阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

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指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Monday, September 20, 2010

La France déclare son soutien à l'adhésion de l'Algérie à l'OMC



La secrétaire d'Etat française chargée du Commerce extérieur, Mme Anne-Marie Idrac, en visite de deux jours à Alger, a exprimé dimanche sa disponibilité à soutenir le processus d'adhésion de l'Algérie à l'Organisation Mondiale de Commerce (OMC), a rapporté l'agence de presse algérienne APS.
"Même si ces négociations sont regardées de l'autre côté de la méditerranée par la Commission européenne, je serai attentive à ce que le prochain round soit positivement regardé" par les négociateurs, a-t-elle déclaré lors d'une réunion de travail avec le ministre algérien du Commerce Mustapha Benbada.

Ce dernier a réitéré, à cette occasion, "l'appel de l'Algérie à un soutien de l'UE, et en particulier de la France, pour une accession rapide à l'OMC", a indiqué l'APS.

"L'adhésion à l'OMC c'est l'engagement dans un système libéralisé des échanges et je salue l'Algérie qui s'est engagée depuis des années dans ce processus", a dit Mme Idrac, rappelant que l'Algérie était un "partenaire économique incontournable" de la France.

Mme Idrac s'est félicitée de "voir les investissements directs français en Algérie croître même dans des secteurs hors- hydrocarbures", pour atteindre, a-t-elle soutenu, 2,7 milliards de dollars en 2009, ce qui assure quelque 40 000 emplois.

Pour mieux encadrer la coopération économique bilatérale, un forum d'affaires algéro-français aura lieu l'année prochaine qui verra aussi, selon la ministre, l'activation de la Chambre algéro- française de commerce et de l'industrie.

Mme Idrac est accompagnée d'une importante délégation économique composée du président de la Chambre de commerce et d'industrie de Paris, d'un représentant du Medef (patronat français), et des responsables des sociétés Total, Lafarge, saint Gobain, Cristal union, Sanofi-Aventis et Alstom.

M. Benbada a souligné la nécessité "d'asseoir les conditions d'un partenariat fécond et mutuellement avantageux entre les hommes d'affaires des deux pays".

La France est le premier fournisseur de l'Algérie avec une part de marché annuelle moyenne de plus de 20%.

Les importations algériennes de France ont augmenté de plus de 238% entre 2002 et 2009, passant de 2,6 milliards de dollars à près de 6,2 milliards de dollars, selon les chiffres fournis par le ministère algérien du Commerce.

Au cours des dix dernières années, les échanges entre les deux pays ont presque doublé, passant de près de 5 milliards de dollars en 2002 à 10 milliards de dollars en 2009, soit le tiers des échanges entre l'Algérie et l'UE

L’Algérie a évoqué Desertec dès 1993



Le projet Desertec de production d’énergie solaire dans le Sahara pour son exporation à l’Europe a été évoqué par l’Algérie dès 1993 selon le PDG de Sonelgaz.
mercredi 15 septembre 2010.
Le PDG de Sonelgaz Noureddine Boutarfa a rappelé au panel d’experts à l’occasion d’une conférence à Montreal, que Desertec avait été évoqué par l’Algérie en 1993 à Tunis, lors de la conférence sur le développement et le fonctionnement des grands réseaux interconnectés, organisée par l’ancienne UNIPED, a rapporté l’APS. L’Algérie avait alors présenté un projet futuriste de production dans le Sahara algérien de 100 GW en énergie solaire, qu’elle a encore évoqué une autre fois lors de la réunion interministérielle sur les interconnexions Maghreb-Europe tenue à Alger en septembre 1995 et qui a regroupé les ministres chargés de l’Energie d’Algérie, d’Espagne, du Maroc, de Tunisie, de Libye et d’Egypte.

« L’Afrique, dont les idées sont souvent reprises par d’autres, ne doit pas rater le train de la transition en maîtrisant la technologie nécessaire à l’utilisation de ses potentialités énergétiques, notamment celles des énergies renouvelables », a-t-il soutenu. M. Boutarfa a précisé que ce projet, dont le coût pourrait s’élever à 500 milliards de dollars, vise à la fois à répondre en grande partie aux besoins des pays d’Afrique du Nord et du Moyen- Orient et à fournir dans un premier temps 15 % de l’électricité nécessaire à l’Europe. Un tel projet devrait pouvoir fournir avant 2050 plus de 50 % des besoins en électricité de l’Afrique du Nord, de l’Europe et du Moyen-Orient.

