阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

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指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Thursday, July 15, 2010

l'Union pour la Méditerranée, nomination.



Philippe CASTRO est nommé secrétaire général du conseil culturel de l'Union pour la Méditerranée
Date de publication : mardi 13 juillet 2010
Communication du Conseil culturel de l’Union de la Méditerranée du 09.07.10 – Jeunesse, culture et sport / Coopération et Europe / Santé et social
Philippe CASTRO, ancien conseiller de MM Jean-Jacques AILLAGON, Renaud DONNEDIEU de VABRES et de Mme Christine ALBANEL au Ministère de la Culture et de la Communication est nommé secrétaire général du Conseil culturel de l'Union pour la Méditerranée. Il remplace Cécile LONGE, conseiller des affaires étrangères, nommée directrice adjointe du Centre de crise du ministère des Affaires étrangères et européennes.

Sa mission sera d'accompagner tout projet ou réalisation qui contribuerait à donner une dimension culturelle à l'action de l'Union pour la Méditerranée, au sein du Conseil culturel, présidé par Renaud MUSELIER, ancien ministre, Député des Bouches du Rhône, vice-président de la Commission des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale et Délégué spécial au sein de l'équipe municipale de Marseille pour « Marseille, capitale européenne de la Culture 2013 ».

Titulaire d'une maîtrise de Sciences Politiques et d'un DESS de Communication Politique et Sociale, Philippe CASTRO rejoint le rectorat de Paris de 1987 à 1990. Il est attaché auprès du Directeur des Services académiques, en charge des relations extérieures et des relations avec les parlementaires.
Il prend ensuite la fonction de Directeur de la Communication et des Relations Publiques du syndicat d'agglomérations nouvelles du Val d'Europe (le secteur d'implantation d'Eurodisney) jusqu'en 1993.

De 1993 à 2003, il est successivement attaché parlementaire d'André-Maurice PIHOUEE, Député de la Réunion puis de Jean-Michel COUVE, Député-Maire de Saint-Tropez et rapporteur du budget Tourisme.

En 2003, il entre au ministère de la Culture et de la Communication, en tant que conseiller technique chargé du Parlement et des relations avec les élus, au cabinet de Jean-Jacques AILLAGON. A partir de 2004, Philippe CASTRO prend en charge les questions de dialogue entre les cultures et la lutte contre les exclusions au cabinet de Renaud DONNEDIEU de VABRES. Il s'occupe plus particulièrement de la « Mission Tolérance », une campagne d'actions contre l'intolérance dans les établissements publics culturels. Il lance également la 1ère Journée des mémoires de la traite négrière, de l'esclavage et de leurs abolitions et participe à la création de la Cité nationale de l'histoire de l'immigration. A l'arrivée de Christine ALBANEL en 2007, Philippe CASTRO devient conseiller pour la diversité culturelle et la démocratisation de l'accès à la culture. Il est en parallèle chargé de la francophonie et de l'Outre-mer. Il assure la coordination de l'année européenne 2008 du dialogue interculturel et participe à la mise en place des Etats Généraux de l'Outre-mer. De juin 2009 jusqu'à aujourd'hui, il est chargé de mission auprès du Secrétariat Général du ministère de la Culture.Pour en savoir plus : http://www.conseilculturel-upm.gouv.fr/

Victoire pour Mr le Président Barack Obama réforme bancaire et financière



Après un ultime vote au Sénat jeudi, le Congrès des Etats-Unis a adopté la version définitive de la plus vaste réforme de la régulation financière depuis les années 1930, offrant à Barack Obama

une victoire législative cruciale. Une réforme dont le président américain espère qu'elle mettra fin aux "affaires louches" qui ont mené le système financier à la crise de l'automne 2008 et précipité l'économie du pays dans le chaos. Selon lui, le texte qui doit être promulgué la semaine prochaine aidera à bâtir une économie "innovante, créative et concurrentielle", qui sera moins "exposée à la panique" et qui ne contraindra pas les contribuables à payer pour les erreurs des géants de Wall Street

