阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

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指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Friday, October 15, 2010

L’Algérie a de remarquables atouts touristiques


L’Algérie a de remarquables atouts touristiques, selon le journal « The Guardian Uk »

L’Algérie a de remarquables atouts touristiques qui lui permettront de sortir de l’ombre et de devenir une grande destination touristique dans la région, a indiqué le quotidien britannique The Guardian dans une page magazine consacrée récemment au tourisme.

« Avec sa porte sur le désert, ses vastes montagnes et ses cotes classées parmi les belles au monde, l’AlgérieW peut vite devenir une destination touristique importante », a écrit l’envoyé spécial en Algérie du Guardian Horacio Clare. « Ce pays aux mille facettes possède une lumière jamais vue ailleurs », poursuit encore le reporter du Guardian qui s’étonne que l’Algérie, un territoire immense et riche, située à trois heures de vol de Londres, soit si peu visitée. « Dans le temps, les Britanniques adoraient passer l’hiver en Algérie pour profiter du climat doux de la Méditerranée », a rappelé The Guardian. Le journaliste britannique, subjugué par la beauté du pays, a souligné les potentialités de l’Algérie, notamment le désert sauvage, des paysages paradisiaques dans le nord, « comme les régions de TipazaW et de la KabylieW au printemps ».


Concernant la capitale, The Guardian relève que « la Dame blanche peut devenir la San Francisco de la région avec des sites touristiques très beaux et une population hospitalière et particulièrement attachante ». Alger séduit, notamment, par « les bougainvilliers couleur pourpre, les senteurs de mimosas, d’épices et de café et également les ruelles étroites qui serpentent les collines au dessus de la mer », a écrit The Guardian qui décrit une ville riche avec ses palais ottomans, chefs d’œuvres d’architecture, le monument de la Grande Poste, Notre dame d’Afrique, le port et les nombreux restaurants mitoyens ou « l’on déguste les brochettes d’agneau les plus savoureuses au monde ». Le journal a consacré une bonne place à la Casbah d’Alger où « les cafetiers racontent comment les habitants ont survécu aux parachutistes français ».

Concernant l’aspect sécuritaire, le reporter du Guardian a considéré que « l’Algérie est une place aussi sure que partout ailleurs ». « J’ai eu le plaisir de découvrir un monde réel qui va au-delà des guides touristiques », a-t-il ajouté, incitant les Britanniques à se rendre en Algérie. Le Guardian s’est félicité de la présence de nombreuses agences de voyages de renom qui proposent aujourd’hui la destination Algérie, « une grande destination touristique qui a simplement besoin d’être connue et appréciée à sa juste valeur », a conclu le quotidien.

Une petite vidéo montrant le grand projet à venir dans les années qui viennent, mais quand :

Algerie prochaine création d’un Comité national de lutte contre la cécité évitable


Poste par Sat
Un Comité national de lutte contre la cécité évitable va être créé en novembre prochain en vue de planifier et de coordonner les activités du programme de lutte contre cette pathologie, a annoncé jeudi à Alger, le ministre de la Santé, de la population et de la réforme hospitalière, M. Djamel Ould Abbes.

Dans une allocution à l’occasion de la célébration de la Journée mondiale de la vue, placée cette année sous le thème « Compte à rebours jusqu’en 2020″, M. Ould Abbes a souligné que son département a décidé de « faire de la promotion de la santé oculaire une partie intégrante des services de santé de base par le développement de l’éducation sanitaire et le dépistage précoce de ces pathologies ».

A l’instar de tous les pays, l’Algérie a souscrit à l’Initiative mondiale vision 2020 « Droit à la vue » par la signature de la Déclaration mondiale de

soutien en octobre 2009, « qui nous engage tous à lutter contre la cécité évitable en vue de son élimination d’ici à 2020 d’une part, et d’autre part à consacrer davantage le droit à la vue pour tous », a-t-il indiqué.

Le ministre a précisé que « ceci est d’autant plus important que cette initiative s’inscrit dans le cadre des Objectifs du millénaire pour le développement », et cette manifestation doit en outre permettre d’évaluer les actions entreprises par l’Algérie « pour être au rendez-vous des objectifs de la lutte contre la cécité évitable » et d’ »évaluer le parcours effectué dans le cadre de la politique de santé oculaire mise en place depuis l’indépendance ».

L’évolution de l’espérance de vie en l’Algérie, « qui est passée de moins de 47 ans à 76,5 ans en 2010, semble expliquer la fréquence de certaines affections cécitantes comme la cataracte, le glaucome, la rétinopathie diabétique, la dégénérescence maculaire qui surviennent, en règle, à partir de l’âge de 40 ans », a expliqué M. Ould Abbes.

- M. Ould Abbes a indiqué à cet égard que « cette situation du fait de la transition épidémiologique nous interpelle sur le nécessaire renforcement des actions de préventions des facteurs de risques des maladies non transmissibles tels que le diabète, l’hypertension et le tabagisme ».

Evoquant le relèvement du niveau de la santé oculaire, le ministre a précisé que le pays s’est appuyé notamment sur « le renforcement en infrastructure d’ophtalmologie, en équipement qui a fait l’objet de 3 milliards de dinars en 2007, et en ressources humaines ».

