阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

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指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Wednesday, June 16, 2010

Air Algérie : Moins de 50% sur les vols vers la France



L’offre est valable pour les destinations françaises et le voyage doit s’effectuer entre le 27 juin et le 20 juillet pour un retour qui n’excède pas le 20 septembre.
La compagnie nationale met les bouchées doubles pour attaquer la saison estivale avec des offres des plus concurrentielles. Pas plus tard qu’hier, Wahid Bouabdallah, P-DG d’Air Algérie, est intervenu sur les ondes de la Radio nationale pour annoncer la réduction des prix des billets de 50%.
Contacté par nos soins, un responsable à Air Algérie nous a expliqué que cette offre obéissait à des conditions précises qui doivent être bien assimilées par les voyageurs.
“L’offre est valable pour les destinations françaises et le voyage doit s’effectuer entre le 27 juin et le 20 juillet pour un retour qui ne doit pas excéder le 20 septembre”, dira-t-il, précisant toutefois que la période d’achat va expirer d’ici la fin du mois en cours au plus tard, ce qui ne laisse aux intéressés plus que 15 jours pour profiter de cette offre étudiée et étendue à toutes les composantes de la famille.
“En plus de la réduction de 50%, les bébés de 0 à 2 ans et les enfants de 2 à 12 bénéficient respectivement de 90% et 25% de réduction supplémentaire”, a indiqué notre interlocuteur.
Ceci nous ramène à des tarifs intéressants (classe Y) de l’ordre de 32 533 DA pour un Alger-Paris, 22 792 DA pour un Alger-Marseille et 27 650 DA pour un Alger-Lyon pour ne citer que ces exemples. à noter, cependant, que les titres de transport avec ces tarifs sont soumis à des conditions traduites par des pénalités de 5 000 DA ou 50 euros en cas de changement de réservation (au retour), et le remboursement n’est pas autorisé.
La direction a également indiqué, lundi dernier par le biais d’un communiqué, l’introduction de deux fréquences supplémentaires sur la ligne Alger-Palma-Alger, et ce, à partir du 27 juin prochain. Cette même date marquera d’ailleurs l’ouverture d’une nouvelle ligne Oran-Frankfurt-Oran qui intervient aux fins de renforcer un programme déjà soutenu pour la saison estivale.
Celui-ci, selon les affirmations des responsables d’Air Algérie, évoluera en fonction des besoins à travers des vols supplémentaires qui sont prévus en période de pic.En raison du Ramadhan qui intervient cette année dès les premiers jours du mois d’août, des dispositions ont déjà été prises dès le début du mois de juin pour accueillir un maximum d’estivants, dont de nombreux ressortissants algériens établis à l’étranger, dans les meilleures conditions au point de vue transport et pour lesquels une grille tarifaire spéciale à été élaborée.
Il est question alors de l’ouverture d’une autre nouvelle ligne aérienne qui ralliera Oran à la coquette ville balnéaire de Nice (France) qui permettra de renforcer les dessertes par voie aérienne de l’aéroport international d’Es-Sénia vers les villes européennes.
Un renforcement dont découle une capacité de transport plus importante de 16% par rapport à l’année dernière.
L’on comptera d’ailleurs au total 23 nouvelles fréquences hebdomadaires entre l’Algérie et la France et 11 sur le reste de l’Europe, en particulier l’Espagne.
Cela se résume à 7 nouvelles fréquences sur Paris au départ d’Alger, 2 au départ d’Oran et 2 nouvelles fréquences sur Marseille également au départ d’Alger. L’on notera, par ailleurs, le lancement d’une nouvelle ligne régulière Oran-Lille et une autre avec 4 fréquences sur Palma de Majorque.
Nabila Saïdoun

Accord Algérie-UE l’horizon 2017




Accord Algérie-UE: Des pertes de 8,7 milliards de dollars à l’horizon 2017
La 5e réunion du Conseil d’association entre l’UE et l’Algérie s’est tenu, hier, au Luxembourg. Ainsi, tel qu’il a été annoncé auparavant par une source algérienne proche de la délégation, l’Algérie se propose, à travers le ministre des Affaires étrangère Mourad Medelci, de demander une adaptation du calendrier et des listes des produits concernés par le démantèlement tarifaire, arrêtés en 2002 dans le cadre de l’accord d’association, afin de répondre aux ambitions de développement et de modernisation de l’industrie algérienne.