Avec la réforme de la santé, elle aussi âprement disputée, les démocrates peuvent maintenant faire valoir qu'ils ont mené à bien deux réformes de grande ampleur qui devraient modifier le visage de la société américaine pour plusieurs générations. La nouvelle réglementation financière, à laquelle s'est opposé le secteur bancaire, prévoit notamment une protection accrue du consommateur, donne aux autorités de régulation plus de latitude pour décider du sort des sociétés en difficulté et pose des limites à toute une série d'activités de trading jugées risquées, ce qui devrait peser sur les bénéfices des banques.
Ce que contient la nouvelle réglementation
Selon les nouvelles dispositions, les banques et autres établissements de crédit auront des comptes à rendre au nouveau Bureau de protection financière du consommateur qui sera chargé au sein de la banque centrale, la Réserve fédérale, de superviser les crédits immobiliers, les prêts aux étudiants ou encore les cartes de crédit. Les concessionnaires automobiles ont réussi à être exemptés de cette autorité. Les autorités de régulation, qui ont eu toutes les peines du monde à endiguer l'onde de choc créée par la faillite de certaines sociétés comme Lehman Brothers lors de la dernière crise, auront davantage de pouvoirs pour démanteler les sociétés en difficultés dans les cas où l'économie dans son ensemble viendrait à être menacée. Un conseil des régulateurs surveillera les risques importants pour le système financier et nombre de grandes banques vont devoir mettre de côté davantage de fonds propres pour le cas où la conjoncture se détériorerait. Les autorités fédérales surveilleront de plus près les fonds spéculatifs et les sociétés de capital-investissement. Les agences de notation pourraient voir leur modèle économique complètement revu à l'issue d'une période d'études de deux ans.
Pour la première fois, le marché des produits dérivés y compris les produits d'assurance que sont les CDS (Credit Default Swaps), va être soumis à régulation. La valeur de ce marché est estimée à 615.000 milliards de dollars. Les transactions seront réorganisées de façon plus transparente. Elles seront orientées vers les plates-formes de transactions électroniques et les chambres de compensation centrales.
Un combat de longue haleine
Le vote du Sénat met fin à plus d'une année d'efforts législatifs après le lancement du projet de réforme par Barack Obama en juin 2009. Barack Obama avait souhaité à l'origine un soutien bipartisan à ce texte. Mais seuls trois sénateurs républicains l'ont finalement voté, avec 55 démocrates et deux indépendants. Alors que les républicains sont partis pour gagner du terrain lors des élections de mi-mandat au Congrès au mois de novembre, les démocrates ont voulu montrer à leurs électeurs qu'ils avaient mis au pas un secteur qui a plongé le pays dans sa récession la plus grave depuis 70 ans. "Je regrette de ne pas pouvoir vous rendre votre travail ni votre maison qui a été saisie (...) Mais, ce que je peux faire, c'est de faire en sorte c'est que la nation ne traverse plus jamais les épreuves qu'elle vient de subir", a déclaré le sénateur démocrate Christopher Dodd, l'un des principaux rédacteurs du texte.
Il n'est toutefois pas certain que les Américains reconnaîtront le travail accompli par les démocrates. Selon un sondage Ipsos publié jeudi, la connaissance et la compréhension de la réforme financière sont très faibles. Quelque 38% des personnes interrogées n'ont jamais entendu parler de la réforme tandis que 33% en ont eu vent sans toutefois être au courant de son contenu.
Par TF1 News (D'après agence) le 16 juillet 2010 à 06:

L'Europe des coopérations volontaires




"L'Europe des coopérations volontaires ou comment donner une nouvelle impulsion à l'Europe..." tel est le sujet de la nouvelle Note de la Fondation Robert Schuman réalisée par Pierre Fauchon, sénateur du Loir et Cher et François Sicard agrégé de philosophie,
Face aux difficultés politiques et institutionnelles que constitue la modification des traités, se développent des coopérations volontaires en dehors d’eux ou dans leur cadre. Le Traité de Lisbonne envisage des «coopérations renforcées» et une «coopération structurée permanente» en matière de défense. L’idée est d’insuffler dans les comportements et les pratiques européennes «une liberté de faire pour certains et l’impossibilité de l’empêcher pour les autres», afin que des Etats membres puissent aller plus loin dans l’intégration avec ceux qui en sont d’accord sans que d’autres puissent s’y opposer par leur droit de veto, freinant alors l’ensemble des progrès communautaires. Cette «différenciation», qui existe déjà, fait l’objet de nombre de réflexions et de propositions. Dans une note n°47 de la Fondation Robert Schuman(www.robert-schuman.eu), Pierre Fauchon, sénateur du Loir et Cher et François Sicard agrégé de philosophie, élaborent des perspectives tout en oeuvrant pour que se poursuive, s’amplifie et s’améliore la construction d’une Europe plus unie et plus forte.Dans une interview accordée à Fenêtre sur l'Europe Pierre Fauchon revient sur cette perspective de coopérations renforcées.voir la video :http://www.fenetreeurope.com/

Mr Xavier Driencourt ambassadeur de France en Algérie essais nucléaires dans le désert algérien.