M. Ould Abbes a ajouté que ces efforts dans le domaine de la santé oculaire qui « sont appelés à se poursuivre nous permettent d’intégrer l’initiative vision 2020″ d’autant que son ministère vient de réaliser une enquête nationale sur les maladies oculaires cécitantes qui permet aujourd’hui de disposer d’indicateurs fiables pour l’élaboration du programme national de lutte contre la cécité évitable, dont le plan directeur 2011-2014 qui doit être finalisé avant fin 2010.

La Journée mondiale de la vue a pour objectif de renforcer le plaidoyer en faveur de la prévention et la prise en charge des pathologies oculaires cécitantes.

L’initiative mondiale « vision 2020 – le droit à la vue » lancée par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) depuis 1999 et à laquelle l’Algérie a souscrit « vise à mieux consacrer le droit à la vue et à éliminer les principales causes de la cécité évitable d’ici l’an 2020″.

Rachid Benaïssa étudie plusieurs propositions : Des opérateurs étrangers pour développer la culture du maïs en Algérie



Poste par Sat

Le ministère de l’Agriculture et du Développement rural est en négociation avancée avec plusieurs firmes étrangères pour le développement de la culture du maïs en Algérie, a appris «Algérie-Focus.Com» de source ministérielle. Il s’agit, plus exactement, d’investisseurs et d’exploitants agricoles venus de France, du Canada, d’Italie, d’Espagne, du Qatar et d’Arabie Saoudite.

Ces opérateurs ont affiché, selon notre source, un fort intérêt pour l’exploitation des terres agricoles algériennes pour développer la culture du maïs et sa commercialisation par la suite. La nouvelle Loi d’orientation agricole permet aux propriétaires algériens de terres agricoles de s’associer à des partenaires étrangers dans le but d’accéder aux ressources financières ou au savoir-faire.

C’est dans cet esprit que les opérateurs étrangers intéressés devront s’associer avec des Algériens pour pénétrer le marché local. «Plusieurs propositions d’affaire sont sur le bureau du ministre Rachid Benaïssa. L’Algérie ne serait pas hostile à une telle démarche dans le but d’améliorer ses récoltes en maïs et réduire ainsi le montant de la facture d’importation de cette denrée», conclut notre source.

Algérie: Un séminaire pour promouvoir l’entreprenariat féminin



Il est attendu la participation d’un nombre important de compétences féminines, des femmes entrepreneurs, des associations professionnelles, des bureaux de conseils activant dans les domaines de l’économie, des Finances et des affaires.
La journée aura comme objectifs, selon les organisateurs, de définir le rôle de la femme dans l’entrepreneuriat, de faire connaître les opportunités et les défis, de développer les capacités d’innovation de l’entrepreneuriat féminin et de renforcer le développement de bureaux d’études spécifiques pour les femmes en entreprises.

Cet événement constitue une opportunité pour mettre en évidence les différents obstacles que rencontrent les femmes entrepreneurs.

source: Le financier

Blida: Nouara Djaffar rencontre des femmes du monde rural


A l’approche de la célébration de la Journée mondiale de la femme rurale, qui sera placée cette année sous le thème : «Construisons un avenir durable pour la femme rurale», Mme Nouara Djaffar, ministre déléguée auprès du ministre de la Solidarité et de la Famille chargée de la famille et de la condition féminine, s’est rendue, dimanche, à Blida où elle a rencontré des femmes qui se sont investies dans le secteur agricole.

Les autorités de la wilaya de Blida lui ont organisé des rencontres avec des femmes qui ont pris goût au travail agricole en milieu rural. A Guerrouaou, localité située à quelques kilomètres du chef-lieu de la wilaya, elle a rendu visite à une femme qui s’est investie dans l’élevage de bovins. Cette mère de famille n’a pas manqué de souligner à la ministre l’amour qu’elle voue à son activité en dépit, dira-t-elle, de l’absence de moyens et de toute aide de l’Etat.

Cette révélation a fait réagir la ministre qui a relevé un manque d’informations sur le fonctionnement des dispositifs mis en place par le gouvernement, en particulier dans le cadre du développement de l’agriculture. Tout en poursuivant sa visite en compagnie du secrétaire général de la wilaya et du président de l’APW, Mme Nouara Djaffar s’est intéressée au travail d’une famille qui s’est consacrée à l’élevage bovin, à Halouya, et d’une apicultrice de Boufarik, avant de visiter une exposition de travaux manuels présentée au niveau de la salle omnisports.

Saisissant cette occasion, Mme Nouara Djaffar a rappelé l’effort engagé par l’Etat en faveur de la femme rurale. Tout en rendant hommage aux familles qu’elle venait de rencontrer, la ministre a mis en relief le programme de son département en collaboration avec, notamment, le ministère de l’Agriculture concernant le volet de la femme rurale. Au regard des statistiques dans le secteur agricole, 44% sont constitués de la main-d’œuvre féminine, sans compter d’autres créneaux où la femme est également partie prenante.

