阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

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指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Saturday, July 17, 2010

Asiexpo 2010


Le salon d'affaires précurseur du renouveau commercial entre l'Algérie et l'Asie
Les relations d'affaires entre l'Algérie et les pays d'Asie, notamment la Chine, connaissent un dynamisme sans précédent.Afin d'offrir une fenêtre sur les perspectives du marché algérien en mettant l'accent sur les investissements structurants, l'innovation et le transfert de technologie la Safex, en partenariat avec Actions Services, organise la première édition de l'Asiexpo, un évènement unique en son genre au niveau du Maghreb. Cette manifestation qui se tiendra au mois de septembre prochain au Palais des expositions de la Safex est la première exposition de cette dimension organisée en Algérie, ainsi qu'au Maghreb. Asiexpo mettra particulièrement l'accent sur les principaux projets d'investissements structurants portés par les participants. Ce schéma s'inscrit pleinement dans le cadre des orientations impulsées par son Excellence, le président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, en matière d'ouverture de la production algérienne hors énergie, en direction du marché domestique mais également de l'export. A l'instar de l'action du fabricant d'autobus chinois Yancheng Zhongwei, du groupe Zonda, qui a permis à l'entreprise algérienne Fandi Motors d'ouvrir un site d'assemblage à Mohammadia, d'autres partenariats ou investissements directs illustrent ce développement des relations d'affaires entre l'Algérie et le continent asiatique. Au service des rencontres industrielles et commerciales, Asiexpo représentera une vitrine optimale pour les entreprises, pour leur pays et sur leur marché. Le salon se fixe pour objectifs de promouvoir les secteurs d'activité et les savoir-faire, créer et développer des rencontres entre producteurs de biens et de services et clients ou partenaires potentiels, informer le public sur les secteurs d'activité en progression en intégrant la dimension " emploi ", présenter les orientations politiques en matière de développement économique, orienter les professionnels vers les opérateurs publics d'accompagnement et étendre le marché algérien à l'export. La salon Asiexpo, permettra aussi aux participants de bénéficier d'un accès privilégié au marché algérien, de développer son réseau et son potentiel d'affaires et de recevoir un visitorat ciblé : chefs d'entreprises, prescripteurs institutionnels, réseaux publics et privés qui ouvrent commandes et chantiers. Cette manifestation sera accompagnée d'un espace conseil. Véritable source d'informations sur les services et technologies porteurs de développements industriels et économiques, le salon Asiexpo offre l'opportunité de visualiser une chaîne de partenaires et de faire des affaires. Durant quatre jours, la manifestation permettra d'identifier de nouvelles opportunités d'équipement, de développement et/ou d'activité et engager un dialogue avec des partenaires privilégiés sur les investissements de demain, pourvoyeurs d'emplois. Notons qu'Actions Services organisation est une société française, organisatrice de salons professionnels. Elle est également prestataire de services et accompagne les professionnels dans leur projet d'organisation ou de participation à des événements professionnels locaux ou internationaux. La Société algérienne des foires et exportations est une société publique algérienne, principale organisatrice de salons en Algérie. Elle a également pour mission de promouvoir les produits et les services des producteurs algériens et de leur offrir des outils facilitant l'accès à des marchés extérieurs.K. B.