Révision à laquelle les partenaires européens ont répondu positivement. Dans une allocution prononcée au Luxembourg, lors de la 5e réunion du Conseil d’association Algérie-UE, qu’il a présidée avec son homologue espagnol, Miguel Angel Moratinos, M. Medelci qui a énuméré les raisons objectives qui justifient cette demande, a déclaré que « l’Algérie, qui tient au respect des dispositions pertinentes de l’accord d’association et à la concertation bilatérale, a décidé de faire recours aux dispositions de l’accord d’association autorisant la révision du calendrier du démantèlement tarifaire ».
Il annoncera, à cet effet, que des propositions concrètes « seront bientôt transmises dans ce sens au comité d’association ». Cette demande est justifiée, également, par le fait que depuis 2002, « l’Algérie et l’économie algérienne ont changé ». L’Algérie estime qu’il y a nécessité d’adapter un certain nombre de programmes qui sont inscrits dans le cadre de l’accord d’association, et de discuter de ce démantèlement tarifaire dont « le coût pèse lourdement sur les recettes budgétaires et qui n’encourage pas, également, la création et le développement de certaines industries locales naissantes ou en développement ».
A cet effet, l’aménagement demandé par la délégation algérienne va porter essentiellement sur les normes juridiques et économiques en mesure de permettre aux ambitions algériennes de se déployer. Outre les aspects économiques, M. Medelci a évoqué avec les responsables européens des sujets politiques d’intérêt commun, sachant que « le dialogue politique se déroule bien » et « à la satisfaction mutuelle des deux parties ».
Dans ce sens, le ministre a indiqué que « l’Algérie, en signant l’accord d’association, voulait développer une coopération globale qui couvrirait tous ses volets : politique, économique, et commercial, culturel, social et humain. Or jusqu’à maintenant, nous relevons clairement que le volet commercial a reçu une attention particulière par rapport aux autres », a-t-il constaté. Partant de cela, il a affirmé aux partenaires européens qu’il était de l’intérêt des deux parties, en tout cas pour l’Algérie, que « la libre circulation des marchandises puisse s’accompagner d’une meilleure dynamique d’investissement et d’une meilleure mobilité des personnes ».
M. Medelci a rappelé, à cet égard, que les réunions des sous-comités « agriculture et pêche », « coopération douanière » et « dialogue économique » de cette année ont permis d’identifier des axes de coopération intéressants à mettre en oeuvre dans le futur. Il a, aussi, rappelé la décision d’organiser deux séminaires sur la problématique de l’accès des produits agricoles algériens sur le marché européen, dont le premier se tiendra à Alger à la fin du mois courant.
Cette problématique a amené le ministre à relever que les exportations agricoles ont non seulement reculé mais que même la consommation des contingents tarifaires alloués à l’Algérie reste très faible. Pour lui, le seul élément positif provient des exportations de la pêche qui ont atteint 18 millions d’euros et dont la balance commerciale est légèrement en faveur de l’Algérie. De ce fait, le ministre a rappelé aux partenaires européens que « l’accroissement des investissements directs européens en Algérie constitue un des objectifs essentiels de l’accord d’association ».
Il a souligné à ses interlocuteurs que « l’Algérie considère que les flux d’investissements européens sont en deçà des attentes, en particulier ceux destinés à promouvoir la diversification de son économie et de ses exportations ».« Censé être un catalyseur pour le développement des investissements directs européens en Algérie, force est de constater que cinq années après son entrée en vigueur, l’accord d’association n’a pas eu encore l’effet d’entraînement attendu », a-t-il déploré. « Les investissements de l’UE ne représentent que le tiers de l’ensemble des IDE reçus par notre pays, quand bien même une tendance positive, toute relative, commence à être enregistrée ces dernières années, comme noté par une première étude d’évaluation conduite par les experts de l’UE », a-t-il ajouté.
En outre, a-t-il poursuivi, l’accord d’association dans son volet démantèlement tarifaire à induit des pertes substantielles en recettes douanières pour l’Algérie au titre de la période 2005-2009, de l’ordre de 2,5 milliards de dollars, avec une projection pour 2010-2017 d’environ 8,5 milliards de dollars. Evoquant les aspects positifs de l’accord, il soulignera que l’Algérie « se félicite des progrès enregistrés dans la négociation de l’accord de coopération sur la recherche scientifique et technologique », et a espéré que »l’aspect innovation soit pleinement intégré dans l’accord final ».
En matière de coopération financière, il soulignera la satisfaction de l’Algérie qui salue la décision de recourir à l’approche budgétaire nationale 2011-2013, en regrettant, néanmoins, »les réductions substantielles opérées, de manière unilatérale, sur l’enveloppe financière allouée à notre pays », et a réitéré l’espoir partagé de recouvrer ces ressources dans un cadre à la fois concerté et diligent. En dernier, les deux parties évoque notamment des questions qui concernent l’Afrique, le Sahel et le Moyen-Orient et une multitude de questions internationales.
source: Le maghreb