A cet effet, la ministre a insisté sur la sensibilisation des femmes sur les différents dispositifs mis en place par l’Etat. Elle a annoncé l’organisation en mars prochain d’une importante rencontre sur les possibilités à mettre en place en faveur de la femme. «Sur les 22.640 exploitations recensées à travers le pays, 794 femmes sont partie prenante mais leur rôle n’apparaît pas», dira-t-elle, en soulignant que plus de 6 mille femmes sont adhérentes au niveau des chambres de l’agriculture.

source: Midi libre

Festival Algérien de poésie féminine: Opportunité d’échange et de découverte



Le festival national de poésie féminine de Constantine constitue une précieuse opportunité d’échange et de découverte, ont souligné mardi la majorité des participantes à la 3e édition de cette manifestation qui se poursuit depuis dimanche dernier
Des poétesses confirmées à l’instar des Algériennes Zineb Laouedj ou Ammaria Bilel ou de la Syrienne Mounete Azzedine El Kheir, ont estimé que ce genre de manifestation constitue un espace d’expression pour les femmes qui se lancent dans l’écriture poétique car, ont-elles estimé, la femme, même écrivaine, se sent « plus à l’aise pour s’exprimer dans un espace organisé par les femmes et pour les femmes ».

Outre cet aspect, ce festival qui figure parmi les rares manifestations du genre à laisser des traces écrites, rend de précieux services aux poétesses qui n’ont pas eu encore l’occasion de se faire éditer, en publiant des échantillons de leurs textes dans les publications accompagnant chaque édition de la manifestation.

APS

Remède de grand mère: Quatre recettes de masques à l’huile d’olive «fait maison»




Incontournable en diététique, l’huile d’olive est également un élément très bénéfique dans les soins de la peau au quotidien. Si vous êtes à la recherche de nouvelles idées pour vos soins de peau au naturel, aujourd’hui nous allons aborder différents masques à l’huile d’olive, selon votre type de peau.
Propriété :
L’huile d’olive contient de nombreux actifs comme la vitamine E, ainsi que l’acide oléique. Notons au passage que la feuille d’olivier, utilisée surtout pour les soins du contour de l’oeil et la réduction des poches sous les yeux, contient des flavonoïdes antioxydant et des actifs antiseptiques et diurétiques. Comme quoi, tout est bon dans l’olivier!
La vitamine E présente dans l’huile d’olive protège vos cellules épidermiques des radicaux libres, et soigne efficacement les peaux endommagées.

Soins de la peau :
Parfaitement adaptée pour les peaux sèches de même que pour les peaux sensibles, l’huile d’olive adoucit et hydrate. Son effet anti âge prévient l’apparition des rides et des petites ridules. Si vous n’êtes pas encore sûre de savoir comment employer l’huile d’olive dans vos soins naturels fait maison, voici quelques recettes faciles de masques faciaux:

Pour les peaux normales:
Mélangez une c. à café de lait caillé écrémé à de l’huile d’olive vierge extra. Ajoutez une demi c. à café de jus de persil au mélange. Mélanger bien les ingrédients.
Appliquez le masque sur votre visage et laissez le reposer 15 à 20 minutes, puis rincez à l’eau chaude.
Ce masque facial particulier adoucit et nourrit votre peau.

Masque pour les peaux sensibles
Les ingrédients sont: un quart de banane bien fraîche, une c. à café d’huile d’olive, et une c. de jus de concombre fraîchement écrasé.
Ecrasez finement la banane et incorporez y l’huile d’olive et le jus de concombre. Gardez le mélange sur votre visage pendant 30 minutes puis rincez abondamment à l’eau froide.

Les peaux grasses :
Préparez une c. à café de chacun de ces ingrédients: farine d’avoine, huile d’olive et lait caillé (un peu acide). Mélangez bien ces ingrédients et ajoutez y un peu de sel de table puis remuez délicatement.
Appliquez le masque sur votre visage et laissez le reposer durant 20 minutes. Rincez abondamment à l’eau chaude.

source: Midi libre

L’Algérie offre de grandes potentialités en matière d’énergies renouvelables


Salon international des énergies renouvelables, Conférence de la Commissaire du Salon, Mlle El Zahra Ferhat, hier au forum d’El Moudjahid