Synthèse de Mourad, www.algerie-dz.com
D’après le Jeune Indépendant

L’UE s’est engagée à soutenir l’Algérie dans le cadre de ses réformes notamment économiques et institutionnelles.



Le programme d’appui à la mise en œuvre de l’accord d’association (P3A) entre l’Algérie et l’Union européenne va bientôt passer à la vitesse supérieure pour toucher le volet politique, selon les déclarations des responsables de l’Unité de gestion de ce programme (UGP), dont son directeur, Aïssa Zelmati, qui s’est exprimé hier en marge d’une formation organisée au profit des journalistes. En fait, l’Union européenne a décidé dans sa politique de voisinage d’assister techniquement les institutions des pays sud de la Méditerranée en mettant à leur disposition des instruments qui consistent à faire venir des experts dans des domaines bien ciblés pour faire profiter l’institution demandeuse de l’expérience d’un pays membre de l’UE. Jusque-là concentré sur les jumelages et les TAIEX qui consistent à transmettre une assistance technique à une institution pendant une certaine période, il est question aujourd’hui de passer à l’adoption d’une autre étape qui est SIGMA.

Avec ce nouvel instrument, l’Union européenne pourra assister les institutions algériennes qui le souhaitent même dans leurs démarches de réformes sectorielles, ce qui lui procure donc un cachet politique. Les responsables du P3A reconnaissent toutefois que ce volet est plus compliqué dans la mesure où il touche un aspect plus élaboré mais aussi du fait que l’instrument Sigma ne se fait pas seulement entre l’UE et le pays bénéficiaire, mais il y a également l’Organisation de Coopération et de Développement économique (OCDE) qui rentre en jeu. Sans donner de précisions sur la date de son lancement ni le montant qui lui sera alloué, les chargés de sa mise en application ont estimé que le Sigma sera une continuité pour Taiex et les jumelages qui ont bénéficié d’enveloppes de 10 millions d’euros dans le cadre du P3A 1 et de 24 millions d’euros dans le P3A 2, lesquels ont remplacé le MEDA.

Synthèse de Mourad, www.algerie-dz.com
D’après le Jour d’Algérie

La France veut développer son commerce avec l’Algérie



Anne-Marie Idrac effectue une visite à Alger pour relancer les échanges commerciaux entre la France et l’Algérie qui ont connu une baisse en 2009.
lundi 20 septembre 2010.
Les échanges commerciaux entre la France et l’Algérie ont atteint 7,75 milliards d’euros en 2009, en recul de près de 3 milliards par rapport à 2008. La Secrétaire d’Etat française chargée du Commerce extérieur, Anne-Marie Idrac, est depuis hier à Alger pour une visite de deux jours. Une visite qui permettra à l’émissaire de Nicolas Sarkozy de discuter « du renforcement de la coopération économique franco-algérienne ». Une coopération qui a connu un recul depuis une année, puisque les échanges entre les deux pays ont atteint 7,75 milliards d’euros en 2009, en recul de près de 3 milliards par rapport à 2008. Ce recul serait en relation avec la position de la France par rapport aux mesures prises dans le cadre de la LFC 2009, la complexité des relations entre les deux pays avec les différents dossiers en suspens, à l’instar de l’attitude « négative » des entreprises françaises en Algérie, la circulation des personnes, la prise en charge des victimes des essais nucléaires français en Algérie, l’affaire des moines de Tibhirine et autres.

Cependant, en dehors du lourd héritage historique entre les deux pays, l’actuel président français, Nicolas Sarkozy tient « à la place privilégiée de la France dans le marché algérien », une place qui est désormais menacée par l’ouverture de l’économie algérienne sur de nouveaux partenaires, notamment européens, asiatiques et américains. D’ailleurs, le déplacement de la Secrétaire d’Etat française chargée du Commerce extérieur, Anne-Marie Idrac, intervient en plein défilé des délégations économiques étrangères, conduites par des officiels, comme c’était le cas cette semaine des Allemands, des Brésiliens, en plus de la visite d’une délégation très importante d’une cinquantaine d’hommes d’affaires américains attendus pour le 25 du mois en cours. Ce climat de concurrence « vive » a l’air d’inquiéter Paris, d’où la désignation de l’ex-Premier ministre Jean-Pierre Raffarin par M. Sarkozy comme « le sauveur » des relations économiques entre la France et l’Algérie pour « faciliter et développer les investissements bilatéraux ».

