une école normale supérieure en lettres et sciences humaines d’une capacité de 2 000 places. Les infrastructures sportives ne sont pas du reste dans cette sortie des élus de la capitale. Deux stades omnisports avec gazon naturel à Douéra et Baraki de 40 000 places chacun et dont les travaux, quelque peu perturbés par la nature du sol et les intempéries, ont enfin démarré. Ces deux stades seront conçus selon les normes internationales comprenant toutes les commodités comme le parking et les commerces. Le SG a réitéré à l’occasion les instructions du wali, Mohamed Kebir Addou, aux communes pour que tous les stades réalisés soient dotés d’éclairage et de gazon synthétique. De même que les responsables locaux sont tenus d’ouvrir les portes des infrastructures sportives à tous les jeunes sans exception. Les infrastructures routières : la grande mueLe programme des TP à gestion wilaya est assez éloquent pour montrer combien ce secteur jouit d’un grand intérêt aux yeux des responsables. Depuis 2009, pas moins de 57 opérations représentant 75 projets ont été inscrites pour un montant de 30,6 milliards de dinars dont 27,4 milliards pour les infrastructures routières et 3,2 milliards pour les infrastructures portuaires. Pour l’année en cours, 9 opérations ont été inscrites pour un montant de 6,6 milliards de dinars dont 4,1 milliards au profit des infrastructures routières, 1,7 milliard pour les infrastructures portuaires et 800 millions de dinars pour les infrastructures aéroportuaires. Le budget 2010 est de 2,4 milliards de dinars correspondant à 49 opérations dont 32 actions portant sur des grosses réparations et 17 actions de travaux neufs. Parallèlement à ce programme, il faut rappeler que le ministère concerné a débloqué entre 2005 et 2009 un montant de 24,6 milliards de dinars correspondant à 40 opérations dont 24,4 milliards pour les infrastructures routières. Ces chiffres démontrent, on ne peut plus clair, toute l’importance accordée aux infrastructures routières. Des aménagements des trémies, de carrefours, d’évitements, de dédoublements, d’échangeurs, de bretelles, de réhabilitation d’ouvrages d’art de confortement, d’élimination de points noirs, ce sont plus de 40 opérations réalisées ces dernières années. Le programme 2010 prévoit le greffage de bretelles et reconfiguration de l’échangeur du chemin de wilaya 115-rocade sud, l’aménagement d’un échangeur à Birtouta, les travaux de liaison Ouled-Fayet et Bouchaoui, le greffage de bretelles au niveau de l’ouvrage Bab-Ezzouar (RN5E et CW1) avec aménagement d’un giratoire, dédoublement CW149 (RN 24-localité Kahouat Chergui), aménagement des ouvrages de protection de CW118 (Oued-Smar), travaux de confortement des ouvrages de protection et aménagement du port de Raïs-Hamidou, travaux de protection de site Le Lido, protection du taxiway de la piste secondaire sur 1,5 km de l’aérodrome d’Alger. Sur budget de wilaya, le programme 2010 prévoit entre autres actions les travaux de liaison Rocade-Sud Bir-Mourad-Raïs par Oued Knis, aménagement du carrefour du Val d’Hydra, réalisation des travaux de greffage de bretelles d’entrée et de sortie de la pénétrante des Anassers vers la cité des Anassers, réalisation du contournement de la ville de Draria par le chemin des Crêtes en 2X2 voies.
Le quartier des affaires, un atout pour une métropoleUne autre étape, et non des moindres, nous a conduits vers l’implantation du quartier des affaires d’Alger situé à Bab-Ezzouar et que nous avons eu l’occasion de visiter avec le wali d’Alger qui, comme l’a rappelé le SG, en fait un deuxième cheval de bataille après l’éradication de l’habitat précaire. Ce projet, devant redonner à Alger son vrai statut de métropole, a été lancé en 2005 sur instruction du chef de l’État qui a posé lui-même la première pierre. Pourquoi le choix de ce site ? À l’origine, le lieu abritait un cimetière de bus de l’Etusa, bordé d’un bidonville de 1 500 baraques. Une piètre image et un avant-goût pour le touriste venant tout juste de descendre d’avion. Situé à deux encablures de l’aéroport international Houari-Boumediene, le site bénéficie d’une excellente accessibilité rehaussée par la proximité d’équipements exceptionnels tels que l’aéroport d’Alger, le complexe universitaire Houari-Boumediene, la zone industrielle de Oued Smar ainsi qu’une zone d’habitats de forte densité. Le quartier constitue une localisation idéale pour toutes les activités tertiaires mais également un emplacement pour les activités tournées vers l’international. La directrice de l’Agerfa, Mme Lateb, qui a fait un exposé sur l’utilité de ce quartier offrant une gamme d’opportunités aux investisseurs nationaux et internationaux, a expliqué qu’il répond à des objectifs d’ordre économique, urbanistique et social comme il permet de désengorger le centre-ville. Il contribuera à la résorption du chômage par la création de 30 000 emplois dont 15 000 permanents. En somme, c’est le futur poumon économique de la capitale qui sera le siège de beaucoup de grandes entreprises nationales et de sociétés étrangères. La capitale a bénéficié pour son programme de développement de plus de 1 000 milliards de dinars destinés aux projets structurants et de proximité. Des projets rendus possibles et concrétisés grâce au travail colossal nécessité par la révision du plan directeur d’aménagement urbain des 57 communes de la wilaya et l’étude du plan d’occupation du sol ainsi que l’aménagement de la baie d’Alger qui continue parallèlement à faire son bonhomme de chemin. C’est à partir de la concrétisation de cet ensemble de projets qu’on pourra parler d’Alger capitale dans le bassin méditerranéen.