Quelque 15.000 visiteurs et 50 exposants sont attendus au Salon international des énergies renouvelables, des énergies propres et du développement durable (ERA 2010), prévu à Tamanrasset du 19 au 21 octobre, ont indiqué hier, à Alger ses organisateurs.
Organisé par la société Myriade communication et placé sous le haut patronage du président de la République, ce Salon professionnel regroupera, sur une surface d’exposition de 3.000 m2, différentes filières tels l’énergie solaire, l’éolien, la géothermie, l’hydraulique, la biomasse, l’éco-construction et la maîtrise d’énergie, a souligné la commissaire générale du Salon Mlle El Zahra Farhat.
La première journée de la rencontre, verra l’organisation, en parallèle des expositions, d’une conférence sur la thématique "énergie et environnement", alors que la conférence de la deuxième journée sera consacrée aux thèmes de "l’agriculture et le développement durable" et "les villes durables", tandis que les intervenants durant le dernier jour se pencheront sur les thèmes "eau et développement durable" et "entreprises et développement durable".
Le choix de la ville de Tamanrasset (2.000 km au sud d’Alger), explique Mlle Farhat, n’est pas fortuit puisque elle constitue l’une des villes les plus ensoleillées du monde, avec une durée d’ensoleillement d’environ 3.500 heures/an.
Huit villages de la wilaya, caractérisés par leur isolement, ont bénéficié, dans le cadre du programme spécial de développement des wilayas du Sud, d’une installation d’électrification via le photovoltaïque et les énergies renouvelables, raccordant 555 foyers, a-t-elle rappelé.
La capitale du Hoggar ambitionne ainsi de devenir le nouveau lieu d’échanges des professionnels des énergies renouvelables, de la maîtrise de l’énergie, de l’éco-construction et du développement durable, a-t-elle ajouté.

Les organisateurs du Salon international des Energies renouvelables, énergies propres et développement durable (Tamanrasset du 19 au 21 octobre 2010) ont été présents hier au Centre d’El Moudjahid, dans le cadre d’une conférence de presse. L’objectif poursuivi était d’informer les médias sur les modalités de tenue de cette importante manifestation. Assurer notre avenir et préparer notre devenir, est la devise que les organisateurs ont sélectionnée pour ce Salon. Celui-ci est organisé par Myriade Communication dont les représentants étaient présents au Centre de presse d’El Moudjahid.
Mlle Ferhat El Zahra, commissaire du Salon, a exposé ce qui était attendu de cette manifestation conçue, disait-elle, comme un lieu de rencontres qui a un caractère professionnel avéré. Les énergies renouvelables constituent un marché en pleine expansion. Toutes les filières seront à l’honneur, a annoncé la commissaire : solaire, éolien, bois, énergie, géothermie, hydraulique, biomasse, écoconstruction, maîtrise d’énergie, etc. Ce salon vise à faire partager les expériences en matière d’énergies renouvelables. Il s’agit d’un Salon professionnel mais qui restera accessible au grand public durant toute la durée de l’événement.
Selon les organisateurs, une cinquantaine d’exposants internationaux et nationaux seront présents, et un large parterre d’experts, car attenant au Salon, il y aura un cycle de conférences qui est prévu assuré par des spécialistes sur la problématique arrêtée pour le Salon. Sécurité énergétique, changement climatique, l’industrie des énergies renouvelables en Algérie, la place de Sonatrach dans le cadre de cette industrie, les expériences réalisées au Sahara avec le solaire et le biogaz. Il s’agit de thèmes tous en rapport avec des perspectives de développement clairement affirmées aujourd’hui dans notre pays et à l’extérieur de celui-ci.
Le choix de Tamanrasset est expliqué par les organisateurs par une série de caractéristiques que présente la région. Elle peut, expliquent-ils, devenir la ville référence auprès des professionnels internationaux des énergies alternatives et du développement durable en Algérie, au Maghreb et en Afrique plus globalement. L’Algérie avec une durée d’ensoleillement d’environ 3 500 h/an se place indéniablement parmi les pays de grandes potentialités dans le domaine des énergies renouvelables. C’est fort de cet argument, que s’est imposée la tenue de ce Salon, placé sous le haut patronage du Président de la République.
La tenue de ce Salon s’inscrit selon les organisateurs dans la nouvelle vision économique et sociale générée aujourd’hui à travers le monde par l’intérêt porté aux énergies renouvelables et les questions si essentielles liées au développement durable.
T. M. A.

Bâtiment : l’Algérie se penche sur l’efficacité énergétique



Par la rédaction - 13.10.10 - France BTP
L’Algérie veut combler son retard en matière d’efficacité énergétique dans le bâtiment. Dans cette optique, 600 logements à haute performance énergétique seront construits dans le pays d’ici la fin de l’année, et 3000 de plus entre 2010 et 2014.

Le directeur général de l’agence pour la promotion et la rationalisation de l’utilisation de l’énergie (APRUE), Abdelkrim Chenak a confirmé l’intérêt tout particulier porté par l’Algérie sur le bâtiment qui est "un secteur énergivore [consommant] 40% de l’ensemble de l’énergie nationale". Pour adjoindre le geste à la parole, l’agence promet de financer 80% des surcoûts liés à l’intégration du matériel et des équipements de construction économe en énergie.

Algérie: Vers des audits énergétiques dans les secteurs de l’industrie



Algérie – L’Agence nationale pour la promotion et la rationalisation de l’utilisation de l’énergie (APRUE) a présenté jeudi, en marge du 1er Salon international des énergies renouvelables, un projet de réalisation d’audits énergétiques baptisé « Top-Industrie » au profit des entreprises industrielles

Ce projet pilote, porte sur « le soutien technique et financier »aux entreprises opérant dans le secteur industriel « grand consommateur d’énergie », en vue d’ »identifier les gisements d’économie d’énergie et de proposer des actions appropriées de maîtrise de consommation de ressources », a expliqué M. Issiakhem Mourad, chef de département Industrie à l’APRUE, lors d’une journée technique sur ce thème.