Algerie compte alléger les lois sur l'investissement étranger



Afin de remédier à la baisse drastique des IDE

Le gouvernement compte alléger les lois sur l'investissement étranger

La baisse drastique des investissements directs étrangers (IDE), surtout les plus consistants, en Algérie, durant l'année 2009, est due dans une certaine mesure, à la crise financière mondiale, mais aussi aux conditions rigoureuses imposées, ainsi que la lenteur des procédures administratives. Le chiffre relatif aux déclarations de projets d'investissements étrangers en 2009, révélé récemment par l'Agence nationale de développement de l'investissement (Andi) alors qu'ils étaient au nombre de 65 en 2008, confirme, selon les responsables de cette agence, la détérioration du climat d'accueil des investissements étrangers en Algérie. L'incrimination des nouvelles mesures prises par l'Algérie en matière d'entrée des capitaux étrangers à la faveur des dispositions de la loi de finances complémentaire pour 2009, a fusé alors dans les milieux d'affaires, car ces mesures ont, non seulement réduit le flux des IDE, mais également les investissements des opérateurs nationaux en favorisant les petits projets. L'assouplissement des conditions d'investissement pour les étrangers, s'impose donc. Après le durcissements des conditions et procédures d'investissement, apportée par la LFC 2009, l'Algérie doit remédier à la situation, d'autant plus que les opérateurs étrangers ont manifesté leurs appréhensions quant aux réelles motivations des autorités algériennes à durcir les conditions d'accueil des IDE, alors qu'elles cherchent à tout prix à attirer encore plus d'investissements. Mais, selon les informations recueillies par le quotidien électronique TSA, les autorités algériennes ont bien pris conscience de ce problème et elles tentent, d'ores et déjà, d'y remédier. Et cela à travers l'élaboration d'une batterie de mesures destinées à alléger les lois sur les investissements étrangers. Selon les informations relayées par la même source, l'obligation d'obtenir l'accord du Conseil national de l'investissement (CNI) pour tout projet impliquant des étrangers devrait être supprimée dans la loi de finances complémentaires (LFC10) pour 2010, en cours préparation. Actuellement, faut-il le rappeler, tous les projets d'investissement impliquant des étrangers doivent avoir l'aval du CNI. "Or, cette obligation a créé un véritable embouteillage et a bureaucratisé l'acte d'investir. Beaucoup de projets sont en retard et de nombreux investisseurs nationaux et étrangers se plaignent", explique la même source. Le gouvernement compte revenir à l'ancienne réglementation. Le CNI examinerait alors uniquement les grands projets d'intérêt stratégique et national. L'éventuelle suppression de l'obligation de passer systématiquement par le CNI constituerait un bon signal envoyé par le gouvernement aux investisseurs étrangers, après plusieurs mois de relations difficiles entre les deux parties. Depuis la promulgation de la loi de finances complémentaire 2009, aucun grand projet d'investissement étranger en Algérie n'a été concrétisé. Il convient de signaler, dans ce sens, que les reproches de l'Algérie à l'égard de la médiocrité des IDE européens, appelés à être accélérés dans le cadre de l'accord d'association Algérie-UE, ont été justifiés par les contraintes de ces mesures, d'où la prise de conscience de l'Algérie quant à revoir les mesures les plus contraignantes pour attirer les investissements, européens notamment. Car, les IDE sont souvent présentés comme un objectif principal à atteindre et une solution pour la création d'emplois.Yazid F.

Algerie Oran 2e salon de l'entrepreneur




Vingt exposants au rendez-vous



La ville d'Oran est en passe de devenir un pôle événementiel d'importance. Plusieurs manifestations économiques élisent désormais domicile dans la capitale de l'Ouest. D'ailleurs les différentes manifestations axent leurs thèmes sur la promotion de la PME. Ainsi, après le salon de la sous-traitance et le salon du jeune entrepreneur, c'est la deuxième édition du salon de l'entrepreneur qui s'est ouverte mardi au Palais des Expositions d'Oran, avec la participation d'une vingtaine d'exposants spécialisés en bâtiment, travaux publics, hydraulique et autres secteurs, et de représentants d'instances de soutien, d'établissements bancaires et des assurances. Cette manifestation, organisée jusqu'au 19 juin par l'Association générale des entrepreneurs algériens activant dans les secteurs de la construction, des travaux publics et de l'hydraulique, met en exergue les compétences et les résultats obtenus dans ces domaines avec la présentation de modèles et plans de projets à concrétiser à l'avenir, en consacrant des stands aux matériaux et équipements de bâtiment et de décoration. Ce rendez-vous constitue un espace pour mettre en évidence les différents types de soutien apportés par les institutions bancaires dans le domaine de la promotion immobilière et les produits fournis par les compagnies d'assurance à des entrepreneurs, ont indiqué les organisateurs. Organisé en partenariat avec la société des expositions (HSM), ce rendez-vous sera une occasion pour les participants d'échanger des idées et des expériences pour contribuer au développement de ces secteurs, et de chercher les moyens de trouver des solutions appropriées à certains des problèmes rencontrés par les entrepreneurs sur le terrain, a-t-on ajouté de même source. Il est prévu que ce salon enregistre la visite d'experts d'Espagne, de Tunisie, Syrie, Maroc et Italie aux différents stands afin de s'informer des projets réalisés par les exposants algériens. Le directeur de l'Agence nationale de développement des petites et moyennes entreprises, Moussaoui Rachid, a précisé que ce salon a été mis sur pied pour informer les exposants sur les différents moyens de soutien et d'accompagnement offerts par l'Etat dans le cadre du programme de mise à niveau des entreprises. Dans le cadre de la promotion des entreprises, la wilaya d'Oran a bénéficié d'un nouveau siège à haï Oussama regroupant en guichet unique toutes les structures d'accompagnement dont la "pépinière d'entreprises", la bourse de sous-traitance et de partenariat de l'ouest (BSTPO). Cette manifestation se tient en parallèle avec les deuxièmes assises nationales du bâtiment, des travaux publics et de l'hydraulique, organisées par l'Association générale des entrepreneurs algériens les 17 et 18 juin au palais des expositions d'Oran, où le thème de "la qualité de la construction au service du plan quinquennal 2010-2014" sera abordé, selon les organisateurs. Les participants à ces assises, prévues sous forme d'ateliers, traiteront, entre autres, du programme de mise à niveau des entreprises, des méthodes de financement du vieux bâti et de l'axe "pour une économie réelle et moteur de la croissance en Méditerranée". R.E.