Bechar Ain Sidi-Othmane fait la joie des jeunes de Béni-Abbes



En cette saison estivale caractérisée par le retour des grandes chaleurs, tout le monde recherche la fraîcheur balnéaire, et la proximité de l'eau. Néanmoins, dans le sud du pays, ce genre d'espaces sont rares, le positionnement géographique n'y aidant pas, on ne peut se rabattre que sur les rares piscines réalisées ça et là. Dans la wilaya de Béchar par exemple, la source de Ain Sidi-Othmane à Béni-Abbes (242 au sud de Bechar), avec sa piscine, est devenue la Mecque des jeunes en mal de dépaysement.Cet espace naturel, très prisé par les jeunes de cette région, située au centre du grand erg occidental, est localisé au milieu de l'une des plus importantes palmeraies du sud-ouest du pays. Il est devenu, avec le temps, un véritable lieu de loisirs et de repos pour les jeunes qui s'y adonnent à la natation durant toute la journée. Cet endroit de rêve est aussi une destination privilégiée des touristes et des familles qui viennent, en cette période estivale, y trouver repos après le coucher de soleil et bénéficier de la fraîcheur des lieux irrigués, depuis des siècles, par la même source à l'origine de la palmeraie de Béni-Abbes. La naissance d'Ain Sidi Othmane a eu lieu, selon différentes sources orales, vers le 6ème siècle de l'hégire. Venu d'Orient, Sidi Othmane campa avec son compagnon, durant trois jours, près de la colline de Hmama, située à proximité de l'actuelle piscine. Il enfonça son bâton dans le sol et ordonna à son compagnon de ne le retirer qu'après sa mort. Son compagnon exécuta le v£u de Sidi Othmane et retira le bâton du sol, laissant, à cet instant, jaillir l'eau qui donna naissance à la source de Beni-Abbes. Elle coule à ce jour. La piscine de Beni-Abbes est alimentée, en été et en hiver, par cette source, dont l'eau est de qualité supérieure, selon les analyses. Elle mérite, estiment des responsables d'associations locales, d'être "réhabilitée et équipée en commodités pour devenir un véritable lieu de villégiature, notamment pour les personnes n'ayant pas les moyens de s'offrir un séjour en bord de mer". "Il serait intéressant de voir des bungalows et autres structures d'accueil réalisés à proximité de cet espace naturel", souligne un membre de l'association El Kheima qui active dans le domaine de la promotion touristique de la région. Ain Sidi-Othmane, contribue aussi, dans une large mesure, à l'alimentation en eau potable des habitants de Beni-Abbes, avec son débit de 33 l/s. Elle passe, de ce fait, pour être "l'une des richesses naturelles de notre commune, qui est disposée a encourager des investisseurs publics ou privés pour la réalisation de projets touristiques en ce lieu féerique", indique un membre de l'APC de Beni-Abbès. R.R.

Marée noire golfe du Mexique espoir



Marée noire: le nouveau dispositif de confinement semble tenir


LA NOUVELLE-ORLEANS (AP) — La vigilance est plus que jamais de mise dans le golfe du Mexique souillé depuis près de trois mois par une gigantesque marée noire, mais le nouvel entonnoir posé sur le puits endommagé semble tenir. Samedi, BP précisait qu'aucun signe de fuite n'était détecté à quelques heures de la fin d'un essai lancé deux jours plus tôt pour vérifier l'efficacité du dispositif de confinement.
"Nous nous sentons plus à l'aise", mais "le test n'est pas fini", a observé Kent Wells, l'un des vice-présidents de BP. Attentifs aux moindres variations de pression, de température et d'autres capteurs, les ingénieurs n'ont décelé aucun élément mettant en évidence un écoulement de brut dans les eaux du golfe ou au fond de l'eau.
Des robots sous-marins patrouillaient également autour du puits, à 1.500m de profondeur, en quête de tout signe anormal, alors que le test de 48 heures devait s'achever aux alentours de 19h30 GMT (21h30 à Paris).
Source d'inquiétude majeure, de nouvelles fuites pourraient aggraver un peu plus la situation. Une rupture de conduits rendrait le contrôle plus difficile et pourrait compromettre le projet destiné à boucher la fuite de façon permanente.
BP et l'amiral des garde-côtes à la retraite Thad Allen, chargé par les autorités du suivi de la catastrophe, ont expliqué qu'ils pourraient décider de rouvrir l'entonnoir, au moins partiellement, après la fin de l'essai, bien qu'on ignore les conditions qui conduiraient à une telle mesure.
BP a fermé les valves de l'entonnoir jeudi, stoppant le flot de pétrole pour la première fois depuis l'explosion du 20 avril de la plate-forme de forage Deepwater Horizon, qui a coûté la vie à 11 ouvriers. Entre 356 et 697 millions de litres de brut, selon les estimations du gouvernement, se sont déversés dans le golfe du Mexique, provoquant la plus importante marée noire de l'histoire des Etats-Unis.
Au bout de 41 heures d'essai, les niveaux de pression augmentaient lentement, d'après Kent Wells. Une pression basse, ou en chute, pourrait indiquer que du pétrole s'échappe à nouveau. Le vice-président de BP a par ailleurs précisé que des bulles observées par vidéo en provenance du puits, étaient courantes sous l'eau, mais que des échantillons seraient prélevés pour s'assurer qu'il ne s'agit pas de gaz s'échappant de la structure.
L'entonnoir, faisant office de bouchon géant, n'est qu'une solution provisoire pour contenir la fuite de pétrole, jusqu'à ce qu'un puits de dérivation soit achevé et que de la boue et du ciment mêlés puissent être injectés dans le puits endommagé afin de le boucher de façon plus sûre.
Les équipes de BP sont actuellement engagées dans le forage de deux puits de dérivation -dont un sert d'option de secours- et pensent pouvoir avoir achevé le premier d'ici fin juillet. La projection de boue et de ciment pourrait ensuite prendre "un certain nombre de jours", voire "quelques semaines", selon M. Wells.
Si l'entonnoir tient, nul ne déclare victoire. Certes, il s'agit d'une bonne nouvelle pour le président Barack Obama, qui passe un week-end prolongé avec son épouse et leurs deux filles dans le Maine, mais le chef de la Maison Blanche a prévenu vendredi que le risque de nouvelles fuites pourrait être "plus catastrophique".
Thad Allen reste quant à lui confiant, tout en appelant à la vigilance.
L'incertitude demeure sur de nombreux points même si l'entonnoir passe le test. Où ira le pétrole qui s'est déjà échappé du puits? Combien de temps faudra-t-il pour nettoyer le littoral? Qu'arrivera-t-il aux pêcheurs de la région? De vastes secteurs côtiers ont été fermés à la pêche et au ramassage de coquillages. Nombre de pêcheurs ont été embauchés par BP pour participer aux travaux de dépollution.
Si la pêche commerciale est encore largement à l'arrêt, la Louisiane a cependant rouvert cette semaine plus de 80% de ses eaux à la pêche de loisir, à la plus grande joie de ses pratiquants. AP
cr/v0/mw