APS

IANOR, 1er organisme certificateur algérien des systèmes de management



Algérie – L’Institut algérien de la normalisation (IANOR) clôturera le processus de certification des systèmes de management de 4 entreprises nationales avant la fin de l’année, devenant ainsi le 1er organisme certificateur algérien, a indiqué jeudi le directeur général de l’institut, Mohamed Aissaoui.
M. Aissaoui a expliqué lors d’un point de presse organisé à l’occasion de la Journée mondiale de la normalisation, célébrée le 14 octobre de chaque année, que l’IANOR, qui jusqu’à présent ne s’occupait que de la certification des produits, a réussi à mener à bien le processus de certification de « système de management qualité » de quatre entreprises algériennes dont trois privées.

« Cette opération permet à l’institut d’adhérer au club des organismes internationaux de certification de + système de management qualité + et de devenir ainsi le premier du genre en Algérie » a-t-il ajouté.

APS

L'Humain a consommé une planète et demie en 2007





Le WWF a publié mercredi l'édition 2010 du Rapport Planète Vivante (Living Planet Report – LPR) qui selon l'ONG de protection de la nature et de l'environnement, "amène des conclusions pessimistes".
Ainsi, on apprend que la biodiversité est toujours en déclin, en particulier dans les zones tropicales et les habitats d'eau douce, soit une baisse générale de 30% depuis 1970. De l'autre côté, l'empreinte écologique la plus élevée - on s'en doutait - se trouve dans les pays à haut revenus, elle est en moyenne 5 fois supérieure à celle des pays à faibles revenus.

"Le rythme de perte de la biodiversité est le plus alarmant dans les pays à bas revenus et souvent situés en zone tropicale alors que les pays développés vivent dans un paradis factice, alimenté par une consommation excessive et des émissions de carbones élevées" explique Jim Leape, Directeur Général du WWF International,

Ainsi, les dix pays à la plus forte Empreinte Ecologique par individu sont :

- les Emirats Arabes Unis,
- le Quatar,
- le Danemark,
- la Belgique,
- les Etats-Unis,
- l'Estonie,
- le Canada,
- l'Australie,
- le Koweit,
- l'Irlande.

A partir des données de 2007 exploitées et analysées dans le rapport 2010, il apparaît que l'Empreinte Ecologique de la Terre a dépassé sa biocapacité de 50%, "un dérèglement causé, entre autres, par la surpêche et la sur-pollution qui entraîne le changement climatique".

Au cours des années ‘70, l'humanité dans son ensemble a dépassé le point où l'Empreinte écologique annuelle était égale à la biocapacité annuelle de la Terre – ce qui signifie que l'homme a commencé à consommer les ressources renouvelables plus rapidement que les écosystèmes ne pouvaient les régénérer, et à produire plus de CO2 que les écosystèmes ne pouvaient en absorber. Cette situation porte le nom de « dépassement écologique » (overshoot en anglais), elle s'est poursuivie depuis.

L'Empreinte écologique (qui représente la demande en ressources) et la biocapacité (qui représente les ressources disponibles) sont exprimées en unités appelées hectares globaux (hag), 1 hag représentant la capacité de production d'1 hectare de terre avec une productivité mondiale moyenne.




La dernière Empreinte écologique montre que cette tendance est constante. En 2007, l'empreinte de l'humanité atteignait 18 milliards d'hag, soit 2,7 hag par personne, alors que la biocapacité de la terre n'était que de 11,9 milliards d'hag, ou 1,8 hag par personne, soit une surexploitation écologique de 50 %. Cela signifie qu'il faudrait un an et demi à la terre pour régénérer les ressources renouvelables consommées par l'homme en 2007 et absorber le CO2 produit. En d'autres mots, l'homme a utilisé l'équivalent d'une planète et demie en 2007 pour répondre aux besoins de ses activités.



Le LPR annonce aussi que 71 pays font actuellement face à une situation de stress hydrique sur les ressources en eau dite « bleue ». En 2025, on estime qu'environ les deux-tiers de la population mondiale, 5,5 milliards de personnes, vivront dans des régions soumises à des stress hydriques modérés à sévères et par conséquent, sans cet accès indispensable à l'eau potable, la terre, la nourriture adéquate, l'énergie et les matériaux, les individus les plus vulnérables ne pourront sortir du piège de la pauvreté et prospérer.

Face à ces prévisions alarmistes, le WWF demande d'urgence à ce que les actions suivantes soient entreprises :

•Augmenter la proportion d'Aires Protégées à 15 % de l'ensemble des régions écologiques
•Aider à la gestion durable des forêts
•Arrêter la sur-consommation d'eau et la fragmentation des écosystèmes d'eau douce.
•Eliminer la sur-pêche et les pratiques de pêche destructives.
•Investir dans la biocapacité.
•Valoriser la biodiversité et les services rendus par les écosystèmes.
•Résoudre les dilemmes entre l'alimentation et l'énergie, créés notamment par les agrocarburants.
•Prêter attention aux problèmes soulevés par l'allocation des terres et la planification de l'usage de terres.
•Partager les ressources naturelles limitées.