Synthèse de Mourad, www.algerie-dz.com
D’après le Jour d’Algérie

Le Président Bouteflika préside une réunion d'évaluation du secteur de la pêche et des ressources halieutiques


Une flottille de 5.000 unités pour 80.000 marins à l’horizon 2014.

Dans le cadre des auditions annuelles qu'il dirige sur les activités des différents départements ministériels, M. Abdelaziz Bouteflika, Président de la République, a présidé le 7 septembre 2010 une réunion restreinte d'évaluation consacrée au secteur de la pêche et des ressources halieutiques.

A cette occasion, le ministre de la Pêche et des Ressources halieutiques a présenté un bilan d'activités du secteur et dressé les perspectives de développement à l'horizon 2014.
En termes de bilan, le secteur a enregistré les résultats suivants :

- la réalisation de quinze nouveaux ports et abris de pêche, l'aménagement et l'extension de huit autres, le lancement de onze études pour la réalisation de nouveaux ports et l'optimisation des infrastructures existantes.

Cet effort de développement s'est traduit par le doublement du nombre de postes d'accostage existants et des surfaces de réception des équipements de soutien à la production à terre. Il a été, également, enregistré :

- l'accroissement de 80% de la flotte de pêche par rapport à l'année 2000, atteignant plus de 4.500 unités à fin 2009, avec le doublement de la population maritime à hauteur de 64.200 marins à fin 2009.
- un taux de croissance global de la production halieutique de plus de 45%, par rapport à l'année 2000, atteignant une moyenne annuelle de 145.000 tonnes/an durant ces cinq dernières années.
- l'élaboration de la cartographie des principales zones de pêche et de distribution des potentialités halieutiques nationales, en plus de la réalisation d'une campagne d'évaluation du corail ainsi que la cartographie de ses principaux gisements.
- la mise aux normes du dispositif réglementaire national régissant le contrôle sanitaire des produits halieutiques.
- la progression de la formation, dont les effectifs ont atteint en 2009, plus de 3.000 étudiants.
- le renforcement de la recherche appliquée avec la création de 4 divisions de recherche, la mise en place de 9 équipes de recherche travaillant sur 9 projets de développement sectoriel ainsi que la création de 5 stations d'expérimentation régionales.

Pour ce qui est du soutien de l'Etat au développement de l'aquaculture, il a été procédé à la réalisation de cinq structures d'aquaculture à des fins de vulgarisation et de démonstration (quatre fermes pilotes et un centre de pêche continentale dans les eaux de barrage), ainsi qu'à la réception et la mise en exploitation de deux écloseries mobiles de production d'alevins de poissons d'eau douce.
L'Etat a subventionné 582 projets de développement de l'investissement privé, dont 524 sont opérationnels.
Par ailleurs, et, concernant les perspectives du développement du prochain plan quinquennal, il est attendu à l'horizon 2014, une évolution significative de la flottille de pêche, qui atteindra 5.000 unités, un accroissement de la production à hauteur de 180.000 tonnes/an et une évolution de la population maritime qui atteindra plus de 80.000 marins pêcheurs.
APS

Les instructions du Président
Intervenant à l'issue de la présentation du bilan d'activité du secteur, le Président de la République a relevé "l'importance des efforts déployés pour la promotion de la ressource humaine et le développement des capacités de l'activité halieutique qui se sont traduits par un accroissement significatif de la production durant les cinq dernières années".
"L'Etat poursuivra son soutien en faveur de l'investissement productif et l'amélioration du réseau des infrastructures et installations dédié à la pêche et à l'aquaculture", a conclu le Chef de l'Etat.o

