阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门
指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

retrouver ce média sur www.ina.fr

commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Sunday, July 31, 2011

Algerie le droit boursier existe 2011


Dans le cadre de la mise en oeuvre de la reforme du marché financier en Algérie et de la relance de la bourse d’Alger, faut-il rappeler qu’une convention de financement de la première phase de cette reforme a été signée le 12 Mai dernier entre le gouvernement algérien et le PNUD. L’autorité du marché financier en Algérie appelée « commission d’organisation et de surveillance des opérations de bourse  » (COSOB), a été désignée comme agence de réalisation de la première phase de la réforme du marché financier. Le président de la Commission (COSOB) M Ismail Noureddine, qui est désigné en tant que directeur national du projet, nous a accordé un entretien en marge de l’entrée en bourse d’Alger d’Alliance Assurances. Il y a lieu de signaller que le PNUD s’ est engagé à soutenir et à accompagner les autorités et les acteurs du marché financier en Algérie, à travers une unité de gestion de projet qui regroupera des experts internationaux et nationaux, des autorités et des acteurs de la place pendant une durée de 10 mois . Et ce dans le cadre de la relance de la bourse d’Alger dont le président de la COSOB approfondit dans cet entretien certaines questions inhérentes notamment au développement du marché financier et l’emprunt obligataire. Il a également insisté sur les nouveaux axes de la reforme qui sera incessamment lancée dans le cadre d’ouverture d’un débat national sur le système financier algérien…Le Maghreb : Qu’en est-il de l`entrée e des entreprises à la bourse d’Alger ? M Ismail NoureddineDe nombreuses entreprises nous ont contacté pour leur donner des informations et leur expliquer le processus d’entrée en bourse ainsi que son mode de fonctionnement. La décision d`opportunité de venir en bourse ou pas, cela relève de la décision et des prérogatives de la société émettrice, et non pas d’une décision de la bourse. Ce sont les propriétaires de la société qui décident, s`ils veulent en plus du financement bancaire venir lever des fonds longs pour financer leur développement à long terme ; et cela est très important. Il s`agit d`une stratégie, c`est à dire que les actionnaires arrêtent leur stratégie en fonction de la disponibilité de financement bancaire et de la côte du marché. Jusque là, cette possibilité n`existe pas. Mais maintenant cette possibilité est là et nous avons fait la preuve avec Alliance Assurances qu`une entreprise privée peut se faire financer par le marché pour lever des fonds afin d`augmenter son capital social et pour financer sa croissance et enfin lever des emprunts obligataires et aller tres loin dans le financement de projets à moindre coût. Toutes ces panoplies sont disponibles au niveau de la bourse et du marché financier maintenant.Quels sont les points faibles du système financier algérien ?Nous les retrouvons dans beaucoup de secteurs d’activités. Dans le secteur financier, nous sommes en relation déjà avec des compagnies de leasing et il y a aussi des compagnies d`assurances et également dans le secteur de la production industrielle. Le problème, chez nous, concerne le marché financier. Le développement du marché financier est d`ailleurs l`un des axes du développement du système financier. C`est l`absence des services d`investissement et le manque d`accompagnateurs d`entreprise, à savoir des services d`ingénierie qui réalisent des études juridiques, financières et d`organisation stratégique pour aider ces entreprises à se préparer à effectuer leur entrée en bourse. C’est vrai c’est un point faible. Parce qu`une entreprise ne peut pas venir en bourse fortuitement. Car, il existe des conditions pour venir en bourse. Il faut, en fait, que cette entreprise dégage des bénéfices et surtout, il faut qu`elle possède un projet de croissance. Lorsqu`une entreprise réunit ces facteurs, ce qui reste bien sûr, c`est tout un travail de préparation. Peut être un travail de toilettage et les statuts de l`entreprise doivent être mis en conformité. Il faut également un travail de toilettage des comptes financiers et un travail d`évaluation et d`audit. Il y a, en effet, beaucoup d`actions à entreprendre et beaucoup de conseils financiers et juridiques nécessaires pour amener une entreprise à aller à la bourse. Cela se passe de cette façon dans tous les marchés financiers du monde. C`est ce que Alliances Assurances a fait. On vous a relaté son long parcours et c`est cela qui explique son long parcours d’ailleurs. Des fois, dans les entreprises, ce parcours prête court et peut prendre six mois comme cela peut prendre une année. Il faut voir si la situation de l`entreprise n’est pas très bien organisée. Il faut l`accompagner dès le départ. Il existe des entreprises qui sont relativement organisées et préparées à venir en bourse. Il suffit d`un accompagnement en matière de services d`investissement. Quelle est la différence avec le secteur privé pour intégrer la bourse sachant que les entreprises privées ne sont pas nombreuses à entrer en bourse ?Je ne vois pas de réticences de services. Les entreprises publiques ne se bousculent pas aussi à la bourse. Cela est une affaire d`actionnaires. Ce travail de préparation et d`information est un travail de services d`investissement. Ce sont les intermédiaires des opérations en bourse qui doivent faire ce travail et ce qu`on appelle la « corporate finance« . Hélas ! C`est quelque chose qui manque encore en Algérie. Nous sommes obligés de le réorganiser, de le renforcer et de le développer. C`est très important pour nous et pour le développement du marché financier en Algérie.Une feuille de route faisant état de l`entrée en bourse de nouvelles entreprises en 2011 et en 2012 ?Nous pensons même plus que cela. Nous préconisons même un programme national