*LPR : Rapport, qui a été produit en collaboration avec la Société Zoologique de Londres et le Réseau Empreinte Ecologique Globale (Global Footprint), relie l'Indice Planète Vivante à l'Empreinte écologique et à l'Empreinte Eau.

TNA : ouverture du 2e Festival international du théâtre d’Alger


Un programme très étoffé en perspective


Ce ne sont pas moins de dix-huit troupes nationales et internationales qui viendront présenter leurs toutes dernières productions. Lors d’une conférence de presse, tenue, au niveau du Théâtre national d’Alger, le commissaire du festival, M. Brahim Noual a estimé que cette année, il a été accordé une grande place à la formation. «L'activité théâtrale est une activité cognitive, pédagogique et didactique. Les ateliers permettront d’offrir aux stagiaires des formations complémentaires dans plusieurs filières du 4e art et même la critique théâtrale», expliquera le conférencier. Ainsi, les organisateurs ont arrêté un des programmes des plus intéressants dont, entre autres, six ateliers, dont trois de doctorat, un d'écriture dramatique, un de critique et un de technicien de scène et des journées d'étude s'articulant autour de trois axes, à savoir : «Le chant épique et la poésie narrative d'Homère, de l'imzad, du blues... au slam», «Corps, mémoires et récits : quels espaces scéniques et dramaturgiques ?» et «Le théâtre et histoire de vie». Abordant la problématique du conte, M. Brahim Noual confiera : «Nous allons tenter de créer une jonction entre les arts de la parole et le théâtre. C’est une idée stratégique qui vise à promouvoir le théâtre et le conte en tant qu’élément majeur du patrimoine universel.» Le volet littéraire ne sera pas en reste. En effet, un programme littéraire est justement prévu en marge du festival, sous les titres : «Le roman s'invite au festival», «La poésie s'invite au festival» et «Le théâtre et la presse écrite», ainsi que des rencontres intitulées «Les arts de la parole» au niveau du Musée de la miniature, de l'enluminure et de la calligraphie, des maisons de jeunes de Bab Ezzouar et Staouéli et sur l'esplanade du Théâtre national. Le conférencier indiquera que le travail entre les créateurs et les universitaires doit être complémentaire. Les amateurs du quatrième art pourront assister à une moyenne de vingt pièces de théâtres nationales et étrangères. Parmi les pays participant citons la Palestine, l’Irak, Oman, l’Argentine, le Japon, la Grande-Bretagne et le Sénégal.
Le programme prévoit, également, un hommage qui sera rendu à plusieurs personnalités du théâtre tels que le metteur en scène Hadj Smaïn, au comédien et acteur Abdelkrim Habib, au comédien syrien Ghassam Messaoud et à Kamel Mustapha Kamel Bacha, directeur artistique du Théâtre national palestinien.
Lamia S.

Madame Cheikha Rimitti Youtube


Né en Algérie à Tessala (village situé près de Sidi Bel-Abbès, en Oranie) le 8 mai 1923[1], Cheikha Rimitti est l'une des chanteuses Algériennes les plus appréciées du Maghreb.

Comme pour Cheikh Hamada, il serait simpliste de dire qu'elle est une chanteuse de raï. De tradition paysanne, Saïda a baigné dans le chant rural. Orpheline très jeune, élevée par des "patrons" qu'elle a quittés à l'adolescence pour suivre une troupe de musiciens nomades, la jeune Saïda connaît la misère avant de se lancer dans la chanson dans les années 1940, à Relizane, Oran et Alger.

Après l'indépendance, ses chansons lui valent d'être censurée par certains politiques algériens. Rimitti provoqua à la fois en effet le gouvernement censeur et l' Islam strict. Chantant l'amour, la femme, l'alcool, les corps emmêlés, la liberté, le féminisme… et présidant des fêtes arrosées, elle a très vite été ignorée par l'Algérie officielle.

Elle s'attire une réputation sulfureuse dès son premier succès, en 1954, avec "Charrak gatta", dans lequel certains voient une attaque contre le tabou de la virginité. Elle gagne son surnom dans les bars où elle ordonnait au patron de lui remettre un verre ou d'offrir la tournée aux clients : "Remettez, remettez !" (une tournée) : "rimitti", avec l'accent.

Cheikha Rimitti arrive à Paris en 1979, où elle anime les soirées dans des cafés communautaires. Bien que mise à l'écart par les siens, elle devient peu à peu l'ambassadrice internationale, paradoxalement, du raï; alors qu'elle ne supportait tous "ces jeunots tricheurs", comme elle le disait elle même.. Elle atteint même un nouveau public à la fin des années 1990 composé d'algériens de France, leurs enfants et même des européens et des spécialistes ès musique.

Certains diront qu'elle a été mal managée ces dix dernières années puisque son agent refusait, sans qu'elle le sache, des concerts internationaux, demandant "pour elle" des cachets astronomiques. Un concert Place de la République à Paris, notamment.