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Les dons de la mer
Le secteur de la pêche est sur le plan économique reconnu pour son attractivité éligible à la promotion des exportations hors hydrocarbures. Certains pays en tirent pour cela des ressources financières substantielles. L’Algérie s’inscrit, bien entendu, dans cette perspective qui justifie l’octroi d’enveloppes budgétaires conséquentes. L’Etat a, par exemple, subventionné 582 projets de développement en faveur du privé national, dont 524 sont aujourd’hui opérationnels.
En termes d’infrastructures, on note, selon les indications fournies lors de l’audition, la réalisation de 15 nouveaux ports et abris de pêche, l’extension de 8 autres, le lancement d’études pour la réalisation d’autres unités. La flotte de pêche s’est accrue de 80%, la production a augmenté de 45% par rapport à l’année 2000.
L’effort en faveur du secteur a consisté dans le développement de l’agriculture. Deux points importants méritent aussi d’être soulevés : la formation dont les effectifs atteignant en 2009 plus de 3.000 étudiants, la recherche appliquée qui a été renforcée. Les perspectives quinquennales à l’horizon 2014, vont à l’évolution de la flottille de pêche qui devra à cette date atteindre 5.000 unités, un accroissement de la production, dont l’estimation prévisionnelle évoque le chiffre de 180.000 t/an et une évolution de la population maritime qui atteindra plus de 80.000 marins pêcheurs. L’évolution est significative, même si on n’explique pas comment elle reste potentiellement en dehors des possibilités dont est doté le secteur et surtout que le prix du poisson reste en dehors des possibilités des ménages. Les efforts consentis doivent assurément aller dans le sens d’une plus grande accessibilité de cette ressource, et pourquoi pas développer et aller à l’exonération. L’Etat, relève le Président de la République, continuera son soutien en faveur de l’investissement et l’amélioration infrastructurelle. L’aquaculture constitue une grande opportunité qui est intégrée aujourd’hui dans tous les programmes de développement dédiés au secteur. Ce qui est à retenir aussi, c’est l’effort de modernisation qui est entrepris et la formation. C’est un secteur qui a décidé de jouer à fond la carte des ressources humaines pour assurer son propre plan d’expansion. C’est un atout non négligeable dans un domaine, celui de la pêche, qui a connu des évolutions importantes ces vingt dernières années.
L’Algérie, en dépit des retards pris, veut installer la pêche dans le sens des nouvelles réalités. C’est pour cela que le programme tracé, tel qu’il a été décliné par le premier responsable du secteur, affecte les créneaux les plus utiles pour une plus grande attractivité, cela étant, le gouvernement continue à porter une attention particulière à la pêche traditionnelle qui fait encore vivre des milliers de familles. Là aussi, des projets leur sont destinés.
Tahar Mohamed Al Anouar

Rien ne va plus entre la France et le Luxembourg



Les relations entre la France et le Luxembourg connaissent actuellement une série d'accès de fièvre rares entre deux pays qui partagent une même frontière et ont une langue commune, auxquels le Premier ministre français a tenté lundi de mettre un terme avec des excuses exprimées à son homologue.
Dernier épisode en date, des propos fort peu diplomatiques d'un sénateur de la majorité présidentielle française, Philippe Marini, assurant que le Luxembourg n'aurait pas dû exister. "J'aurais préféré qu'en 1867 Napoléon III et Bismarck aient un entretien qui débouche autrement et que le Luxembourg n'existe pas", a-t-il dit à une radio française.
Le Premier ministre français, François Fillon, a téléphoné à son homologue luxembourgeois Jean-Claude Juncker "pour s'excuser", a révélé lundi le ministre des Affaires étrangères du Grand Duché, Jean Asselborn. La démarche de Matignon s'est ajoutée à des propos du Quai d'Orsay qui a fait part de sa "surprise" après les propos du sénateur et fait valoir que rien ne saurait remettre en cause "l'amitié et la coopération étroite" entre les deux pays.
Dans la soirée, Philippe Marini a cherché à minimiser la portée de ces propos, assurant qu'ils avaient été "sortis de leur contexte" et qu'on leur avait donné "une ampleur excessive".
La charge du sénateur, qualifiée de "nulle" par Jean Asselborn, est à relier aux propos peu amènes échangés ici et là sur la politique française en matière d'expulsions de Roms. La commissaire européenne chargée de la Justice, la Luxembourgeoise Viviane Reding, a vivement critiqué cette politique, allant jusqu'à faire un parallèle avec la deuxième guerre mondiale.
Elle s'est attirée en retour de vifs reproches des autorités françaises, le président français Nicolas Sarkozy lui suggérant d'accueillir dans son pays des Roms, selon des parlementaires français.
Depuis les relations entre les deux pays vont de mal en pis.
Une députée française, également du parti présidentiel UMP, Chantal Brunel, a ainsi souligné à la radio belge RTBF que la France n'avait "pas de leçons de morale à recevoir d’une commissaire qui représente un petit pays de 350.000 habitants".
Pour Jean-Dominique Giuliani de la Fondation Robert Schuman, un centre de recherche sur l'Europe, "on ne peut pas parler de crise entre les deux pays". "Ce sont des dérapages verbaux regrettables qui n'engagent pas la politique de la France". "Cela me paraît devoir faire pschitt assez rapidement".
Au Luxembourg, où le combat français contre les paradis fiscaux est encore dans les mémoires, ces dérapages sont pourtant très mal vécus. Jean-Claude Juncker, dont la candidature à la présidence de l'UE avait été contrecarrée par la France, a jugé "pas convenables" les déclarations attribuées à Nicolas Sarkozy.
Il s'en est pris aussi à des propos de son secrétaire d'Etat aux Affaires européennes, Pierre Lellouche, qui avait critiqué le ton de Mme Reding. "Je n'accepte pas les propos de certains ministres français qui nous expliquent qu'un commissaire venant d'un petit Etat membre n'a aucun droit de faire la leçon à un grand Etat membre", a ainsi souligné le Premier ministre luxembourgeois.
La mise en cause par Paris du Luxembourg pour des propos tenus par la commissaire européenne est plutôt surprenante. Membre de l'Union européenne, de l'Otan, le Luxembourg est une voix dans le concert des nations sur laquelle la France s'est souvent appuyée dans le passé.
S'en prendre aux Luxembourgeois après les déclarations de Mme Reding équivaut à "un contre-sens absolu" en raison de l'indépendance des commissaires avec leur pays d'origine, dénonce Sylvie Goulard du Mouvement européen, une association militant pour la construction européenne. "Utiliser la taille du pays est aussi particulièrement choquant", juge-t-elle, en espérant que les excuses françaises permettent de "fermer la page" de la brouille.