L’ambassadeur de France en Algérie « Il n’y a pas de différences entre les indemnisations accordées aux victimes algériennes et françaises des essais nucléaires »

L’ambassadeur de France en Algérie, Xavier Driencourt a en effet déclaré dans un discours prononcé hier au siège de l’ambassade à l’occasion de la fête nationale française, que « d’importantes étapes avaient été franchies dans le travail de mémoire », notamment en ce qui concerne l’indemnisation des victimes des essais nucléaires dans le désert algérien.
Il précise d’ailleurs à ce sujet qu’une loi adopté en début d’année alloue une enveloppe financière de dix millions d’euros, et qu’il n’y avait donc aucune différence dans les indemnisations entre les victimes françaises et les victimes algériennes.
Il a par ailleurs évoqué dans son allocation, le volet économique de la coopération, indiquant que l’accord d’association était entré en application lorsqu’il a été publié dans le journal officiel français le 28 juin dernier.
Ajoutant que de nombreux textes d’accords étaient actuellement à l’étude, dans le domaine médical ainsi que la lutte contre la pollution en méditerranéenne.

Algerie Ouverture des journées maghrébines à Batna



Après la réussite éclatante du premier Festival national du théâtre amazigh, organisé par le Théâtre régional de Batna sous l’égide du ministère de la Culture, Batna a renoué depuis le 12 juillet jusqu’au 26 du même mois avec un événement culturel de taille, parallèlement au déroulement de la 32e édition du festival de Timgad. C’est, en effet, la tenue des journées maghrébines du théâtre que le TR Batna organisera grâce à la participation de troupes professionnelles d’Algérie, du Maroc, de la Tunisie et de Libye. Les Marocains se déplaceront avec une troupe avec au programme la présentation de deux pièces théâtrales. Il s’agit de la troupe El-Moubadara de Rabat qui jouera la pièce El-Antaria, un texte du dramaturge marocain Abdelkrim-Berrachid et une mise en scène signée de Abdelmadjid Feniche. La même troupe donnera une seconde pièce théâtrale Kawalis Shahrazed, texte et mise en scène de Abdelmadjid Feniche. La Tunisie participera pour sa part également avec deux représentations théâtrales : El-Halwa, texte et mise en scène de Khaled Chenen avec la troupe de la société Rosbina de production artistique de Monastir. La deuxième pièce est Khouyout El-Ouchka, adaptation et mise en scène de Moïz Hamza, laquelle représentation sera l’œuvre du Centre national des arts dramatiques de la ville d’El-Kef. La Libye dépêchera à Batna la Troupe du théâtre national de Benghazi, laquelle interprétera sur les planches du théâtre régional de Batna une pièce intitulée Souar Fi Dhakira, dont la mise en scène sera assurée par Awadh El-Fitouri. Pour ce qui est de la participation algérienne, il faut noter que le Théâtre national algérien sera présent à Batna pour présenter Lalat En-nissa, écrite par Brahim Benamor et mise en scène par Dalila Meftahi. Les autres représentations seront le fait des différents théâtres régionaux d’Algérie. Celui de Batna a été programmé pour deux représentations El-Hachamine, une adaptation de Mourad Senouci qui est mise en scène par Bouzid Chawki et Er-Raksa El-Akhira de Larbi Boulbina et mise en scène par Chiba Lahcène. Les théâtres de Annaba, Béjaïa, Sidi Bel Abbès, Oum El-Bouagui, Oran, Mascara et Skikda donneront la réplique aux autres troupes théâtrales invitées pour assurer le succès escompté à ces journées maghrébines du théâtre. Notons que la troupe de Skikda jouera une pièce Khayel Ed-Dhal du dramarurge batnéen Salim Souhali. Ali Benbelgacem
15-07-2010