Turquie Mr le Ministre ministre des Affaires étrangères Ahmet Davutoglu, à la croisée de deux mondes



La Turquie peut-elle concilier orientation européenne et activisme dans le monde musulman ? La réponse dépend en grande partie d’un homme : son ministre des Affaires étrangères, un universitaire néo-ottoman à l’influence grandissante.
Adrian Cioroianu
Le pourcentage de Turcs désireux d'adhérer à l'Union européenne est en baisse. C’est dans ce contexte qu’est arrivé, il y a un an, un nouveau ministre des Affaires étrangères, un homme discret : Ahmet Davutoglu, un universitaire de 50 ans devenu diplomate et conseiller en politique étrangère du Premier ministre Recep Tayyip Erdogan.
L’un de ses livres, Stratejik Derinlik [Profondeur stratégique, 2001], très populaire parmi les politiciens et les universitaires turcs - a considérablement augmenté son prestige. L’analyse de Davutoglu reposait sur le respect qu’il nourrit envers le passé impérial de son pays. Il démontrait que ce passé, loin d'être un fardeau pour la Turquie, était un grand avantage pour accroître son importance régionale et mondiale.
Une politique de "zéro problème avec les voisins"
La conception géopolitique de Davutoglu – ce qu’il appelle "la confiance en soi de la nation", et d'autres un néo-ottomanisme - résulte de la révolte d’un intellectuel devenu stratège envers ce qu'il estime être le déclin de son pays au XXe siècle. Dans sa vision, la Turquie devrait profiter de la fin de la guerre froide et de l’opposition Est-Ouest, de son profil culturel et politique – un Etat musulman laïque et démocratique - et surtout de sa position géostratégique unique – un pont entre les mondes occidental et islamique, mais aussi une plaque tournante sur la route des hydrocarbures vers l'Europe.
Ce changement est un message en soi. L'euro-optimiste Ali Babacan [son prédécesseur] a fait place au pragmatique Davutoglu - qui a immédiatement suggéré que la Turquie poursuivrait sa politique traditionnelle de "zéro problème avec les voisins", mais l’actualiserait et la renforcerait dans le sens d’une politique de "coopération maximale avec tous ceux qui sont intéressés".
La Turquie se tourne vers le monde musulman
Au-delà de la rhétorique, il s’agit d’un changement de paradigme : la Turquie, apparemment déçue par les tergiversations de Paris et Berlin sur son intégration dans l'UE – et l’adhésion de Chypre en 2004 - marque son retour vers une politique pluridirectionnelle, de plus en plus attentive au monde musulman voisin (des Balkans au Moyen-Orient, l'ancienne étendue de l'Empire ottoman).
La première réunion du ministre en poste a été symbolique : le 4 mai 2009, il a reçu le vice-ministre des Affaires étrangères de l'Azerbaïdjan. Davutoglu, en accord avec Erdogan, préparait la fin du conflit diplomatique avec l'Arménie. L’attitude sévère à l’égard de l'Etat d'Israël a élargi sa marge de manœuvre dans l'espace musulman. L'activisme d'Ankara s'est également manifesté en Afghanistan et au Pakistan, en Chine ou au Monténégro. Au Liban, en Russie ou en Roumanie, en Irak, en Géorgie, en Iran, en Syrie, le nouveau ministre turc a partout fait la démonstration de son intérêt pour un hinterland turc.
Parmi les 72,5 millions de citoyens de son pays, Ahmet Davutoglu est, pour l’heure, l'un des rares en mesure de dire si l'idée traditionnelle, selon laquelle la préservation de l'orientation laïque et pro-occidentale de la Turquie est compatible avec la nouvelle idée d'accroissement de sa puissance dans la région dans le monde musulman. Ou si, au contraire, ces idées sont destinées à s'annihiler mutuellement. 