Algerie OUVERTURE DU 2e SALON NATIONAL DE LA CHORÉGRAPHIE




Pour la sauvegarde du patrimoine immatériel
Par : Amine IDJER


Un événement totalement dédié à l’expression et à l’art corporel, tous genres confondus, à savoir le traditionnel, le classique et le contemporain.
Mercredi dernier, à 15h30, à Ryad El Feth (Alger), la ministre de la Culture, Khalida Toumi, a donné officiellement le coup d’envoi de la 2e édition du Salon national de la chorégraphie et de la danse. Un événement totalement dédié à l’expression et à l’art corporel, tous genres confondus, à savoir le traditionnel, le classique et le contemporain. Organisé par le Ballet national, sous l’égide du ministère de tutelle, à savoir celui de la Culture, ce 2e Salon de la danse avait pour slogan “taouassol” (continuité). C’est aussi un hommage du Ballet national à un grand défenseur et fervent soutien pour la danse : Mustapha Kateb. Au niveau 107 du Centre des arts de l’Oref, juste en face de la salle Ibn Zeydoun, un espace a été aménagé, constituant une sorte de scène, permettant aux différentes troupes et autres compagnies de danse d’évoluer et de se produire.Des airs de zorna emplissaient l’espace, attirant curieux et autres badauds. Une ambiance de fête colorée, et surtout rythmée. L’inauguration de ce salon a commencé par deux expositions. La première, réalisée par Noune Moussa, intitulée “Taouassol” (continuité), était composée de panneaux de bois sur lesquels étaient reproduits, sur fond noir, un mouvement, une posture d’une des danses traditionnelles populaires algériennes. Une fresque picturale figurative. Quant à la seconde, ce sont des figurines miniatures. Quinze tableaux reflétant les quinze danses populaires issues du programme Danse du Ballet national. Une représentation de l’héritage corporel immatériel algérien. Dans une déclaration à la presse, Khalida Toumi dira : “C’est la 2e édition du Salon national de la danse et de la chorégraphie. Depuis la première édition, il y a eu beaucoup de progrès dans l’organisation, les éléments techniques, la scénographie. (…) Je suis toujours aussi heureuse et émue de voir se produire les troupes de notre patrimoine culturel. C’est tellement beau, c’est tellement riche, tellement divers (…)”. Et d’ajouter : “Il faut qu’on travaille tous ensemble, tous, pour que l’année prochaine, il y ait 48 wilayas. Je suis sûre que chaque wilaya va ramener sa belle rose, avec sa beauté, son odeur particulière, très belle. Il faut donc qu’on travaille pour que toutes ces wilayas, 48, soient présentes, sans exception (…)” C’est au tour de la danse d’occuper l’espace et d’attirer le regard des convives et autres présents. Chaque troupe participante – elles sont une dizaine venue de huit wilayas (Alger, Tizi Ouzou M’sila, Saïda, El Bayadh, Sidi Bel-Abbès, Tindouf, Tamanrasset) – défilera en exécutant la danse de sa région. Les compagnies de danse contemporaine étaient aussi présentes, à l’image de la Coopérative Wach d’Alger, ou des petits rats de l’opéra du Studio Les Sylphides. Par ailleurs, la ministre de la Culture a insisté sur la nécessité d’encourager les jeunes qui pratiquent la danse dans les différentes structures culturelles étatiques : “(…) Il faut qu’on leur donne cet espace, qu’il devienne le leur, qu’on leur dise que l’État est là pour vous tendre la main et mettre les moyens à votre disposition pour faire briller encore plus l’étoile Algérie dans le monde (…)”. Cette joute corporelle se poursuivra jusqu’à aujourd’hui, une occasion d’apprécier l’autre pan du patrimoine immatériel algérien.

