阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

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指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Wednesday, July 07, 2010

Le projet Transgreen sur les rails





Des entreprises et des représentants du gouvernement français ont signé lundi, à Paris, un protocole d'accord en vue de créer le partenariat Transgreen, une initiative industrielle qui a pour objet d'étudier la faisabilité d'un réseau de transport de l'électricité entre les rives nord et sud de la Méditerranée et le développement des interconnexions autour du bassin méditerranéen.
La lutte contre le changement climatique, et le développement des énergies renouvelables qui en est un élément essentiel, nécessitent de mettre en place des projets de co-développement pour réduire les émissions de gaz à effet de serre, assurer la sécurité énergétique et contribuer à la croissance. Transgreen s'inscrit dans le cadre du Plan Solaire Méditerranéen, qui prévoit la construction, au sud et à l'est du bassin, de capacités de production d'électricité renouvelable, notamment solaire, de 20 gigawatts (GW) à l'horizon 2020. Environ 5 GW seraient exportés vers l'Europe afin de contribuer à la rentabilité des projets de centrales.Apporter l'électricité de ces projets vers les zones de consommation nécessite de nouvelles infrastructures de transport et d'interconnexion reliant les sites de production aux réseaux locaux et à l'Europe, notamment par des lignes sous-marines à courant continu haute tension (CCHT).Les entreprises signataires de cette initiative industrielle sont Abengoa, l'AFD, Alstom, Areva, Atos Origin, CDC infrastructure, EDF, Nexans, Prysmian, RED Eléctrica de España, RTE, Siemens, Taqa Arabia. Au sein d'une entité juridique commune, elles auront pour objectifs de :
proposer le schéma directeur technique et économique d'un réseau transméditerranéen capable d'exporter environ 5 GW vers l'Europe à l'horizon 2020, et débouchant sur des projets concrets ;
promouvoir un cadre régulatoire et institutionnel favorable aux investissements et à la rentabilité des projets sur la rive sud ;
montrer l'impact des investissements d'infrastructures et des échanges d'électricité sur la croissance, l'activité économique et l'emploi ;
développer les coopérations techniques et technologiques avec les pays de la rive sud autour de projets de liaisons électriques transméditerranéennes ;
promouvoir les technologies et l'industrie européennes dans la compétition mondiale, et notamment la production d'électricité à partir d'énergies renouvelables, le transport à courant continu et les câbles sous-marins à très haute tension.
Initialement constitué pour trois ans, le partenariat est ouvert à d'autres entreprises, en particulier celles des pays du Sud, afin de concevoir ensemble les réseaux électriques qui contribueront à accélérer la transition énergétique vers l'électricité à bas contenu de carbone.Transgreen travaillera en liaison étroite avec les autorités des pays concernés, la Commission européenne, la communauté scientifique, les banques de développement et les organisations non gouvernementales. Ses travaux seront conduits en coordination avec les autres projets du Plan Solaire Méditerranéen, avec Desertec, qui entend fournir jusqu'à 15 % de la consommation d'électricité de l'Europe d'ici à 2050 à partir de capacités de production solaires et éoliennes installées en Afrique du Nord et au Moyen-Orient.Pour les partenaires de Transgreen, la création d'un réseau électrique transméditerranéen contribuera à la rentabilité des projets de production d'électricité renouvelable du Sud en leur permettant d'exporter une partie de leur production vers l'Europe et réduira le coût des liaisons de forte puissance sur de grandes distances en stimulant les progrès des technologies de transport.Enfin, le développement des interconnexions renforcera la sécurité des systèmes électriques des pays partenaires face à la croissance de la demande.