Le rêve de Mr le Président Houari Boumédiène concrétisé


Lancement des travaux du barrage de Beni Slimane
En marge d’une visite de travail et d’inspection l’ayant conduit, hier matin, dans la wilaya de Médéa, le ministre des Ressources en eau, Abdelmalek Sellal, a indiqué que Constantine ne connaîtra aucun problème d’alimentation en eau potable jusqu’au mois de décembre 2010, étant donné que le barrage de Oued Otmania est rempli à 70%. Cette déclaration est une réponse à une question d’un journaliste concernant la panne survenue, il y a environ 15 jours, dans l’une des deux stations de pompage du barrage de Beni Haroun à la suite de l'incendie qui s'était déclaré, occasionnant la destruction totale de la pompe. Le barrage de Beni Haroun, selon le ministre, dispose de deux grandes pompes de refoulement. «C’est l’une de ces pompes qui est tombée en panne. Actuellement, la seconde fonctionne normalement en attendant la réparation de la première», a-t-il dit. La mise en service de cette pompe de refoulement sera supervisée par un expert de l'entreprise française Alstom conceptrice de ces deux pompes, les plus grandes en Afrique. La réparation, a-t-il rassuré, devra prendre quelques jours, puisque toutes les pièces de rechange nécessaires pour réparer les éventuelles pannes sont fournies par la société Alstom dans le cadre du contrat. Par ailleurs, au cours de cette visite, M. Sellal a donné le coup d’envoi des travaux du barrage de Beni Slimane. Ce barrage, selon les explications du ministre, est le rêve du défunt président Boumediene. «Au cours de sa première visite à Médéa dans les années 1970, a-t-il dit, le défunt président Boumediene avait émis le vœu de construire sur la plaine de Béni Slimane un barrage de cette envergure. En voyant la plaine, Boumediene a indiqué qu’avec ce projet, la région de Béni Slimane sera la seconde Mitidja de l’Algérie». Ainsi, l’excellente position géographique du site de construction de ce nouveau barrage, selon M. Sellal, permettra un épanouissement du secteur agricole dans cette région. En effet, ce barrage est situé sur l’oued Mellah, à sept kilomètres au sud de la ville de Béni Slimane et à environ 10 km du village Souaghi. Ce barrage, a-t-on expliqué au ministre, a pour but la régularisation annuelle des débits du cours d’eau et l’utilisation de cet apport pour l’irrigation des terres agricoles avoisinantes d’une superficie de 1 267 ha de Béni Slimane. Le cortège ministériel s’est rendu ensuite sur le chantier de la surélévation de la digue du barrage de Boughezoul. Profitant de l’occasion, M. Sellal a également procédé à l’inspection du barrage du Ghrib d’une capacité de 116 millions de m3, actuellement rempli à 69%, avant de suivre un exposé sur le système de transfert des eaux du barrage de Koudiat Acerdoune, d’une capacité de 650 millions de m3, considéré comme le second grand barrage d’Algérie. Sur place, le ministre a annoncé le lancement, à partir de la semaine prochaine, du transfert des eaux potables à partir du barrage de Kouadiat Acerdoune vers les régions du sud de la wilaya de Tizi Ouzou. A ce sujet, M. Sellal a indiqué que des essais de coloration des eaux sont en cours avant le lancement du transfert. Le cortège ministériel s’est rendu ensuite à la localité de Berrouaghia où il a inspecté le réseau d’assainissement, ainsi que les travaux d’aménagement de l’oued afin de protéger cette localité contre les inondations. Ces mégaprojets, selon le ministre, assureront l’alimentation en eau potable des villes et villages de la wilaya de Médéa, notamment Tablat, Beni Slimane, Berrouaghia et Ksar El-Boukhari, par des volumes d’eau importants, renforçant la distribution d’eau potable et l’irrigation des terres agricoles de cette région. De notre envoyé spécial à Médéa, Raouf Aziri
15-07-2010

NCA Rouiba n’exclut pas d’entrer en bourse



NCA Rouiba n’exclut pas d’entrer en bourse

Le nouveau PDG de NCA Rouiba a indiqué que l’entreprise de jus n’excluait pas d’introduire son capital à la bourse d’Alger.jeudi 15 juillet 2010.
Le nouveau DG de NCA Rouiba, Sahbi Othmani, a vécu et fait ses classes en Tunisie, n’a pas exclu l’entrée de NCA Rouiba en Bourse, assurant qu’il s’agit là « d’une piste très intéressante à plusieurs égards ». Il a souligné que « si un jour nous décidons de mettre une partie de notre capital dans la Bourse d’Alger, ça sera certainement au profits de nos consommateurs ».
Le patron de NCA Rouiba a par ailleurs annoncé le lancement d’un nouveau produit, un jus de fruits mixés Rouiba en bouteilles en plastique, dès la semaine prochaine. « Une vaste campagne marketing de deux mois sera lancée durant la même semaine pour faire la promotion de ce nouveau produit », a promis le nouveau directeur général ajoutant que « l’entreprise continuera à explorer les gisements susceptibles d’intéresser les consommateurs ».
Synthèse de Mourad, www.algerie-dz.com D’après Le Jeune Indépendant