d`émission en bourse qui touche aussi bien des entreprises publiques que des entreprises privées. Et ce programme national d`émission peut être basé sur une identification d`entreprises privées et publiques éligibles à l`introduction en bourse d`Alger. Cela est très important. A partir de cette identification, nous pouvons commencer le travail de préparation. Mais, encore une fois, nous ne sommes plus dans les années 80, 90 et 2 000 où l`on désignait les entreprises éligibles à la bourse. Aujourd`hui, nous ne désignons plus les entreprises, nous les identifions plutôt, si elles réunissent les conditions nécessaires d`introduction en bourse. A partir de là, le travail d`accompagnement peut commencer La décision revient toujours aux actionnaires et aux propriétaires et non pas à la bourse. Ce que nous pouvons dire Aujourd`hui, la bourse d`Alger est là. Elle fonctionne et doit faire ce qu`elle doit faire comme toutes les bourses du monde entier. Le dépositaire central aussi est nécessaire car, nous avons un dépositaire central qui gère un système central de règlementation et révision le plus moderne qui existe dans le monde.Nous avons une autorité de marché qui dispose d`une expertise de plus de 15 années. Alors qu`est ce qui se passe ? C`est que l`environnement du marché et celui de la bourse ne sont pas un environnement de marché financier. Car, nous ne pouvons pas décréter un marché. Tant nous avons pu créer des entreprises, la bourse et le dépositaire, ainsi que l`autorité. Mais nous ne pouvons pas décréter la création de services d`investissement. Il faut obliger les gens à s`occuper. Et puis il y a les banques. L`environnement financier est actuellement constitué par les banques. Et n`oublions pas que les banques ont leur propre vocation, à savoir octroyer des crédits et financer le développement des entreprises… Cependant, ce n`est pas l`activité du marché, car nous n`avons pas encore développé l`activité de marché au sein de leurs services, ni sous forme de filiales. Mais, à ce sujet, Il existe un intérêt des banques privées en Algérie qui s`intéressent à cette activité. Donc, ils sont certainement en train de se préparer. Mais nous avons besoin de cette organisation des services d`investissement. Nous avons besoin d`acteurs qui travaillent dans ce domaine qui accompagnent les entreprises. Car, encore une fois, l`essentiel existe en parlant d`entreprises de marché et d`autorité de marché. Néanmoins, cela ne suffit pas. Alors dans le cadre de la réforme, nous avons justement arrêté les axes prioritaires sur lesquelles nous devons travailler.En quoi consistent ces axes du développement du marché financier en Algérie ?Le premier axe a trait à l`organisation et au développement des services d`investissement. Le deuxième axe de reforme c`est la définition d`un schéma d`organisation du marché financier. Il faut qu`il ait un schéma d`organisation dans lequel les relations et le rôle de toutes les parties et les autorités soient définis, ainsi que les responsabilités. Le schéma d`organisation doit être conforme au cadre institutionnel algérien. Le troisième aspect aussi important sur lequel nous devons travailler dans le cadre de la réforme du marché financier, c`est la mise en pace d`un socle juridique moderne et complet, c`est ce qu`on appelle le droit boursier. Tout le monde reconnaît que le droit boursier existe, mais il est inachevé et plein de sollicitations, car il existe des problèmes dans le droit des affaires qui ne sont pas couverts par le droit boursier algérien. Il a été inachevé car il a été élaboré en 1993 par le législateur de l`époque qui a fait ce qu`il a pu. Il a été un peu aménagé en 2003 juste pour instituer le dépositaire afin d`autoriser les banques à exercer leurs activités. Mais, depuis nous fonctionnons toujours avec la même loi de 1993. Ce n`est pas normal, et donc nous devons avoir un socle juridique moderne et total. N`oublions pas que le droit est un instrument du marché financier. C`est la meilleure façon de préserver les intérêts et les atouts et d`avoir la sécurité et de développer le marché. Quand il y a la sécurité et le droit boursier, les choses seront protégées, de mon point de vue, aussi bien du côté des investisseurs que du celui des actionnaires. C`est très important ce que je dis. Et ce sont les axes sur lesquels nous comptons travailler les années à venir. Cette réforme est déjà élaborée et approuvée. La signature de son lancement est imminente dans le cadre d`une unité de gestion de projet qui sera coordonnée parla COSOB, mais pilotée directement par le ministre des finances, et puis dans un cadre gouvernemental. Car, la réforme en questions c`est la réforme du gouvernement algérien. La COSOB a mis en service son expertise et son expérience en tant que chef de file. Elle a réussi jusqu`à ce jour à établir et élaborer cette réforme du marché financier. Elle a mobilisé aussi les ressources pour la financer, et ensuite la démarrer tres prochainement. Dans le cadre d`une unité de gestion de projet et l`idée fondamentale de cette réforme c`est de permette pour une fois sur une période de 8 mois, en première phase, un débat national sur la place publique en termes notamment du rôle et de la situation financière du marché algérien, ainsi que les autorités pour déterminer le positionnement du marché financier en Algérie. C`est un débat qui n`a jamais eu lieu pourtant il est indispensable. Car on peut avoir un consensus sur une organisation future devant servir de base pour le développement du marché financier. Le débat doit se dérouler avec une expertise internationale avec la participation d`experts et une mobilisation de l`expertise nationale, des professionnels et des autorités. Mais, nous discuterons thème par thème pour voir comment développer, par exemple, l`actionnariat populaire en Algérie avant la fin de l`année et comment développer les fonds d`investissement et inciter les PME à venir en bourse. Propos receuillis par