Union européenne de radio-télévision UER et EBU.



L’Union européenne de radio-télévision (UER ; en anglais, European Broadcasting Union, EBU) est la plus importante association professionnelle de radiodiffuseurs nationaux dans le monde avec 75 membres actifs dans 56 pays d’Europe, d’Afrique du Nord et du Proche-Orient, et 45 membres associés dans 25 pays d’autres régions du monde.
Fondée en 1950 par les pionniers de la radio et de la télévision en Europe de l'Ouest, elle a fusionné en 1993 avec l’Organisation internationale de radiodiffusion et de télévision (OIRT), l’ancienne union des radiodiffuseurs de l’Europe de l’Est.
Installée à Genève, elle agit pour le compte de ses membres, négocie les droits de diffusion des grands événements sportifs, exploite les réseaux Eurovision et Euroradio.
L’Union organise des échanges de programmes, stimule et coordonne des coproductions, fournit tous les services opérationnels, commerciaux, techniques, juridiques et stratégiques utiles à ses membres. L'UER possède des bureaux à Bruxelles, où elle représente les intérêts des radiodiffuseurs de service public auprès des institutions européennes, à Londres, à Madrid, à Moscou, à Pékin, à Singapour et à Washington.
L'UER propose également des cours de perfectionnement ouverts à ses membres ainsi qu'à tout journaliste souhaitant se former dans un domaine précis. Ils sont proposés à travers la section EBU Training qui aborde des thèmes tels que "Hostile Environment Safety Training", HD, Multimedia, Storytelling, etc.
L’UER collabore étroitement avec les unions sœurs des autres continents que sont l’ABU (Asia Pacific Broadcasting Union), la NABA (North American Broadcasters' Association), l’URTNA (Union des radios et télévisions nationales d’Afrique), l’ASBU (Arab States Broadcasting Union) et l’OTI (Organización de la Televisión Iberoamericana).

programme européen MED-ENEC l’Algérie a réalisé sa première bâtisse d’efficience énergétique


Dans le cadre du programme européen MED-ENEC
Premier logement témoin d’efficience énergétique à Souidania
Avec le programme européen MED-ENEC (Energy Efficiency in the Construction Sector of the Mediterranean), le Centre national d’études et de recherche intégrée du bâtiment algérien (Cnerib) et le Centre de recherche sur les énergies renouvelables (CDER), l’Algérie qui a lancé le Projet d’efficience énergétique dans le secteur de la construction en 2007, a réalisé sa première bâtisse d’efficience énergétique