Mr le président Nicolas sarkozy Mr Président allemand Christian Wulff rencontre



Sarkozy recevra le président allemand

AFPNicolas Sarkozy recevra demain à 17 heures à l'Elysée le nouveau président allemand Christian Wulff à l'occasion de son premier déplacement à l'étranger depuis son élection le 30 juin, a annoncé mardi la présidence de la République."Les relations franco-allemandes et le rôle que nos deux pays jouent au service de la construction européenne seront au coeur de cet entretien", a précisé l'Elysée dans un communiqué.Le couple franco-allemand a connu une passe difficile ces dernières semaines à la faveur de la crise grecque et des difficultés financières qui ont affecté la zone euro, Nicolas Sarkozy et Angela Merkel s'opposant sur le bon équilibre à trouver entre soutien à la croissance et réduction des déficits.Jusque-là à la tête du gouvernement régional de Basse-Saxe, le conservateur Christian Wulff a été très difficilement élu le 30 juin à la présidence fédérale à l'issue d'un scrutin de trois tours qui a viré à l'humiliation pour la chancelière qui le soutenait.Il a succédé au conservateur Horst Köhler, qui a démissionné le 31 mai après une polémique déclenchée par ses propos controversés sur l'engagement militaire allemand à l'étranger.Source : AFP -->
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La France et l'Egypte préparent leur co-présidence de l'Union pour la Méditerranée




PARIS (AP) — Le président français Nicolas Sarkozy et son homologue égyptien Hosni Moubarak ont évoqué lundi à Paris les "initiatives" en faveur du processus de paix israélo-palestinien que pourraient prendre les deux pays dans le cadre de leur co-présidence de l'Union pour la Méditerranée (UPM), à l'automne prochain, a indiqué l'Elysée à l'issue de la rencontre entre les deux chefs d'Etat.
Les discussions ont essentiellement tourné autour des conditions d'une relance du dialogue israélo-palestinien, a expliqué l'Elysée, sans donner plus de précisions.
Le prochain sommet de l'UPM, prévu à Barcelone cet automne, doit rassembler les 27 pays de l'Union européenne, Israël, la Turquie et les pays arabes méditerranéens.
Par ailleurs, à la sortie de l'Elysée, M. Moubarak a jugé "prématuré" d'envisager "de s'adresser au Conseil de sécurité des Nations unies" dans le cadre du processus de paix au Proche-Orient. "Il y a des négociations indirectes qui sont en cours actuellement", a-t-il rappelé. AP
sc/cov/jp

Mektaba Audiovisuel méditerranéen l'Union pour la Méditerranée (UPM)




Le projet d'émission «Mektaba» de la chaîne éducative marocaine «Arrabia» a été retenu pour bénéficier d'un accompagnement personnalisé dans le cadre de l'appel à projets Maarifa, un programme de France Télévisions, sous l'égide du Conseil culturel de l'Union pour la Méditerranée (UPM), a-t-on annoncé lundi à Marseille (Sud).
Mektaba», ou bibliothèque en arabe, est un projet de la chaîne éducative «Arrabia», éditée par la Société nationale de radiodiffusion et de télévision (SNRT), qui propose une fiction de 30 épisodes de 26 minutes chacune. Ludique et familiale, la série transportera les enfants en quête du savoir dans un monde fictif et enrichissant.Le projet de la Chaîne Arrabia a été retenu aux côtés de deux autres émissions, à savoir, «Chabaab» (Jeunesse) défendu par la chaîne palestinienne Wattan TV, et «Madrassati» (Mon école), proposé par la Radio Télévision Jordanienne (JRTV), a-t-on ajouté lors d'une conférence de presse organisé à cette occasion.A chaque épisode «Mektaba» propose une thématique différente. Entre histoire, culture, économie, société, littérature et philosophie, le téléspectateur fera un voyage riche en enseignements et porteur de messages éducatifs riches et variés. Il sera, ainsi, initié, par le biais de relations animées entre un adolescent et son grand-père, qui fait appel à des personnages issus de la mémoire collective (philosophes, penseurs, humanistes, écrivains) pour transmettre son savoir à son petit fils. Chaque situation, sera de ce fait un prétexte à utiliser les grandes figures historiques qui interviendront tout au long de l'émission. Ainsi, le téléspectateur plonge, à chaque épisode, au cœur d'un univers fantastique, peuplé de personnages fictifs issus de la culture universelle et en phase avec ses préoccupations.De son côté, l'émission palestinienne «Chabaab» propose un plateau de 12 épisodes qui donnera la parole aux jeunes générations et se distingue par l'utilisation de plusieurs supports de diffusion dont la télévision, le web et les réseaux sociaux.Pour sa part, le projet «Madrassati» se veut une réponse aux objectifs fixés par le programme jordanien de modernisation du système scolaire en mettant les technologies numériques et la création de contenus multimédias au service de l'éducation.Les trois projets sélectionnés recevront d'ici fin 2011 le concours de trois équipes d'experts mises à leur disposition par France Télévisions, de la phase de conception du format à la mise à l'antenne. Ce mode d'accompagnement innovant répond au double objectif de responsabiliser les équipes porteuses de projet et de transmettre des savoir faire durables et susceptibles d'être reproduits au sein des partenaires bénéficiaires.Le 6 avril dernier, France Télévisions et son département des actions éducatives, sa filiale Canal France International (CFI) et l'Union des radios et télévisions des Etats arabes (ASBU) avaient lancé l'appel à projets Maarifa placé sous l'égide du Conseil culturel de l'Union pour la Méditerranée.Maarifa mobilise un budget de 500.000 euros sur deux ans apportés par France Télévisions et CFI, l'organisateur du projet. Cette initiative vise à encourager les télévisions du Sud de la Méditerranée à offrir à leurs jeunes téléspectateurs, qui représentent 45% de la population, un meilleur accès aux nouveaux médias de la connaissance.A l'issue d'un appel à candidature, le jury, composé notamment de Isabelle Malivoir, rédactrice en chef de TV5 Monde et de Jean-Marc Merriaux, directeur des actions éducatives à France télévisions, avait examiné dix projets proposés par des équipes représentant l'Algérie, la Jordanie, le Maroc, la Palestine, la Syrie et le Yémen.