Algerie Attatba lancement des travaux du centre d'enfouissement technique





Les ordures ménagères qui sont déversées actuellement dans les trois décharges publiques de Douaouda, Khemisti et Attatba causent des désagréments et des nuisances non seulement aux habitants qui vivent à proximité de ces endroits par l'inhalation des fumées dégagées et des odeurs pestilentielles ; mais portent également atteinte à l'environnement et à la salubrité publique de ces centres urbains. La problématique de gestion des déchets solides n'a pas laissé l'autorité de wilaya indifférente dans la mesure où un centre d'enfouissement technique est programmé dans la commune de Attatba relevant de la daïra de Koléa pour éradiquer ces 3 décharges avant leur réhabilitation. Le lancement des travaux du centre d'enfouissement technique dont a bénéficié la commune de Attatba a été donné par Mr Mohamed Ouchen, wali de Tipasa grâce à une enveloppe budgétaire de 300 millions de DA qui englobe les équipements d'exploitation. Il prendra en charge neuf (09) communes de l'est de la wilaya à savoir Fouka, Douaouda, Chaïba, Attatba, Bou Ismaïl, Khemisti, Bouharoun, Ain Tagouraït. A cet effet, deux entreprises sont engagées pour réaliser le 1er casier d'enfouissement d'une capacité de traitement de 220 000 m3 de déchets solides qui sera en service à la fin du mois de décembre de l'année en cours. Le deuxième casier qui sera inscrit comme une opération nouvelle sera entamé en 2011 pour un coût de 150 millions de DA. ce CET seta donc composé de deux casier d'enfouissement. Le premier traite 220 000 m3 de déchets solides et a une durée de vie de 6 ans tandis que le second a un volume de traitement de 310 000 m3 et ne sera saturé qu'après une période de 8 ans. Ce centre sera équipé d'un matériel roulant et engins adéquats. Il abritera les services techniques à l'entrée du CET, un hangar de tri sélectif pour permettre la récupération et le recyclage des déchets qui constituent une plus-value dans la gestion de ce centre qui sera doté d'un pont-bascule. On croit savoir par ailleurs, ce que CET fonctionnera avec un centre de transfert qui sera implanté à Douaouda pour faciliter la tâche à trois autres communes de Fouka, Koléa et Chaïba qui déposeront leurs ordures au niveau de ce site avant leur acheminement à Attaba. A titre de rappel, le schéma directeur de gestion intégré des déchets solides prévoit la réalisation de huit (08) CET au niveau de la wilaya. Le CET de Sidi Rached est déjà opérationnel, la décharge publique de Kabrera installée depuis 1958 sur la plage d'Oued El Hachem dans la commune de Sidi Ghilès (Cherchell) a été définitivement fermée et transférée vers le nouveau site de Koudiat El Hanafi. R.R.