Il s’agit d’un chalet réalisé à Souidania qui peut atteindre une économie d’énergie de 60%, selon les déclarations de M. Samir Larbi-Youcef, attaché de recherche au CDER, citées par l’APS. Le chalet, un F3, a été construit sur une surface de 84 m2 en brique de terre argile, qui est un matériau peu conducteur de chaleur. Un programme de 600 logements sera prochainement lancé également avec ces techniques qui nécessitent un investissement additionnel entre 10 et 15%. Il faut dire qu’en Algérie, ces nouvelles techniques commencent à peine à être utiliser et prendront du temps avant de se généraliser. Car malgré le fait que le programme MED-ENEC a pour objectif de relancer les mesures relatives à l’efficacité énergétique et à l’utilisation de l’énergie solaire dans le secteur de la construction, en vue de réduire tant les besoins d’approvisionnement en énergie que l’impact toujours plus grand des installations de climatisation sur l’environnement, il n’empêche que les surcoûts qu’il occasionne freinent l’enthousiasme chez la population comme chez les responsables, comme l’a indiqué M. Hamid Afra, le directeur de recherche du Cnerib.
Malgré les avantages, écologique et financier, à moyen et long terme, que présente la construction d’isolation thermique, l’expérience est encore au stade de laboratoire. Hormis le projet des 600 logements, qui sera lancé prochainement dans 11 wilayas du pays (Nord, Hauts Plateaux et Sud), les techniques d’isolation ne semblent pas être encore une priorité dans la politique nationale. M. Arfa estime qu’en Algérie, il a été décidé l’adoption d’une démarche progressive. « Il faut d’abord la mise en place d’un cadre réglementaire, notamment la réglementation thermique des bâtiments en 1999 et passer ensuite à la multiplication de projets-pilotes. Nous allons justement utiliser ce projet pour tenter de convaincre ».
Il semble que ce projet-pilote apporte déjà ses fruits puisqu’il est question de mettre au menu du programme quinquennal 2010-2014 quelque 3 000 autres logements. Ce qui va permettre à un grand nombre d’ingénieurs de se former à ces techniques en plus des quinze qui ont eu la chance d’acquérir de l’expérience en participant au projet de Souidania. Rappelons que le programme MED-ENEC a pour objectif de relancer les mesures relatives à l’efficacité énergétique et à l’utilisation de l’énergie solaire dans le secteur de la construction en vue de réduire la consommation énergétique dans les pays du Bassin méditerranéen.
Jusqu’à l’heure, MED-ENEC assiste dix projets-pilotes dans les pays du sud et de l’est de la Méditerranée, dont celui de l’Algérie. Ces projets sont financés par le budget MEDA, à raison de 4 millions d’euros.
[via] Hasna Yacoub, latribune-online.com
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Algérie: Pour promouvoir l'artisanat et les produits d'art traditionnel à Oran - Expositions et manifestations publiques au niveau des plages


Mohamed Ouanezar
15 Juillet 2010
Pour promouvoir l'artisanat et les produits d'art traditionnel à Oran - Expositions et manifestations publiques au niveau des plages et complexes

Les activités d'artisanat et d'art traditionnel reprennent vie à El Bahia, au cours des dernières années. Au cours de cet été, les estivants et le grand public sont au rendez-vous avec des activités d'envergure, tant en ville qu'au niveau des plages et des stations balnéaires.

Les expositions publiques et autres manifestations de plein air sont devenues légion au cours de ces dernières semaines. Sur les plages du complexe touristique les andalouses, les estivants ont droit à une exposition d'artisanat et des arts traditionnels : une panoplie de produits et d'objets artisanaux de grande valeur esthétique. Bien que relativement chers pour les nationaux, ce qui constitue un frein pour l'activité, les produits exposés connaissent un engouement auprès des estivants. L'exposition comporte la céramique, la vannerie, les bijoux, la poterie, le bronze, la dinanderie, le tapis... En majorité, les émigrés, les touristes nationaux et étrangers sont les plus friands de ces produits sur lesquels ils jettent leur dévolu. Colliers de tous les jours, objets en souvenir, éléments de décoration... chacun y va selon ses goûts, son éducation et sa culture. «Je pense que c'est très important de tenir de pareilles manifestations, pour donner une autre image de notre pays et faire valoir notre patrimoine», notera une émigrée présente sur les lieux. Cette renaissance des arts traditionnels et de l'artisanat algérien intervient à la faveur d'une reprise progressive des activités commerciales et une réorganisation du secteur par l'organisation des professionnels de l'artisanat. Cela après une traversée du désert vécue par les professionnels du secteur qui avaient assisté, impuissants, à un déclin long et inéluctable de leur activité. A Oran, nombre d'activités et de boutiques d'artisanat ont disparu du décor de la ville et des grandes artères et façades commerçantes d'El Bahia.
Cela pour des considérations diverses et assez compliquées que seuls les professionnels pourront disséquer. A la faveur des grandes activités d'envergure nationale et internationale ainsi que l'implantation de nouveaux hôtels relevant des chaînes hôtelières internationales, le secteur a connu une embellie au cours des dernières années

Le 16e Sommet mondial du gaz et du GNL, qui s'est tenu en avril dernier à Oran, a été également une aubaine pour les artisans qui se sont réorganisés au sein d'une maison de l'artisanat aménagée en leur honneur. A Oran ils sont plus de 8 000 artisans à activer sur le territoire de la wilaya depuis quelques années déjà. Parmi ces derniers, on notera la transhumance de certains venus du Grand Sud et d'autres des Hauts Plateaux, notamment des régions de Kabylie et de Ghardaïa pour trouver refuge à Oran.