Algerie saison estivale mesures pratiques


Halim Benatallah
Mesures pratiques pour un accueil de la communauté nationale à l'étranger
Par : Rédaction de Liberte

Le secrétaire d'État auprès du ministre des Affaires étrangères chargé de la Communauté nationale établie à l'étranger, Halim Benatallah, a annoncé, jeudi à Alger, la prise d'une série de mesures “pratiques” pour un accueil de la communauté algérienne dans les meilleures conditions lors de la saison estivale.Dans une conférence de presse, en marge de la réunion de la commission chargée de la facilitation des conditions d'accueil de la communauté nationale à l'étranger, M. Benatallah a souligné “la mise en place d'un programme spécial et urgent” pour la prise en charge de la communauté nationale et “un suivi quotidien de l'arrivée de nos ressortissants établis à l'étranger”. La commission réunie ce jour pour procéder à un échange de vues, à la présentation et l'évaluation de l'expérience des années précédentes devient ainsi une cellule de suivi et d'écoute, a-t-il précisé soulignant que celle-ci compte des représentants des différents secteurs concernés par la communauté nationale établie à l'étranger dont le tourisme. Elle est chargée d'“être au quotidien à l'écoute des problèmes de la communauté nationale en vue de leur règlement”, outre l'élaboration d'une feuille de route, a-t-il ajouté.Il a été décidé la remise en service du numéro vert pour faciliter la communication directe entre les ressortissants algériens établis à l’étranger et le secrétariat d'État chargé de la Communauté nationale établie à l'étranger. L'objectif de ce numéro vert “n'est pas l'écoute uniquement des problèmes strictement consulaires”, a-t-il rappelé. La commission a entamé, par ailleurs, la réflexion pour la prise d'autres décisions en vue d'une prise en charge des préoccupations des ressortissants. À une question sur les mesures que compte prendre le secrétariat d'État concernant le séjour en Algérie des ressortissants algériens établis à l'étranger, M. Benatallah a précisé que cette question était “compliquée” et concernait aussi le ministère du Tourisme et d'autres secteurs.

Mr le président russe Medvedev du 22 au 24 juin 2010 aux Etats-Unis



Le président russe Medvedev du 22 au 24 juin aux Etats-Unis WASHINGTON, 11 juin 2010 Le président russe Dmitri Medvedev se rendra du 22 au 24 juin aux Etats-Unis, pour une visite à la fois politique et économique au cours de laquelle il s'entretiendra avec le président Barack Obama et visitera la Silicon Valley, selon le Kremlin et la Maison Blanche.
AFP 11.06.2010 22:04
Le président russe Dmitri Medvedev se rendra du 22 au 24 juin aux Etats-Unis, pour une visite à la fois politique et économique au cours de laquelle il s'entretiendra avec le président Barack Obama et visitera la Silicon Valley, selon le Kremlin et la Maison Blanche.
La visite de M. Medvedev a notamment pour objectif de "renforcer la coopération entre les Etats-Unis et la Russie dans les domaines de l'innovation et des technologies de pointe", a indiqué le Kremlin dans un communiqué.
De son côté, la présidence américaine a annoncé que M. Obama recevrait son homologue russe le 24 juin à la Maison Blanche pour des entretiens bilatéraux consacrés à "une meilleure coopération en matière de commerce, d'investissements et d'innovation", ainsi qu'à des sujets d'intérêt commun en vue des sommets du G8 et du G20 prévus fin juin au Canada.
Dmitri Medvedev a fait de l'innovation l'une des priorités de la Russie et lancé la construction à Skolkovo, dans la banlieue de Moscou, d'une "ville de l'innovation", réponse russe à la Silicon Valley.
Le projet prévoit d'attirer dans ce nouveau centre les scientifiques russes et étrangers de haut niveau, notamment dans les domaines du nucléaire, des technologies biomédicales, de l'énergie et des télécommunications.
Les relations russo-américaines connaissent une phase de renouveau depuis la signature le 8 avril à Prague par les présidents Medvedev et Obama du nouveau traité de désarmement START qui concrétise l'engagement des deux pays à réduire considérablement le nombre de leurs armes nucléaires stratégiques.
La Maison Blanche a d'ailleurs salué vendredi le fait que "depuis leur première rencontre à Londres en avril 2009, les présidents Obama et Medvedev ont étroitement collaboré à l'amélioration de la sécurité et du bien-être des Américains et des Russes".
La présidence américaine s'est aussi réjouie de l'unité d'action de Washington et Moscou pour soutenir le traité de non-prolifération nucléaire, l'imposition de nouvelles sanctions contre la Corée du Nord et l'Iran pour leurs programmes nucléaires respectifs.