Mr le Président Nicolas Sarkozy compte sur les PME pour relancer l'emploi


Entreprises
Nicolas Sarkozy compte sur les PME pour relancer l'emploi
publié le 16 juin 2010
"Les PME constituent le cœur de notre économie, vous êtes des gisements d'emplois importants, c'est vous qui allez faire redémarrer l'emploi." Nicolas Sarkozy a affiché sa confiance aux chefs d'entreprise réunis à l'occasion de Planète PME, le grand rendez-vous des PME, organisé à Paris le 15 juin 2010 par la Confédération générale des petites et moyennes entreprises (CGPME). Le gouvernement porte en ce moment toute son attention sur ces entreprises vues aujourd'hui comme les plus à même de créer de l'emploi sur le territoire. A condition de soutenir leur développement qui reste encore très difficile. La France accuse de ce côté un certain retard par rapport à ses voisins européens. Elle compte 4.700 entreprises de taille intermédiaire (ETI), entre 250 et 5.000 salariés, soit deux fois moins qu'en Allemagne ou en Grande-Bretagne, alors que ces entreprises génèrent le tiers des exportations françaises en valeur et pèsent 33% de l'emploi industriel, d'après le rapport du sénateur vendéen Bruno Retailleau remis au gouvernement le 17 février 2010. Dans le détail, la situation est encore moins favorable : seules 140 entreprises parmi ces 4.700 ETI ont des effectifs compris entre 2.000 et 5.000 salariés, 3.200 en comptent moins de 500… A l'inverse, les micro-entreprises et les PME sont nombreuses : 2,4 millions. Et la CGPME ne s'est pas privée de présenter les meilleurs exemples, faisant notamment intervenir Xavier Dereeper, président du magasin Système U de Charly-sur-Marne dans l'Aisne, dont le développement a permis de faire passer le nombre de salariés de 30 à 70 personnes en quelques années, et Sophie Duprez, cofondatrice de Crousti Pain, une société créée en 1995 et installée en Auvergne, qui a donné lieu en trois ans à la naissance de trois autres entreprises, et qui compte aujourd'hui huit points de vente et plus de 110 salariés. Mais au-delà de ces "success stories", la crise économique et financière de 2008 et 2009 a pesé lourd sur les PME. "Nos carnets de commande ne sont plus aussi remplis qu'avant la crise, à quelques rares exceptions près et malgré les mesures de soutien mises en place", a ainsi constaté Jean-François Roubaud, président de la CGPME, précisant ses demandes vis-à-vis du gouvernement : "Ce n'est pas d'aide dont nous avons besoin mais de liberté, ce n'est pas de parachutes dorés dont nous avons besoin, mais de confiance." Il a dressé la liste des doélances des patrons de PME : la pérennisation de la médiation du crédit, la réorientation vers les PME du crédit impôt-recherche, et l'assouplissement du travail saisonnier… "Toute nouvelle contrainte serait un très mauvais signal", a-t-il également ajouté en direction du président de la République.
La médiation du crédit sera maintenue
Citant les mesures déjà mises en place, comme un allègement de la fiscalité, la suppression de l'impôt forfaitaire annuel pour les PME, la disparition de la taxe professionnelle et les mesures en faveur du financement des entreprises, Nicolas Sarkozy a détaillé les nouvelles décisions prises. Premier point : le maintien de la médiation du crédit. "La médiation du crédit a fait un formidable travail, a précisé le président de la République, avec 11.000 entreprises aidées et 202.000 emplois maintenus, cela reste un dispositif essentiel et indispensable pour assister les PME et les très petites entreprises (TPE) dans leurs relations avec leurs banques, qui sera complété par le médiateur de la sous-traitance." Autre mesure prise par le gouvernement : la pérennisation du remboursement immédiat des créances du crédit impôt-recherche. "Les deux tiers de ses bénéficiaires sont des PME indépendantes", a-t-il souligné, précisant qu'il ne souhaitait pas qu'il soit révisé pour profiter davantage aux PME qu'aux grands groupes, comme le demandait la CGPME. "Le crédit impôt-recherche est un formidable facteur d'attractivité pour la France ; si de grandes entreprises maintiennent ou installent leurs centres de recherche en France, cela profite à tous." Concernant le dispositif ISF PME, qui permet d'investir l'impôt de solidarité sur la fortune dans des entreprises, le président compte améliorer son efficacité et notamment limiter les commissions des intermédiaires. Enfin, le chef de l'Etat souhaite reposer la question du Small Business Act européen, qui doit permettre aux PME d'acquérir une part plus importante dans les marchés publics. "Je ne vois pas pourquoi nous nous abstiendrions de faire la même chose que les Américains", a-t-il souligné. Une façon de dénigrer le dispositif européen adopté en décembre 2008... sous présidence française.
Emilie Zapalski
27% des dirigeants de TPE-PME prévoient une hausse de leur activité en 2010
23% des dirigeants de TPE et PME constatent une progression de leur chiffre d'affaires. Une tendance à l'amélioration mise en avant par le baromètre annuel d'Agefos-PME publié le 15 juin 2010, qui concerne surtout l'industrie (31%), un secteur fortement sinistré en décembre 2009, et les entreprises de plus de 50 salariés. Les perspectives d'activités sont encourageantes : 27% des dirigeants prévoient une amélioration de leur niveau d'activité en 2010. Un taux qui atteint 39% dans les PME de 50 à 199 salariés et dans l'industrie. "Néanmoins, près d'un tiers d'entre elles (33%) restent pessimistes et anticipent un fléchissement de leur chiffre d'affaires par rapport à 2009, en particulier les entreprises du commerce (35%)", précise l'étude. Conséquences sur l'emploi : 18% des entreprises, soit près d'une entreprise sur cinq, envisagent de recruter dans les six mois à venir, contre 12% en 2009. Une certaine prudence des TPE-PME est toutefois constatée par le baromètre, avec une hausse des intentions en contrats temporaires : 55% en contrat à durée déterminée (CDD) ou en intérim, contre 25% en 2009.
Emilie Zapalski
27% des dirigeants de TPE-PME prévoient une hausse de leur activité en 2010
23% des dirigeants de TPE et PME constatent une progression de leur chiffre d'affaires. Une tendance à l'amélioration mise en avant par le baromètre annuel d'Agefos-PME publié le 15 juin 2010, qui concerne surtout l'industrie (31%), un secteur fortement sinistré en décembre 2009, et les entreprises de plus de 50 salariés. Les perspectives d'activités sont encourageantes : 27% des dirigeants prévoient une amélioration de leur niveau d'activité en 2010. Un taux qui atteint 39% dans les PME de 50 à 199 salariés et dans l'industrie. "Néanmoins, près d'un tiers d'entre elles (33%) restent pessimistes et anticipent un fléchissement de leur chiffre d'affaires par rapport à 2009, en particulier les entreprises du commerce (35%)", précise l'étude. Conséquences sur l'emploi : 18% des entreprises, soit près d'une entreprise sur cinq, envisagent de recruter dans les six mois à venir, contre 12% en 2009. Une certaine prudence des TPE-PME est toutefois constatée par le baromètre, avec une hausse des intentions en contrats temporaires : 55% en contrat à durée déterminée (CDD) ou en intérim, contre 25% en 2009.