Algerie le nouvel eldorado des consultants


L’Algérie attire les cabinets de conseil et d’audit
De nombreux cabinets de conseil et d’audit ont ouvert des bureaux en Algérie où la croissance de l’activité demeure soutenue.jeudi 15 juillet 2010.
Les cabinets de conseil et d’audit affluent vers l’Afrique du Nord et le Moyen-Orient où le marché atteint 2,2 milliards d’euros par an, selon la dernière édition de Jeune Afrique. Intitulé « Le nouvel eldorado des consultants », l’article en question note que ces bureaux présents dans des métiers de l’audit (certification des comptes, modernisation des systèmes comptables, intégration de systèmes d’information…) ont tous identifié le Maghreb, et plus largement l’Afrique du Nord, comme une cible prometteuse. En Algérie, en Tunisie et au Maroc, on retrouve des cabinets de renom à l’image de Deloitte, KPMG, McKinsey, Ernst and Young… et les Maghrébins sont de moins de moins réticents à l’idée d’investir dans des prestations immatérielles. Parmi les pays du Maghreb, c’est l’Algérie qui attise le plus les convoitises. « Le pays a le plus fort potentiel de croissance et il a entamé un fort mouvement de rattrapage », selon Philippe Ausseur, associé d’Ernst & Young.
Tous les cabinets sont en place. Après l’arrivée de KPMG en 2002, une déferlante a envahi le pays à partir de 2007 : Deloitte, Bernard Krief Consultants, Ernst & Young, PricewaterhouseCoopers officient à Alger. Ils ont en point de mire le chantier des privatisations. Cette concurrence exacerbée étouffe l’essor des cabinets locaux, qui interviennent souvent en appui, mais elle n’altère pas les ambitions des majors. « Notre objectif est de continuer notre croissance à deux chiffres sur les trois pays (Algérie, Tunisie et Maroc). C’est une zone stratégique « , explique Philippe Ausseur. Même appétit pour le numéro un mondial, l’américain PricewaterhouseCoopers. « Le potentiel de croissance du marché maghrébin sera supérieur à 20 % dans les années à venir « , assure Nicolas Granier, responsable des activités juridiques et fiscales du cabinet. En revanche, les cabinets restent très discrets sur leurs résultats. Peut-être parce que l’activité est très lucrative.
Synthèse de Mourad, www.algerie-dz.com D’après Le Jeune Indépendant

Algerien France coopération et de développement économique




Les Algériens en tête des immigrants en France
Algériens en France Dans sa dernière édition du rapport annuel du Système d’observation permanente des migrations internationales (Sopemi), l’Organisation de coopération et de développement économique (OCDE) constate une diminution des flux migratoires durant l’année 2008. Les ressortissants algériens restent les premiers immigrants en France, devant les Marocains et les Tunisiens.La trente-quatrième édition du rapport annuel du Système d’observation permanente des migrations internationales (Sopemi) traite des tendances récentes des flux migratoires dans les pays de l’OCDE. Cette édition, rendue publique le 12 juillet, est consacrée à l’année 2008. Ce rapport se base sur des données statistiques officielles fournies par les pays membres de cette organisation. Toutefois, le système statistique ne prend pas en compte les données relatives à l’immigration clandestine, il se réfère essentiellement aux entrées sur les territoires et au nombre de titres de séjour accordés par les administrations des pays concernés. Pour ce qui est des émigrants algériens, la France reste le principal pays d’accueil.
Les Algériens sont classés premiers du groupe «Afrique du Nord et Proche- Orient», qui compte également les Marocains et les Tunisiens, représentant 38 % des émigrants hors Union européenne en France. Les ressortissants algériens se classent également en première position en termes de nombre d’entrées sur le territoire français avec 22 300 entrées en 2008. Un chiffre qui connaît une baisse sensible en comparaison avec les années précédentes : 28 500 en 2003 et 24 400 en 2006. Sur un autre plan, le recours à l’exil politique continue sa tendance à la baisse.
Une situation qui se confirme en 2008 puisque les Algériens se classent en 11e position avec 978 demandes formulées auprès de l’administration française contre 4 209 en 2004. Mais les Algériens détenteurs de titres de séjour permanent sont toujours aussi nombreux à opter pour la nationalité française. En 2008, 20 256 ont fait ce choix. Les ressortissants marocains ont toutefois été plus nombreux à obtenir la naturalisation avec 28 699 demandes acceptées. D’ailleurs, la tendance à l’immigration est bien plus ancrée auprès de nos voisins de l’Ouest. Outre la France, les Marocains restent très présents en Belgique, aux Pays-Bas, en Italie et en Espagne.
Ils dépassent même les Algériens dans les statistiques consacrées au Canada. Sur un plan plus global, le rapport de l’OCDE constate une nette récession des flux migratoires, «principalement ceux répondant à une demande de main-d’œuvre». Une situation à mettre sur le compte des effets de la crise financière internationale. «La crise a aussi eu pour effet de pousser de nombreux immigrés hors du marché du travail, et ce de manière plus forte que pour les travailleurs nés dans le pays. Beaucoup de ces immigrés venaient d’arriver. Par le passé, le chemin du retour à l’emploi a toujours été long pour les immigrés. Avec les pertes d’emploi engendrées par la crise, il est probable que cette situation perdure.
En outre, dans plusieurs pays de l’OCDE, même pendant les périodes plus fastes, l’intégration des immigrés et de leurs enfants sur le marché du travail n’a pas toujours été à la hauteur des attentes», note John P. Martin, le directeur de l’emploi, du travail et des affaires sociales à l’OCDE. Ce responsable a d’ailleurs appelé à une reconnaissance active des immigrés à travers la mise en œuvre de mesures pour leur intégration sur le marché du travail.
«Les bonnes performances des immigrés ne sont pas seulement souhaitables. C’est un impératif que les économies des pays de l’OCDE ne doivent pas ignorer. Les immigrés doivent être activement engagés sur le marché du travail et acquérir leur indépendance de la même manière que les personnes nées dans le pays et possédant les niveaux d’éducation et de qualification comparables. Cela veut dire que les immigrés ne devront pas manquer le train de la reprise quand il repartira et que l’emploi augmentera», a souligné John P. Martin dans ce rapport annuel.