Par MAP

RELATIONS ALGÉRO-AMÉRICAINES



Depuis la désignation de M.David D.Pearce, en qualité d’ambassadeur des Etats-Unis, à Alger, en août 2008 (pour succéder à l’excellent Robert S. Ford, aujourd’hui ambassadeur à Damas), on constate que les relations algéro-américaines connaissent un développement important qui est appelé à se renforcer dans les années qui viennent.Contrairement à une idée reçue, les intérêts américains en Algérie ne s’épuisent pas dans l’exploitation par les sociétés US des ressources pétrolières et gazières algériennes. Et contrairement à une légende que d’aucuns accréditent non sans quelque perfidie, la coopération militaire entre les deux pays se limite à des manoeuvres conjointes en Méditerranée dans le cadre du partenariat Algérie / Otan. Il n’y a jamais eu de bases militaires US en Algérie, il n’y en a toujours pas et à aucun moment le projet d’en installer n’a effleuré l’esprit des uns comme des autres. En revanche, il est vrai que face à la menace grandissante que font peser sur l’intégrité du territoire national les attentats commis par l’Aqmi (11 de nos gendarmes viennent de tomber sous les balles de lâches terroristes), les deux pays s’efforcent de mutualiser (en essayant d’y associer, entre autres, le Niger, le Mali, le Tchad, la Mauritanie) leurs moyens logistiques et techniques pour organiser une riposte efficace au grand banditisme, à la criminalité organisée et à l’immigration clandestine. On oublie trop souvent que l’Algérie est le 2e pays d’Afrique par sa superficie et possède des frontières communes avec sept Etats, ce qui rend presque intenable la tâche de nos forces de sécurité. Ceci dit, la coopération algéro-américaine, à laquelle l’ambassadeur D. Pearce (parfait arabisant et grand humaniste) a donné une impulsion décisive depuis deux ans, vise à assurer le développement économique, social et scientifique de l’Algérie. Elle n’a pas d’autre objectif. L’Algérie, qui entend diversifier ses partenaires, considère désormais que sa coopération avec les Etats-Unis est fondamentale. On peut en prendre la mesure à travers les projets conçus dans le domaine économique et commercial, celui de la justice et celui de la recherche et de l’enseignement.La coopération économique et commercialeEn février 2010, une délégation de 24 entreprises US conduite par la secrétaire d’Etat adjointe au Commerce, Nicole Lamb-Hale, est venue prospecter le marché algérien et nouer des contacts avec des opérateurs économiques nationaux, hors domaine des hydrocarbures. De nombreuses opportunités d’investissement ont été inventoriées: électronique, industrie mécanique, pharmacie, ciments, réalisation de programmes de logements et d’équipements collectifs.Sous l’impulsion de Conseil des affaires algéro-US conduit par le dynamique et entreprenant S. Chouikh, l’Algérie et les Etats-Unis pourraient conclure sous peu un accord cadre dans les domaines de la coopération économique, cependant que les autorités algériennes se sont déjà engagées (par le truchement de l’ancien ministre de l’Investissement, H.Temmar), à créer un climat des affaires propice à l’épanouissement d’un partenariat durable et dense avec les Etats-Unis. De leur côté, les Américains font bénéficier, depuis 2007, les Algériens de leur système généralisé de préférences, ce qui permet à plus de 3000 produits algériens d’entrer sur le marché US en totale franchise douanière. Il appartient à présent aux entreprises algériennes d’apprendre à connaître la structure et le fonctionnement du marché US et surtout d’investir dans le conditionnement et l’emballage du produit.La coopération judiciaireElle est d’autant plus importante que notre pays est déjà signataire de nombreux accords internationaux permettant l’entraide judiciaire et instituant une véritable coopération dans les domaines de la prévention, de la détection et du transfert du produit du crime ainsi que dans