Mr Ismail Noureddine président de la COSOB au Maghreb

Meziane Atmani
Le Maghreb

Friday, July 29, 2011

L'Union européenne s'est engagée avec l'Algérie dans son programme de coopération 2011


L'Union européenne s'est engagée avec l'Algérie dans son programme de coopération de 45 milliards DA.
Quatre organismes algériens bénéficieront des compétences de leurs homologues européens pour accroître leurs compétences. L'information a été communiquée hier à Alger par des responsables du Programme d'appui à la mise en oeuvre de l'Accord d'Association entre l'Algérie et l'Union européenne.
Le premier jumelage vise le renforcement de la Commission de régulation de l'électricité et du gaz. Un budget de 1,2 million est alloué à l'opération.

Thursday, July 28, 2011

l'Union européenne Algérie économie 2011

Le chef de la délégation de l'Union européenne en Algérie, Mme Laura Baeza, s'est dit «optimiste» quant à l'aboutissement des négociations algéro-européennes sur le démantèlement tarifaire.
Selon l'ambassadrice, les discussions autour de la liste de 1740 produits industriels, sur lesquels butent actuellement les négociations, nécessitent un travail «compliqué et laborieux».
Elle a expliqué que la partie qui veut reporter ce démantèlement «doit, en vertu de l'accord d'association, démontrer qu'il porte préjudice à sa production industrielle».
 Mme Baeza a refusé, cependant, de centrer l'accord d'association sur son aspect démantèlement tarifaire, estimant que «beaucoup de choses ont été réalisées en matière de coopération entre l'Algérie et l'UE».lexpressiondz.com