Le Maroc est prêt à agir dans le système énergétique euro-méditerranéen





Le Maroc est prêt à agir dans le système énergétique euro-méditerranéen dans le respect des énergies renouvelables
Mardi dernier, la ministre de l'Energie, des Mines, de l'Eau et de l'Environnement, Amina Benkhara s'est exprimée à Casablanca au sujet de l'importance du rôle que le Maroc pourrait revêtir très prochainement. Ce rôle se manifesterait à deux niveaux : au niveau de la coopération énergétique euro-méditerranéenne et au niveau d'un développement stratégique du pays désormais axé sur le respect de l'environnement et le recours croissant aux énergies renouvelables (comme le solaire par exemple).
Quel autre lieu que le Forum international de Casablanca sur l'expansion de l'énergie solaire dans le Moyen-Orient et en Afrique du Nord pourrait mieux signifier l'intégration d'un pays comme le Maroc dans la stratégie énergétique européenne? Aucun. C'est pourquoi la ministre a appuyer auprès de l'Union Européenne la place a accorder au Maroc sur le plan énergétique pour accélérer la convergence des pays de l'union autant législative qu'institutionnelle.
L'exemple type souligné par la ministre est celui de l'utilisation du solaire en Méditerranée. Le but? Favoriser l'exploitation des énergies renouvelables au sud et au nord de la mer Méditerranée. A terme, ce projet visera l'expansion du marché d'exportation d'électricité verte européen et l'arrêt du manque d'eau potable par le dessalement d'eau de mer.
Le solaire est actuellement le sujet principal de l'Union Pour la Méditerranée : si le projet est bien mené il pourrait faciliter l'entraide des pays de la Méditerranée et faire que les pays les plus vulnérables ne soient plus soumis aux conséquences du changement climatique ou de la concurrence. En d'autres mots, la ministre marocaine appelle l'Union Européenne ainsi que les institutions financières internationales à s'associer pour financer davantage de projets énergétiques au Maroc.
Était présent également au Forum le président de la Moroccan Agency for Solar Energy, Mustapha Bakkoury. Il a profiter de l'occasion pour rappeler que l'énergie solaire représentait les grands enjeux du futur et que le Maroc était en bonne voie de concrétiser ces enjeux. La gestion optimale de l'énergie solaire est donc au cœur de toutes les stratégies et la dimension environnementale ne pourra plus être négligée face à la situation climatique d'urgence planétaire.
L'épuisement des ressources énergétiques et l'augmentation de la demande nécessite plus que jamais l'utilisation des énergies renouvelables afin de réduire le manque énergétique, soulignant la nécessité d'unifier tous les efforts pour la recherche de sources d'énergie et la formation des cadres et des ressources humaines.Le projet du Maroc sur l'énergie solaire est aujourd'hui conçu pour assurer l'approvisionnement des énergies propres, a-t-il expliqué, précisant que ce forum vise à ouvrir et renforcer le dialogue entre les différents acteurs impliqués dans le développement de l'énergie solaire dans les pays arabes, à offrir l'opportunité aux participants d'échanger leurs points de vue et expériences sur la faisabilité technique et financière des projets solaires, ainsi que sur la mise en place d'un environnement approprié pour les investisseurs et entrepreneurs. Source : Le Matin.ma

Google a publié une nouvelle vidéo sur YouTube introducing Google TV Youtube


Google a publié une nouvelle vidéo sur YouTube décrivant plus en détail le fonctionnement de son système Google TV. Au programme, navigation sur le Web, recherche dans le guide des programmes et enregistrements en conjonction avec un décodeur numérique.

Autriche : Google va numériser 400 000 livres de la bibliothèque nationale



Le moteur de recherche américain Google et la bibliothèque nationale autrichienne (ONB) ont signé, mardi 15 juin, un contrat de 30 millions d'euros pour la numérisation des œuvres libres de droits de la bibliothèque, soit 400 000 volumes.
La directrice générale de l'institution autrichienne, Johanna Rachinger, a salué une "étape importante" et a souligné qu'"il y a peu de projets d'une telle envergure ailleurs en Europe", lors d'une conférence de presse. Le projet, qui n'aurait pas été possible sur les fonds propres de la bibliothèque, concerne la collection du XVIe au XIXe siècle, l'une des cinq collections les plus importantes au monde, soit 120 millions de pages.Google prend en charge les coûts de la numérisation, entre 50 et 100 euros par ouvrage. L'ONB paie la préparation des livres, le stockage des données numérisées ainsi que la mise en place d'un accès à ces dernières. Pour Mme Rachinger, la numérisation permet de préserver des exemplaires originaux, qui seront moins manipulés, et "en cas de catastrophe", ce projet assure la disponibilité des ouvrages au moins en version numérique.
SIX ANS DE NUMÉRISATION
Les livres devraient être numérisés à partir de 2011 en Bavière, dans le sud de l'Allemagne et les travaux devraient durer environ six ans. Le moteur de recherche américain n'aura "aucun monopole" sur les livres numérisés, assure Mme Rachinger. Les ouvrages seront accessibles à partir du site Internet de l'ONB, de la bibliothèque en ligne Google Books, ainsi que de la bibliothèque européenne Europeana.
Google a déjà numérisé 12 millions de livres de plus de 40 bibliothèques, dont celles des universités Stanford et Harvard aux Etats-Unis, et a signé en mars un contrat similaire en Italie, concernant les bibliothèques nationales de Rome et Florence.

Pourquoi Mr le président Nicolas Sarkozy veut il relancer le processus Euro-méditerranéen


Pourquoi Sarkozy veut il relancer le processus Euro-méditerranéen ?