Cheikha Rimitti sort un dernier album, "N'ta Goudami" (littéralement, "toi,devant moi").

Cheikha Rimitti s'est éteinte le 15 mai 2006, deux jours après son concert au Zénith (Paris) où elle chantait avec les "chebs", notamment Khaled. Avec son humour légendaire, elle disait qu'elle comptait bien les remettre à leur place.

La gestion intelligente des grands réseaux électriques soulignée à Batna



Portail Algérien des ÉNERGIES RENOUVELABLES
Les participants à la 6e conférence internationale sur le génie électrique, clôturée mercredi à l’université Hadj-Lakhdar de Batna, ont souligné le "caractère impératif" d’une gestion intelligente et rationnelle des grands réseaux électriques..

C’est d’autant plus important, ont-ils souligné, que cela permettra un service de meilleure qualité, une réduction des coûts et une économie d’énergie sur une vaste échelle. Les communications présentées lors de cette rencontre scientifique qui a réuni des chercheurs nationaux et étrangers, venus du Maroc, de Syrie, de Tunisie, de France et des Etats-Unis, ont souligné l’importance de l’encouragement des recherches orientées vers ce thème, "de sorte à suivre les développements scientifiques en cours"..

S’agissant des énergies renouvelables, les participants ont plaidé en faveur du développement des recherches et des utilisations pratiques des énergies propres pour atteindre le niveau scientifique des autres pays. La rencontre a également abordé les nanotechnologies qui représentent un important axe de recherches, "exclusivement menées dans les pays avancés" ainsi que leurs multiples applications dans les domaines médical et industriel. Organisé par le département de génie électrique, en collaboration avec les laboratoires des électroniques avancées, d’électrotechnique et des systèmes magnétiques, cette conférence s’est déroulée essentiellement sous forme d’ateliers consacrés aux plus récentes recherches opérées dans les domaines des moteurs électriques, des réseaux électriques, du contrôle des systèmes électriques, des électroniques des forces, des matériaux électriques, des énergies renouvelables et des nanotechnologies..

Directeur d’un centre de recherche en électricité et énergies avancées à la West Virginia University (USA), le professeur algérien Ali Feliachi a souligné l’importance de ces rencontres pour la dynamisation des activités des laboratoires de recherche dans les universités algériennes..

Dans une déclaration à l’APS, cet universitaire a également fait part de sa disponibilité à contribuer aux efforts de recherche scientifique en Algérie pour développer, notamment, les techniques rationnelles d’utilisation de l’énergie et de gestion des réseaux et des systèmes électriques. Le Pr. Feliachi a souligné que les industriels et les utilisateurs de l’énergie, notamment électrique, doivent définir avec précision leurs problèmes pour que le chercheur puisse disposer de l’ensemble des éléments lui permettant de les solutionner. "Tisser des liens de communication entre les laboratoires de recherche et le secteur industriel est un facteur vital pour faire avancer la recherche et motiver les chercheurs", a affirmé en substance cet universitaire..

Pour le président du comité scientifique de cette conférence, le Dr. Bachir Belhadi, cette manifestation "a atteint son but en réunissant le plus grand nombre de chercheurs et de sommités scientifiques en matière de génie électrique..

Les expériences pratiques exposées par les participants étrangers ont constitué "une contribution importante" dans la mesure où leurs travaux, exigeant des équipements hautement coûteux, sont hors de portée des laboratoires nationaux, a affirmé Nassima Derbouk qui prépare un doctorat sur les matériaux électroniques à l’université de Batna..

APS.
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Algerie un système pout fiabiliser les procédures de certifications des exportations de produits animaux vers l'Union européenne



TRACES
Le ministère de l'agriculture et du Développement rural a accueilli du 12 au 13 octobre 2010 une formation de la direction générale de la santé et des consommateurs (DG SANCO) de la commission européenne (CE), destinée à former les utilisateurs potentiels des services vétérinaires de l'Etat à l'utilisation de Traces, le système de traçabilité des produits alimentaires d'origine animale de l'Union européenne. Traces est un système de gouvernement électronique utilisé par tous les pays de l'Union européenne dans le cadre de la protection sanitaire. Ce réseau informatique intègre tous les acteurs, les opérateurs privés comme les autorités compétentes, qui interviennent dans les échanges commerciaux des animaux vivants et des produits d'origine animale. Il couvre les échanges intracommunautaires ainsi que le contrôle des importations au sein de l'UE. Il permet la production des certificats sanitaires et des documents de contrôle sanitaire exigés à la frontière, tout en assurant la traçabilité des mouvements de marchandises par leur notification aux autorités compétentes. Traces est également ouvert aux partenaires commerciaux de l'union européenne en leur permettant de produire tous les certificats sanitaires exigés dans le cadre de leurs exportations.
Ce système contribue à faciliter les exportations en mettant à disposition les versions actualisées des certificats ainsi que leurs traductions dans toutes les langues officielles de l'UE. L'interconnexion entre les certificats et les documents de contrôle sanitaire de l'UE accélère les procédures administratives à la frontière et autorise la réception, par les autorités de certification du pays tiers, de la décision détaillée du contrôle faite par le poste d'inspection frontalier de l'UE. Le niveau de sécurité de Traces garantit la totale confidentialité des informations échangées. Cette initiative fait suite à la demande exprimée début mars par la direction des services vétérinaires du ministère de l'Agriculture et du développement rural. En effet, depuis 2007, le système Traces est ouvert aux pays qui font la demande de la rejoindre. La formation à l'utilisation de Traces devrait contribuer à alléger les difficultés liées aux formalités sanitaires pour l'entrée des produits algériens sur le marché de l'UE. Cette formation, d'une durée de 2 jours permettra de former une vingtaine de personnes à l'utilisation du système et d'initier la démarche d'association de l'Algérie à la communauté des pays utilisateurs du système. Elle s'inscrit dans le développement du système Traces en dehors des frontières de l'UE ?. le programme de cette formation se concentre pour l'essentiel sur l'utilisation du module " exportation " du système. Cette démarche a été initiée en 2007. Actuellement, plusieurs pays tiers ou territoire d'Outre Mer utilisent Traces notamment la Croatie, la Bosnie Herzégovine, le Maroc, Maurice, le Mexique, le Sénégal, ainsi que Mayotte, la Polynésie française et la Nouvelle Célédonie.