celui de l’exécution des décisions de confiscation rendues par les juridictions étrangères. En cette période caractérisée par la prolifération de la macro et de la micro spéculations, de la rétention d’argent (fraudes fiscales et fraudes douanières) ainsi que la corruption, il était important que les deux Etats coopérassent étroitement dans le cadre d’un traité mutuel d’assistance juridique dont le champ d’application inclut l’entraide judicaire en matière pénale, les documents bancaires et l’accélération de procédures. Cet accord a été signé le 8 avril 2010. En outre, l’Algérie attend des Etats-Unis qu’ils l’assistent dans sa lutte contre la cybercriminalité. Contrairement à ce qu’a soutenu avec quelque légèreté une partie de la presse nationale, le pouvoir politique n’a pas inscrit sur son agenda le fichage des citoyens; en revanche, la préservation et la sécurisation des données informatiques deviennent de plus en plus urgentes, tant il est vrai que peu de personnes en Algérie sont conscientes des ravages que peut causer pour l’économie du pays, voire pour sa stabilité, les incursions criminelles des hackers qui opèrent aussi bien à l’étranger qu’en Algérie même.La coopération culturelle, scientifique et techniqueElle est appelée à se développer à mesure qu’une bonne partie de nos meilleurs universitaires et chercheurs s’initient à la connaissance et à la maitrise de la langue anglaise. Mais surtout, pour la première fois dans l’histoire de leurs relations avec les Etats-Unis, l’ensemble des pays arabes et musulmans s’apprêtent à accueillir, avant la fin de l’année 2010, des envoyés spéciaux dépêchés par la Maison-Blanche (dans le sillage du discours historique du président Obama au Caire, le 4 juin 2009) pour procéder avec eux à un inventaire de leurs besoins dans le domaine de la coopération scientifique et technique; il s’agira de nouer des partenariats auxquels s’associeront les administrations, les entreprises, les universités, les centres de recherche, les sociétés savantes et qui impliquera nécessairement les membres de la migration très hautement qualifiée de ces pays qui réside aux Etats-Unis. L’initiative US s’inscrit dans une stratégie globale dont l’Algérie pourrait tirer le plus grand profit, à condition qu’elle le veuille. Qu’il s’agisse des questions d’environnement, de changements climatiques, d’énergies propres et de substitution, de gestion de systèmes d’information, de lancement de start-up ou encore de mise à niveau des PME/PMI, il revient à la puissance publique algérienne, aux opérateurs économiques et aux acteurs culturels de proposer et définir avec leurs futurs partenaires US les voies et moyens qui permettraient enfin à l’Algérie de sortir progressivement mais sûrement du modèle rentier dans lequel elle continue de se confiner. Il serait hautement souhaitable que le démarrage de ce partenariat ait lieu sous la supervision de l’ambassadeur David D. Pearce, parfait connaisseur de la langue et de la culture arabes et grand ami de l’Algérie, qu’il a sillonnée d’est en ouest et du nord au sud, nouant des contacts avec les représentants des différentes couches de la population et s’enquérant des conditions de vie et de travail de chacun.L’ambassadeur Pearce n’a eu de cesse depuis son installation à Alger de «harceler» le département d’Etat et la Maison-Blanche pour faire admettre que l’Algérie était un grand pays, à l’avenir prometteur grâce aux immenses ressources humaines qu’il recèle, qu’il était une puissance régionale devenue incontournable sur toute question concernant la paix, la stabilité et la sécurité en Méditerranée et enfin un partenaire loyal des Etats-Unis. Reste aux Algériens à se saisir de cette opportunité historique pour s’engager, en étroite coopération avec les Etats-Unis, sur le chemin de la croissance et du développement durables dans tous les domaines.alimebroukine@yahoo.com
Ali MEBROUKINE