Les défis de l'Union pour la Méditerranée
Par Leïla Slimani 12/06/2008
Depuis son élection en mai 2007, Nicolas Sarkozy a multiplié les voyages officiels en Afrique du Nord, affichant son désir de reprendre l'initiative dans cette zone traditionnelle d'influence. Depuis quelques années, la part de marché de la France dans les pays du Maghreb diminue régulièrement : la France ne représente plus que 22% des importations tunisiennes contre 25% en 2003. Elle s'arrogeait 16,5% du marché marocain en 2006 contre 24% en 2000. Lors de ses visites d'Etat en Tunisie et au Maroc le président de la République lance son idée d'une nouvelle Union pour la Méditerranée.
Défendue par Henri Guaino, conseiller spécial du président, et par Alain Le Roy, diplomate chargé de la question, cette Union se fera autour de projets communs : pollution, interconnexion électrique, accés à l'eau potable, éducation, recherche, régulation des flux migratoires, lutte contre le terrorisme. Vingt-cinq pays du pourtour de la Méditerranée sont concernés.
« L'Union pour la Méditerranée repose sur un principe : combler le fossé entre un Nord plutôt riche et un bassin méditerranéen beaucoup plus pauvre. Le but ? Rétablir l'équilibre en assurant un espace de paix et de sécurité. Bref, nous cherchons à améliorer le dialogue entre les deux rives », explique Alain Le Roy. L'Union pour la Méditerranée se veut un partenariat renforcé qui doit profiter aux deux rives. Ainsi, l'Europe cherche principalement à enrayer l'immigration clandestine en développant la prospérité à la source. Les 27 en tireront le bénéfice de dynamiser une Europe vieillissante et en manque de main d'oeuvre.

Le conseiller à l'Élysée Mr Henri Guaino confiant dans l'avenir de l'Union pour la Méditerranée



Selon le conseiller à l'Élysée, également promoteur de l'Union pour la Méditerranée, le sommet de l'UPM, qui n'a pu se tenir cemois-ci, aura lieu fin novembre. À la veille de la présidence française du G20, ce sera l'occasion, a-t-il dit...

Nécessité de développer le cadre juridique et institutionnel des politiques d’efficacité énergétique


Portail Algérien des ÉNERGIES RENOUVELABLES
Mardi 15 juin 2010
Les participants à l’atelier de travail arabe sur l’amélioration de l’efficacité énergétique dans les secteurs du bâtiment et de l’industrie, qui a pris fin, mardi après-midi, ont souligné l’importance de développer le cadre juridique et institutionnel pour accompagner l’élaboration des politiques nationales d’efficacité énergétique.
Dans ce cadre, les participants ont insisté sur l’importance de créer et de dynamiser des organismes nationaux au niveau arabe, en vue de réaliser des études précises sur les modes de consommation, à même de constituer une référence dans l’élaboration des politiques, visant à améliorer l’efficacité énergétique.
Ils ont, d’autre part, appelé à accompagner les programmes d’efficacité énergétique de mécanismes permettant d’évaluer l’économie réalisée, grâce aux politiques de rationalisation de l’utilisation de l’énergie, à oeuvrer à trouver des sources de financement nécessaires à la réalisation de ces programmes et à encourager la participation du secteur privé dans l’élaboration et l’application des politiques d’efficacité à long et moyen termes.
L’accent a, également, été mis sur la nécessité de mettre à niveau les compétences humaines pour assurer l’encadrement et la mise en oeuvre des programmes d’efficacité, outre la formation d’experts en la matière et l’insertion de la rationalisation de l’utilisation de l’énergie dans les programmes éducatifs.
Les participants ont, par ailleurs, appelé à tenir compte des concepts et normes d’efficacité dans le bâtiment, de la conception jusqu’à l’utilisation de la bâtisse, avec l’uniformisation des normes arabes et l’encouragement de l’utilisation des appareils électriques de haute qualité, à la faveur de motivations financières et fiscales.
Aussi, ont-ils proposé d’adapter les prix de l’énergie électrique aux spécificités socio-économiques de chaque pays arabe, en vue d’assurer une meilleure rationalisation de la consommation.
L’atelier dont les travaux ont débuté, lundi, a été organisé sous l’égide de l’Agence nationale pour la promotion et la rationalisation de l’utilisation de l’énergie (Aprue), en coordination avec le secrétariat du conseil ministériel arabe de l’électricité et de l’énergie de la Ligue arabe.
Quelque 70 experts représentant une dizaine de pays arabes, des institutions, des organismes locaux, régionaux et internationaux à l’instar de la Banque mondiale (BM), du centre régional des énergies renouvelables et de l’efficacité énergétique et de l’organisme de l’énergie atomique en Syrie prennent part à cette rencontre.
Dans le cadre de la mise en oeuvre du programme national de maîtrise de l’énergie (2007-2011), l’Aprue a lancé la réalisation de 600 logements à haute efficacité énergétique et prévoit la réalisation de 3000 autres logements dans le cadre du programme national de maîtrise de l’énergie 2010-2014.
Une contribution financière de 32 millions de dollars et des investissements estimés à 44 millions de dollars ont été alloués dans le cadre du programme national de maîtrise de l’énergie pour la période 2007-2011 pour développer l’efficacité énergétique dans les secteurs du bâtiment et de l’industrie.
Concernant le programme national de maîtrise de l’énergie 2010-2014, l’Aprue consacrera des financements estimés à 100 millions de dollars dont une grande partie sera accordée par l’Etat vu les ressources financières limitées du Fonds national de maîtrise de l’énergie (Fnme) qui bénéficie annuellement de 200 millions de da seulement.
APS