Sonatrach institution du patrimoine et enjeux de mémoire

 
Sous l’égide du ministère de la Culture algérien et de l’unesco, a été engagé récemment un programme de rénovation des qsûr, villages fortifiés du sud de l’Algérie. La restauration de ce patrimoine bâti, qui atteste de la prise de conscience de la part des autorités politiques de son importance en tant que patrimoine historique et culturel, est toutefois sujette à interrogation. Quelles sont les conditions et formes que prend cette réhabilitation ? Quels en sont les enjeux ? Et pour qui ? Car si sa rénovation repose sur une politique de préservation du patrimoine revêtant plusieurs enjeux pour les institutions, elle suscite également un grand intérêt auprès des populations des régions du Sud. En effet, les modalités de réhabilitation de ces qsûr interrogent les conditions et formes de l’institution du patrimoine en Algérie ainsi que les enjeux de mémoire et identitaires liés à l’institution de ces qsûr (lesquels sont les marques de l’autochtonie berbère).

Visibilité destination Algérie site web 2011



Le ministère du Tourisme et de l’Artisanat vient de mettre en ligne son nouveau site internet (www.mta.gov.dz) en trois langues (arabe, français, anglais).

Il se veut être une vitrine de la destination Algérie et présente aux investisseurs le cadre juridique et réglementaire qui encadre le secteur dans les domaines de l’hôtellerie, les agences de voyages et de tourisme. Il propose aussi des informations fraîches et donne la possibilité de télécharger des documents et des formulaires.
Le site connaîtra des améliorations progressives pour le rendre plus attractif et il est prévu d’inclure les techniques modernes de communication interactive (Facebook et Twitter) et le service RSS, sachant que dans le cadre de l’exécution de l’accord de coopération avec le MPTIC, un projet d’un Portail du tourisme algérien a été retenu.

Wednesday, July 27, 2011

Algerie Europe référence française coopération 2011

 
 
Comprennent les matériaux, les techniques, les savoir-faire. C’est-à-dire construction et compétence du constructeur. Nous sommes dans le champ de l’habitat, du bâti

domestique, construit avec des matériaux locaux. Mr Clément Le Guay est missionné pour un projet immoblilier qui est une référence française dans le cadre de la rénovation du front de mer d’Alger (qui est classé au patrimoine mondial de l’Humanité par l’UNESCO). LITHOS s’est vu confié l’organisation du programme immoblilier des « Arcades de l’Amirauté » situé à coté de la Chambre de Commerce Algérienne dans un quartier hautement sécurisé.Architecture urbanisme Algérie Europe d 'une rive à l’autre le savoir faire

Algerie Registre du commerce 2011


L’arrêté du 13 juin 2011 fixant la durée de validité de l’extrait du registre du commerce délivré aux assujettis
pour l’exercice de certaines activités est paru dans le JO n°36.

Algerie Quelle stratégie pour les placements algériens à l’étranger face à l’endettement des Etats occidentaux ?



algériens, endettement, états, étranger, occidentaux, placements, stratégie
Le Professeur Mr Abderrahmane MEBTOUL Expert International en management stratégique a été l’invité de l’émission « la semaine de l’économie » de la Radio Algérie Internationale ( RAI) le 21 juillet 2011 sur le thème :Quelle stratégie pour les placements algériens à l’étranger face à l’endettement des Etats occidentaux ?

l’Union européenne, Algerie 2011

Le  ministère  des Ressources en eau et la délégation de l’Union européenne,  représentés par M.  Zidane Merrah,  secrétaire général et Mme  Laura Baeza, ambassadeur, ont procédé, hier, à Alger à la signature de la Convention de financement du programme  d’appui  au secteur  de l’eau et de l’assainissement (EAU II). 

Tuesday, July 26, 2011

Rencontre de lancement du Forum France Algérie 2011

Forum de binationaux algéro-français - Pour développer le partenariat entre les deux rives - Un forum France-Algérie, regroupant toutes les compétences algériennes établies en France, vient d'être lancé afin de donner, selon ses initiateurs, aux binationaux algéro-français, un espace de réflexion pour promouvoir leur place dans la société française. Cet espace de concertation ambitionne de contribuer au développement de l'Algérie et à la refondation des relations franco-algériennes, ont expliqué les organisateurs lors d'une cérémonie organisée à Paris, en présence du consul général d'Algérie à Paris, M. Rachid Ouali, et des représentants du mouvement associatif de la communauté nationale.
Pour le coordonnateur du forum et président de l'association EcoMed 21, Farid Yaker, les Franco-Algériens «doivent prendre toute leur place dans la société française, malgré les entraves, les discriminations et le passif colonial, en évitant tout repli communautaire et en privilégiant les démarches citoyennes». Il a indiqué, à cette occasion, que le taux de chômage des binationaux algéro-français atteint 40% dans les quartiers en difficulté, et parfois plus, et qu'un diplômé binational a dix fois moins de chance de trouver un emploi qu'un jeune d'une autre origine.