Afrique: Promouvoir l'emploi des jeunes, un défi majeur pour l'Afrique


United Nations (New York)
Afrique

: Promouvoir l'emploi Alors que se tient jeudi la réunion annuelle du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) en Afrique, l'agence onusienne fait le bilan d'un Programme régional pour la cohésion sociale et l'emploi des jeunes lancé en 2009, pour aider 12 pays d'Afrique subsaharienne à concevoir des politiques macroéconomiques favorisant l'emploi des jeunes, le fruit d'un partenariat qui réunit aussi l'Organisation internationale du Travail (OIT), l'Organisation des Nations Unies pour le développement industriel (ONUDI) et l'Organisation des Nations Unies pour l'Education, les Sciences et la culture (UNESCO).

Ces deux dernières années, les jeunes ont été durement touchés par la crise économique. Selon l'OIT, sur les 211 millions de chômeurs dans le monde en 2009, environ 83 millions, soit près de 40 %, sont âgés de 15 à 24 ans. En Afrique, où les jeunes représentaient déjà 60 % des chômeurs en 2005, l'emploi des nouvelles générations est un défi majeure, tant au plan économique qu'au plan sécuritaire, le manque de moyens de subsistance assurant des conditions de vie décentes étant l'un des facteurs de développement de la violence et de la criminalité organisée.

Le programme régional pour la cohésion sociale et l'emploi des jeunes aide les pays à recueillir de meilleures données sur le travail et l'emploi, à concevoir des politiques susceptibles d'encourager la création d'emplois et d'entreprises, à appuyer l'éducation, la formation professionnelle et la création durable d'entreprises et à établir une plate-forme de dialogue social avec les syndicats du travail, les employeurs et les organisations de jeunes afin de promouvoir la cohésion sociale.
Sur le terrain, le personnel du programme oeuvre avec les instances gouvernementales, les organisations non gouvernementales, le secteur privé et les organisations de jeunesse pour promouvoir l'emploi des jeunes et y accorder une place prioritaire dans les stratégies nationales et régionales, de manière à contribuer directement à l'accélération de la croissance nationale

Par exemple, au Sénégal grâce aux efforts de sensibilisation déployés par le programme le gouvernement a inclus l'emploi et la formation professionnelle des jeunes dans sa politique nationale de l'emploi pour 2010-2015. Au Cap-Vert, 292 jeunes bénéficieront d'une formation aux technologies de l'information et de la radiodiffusion.
En Guinée, grâce au programme, six institutions de microfinance octroient actuellement leur appui à 500 projets d'entreprises de jeunes. En Guinée-Bissau, un partenariat a été établi avec la Banque Ouest-africaine pour gérer 300.000 dollars afin de financer des projets d'entreprises de jeunes.
Doté d'un budget de 17 millions de dollars, le programme est mis en oeuvre au Cap-Vert, en Côte d'Ivoire, en Gambie, en Guinée, en Guinée-Bissau, au Kenya, au Libéria, au Lesotho, au Malawi, au Mozambique, au Sénégal et en Sierra Leone.

Aide humanitaire : Bruxelles au secours des populations affamées d'Ethiopie



Aide humanitaire : Bruxelles au secours des populations affamées d'Ethiopie
[Fenêtre sur l'Europe]
La Commission européenne vient d'adopter des mesures d'aide d'un montant de 15 millions € pour faire face à l'état de sécurité alimentaire critique en Éthiopie où, selon les estimations, 5,2 millions de personnes auront besoin d'une aide alimentaire cette année.
Les fonds de la Commission serviront pour l'essentiel à fournir une assistance alimentaire appropriée aux populations sinistrées en assurant notamment une aide alimentaire et nutritionnelle, ainsi qu’une sécurité alimentaire à court terme. Une aide sera également apportée aux secteurs de l'agriculture et de l'élevage, afin de préserver les moyens de subsistance et d'améliorer la sécurité alimentaire. Cette nouvelle décision de financement répondra également aux nombreux besoins dans les secteurs de la santé, de l'eau et de l'assainissement afin d'éviter les risques sanitaires tels que les flambées récurrentes de choléra et les épidémies de méningite.Pour plus d'informations :http://ec.europa.eu/echo/index_fr.htm