Algerie du lait de chamelle pourrait être vendu en Europe l'an prochain




Un nouveau créneau qui s'ouvre à l'export



A l'ère de la mondialisation, les habitudes alimentaires changent et se transforment du tout au tout. Si dans les pays méditerranéens, l'abandon du régime crétois se fait sentir de plus en plus, les pays d'Asie et d'Europe pourraient bien profiter des bienfants des aliments du Sud, à l'image du lait de chamelle. Selon l'organisation des Nations unies, pour l'alimentation et l'agriculture le lait de chamelle est apprécié, frais ou fermenté, à travers l'Asie, le Moyen, Orient et l'Afrique. Il est riche en acides gras non-saturés, en insuline et en vitamine C. Le lait de chamelle peut être plus riche en eau (80-90%) que le lait de vache, son taux de protéines est comparable à celui du lait de vache et son taux de lactose peut changer son goût, qui peut aller du doux à l'amer. Ses bienfaits connus au Moyen-Orient et en Afrique du Nord, le lait de chamelle commence à s'imposer en Asie particulièrement en Chine, en Inde et il pourrait bien arriver en Europe d'ici 2011. Les Emirats arabes unis pourraient devenir le premier fournisseur de lait de chamelle si la Communauté européenne donne son accord pour son importation, à partir de 2011. Notons, dans ce sens, qu'un rapport présenté à la cinquième édition de la Conférence internationale sur la salubrité des aliments de Dubaï indique que le lait de chamelle est meilleur pour la santé que le lait de vache, parce qu'il est moins gras et plus riche en potassium, en fer, en sodium et en magnésium. Cependant, lorsque le lait de chamelle n'est pas pasteurisé, il peut causer la brucellose (également connue sous les noms fièvre de Malte, fièvre sudoro-algique, fièvre ondulante, mélitococcie ou fièvre méditerranéenne). Le magazine internet Food Quad, de l'éditeur indien Ayushveda, note que le lait de chamelle était une tendance en pleine essor dans les Saras (bars à lait) en décembre, et que de nombreuses marques de lait de chamelle ont trouvé le chemin des étals de marchés. Le lait de chamelle est utilisé dans une grande diversité de produits, depuis les savons antibactériens jusqu'aux yaourts, en passant par le fromage, la glace et même le chocolat au lait de chamelle (fabriqué à Vienne avec du lait de chamelle en poudre de Dubaï et exporté vers le Moyen-Orient). Les Européens pourront peut-être étendre leurs horizons et développer leurs propres produits au lait de chamelle, à partir de 2011. Il faut dire que cette nouvelle pourrait ouvrir de nouveaux marchés pour les producteurs de lait de chamelle. Du fait de leur proximité du marché européen, les Algériens devraient d’ores et déjà réfléchir à la question et lancer des programmes pour la revalorisation de l'élevage camelin. Il faut dire que l'Algérie se situe au 18e rang mondial et au 8e rang arabe en matière d'élevage camelin. Ce qui n'est pas rien. Le cheptel camelin est réparti sur trois principales zones d'élevage : le Sud-est, le Sud-ouest et l'extrême Sud avec respectivement 52%, 18% et 30% de l'effectif total.L'effectif camelin en Algérie a été évalué à 140.000 têtes. Celui-ci a connu une forte régression, selon les chiffres établis par le bureau de conseil et de consulting en développement durable Gredaal. Cette régression est le résultat, selon la même source, des abattages incontrôlés, des exportations clandestines, du déclin de la fonction traditionnelle, suite au développement de la motorisation et la sédentarisation des populations rurales sahariennes. Il y a également parmi les causes de cette réduction de l'effectif camelin l'orientation et l'adaptation de l'élevage vers une nouvelle activité de production de viande. Dalila T.