ACCESSION A L’OMC la France veut appuyer l’Algérie



Paris veut être plus rapide que Bruxelles dans l’appui de l’accession de l’Algérie à l’Organisation mondiale du commerce (OMC). En visite de deux jours à Alger, Mme Anne-Marie Idrac, secrétaire d'Etat française chargée du Commerce extérieur, a laissé entendre, dimanche 19 septembre, que son pays entend voir autrement les négociations entamées depuis plusieurs années avec l’ex-GATT. « Je serai attentive à ce que le prochain round soit positivement regardé », a-t-elle déclaré, sans fournir d’autres précisions.

Habituellement, les négociations d’accession à l’OMC sont pilotées par la Commission européenne au nom des Etats membres surtout sur les questions pointues liées à l’agriculture et aux services. L’Algérie a déjà accusé Bruxelles de retarder son accession. « L’Union européenne n’a pas respecté ses engagements, écrits pourtant noir sur blanc dans l’accord. Elle s’est engagée à aider l’Algérie à adhérer à l’OMC, elle ne l’a pas fait. Plus grave encore, l’essentiel des problèmes qui se dressent dans le processus de négociation avec l’OMC proviennent de ceux qui sont censés être nos meilleurs partenaires », avait déclaré El Hachemi Djaâboub, ex-ministre du commerce, au début de l'année 2010.

Son successeur, Mustapha Benbada, a soutenu que l’Algérie souhaite « un soutien particulier » de la France pour accélérer les négociations. Il n’a pas expliqué d’où vient « la particularité » de cet appui. Le onzième round des négociations avec l’OMC devrait commencer les prochains mois. Aucune date n’a encore été retenue ni à Alger ni à Genève.

« Lors du dixième round, le comité technique a été instruit par le secrétariat permanent de l’OMC de commencer la rédaction du rapport d’accession de l’Algérie. C’est un signe très important », a déclaré récemment dans un entretien au quotidien Horizons, Mustapha Benbada. Selon lui, le nombre de questions posées à l’Algérie lors des négociations a sensiblement baissé. « De 325, leur nombre est passé à 96. Nous avons répondu à toutes ces questions et maintenant on attend la programmation du 11e round. On est en train de défendre les intérêts de notre pays. Politiquement parlant, on doit intégrer l’OMC, seulement, il ne faut pas diaboliser cette question », a-t-il ajouté.

le Dr Smail Mimoune ministre du Tourisme et de l'Artisanat en Chine pour promouvoir la destination Algérie