L’Algérie un fournisseur historique de l’Europe en énergie



L’Algérie est l’un des principaux fournisseurs d’énergie de l’Europe notamment avec ses exportations de gaz.mardi 15 juin 2010.
La proximité géographique de l’Europe et les réserves importantes de gaz qui se trouvent dans le désert du Sahara ont fait de l’Algérie un fournisseur historique de l’Europe en gaz depuis 1964. Depuis le développement du marché gazier en Europe, l’Algérie a toujours été un fournisseur fiable, y compris durant les années 1990 où la situation sécuritaire pouvait être un obstacle aux approvisionnements sécurisés. Près de 97% des quantités de gaz algérien exportés vont vers le marché européen à travers les gazoducs ou bien grâce aux méthaniers qui transportent le gaz sous sa forme liquéfié (GNL). Ces dernières années, l’Algérie a exporté en moyenne environ 60 milliards de gaz par an. Avec ces quantités, l’Algérie est l’un des principaux fournisseurs de gaz à l’Europe aux côtés de la Russie et de la Norvège. Ce statut historique de l’Algérie a été encore renforcé après la crise vécue par l’Europe à la suite du différend entre la Russie et l’Ukraine sur le transit du gaz en janvier 2006 et en janvier 2009.
En 2004, année où les exportations de gaz naturel ont doublé par rapport à 1989, Sonatrach a vendu 25 milliards de mètres cubes de GNL, dont 10% en spot. La France était le premier client avec 32%, suivie de l’Espagne (23%), la Belgique (16%), les USA (10%), la Turquie (12%), l’Italie (5%) et la Grèce (2%). Par la voie des gazoducs, les ventes de gaz naturel avaient atteint 35,3 milliards de mètres cubes, dont 70% (24 milliards de mètres cubes) par le gazoduc Algérie-Italie /Enrico Mattei et 30% (10,59 milliards de mètres cubes) par le gazoduc Algérie-Espagne /Pedro Duran Farell. Le premier client en gaz naturel est l’Italie (68%) suivie de l’Espagne (22%), le Portugal (7%), la Tunisie (2%) et la Slovénie (1%). On peut dire que pour les prochaines décennies, l’Algérie et l’Europe seront liées par une relation particulière à travers le gaz naturel. Cette situation devrait valoir à l’Algérie une place de choix dans ses relations avec l’Union européenne vu l’importance de la sécurité d’approvisionnement en énergie.
Synthèse de Mourad, www.algerie-dz.com D’après El Watan

Le 8e Forum mondial du développement durable accueille L’Essonne



L’Essonne accueille le 8e Forum mondial du développement durable
[Fenêtre sur l'Europe]
Le Conseil général de l’Essonne est fier d’accueillir la 8 session du Forum mondial du éveloppement durable qui se tiendra du 24 au 26 juin au CNR de Marcoussis.
Entre le sommet de Copenhague sur le climat (décembre 2009) et le sommet de Millénaire à New-York (septembre 2010), cette session permettra d’explorer le rôle et le développement des territoires dans l’invention d’un monde plus durable, plus solidaire, et montrera l'importance de leurs partenariats. Comment nourrir 6,5 et bientôt 9 milliards d’habitants ? Comment dépasser l’échec du sommet de Copenhague ? Comment atteindre tous les objectifs du Millénaire pour le développement, fixés par l’ONU pour l’horizon 2015 ? Pendant 3 jours, et venant du monde entier, les collectivités territoriales, les spécialistes des questions de développement, et les représentants de la société civile se mobiliseront sur des thématiques aussi variées que le défi alimentaire, le réchauffement climatique, la protection de l’environnement, ou encore le financement du développement. Face à ces défis d’ampleur planétaire, le Conseil général de l’Essonne -dont l’exemplarité pour un développement durable et solidaire n’est plus à démontrer- entend témoigner de ses expériences en la matière avec l’ensemble des 700 participants attendus. Pour plus d'informations : http://www.essonne.fr/

Loi sur le climat:Mr le présient Barack Obama va dire que "l'inaction n'est pas acceptable"




Romandie News
Loi sur le climat: Obama va dire que "l'inaction n'est pas acceptable"
WASHINGTON - Le président Barack Obama va dire mardi que l'"inaction n'est pas acceptable" concernant la loi sur l'énergie et le climat bloquée au Sénat américain, lors de son discours consacré à la marée noire du golfe du Mexique, a indiqué un haut responsable.
Selon ce responsable s'exprimant sous couvert de l'anonymat quelque deux heures avant le début de l'allocution solennelle de M. Obama depuis le Bureau ovale, le président va souligner que la catastrophe en cours démontre la nécessité pour les Etats-Unis de ne plus dépendre des énergies fossiles.
"L'inaction n'est pas acceptable" sur cette loi promise par le président, a affirmé ce responsable en paraphrasant le discours de M. Obama.
Un projet a déjà été adopté à la Chambre des représentants, mais une autre version est bloquée au Sénat, et ce responsable a assuré que M. Obama allait oeuvrer à "assurer l'adoption" de ce texte.
De même source, le président "va dire que nous ne pouvons pas nous permettre de ne pas (adopter une telle loi) parce que les coûts à long terme pour notre économie, notre sécurité nationale et notre environnement sont bien plus importants".
(©AFP / 16 juin 2010 00h21)