Burqa : les Etats-Unis font la leçon à la France


Charlotte Menegaux
L'année dernière, Barack Obama avait déjà égratigné la France, en critiquant les pays occidentaux qui dictent «les vêtements qu'une femme doit porter». Washington fait valoir la «liberté de croyance».

C'est par la très officielle voix du porte-parole du département d'Etat, que les Etats-Unis ont exprimé leur désaccord avec le projet de loi français contre le port du voile intégral, mercredi : «Nous ne pensons pas qu'il faille légiférer sur ce que les gens ont le droit, ou pas, de porter en fonction de leurs croyances religieuses», a ainsi commenté Philip Crowley. «Aux Etats-Unis», a-t-il ajouté, «nous prendrions d'autres mesures pour assurer l'équilibre entre la sécurité, d'une part, et d'autre part le respect de la liberté religieuse et des symboles qui lui sont associés».
La France peut avoir avec les Etats-Unis «des opinions différentes sur certaines questions, je pense par exemple à la peine de mort», a répondu le porte-parole du ministère français des Affaires étrangères. Et d'ajouter : ces opinions différentes sont «une raison supplémentaire pour renforcer notre dialogue et nos échanges, dans un esprit constructif et de confiance».
Une forme d'ingérence de la part des Etats-Unis, qui n'en est pas à son coup d'essai. On s'en souvient, en avril 2009, Barack Obama s'était prononcé pour l'adhésion de la Turquie à l'Union européenne, s'opposant ainsi clairement à la position du chef de l'Etat français.
Critiques répétées d'Obama
Quelques semaines plus tard, le 8 juin 2009, Barack Obama avait implicitement pointé la France du doigt, dans son discours du Caire, resté célèbre. Il y avait appelé les pays occidentaux à ne pas gêner les musulmans dans la pratique de leur religion, critiquant ceux d'entre eux qui dictent «les vêtements qu'une femme doit porter». Au nom de la laïcité, la France avait déjà banni, en 2004, les signes religieux ostentatoires dans les écoles, avec une loi interprétée comme ciblant surtout le voile islamique.
A la surprise générale, Nicolas Sarkozy avait alors emboîté le pas à Barack Obama. Réagissant à son discours, il s'était dit «totalement d'accord» avec le président américain, «y compris avec la question du voile» islamique. «En France, toute jeune fille qui veut porter le voile peut le faire. C'est sa liberté», avait soutenu Nicolas Sarkozy.
Un an plus tard, le projet de loi visant à interdire le port du voile intégral dans l'espace public français est pourtant en marche. Mardi, les députés français ont adopté le texte. Prochaine étape en septembre, avec son examen par le Sénat. Si la Haute Assemblée ne le modifie pas, le texte serait alors définitivement adopté.