Dans le cadre de la participation de l'Algérie à l'exposion universelle de Shanghai (Chine), le Dr Smail Mimoune ministre du Tourisme et de l'Artisanat, présidera la cérémonie officielle d'ouverture des journées promotionnelles du tourisme et des, voyages au pavillon algérien du 18 au 22 septembre 2010. Outre des invités officiels et des personnalités leaders d'opinion représentatives du milieu politique économique médiatique et artistique, prendront part également à cette cérémonie les opérateurs du tourisme chinois et Algériens ainsi que les medias grand public et spécialisés dans le tourisme, les voyages et les loisirs.
Cette cérémonie sera ponctuée par une rencontre de mise en relations d'affaires entre les opérateurs algériens et leurs homologues chinois. Le ministre rencontrera à cette occasion le commissaire général de l’exposion universelle de Shanghai et rendra visite a des pavillons de pays amis de l'Algérie.
Enfin, durant la semaine du tourisme et des voyages, les operateurs et les organismes de promotion et de voyages (Office national du tourisme (ONT), la compagnie Air Algérie ...) , développeront des activités de promotion de communication et de relations publiques de proximité en vue de la valorisation, auprès des visiteurs du pavillon algérien, du potentiel et des atouts de la destination Algérie.

M. Halim Ben Attallah ouvre le dialogue avec les associations algériennes à l’étranger



Il prospecte la situation des lieux de culte et de la communauté


Le secrétaire d’Etat chargé de la communauté nationale à l’étranger, M. Halim Ben Attallah, a ouvert les portes de concertation avec les associations algériennes à l’étranger. M. Ben Attallah a reçu, jeudi passé, une délégation de la fédération européenne des associations algériennes.
Le représentant du gouvernement a préféré écouter au lieu de se prononcer sur les propositions portant le rôle des algériens dans les pays occidentaux.
M. Noureddine Belmeddah, président de la fédération européenne des associations algériennes, a indiqué que Ben Attallah voulait, par sa rencontre avec les représentants de la communauté algérienne à l’étranger, ouvrir les portes de dialogue avec les associations algériennes ayant un impact à l’étranger.
Dans le même sillage, il est prévu que Ben Attallah se rende, au courant de cette semaine, en Suisse où il rencontrera des associations algériennes activant dans ce pays.
M. Belmeddah a déclaré que la fédération a proposé l’encadrement des mosquées en Europe par des imams algériens, comme c’est le cas en France. Elle a, notamment, proposé dépêcher des enseignants algériens dans certains pays européens, qui souffrent de manque d’enseignants algériens, notamment en Espagne. Il semble, dans ce cadre, que plusieurs pays européens cherchent des alternatives aux lieux de culte, dont les statistiques montrent qu’ils son, en majorité, sous emprise maghrébine.
Il a, enfin, estimé que le secrétaire d’Etat chargé de la communauté algérienne à l’étranger est conscient de ces problèmes et qu’il a des alternatives permettant à la communauté algérienne en Europe de jouer son rôle.

la coopération spatiale UE-Afrique



Espace : De nouveaux progrès dans le coopération spatiale UE-Afrique
[Fenêtre sur l'Europe]

Antonio Tajani, vice-président de la Commission européenne, a eu le 15 septembre un entretien avec Jean-Pierre Ezin, commissaire de la Commission de l'Union africaine, sur la manière dont les applications spatiales peuvent contribuer de manière significative à faire face à un grand nombre des défis permanents auxquels est confronté le continent africain.


A cet égard, l'observation de la Terre développée conjointement dans le cadre de l' «initiative GMES1 Afrique» joue un rôle crucial. Ce plan d'action fait partie du partenariat stratégique UE-Afrique et vise à garantir que les donnéees d'observation de la Terre seront disponibles pour satisfaire les besoins des utilisateurs africains dans des domaines tels que le changement climatique, la gestion des ressources en eau et la sécurité alimentaire.

Dans une déclaration conjointe, le vice-président Tajani et le commissaire Ezin ont exprimé leur satisfaction au sujet de la coopération en cours entre l'UE et l'Afrique visant à garantir l'utilisation la plus efficace d'applications spatiales qui répondent aux besoins des utilisateurs africains. Le vice-président Tajani s'est réjoui que le sommet UE-Afrique de la fin novembre 2010 sera en mesure d'adopter le plan d'action GMES pour poursuivre ces initiatives.

Pour plus d'informations:


http://www.africa-eu-partnership.org/partnerships/science-information-society-and-space

http://www.satellite-navigation.eu/