Les PME présentes sur la scène internationale obtiennent de meilleurs résultats


[Fenêtre sur l'Europe]
Selon une nouvelle étude de la Commission européenne publiée le 6 juillet, 25 % des petites et moyennes entreprises (PME) de l’UE‑27 exportent ou ont exporté à un moment donné au cours des trois dernières années. Les PME opérant sur le plan international font état d’une croissance de l’emploi de 7 %, contre 1 % pour les entreprises sans aucune activité internationale
En outre, internationalisation et innovation sont étroitement liées: 26 % des PME internationales ont présenté des produits ou des services nouveaux pour leur secteur dans leur pays, alors que seules 8 % des autres petites entreprises en ont fait autant. Toutefois, les activités internationales visent principalement les autres pays du marché intérieur et seules 13 % environ des PME de l’UE prennent part à des marchés extérieurs à l’UE.À l’échelle internationale, les entreprises européennes sont plus actives que les PME américaines ou japonaises. Il ne s’agit là que d’une partie des constatations de l’étude sur l’internationalisation des PME européennes («Internationalisation of European SMEs»), qui établit une carte du niveau d’internationalisation des PME européennes et met en évidence les principaux obstacles et avantages de l’internationalisation.Pour plus d'informationshttp://ec.europa.eu/enterprise/policies/sme/market-access/internationalisation/index_en.htm

La page du Président Barack Obama sur Facebook atteint 10 millions de fans



La page de Barack Obama sur Facebook atteint 10 millions de fans
Le président américain est la deuxième personnalité à atteindre ce niveau de popularité après Lady Gaga.La page de Barack Obama sur le site de socialisation Facebook a dépassé mardi 6 juillet le seuil des dix millions de fans. Le président américain est la deuxième personnalité à atteindre ce niveau de popularité derrière la chanteuse Lady Gaga.
"Merci d'avoir aidé le président Obama à atteindre les 10 millions de supporteurs sur Facebook", a réagi l'organisation politique pro-Obama Organizing for America, qui gère le compte. Et d'ajouter : "demandez à vos amis de nous rejoindre".

4,47 millions d'abonnés sur Twitter
Le week-end dernier, la pop star Lady Gaga était devenue la première célébrité vivante à franchir les 10 millions de fans. Il existe en revanche une page d'hommage à Michael Jackson qui compte plus de 14 millions de supporteurs.
Lady Gaga devance également Barack Obama sur Twitter avec 4,79 millions d'abonnés contre 4,47 millions. Le compte officiel de la Maison Blanche est loin derrière avec 1,78 millions d'abonnés. Cependant, sur Twitter, c'est Britney Spears qui dépasse des records de popularité avec 5,28 millions d'usagers.

(Nouvelobs.com)

Mr le president Nicolas Sarkozy déclare vouloir favoriser la médecine de proximité


Nicolas Sarkozy en visite dans un hôpital de banlieue parisienne


Par RFI
Le président Nicolas Sarkozy visitait ce 6 juillet 2010 l'hôpital de Brie-Comte-Robert (en Seine-et-Marne), lors d'un déplacement sur le thème de l'organisation de la médecine de proximité et des réponses au défi du vieillissement de la population.
Les services hospitaliers de chirurgie qui auront opéré moins de 1.500 personnes par an entre 2007 et 2009 sont menacés de fermeture, selon le ministère de la Santé, qui prépare des décrets en ce sens pour fin juillet-début août.
Stigmatisant des « annonces autocratiques et centralistes », la coordination hospitalièreconsidère pour sa part que « le risque est très grand que nos hôpitaux publics dévastés laissent la place à un privé de plus en plus onéreux pour les usagers, avec des dépassements d'honoraires de plus en plus systématiques une fois que la disparition du service public sera manifeste ».