R.A.

Aviculture vers la création de clubs professionnels


Le secrétaire général de l'association professionnelle d'élevage avicole, Saada Bendenia a indiqué, mardi, à Oran, au cours d'une conférence de presse animée en marge du 2e salon international d'élevage avicole et caprin que des clubs professionnels de différentes filières d'aviculture seront prochainement créés. Et d'ajouter que la création de ces clubs permettra d'organiser les activités de l'élevage avicole, ovin, bovin et caprin et autres filières qui connaissent un problème d'organisation pouvant affecter leur productivité et la production attendue. Ces instances permettront selon lui de créer "un espace interprofessionnel structuré" pour l'échange, le contact et la communication entre les éleveurs, les producteurs d'aliment de bétail et les différents opérateurs activant dans les différentes spécialités d'élevage. Le même responsable ajoutera que cette démarche facilitera les opérations de soutien et d'accompagnement et les différents dispositifs destinés en faveur des éleveurs, et ce, à travers l'encadrement et l'orientation du ministère de tutelle, qui a décrété récemment une série de mesures visant à organiser les professionnels afin d'atteindre les objectifs escomptés. L'intervenant s'est félicité de l'enveloppe financière d'environ 24 milliards de dinars accordée par l'Etat à la formation et à l'accompagnement des cadres et opérateurs dans le domaine de l'élevage animalier, dans le cadre du plan quinquennal de développement, en estimant que cette dotation constitue un encouragement aux éleveurs pour organiser rapidement leurs activités professionnelles, à travers l'adhésion dans ces clubs. Le secrétaire général de cette association a appelé à activer les mesures de soutien en faveur des maquignons et des éleveurs d'ovins et à créer davantage de centres d'insémination artificielle dans les différentes régions du pays, notamment dans les zones steppiques. Notons que plus de 80 opérateurs prennent part au 2e salon international de l'élevage avicole et caprin au palais des expositions à haï "Medina Jdida" d'Oran. Cette manifestation, organisée jusqu'au 14 octobre par l'association professionnelle de production animalière, l'association algérienne des vétérinaires et le groupe avicole de l'ouest, est marquée par la participation de 70 opérateurs du pays et 12 autres de Tunisie, Maroc, Espagne, France, Italie, Pays-Bas et Argentine. Cette 2e édition du salon enregistre la présence d'aviculteurs, d'éleveurs de caprins, de vétérinaires, de représentants d'entreprises vétérinaires, d'experts et de techniciens spécialisés dans le domaine de la production animalière, en plus de représentants de centres de formation, d'associations professionnelles d'élevage et d'opérateurs activant dans le domaine de l'aliment de bétail. A noter que cette manifestation économique a été inaugurée par une rencontre technique animée par des experts en sciences vétérinaires et en aviculture, en présence de représentants d'associations internationales activant dans ce domaine. Le programme du salon comporte, outre l'exposition, la tenue de tables rondes pour débattre des préoccupations professionnelles qui touchent ce domaine, considéré parmi les filières agricoles sur lesquelles s'articule le plan de développement agricole et rural du pays, a-t-on souligné. Les organisateurs estiment que cette manifestation est "une occasion pour échanger les idées et points de vues sur les perspectives d'organiser les domaines avicole et caprin, afin d'augmenter la production nationale notamment en matière de viandes blanches, de réaliser une autosuffisance alimentaire en ce produit, de stabiliser leur prix et d'augmenter la production d'œufs et du lait. Selon la même source, l'association des deux activités avicole et caprine dans un même salon est due à la similitude des préoccupations rencontrées dans ces milieux professionnels, notamment en ce qui concerne la nature des difficultés entravant leur développement. L'Algérie produit, chaque année, environ 400.000 tonnes de viandes blanches, en plus de cinq milliards d'unités d'œufs, comme l'a affirmé l'association professionnelle de production animalière.
Synthèse D.T.