Pour aider les Européens, l'UE lance son portail "e-justice"



Fenêtre sur l'Europe]
Citoyens européens, entrepreneurs ou professionnels du droit à la recherche d’informations juridiques dans d’autres pays de l’UE peuvent désormais consulter le site https://e-justice.europa.eu/.
Lancé par la Commission, le Conseil des ministres de la Justice et des eurodéputés, le 16 juillet à Bruxelles, ce portail de quelque 12 000 pages doit répondre rapidement aux questions les plus précises et aider les Européens à faire valoir leurs droits au niveau de l'UE

Une belle victoire pour le Président Barack Obama


La réforme de Wall Street bien accueillie par la presse américaine .La réforme bancaire et financière adoptée le 15 juillet par le Congrès des Etats-Unis fait la "une" de la presse américaine, qui souligne une grande victoire législative. "Le Sénat vote une réforme radicale de la régulation financière", rapporte le Los Angeles Times. "Une victoire majeure", après celle de l'assurance-santé en mars dernier, ajoute le journal."Obama fait voter l'ordre du jour malgré les risques politiques", applaudit le New York Times, qui félicite le président pour son courage. "Si le vote de la réforme de la régulation financière prouve une chose à propos du président Obama, c'est ça : il sait comment faire passer de grands projets de lois malgré un Congrès rebuté." Le texte a été voté à 60 voix contre 39.
"LA PLUS AMBITIEUSE RÉGULATION FINANCIÈRE DEPUIS 1930"
Le journal poursuit, toujours enthousiaste : "Durant les dix-huit derniers mois, Barack Obama et le Congrès démocrate ont réalisé des avancées considérables en faisant voter ce qui pourrait être l'ordre du jour le plus ambitieux depuis des décennies."
USA Today accueille lui aussi le projet de loi comme "la plus ambitieuse régulation financière depuis 1930", avant de détailler les nouveautés mises en place. Le Washington Post parle d'une "nouvelle ère de la régulation financière". Un blogueur sur le site du Time, s'enflamme : "Ce n'est que le commencement", promet-il. "Quand Obama aura promulgué la loi la semaine prochaine, la réforme financière rejoindra la réforme de l'assurance-santé et le plan de relance au rang des grandes initiatives démocrates votées par le Congrès."
Le New York Times nuance quelque peu la victoire en rappelant la situation morose du pays dans laquelle s'inscrit le vote : "Alors qu'il [Barack Obama, ndlr] gagne au Congrès, il perd des soutiens parmi ses électeurs dans un contexte économique perturbé, et il pourrait être forcé de revoir ses ambitions à la baisse." Entre le taux de chômage qui flirte avec les 10 % et les critiques sur la gestion de la marée noire dans le golfe du Mexique, la popularité du président est en berne dans les sondages.
LA PRESSE CONSERVATRICE NUANCE LE SUCCÈS
Seule la presse conservatrice réserve un accueil plutôt froid à la nouvelle législation. Une chroniqueuse du Wall Street Journal raille l'enthousiasme de ces journaux : "La presse acclame une nouvelle grande victoire de Barack Obama, l'une de ces victoires qui autorise le président à se vanter de respecter son ordre du jour et offre aux démocrates une 'réforme' sur laquelle surfer jusqu'aux élections de mi-mandat", écrit Kimberley Strassel.
"Cette loi est chargée d'incertitudes et regorge de régulations coûteuses pour les petites entreprises", accuse la chroniqueuse, qui doute de l'accueil réservé par les Américains à la nouvelle législation. "La question n'est plus de savoir si la Maison Blanche sait conclure une vente. Son problème est que le pays n'aime pas ce qu'elle vend", affirme-t-elle.
Même son de cloche sur le site de la chaîne conservatrice Fox News pour qui "la loi n'apporte pas de remède rapide" mais livre seulement "des ordonnances aux instances de régulation". L'article détaille les faiblesses du texte de 390 000 mots ("la moitié de la bible du roi James"), avant de conclure que "l'impact concret ne se fera sentir que dans plusieurs années".
Marianne Rigaux