Le président de la République française déclare vouloir favoriser la médecine de proximité afin de lutter contre les sous-effectifs dans certains départements et régions françaises

Algerie Exposition: « Algérie 59″ Un bel hommage à la Révolution algérienne





Il y a de ces évènements qui marquent l’histoire et l’humanité entière, laissant des traces pour les générations futures. Des traces indélébiles. Des preuves défiant le temps. Depuis mercredi dernier, l’Institut culturel italien en Algérie abrite une exposition de photographies du reporter italien Vittorugo Contino, intitulée “Algérie 59”.Une exposition a déjà eu lieu au même endroit, en 2004, à l’occasion de la célébration du 50e anniversaire du déclenchement de la Révolution algérienne, le 1er novembre 1954, inaugurée par la ministre de la Culture Khalida Toumi. Cette année, elle revient avec un nouvel habillage, et elle a été inaugurée, cette fois, à la veille de la fête de l’indépendance qui coïncide avec le 5 juillet.
“Algérie 59” contient 60 photos inédites en noir et blanc provenant des archives “Algeria”, réalisée par Vittorugo Contino en 1959, lors de son passage, en cette même année, de manière clandestine en Algérie, traversant la frontière tuniso-algérienne. Soixante photographies de “fellagas”, comme aimaient appeler les militaires français les moudjahidine. Ce sont des scènes de vie dans les casemates, les maquis où les simulations militaires côtoient les furtifs tableaux de sympathie du capitaine Ben Salem.
Placés en séries, ces tableaux racontent le quotidien de ces combattants de l’indépendance, côtoyant le vécu des habitants des monts de Medjerdah. Hormis les clichés sur la guerre, le visiteur pourra découvrir un autre côté de ces soldats : la bonté et le cœur. En témoigne la série de photographies d’une école en plein air où des chérubins, innocents, apprennent la langue arabe, malgré le climat de terreur et d’incertitude qui régnait à cette époque… Les plus touchantes sont celle d’un enfant tout sourire offrant sa frimousse à l’objectif de Contino, montrant son insouciance d’enfant.
Ou bien celles de ce môme enjambant un entrecroisement de fils barbelés, de ces portraits d’enfants symbolisant l’avenir de l’Algérie de demain, post-indépendante… Même les déracinés de la guerre ont droit de cité dans cette exposition. Le photographe a élargi son champ visuel. Avec son regard — qui demeure subjectif —, il a restitué, à travers “Algérie 59”, une vérité, une réalité. Car, de retour dans son pays, il parle au réalisateur Pontecorvo de ce qu’il a vu. Ce dernier, en 1966, réalise “la Bataille d’Alger” Au-delà de sa valeur artistique, cette exposition est un hommage à ceux qui ont donné leur vie pour l’indépendance.
“Algérie 59”, exposition de photographies du Vittorugo Contino, jusqu’au 29 juillet 2010, à l’Institut culturel italien, Alger, de 11h à 17h.
source: Liberte

Maroc: Le roi Mohammed VI appelle à renforcer les relations avec l’Algérie





Le roi Mohammed VI a appelé à renforcer davantage les relations bilatérales entre le Maroc et l’Algérie dans un message adressé au Président Abdelaziz Bouteflika à l’occasion des célébrations du 48e anniversaire de l’Indépendance de l’Algérie. Le roi Mohammed VI réitère son souci d’oeuvrer pour le rapprochement et la solidarité entre les deux pays sur la base, notamment de la complémentarité et l’intégration, selon le message.
Une importante délégation ministérielle marocaine s’est rendue samedi à Alger pour transmettre un message de condoléances du roi Mohammed VI au Président Bouteflika après le décès de son frère.
source: Lexpression