Turquie -News


Relance de l’industrie cinématographique : Gros plan sur les valeurs nationales





La réunion du Conseil des ministres lundi, présidée par le Chef de l’Etat, a étudié et approuvé une série de textes importants dont celui relatif à l’industrie et à l’activité commerciale cinématographique.Attendu depuis longtemps, et même si on ne le connaît pas encore dans tous ses détails, ce texte vient, en fait, encadrer une activité essentielle dont on attend à ce qu’elle soit plus dense et, dans tous les cas, plus attractive. Il est également attendu de ce texte de loi qu’il encourage l’émergence de professionnels à même d’impulser un segment important de la production audiovisuelle nationale.Selon le communiqué rendu public à l’issue de la réunion du Conseil des ministres, le projet de loi examiné est structuré autour de quatre axes. D’abord il y a le fait que la réalisation, l’exploitation, la diffusion et la distribution des œuvres cinématographiques ainsi que les projections publiques de films à des fins non lucratives doivent être, comme cela se fait partout dans le monde, soumises à une autorisation du ministre de la Culture. En deuxième lieu, l’exploitation des salles de cinéma doit être soumise à un cahier des charges, afin d’éviter les dérives enregistrées dans un passé récent. La question du dépôt auprès de l’instance chargée de la conservation cinématographique d’une copie des films nationaux ou étrangers diffusés dans le pays à l’exportation des droits d’exploitation, ainsi d’ailleurs que les films déjà réalisés ou à réaliser et traitant de la guerre de Libération nationale, constitue un point d’autant plus important qu’il vient consolider le droit de l’Etat de disposer des archives cinématographiques et de veiller à leur conservation. Enfin, le quatrième et dernier axe, concerne la promotion de l’industrie cinématographique. Dans ce sens, des mesures précises sont énoncées. A savoir l’obligation faite aux producteurs étrangers procédant à des réalisations dans notre pays de recourir à des collaborateurs nationaux, l’aide publique aux sociétés locales de production, de distribution, d’exploitation et de diffusion cinématographique, sans oublier le soutien à la formation aux métiers du cinéma.A l’évidence, un tel texte de loi ne peut qu’aller dans le sens d’un meilleur encadrement d’un secteur d’autant plus sensible qu’il concerne à la fois l’économique et le culturel ; le produit cinématographique a cette spécificité d’appartenir à la sphère de la consommation tout en relevant de l’ordre du symbolique et donc de l’identité de la nation.Le Chef de l’Etat, qui est intervenu avec force sur ce dossier, n’a pas manqué d’exprimer la forte volonté de l’Etat de concourir à la relance de l’industrie cinématographique dans le cadre des efforts publics consentis en vue d’une renaissance culturelle globale et permanente après la dure période que le pays a traversée et au cours de laquelle l’activité culturelle a été sévèrement fragilisée.Durant ce même Conseil des ministres, le Chef de l’Etat a donné des orientations précises au gouvernement afin d’encourager et de stimuler la production cinématographique nationale, de manière générale, et celle qui se rapporte aux films liés à la guerre de Libération, de façon particulière.Il a saisi l’occasion d’ailleurs pour évoquer le précieux concours du cinéma et de la télévision à la commémoration du cinquantième anniversaire de notre Indépendance nationale, qui aura lieu dans deux ans.A l’évidence, le cinéma national a besoin d’un réel soutien de l’Etat et les pouvoirs publics — à leur tête le Président de la République — viennent de consolider une dynamique de renaissance de ce secteur.C. J.

Mr Le Président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika,partenariat d'exception entre l'Algérie et la France



Le Président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, a réitéré son engagement à œuvrer à l'approfondissement du dialogue politique et à la poursuite de l'œuvre d'édification d'un partenariat d'exception entre l'Algérie et la France
Le Président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, a réitéré son engagement à œuvrer à l'approfondissement du dialogue politique et à la poursuite de l'œuvre d'édification d'un partenariat d'exception entre l'Algérie et la France, dans un message adressé à son homologue français, M. Nicolas Sarkozy, à l'occasion de la fête nationale de son pays. "Au moment où la République française célèbre sa fête nationale, il m'est particulièrement agréable de vous adresser, au nom du peuple et du gouvernement algériens et en mon nom personnel, mes félicitations les plus chaleureuses auxquelles je joins mes vœux les plus sincères de santé et de bonheur pour vous-même, de prospérité et de bien-être pour le peuple français ami", écrit le président Bouteflika dans son message. "Je voudrais, en cette occasion, vous redire mon engagement à œuvrer, de concert avec vous, à l'approfondissement de notre dialogue politique et à la poursuite de l'œuvre d'édification d'un partenariat d'exception et mutuellement bénéfique pour nos deux pays et nos deux peuples", souligne le chef de l'Etat.

Une commission devant résoudre les problèmes des échanges algéro-européens demandée



Forum économique euro-méditerranéen en Italie

La confédération algérienne du patronat a appelé les pays de l’Union Européenne à créer une commission chargée de trouver des solutions aux problèmes que rencontrent les échanges commerciaux entre les entreprises algériennes et leurs partenaires européennes.La proposition a été faite selon le président de la confédération, Boualem Merakech, lors du forum économique euro-méditerranéen, qui s’est tenue à Milan les 12 et 13 juillet derniers, en présence de la délégation algérienne, constitué par la CAP, de représentants des secteurs de l’énergie et des mines et des PME, ainsi que du ministre de la prospective et des statistiques, Abdelhamid Temmar et des représentants de l’organisation des institutions financières et bancaires. Il ajoute par ailleurs que la proposition qui a reçu le soutien d’autres pays à l’instar de la Tunisie, à pour objectif de faire en sorte que les deux parties des bénéfices égaux des échanges commerciaux, puisqu’actuellement c’est les pays de l’UE qui en sont les grands bénéficiaires.M Marrakech précise d’un autre coté que la commission qui sera mise en place après l’accord de l’UE, comptera de nombreux opérateurs économiques algériens et européens, et sera chargée d’élaborer un cadre général pour le développement des entreprises, et de définir des opportunités de partenariat fructueux entres les entreprises des deux parties. Elle devra également mettre en place un programme d’action qui comprendra des mesures pour coordonner les échanges commerciales entre les entreprises algériennes et européennes.