Algerie Train Oran-Béchar: Départ le 15 juillet à 18 h25




Le rêve longtemps caressé par les habitants du Sud devient enfin réalité.Voyager par train d’Oran jusqu’à Béchar (700 km) sera bientôt possible. « La mise en exploitation commerciale de la ligne Oran-Béchar par la société nationale des transports ferroviaires (SNTF) interviendra le 15 juillet », a affirmé, vendredi dernier, le ministre des Transports, Amar Tou, à son arrivée à la gare de Béchar. Dans l’après-midi de la même journée, il a procédé à la mise en service du tronçon de chemin de fer Tabia-Béchar (580 km), qualifié d’« événement historique » pour les populations du Sud-Ouest algérien.La jonction opérée entre la nouvelle voie ferrée Tabia-Béchar et le tronçon déjà existant entre Tabia et Oran (120 km), via Sidi Bel Abbès et Oued Tlélat contribuera à désenclaver un nombre important de villes et villages des régions du sud-ouest algérien », a déclaré à la presse le ministre des Transports, lors de l’inauguration de la nouvelle gare ferroviaire de Rjem Demouche (ex-Crampel), à l’extrême sud de la wilaya de Sidi Bel Abbès.
Cette ligne ferroviaire, dont la mise en service marque le début d’une nouvelle ère pour le transport ferroviaire national, assurera, dans un premier temps, le transport des voyageurs par train-couchettes (1re et 2e classes). Des dessertes quotidiennes sont prévues à 18h25 au départ d’Oran et 18h 50 de Béchar, selon le directeur régional de la SNTF.
Avec un temps de parcours moyen de 6 heures et une vitesse maximale de 160 km/heure, le train desservira les gares de Sidi Bel Abbès, Tabia, R’jem Demouche, El Biodh, Mécheria, Naâma, Aïn Séfra, Beni Ounif, avant de rallier la gare terminus de Béchar. Le trafic prévisionnel sur cette ligne, dotée d’un système informatisé de contrôle et d’aiguillage des trains, avoisinera les 650 000 voyageurs/an et 700 000 tonnes/an de marchandises, essentiellement les produits énergétiques (carburant) et les céréales. Concernant les tarifs de transport pour les voyageurs, la SNTF promet des prix « abordables ».
En comparaison avec les prix pratiqués sur les réseaux de transport routiers et aérien, celui du train s’annonce à la portée des petites bourses. « Les tarifs seront calculés sur la base du barème kilométrique pratiqué sur l’ensemble du réseau domestique », assure le directeur général de la SNTF, M. Benameur, qui ajoute : « Loin d’être dépassé, le rail demeure encore un moyen de transport incontournable. les gens de Béchar ne vont certainement pas me contredire ! »
Ainsi, pour le trajet Oran-Béchar, il faut compter 1690 dinars en 1re classe et 1245 dinars en seconde. Le coût relativement bas du voyage sur ce trajet permettra, à n’en point douter, aux populations du sud-ouest du pays, notamment celle de Béchar, de rallier les villes du nord à moindres frais. « Prendre le train d’Oran jusqu’à Béchar est une expérience absolument formidable, mais c’est surtout un rêve longtemps caressé par les habitants du sud », fait remarquer Ahmed, cheminot, qui a pris part à ce premier voyage inaugural.
« Le lancement de la desserte Oran-Béchar profitera, en premier, aux habitants de la région de la Saoura. Ils auront ainsi à leur disposition un moyen de transport économique, fiable et entièrement sécurisé », assure-il, lui qui a sillonné durant presque 30 ans la ligne Alger-Oran dans les deux sens.
Au plan économique, les retombées de ce projet gigantesque, qui a coûté plus de 93 milliards de dinars, sont loin d’être négligeables, notamment pour ce qui est de l’activité touristique. Des côtes bleu-azur oranaises jusqu’à Taghit l’enchanteresse, en passant par les étendues verdoyantes du Tell et les immensités steppiques de l’arrière-pays, le dépaysement sera total pour les passagers du train Oran-Béchar. Rendez-vous donc le 15 juillet, gare d’Oran.
source: Elwatan