Il a relevé également que les nombreux talents franco-algériens, qui prennent une place de plus en plus importante dans la société française, «ne sont pas assez visibles», d'où l'intérêt de contribuer à leur promotion et en même temps de mettre en place des actions innovantes et performantes en direction de l'Algérie. Le forum ambitionne ainsi de mettre en place des réseaux de partenariat avec les acteurs économiques et associatifs algériens, favoriser le dialogue avec les autorités nationales et participer au recensement des compétences susceptibles de contribuer au développement de l'Algérie.

Ce forum prévoit aussi d'organiser des rencontres périodiques pour encourager le dialogue entre la société civile et les pouvoirs publics des deux rives. Il sera doté d'un conseil d'orientation dont les missions consistent notamment à le représenter auprès des autorités française et algérienne. Un comité de parrainage, composé de personnalités adhérant aux valeurs et principes du forum et soutenant son action, a également été mis en place. Saluant cette initiative et s'adressant aux membres du forum, le consul général d'Algérie à Paris, M. Rachid Ouali, a rappelé que le pays «a besoin de vos talents, de vos compétences, de vos idées novatrices, en particulier dans le domaine du management industriel et des services liés à l'économie libérale, ainsi que de nouveaux métiers».

Il s'est réjoui également que ce forum comprenne des groupes de travail spécialisés «permettant à chaque volonté de s'exprimer dans le cadre de projets communs». Présent à cette cérémonie de lancement, le président de la Conférence mondiale des religions pour la paix et présentateur de l'émission «Islam» sur la chaîne de télévision française France 2, M. Ghaleb Bencheikh, a, dans une conférence sur le thème «Islam, laïcité et république», remis en cause tous les stéréotypes nourris par «l'incurie réelle et organique» des uns et l'extrémisme d'une société française «à l'affût de nos régressions et abdications».

Mr Rami Narimène

La Tribune

Alger senego urbanisme 2011


Alger et Paris rapprochement PME et la règle des «49-51%»

Rapprochement entre Alger et Paris dans un contexte régional exceptionnel : Raffarin, le capital des PME et la règle des «49-51%»

Monday, July 25, 2011

salon européen de l'immobilier algerien 2011




Algérie Europe d''une rive à l'autre compétence savoir faire


Publié par radio web europe
Architecture et urbanisme Algérie Europe d''une rive à l'autre compétence
Les arts de bâtir comprennent les matériaux, les techniques, les savoir-faire. C’est-à-dire construction et compétence du constructeur. Nous sommes dans le champ de l’habitat, du bâti

domestique, construit avec des matériaux locaux. Mr Clément Le Guay missionné pour un projet immoblilier qui est une référence française dans le cadre de la rénovation du front de mer d'Alger (qui est classé au patrimoine mondial de l'Humanité par l'UNESCO). LITHOS s'est vu confié l'organisation du programme immoblilier des "Arcades de l'Amirauté" situé à coté de la Chambre de Commerce Algérienne dans un quartier hautement sécurisé.
Architecture urbanisme Algérie Europe d''une rive à l'autre le savoir faire
http://algerquartiermarine.blogspot.com/

Sunday, July 24, 2011

La Banque mondiale l’adaptation au changement d’Afrique du Nord



Selon le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC), l’Afrique du Nord est considérée comme la deuxième zone la plus vulnérable aux risques climatiques à l’échelle mondiale. La banque Mondiale vient de publier au début de l'été 2011 une étude sur « l’adaptation au changement climatique et la résilience aux désastres naturels dans les villes côtières d’Afrique du Nord »

ميترو الجزائر Le métro d'Alger juillet 2011 Youtube

Saturday, July 23, 2011

partenariat réhabilitation du vieux bâti

http://algerquartiermarine.blogspot.com/


EL MOUDJAHID - QUOTIDIEN NATIONAL

: 30.000 postes d’apprentissage attendus
Une de partenariat pour le développement des filières de formation du bâtiment et de l'urbanisme a été signée jeudi à Alger, entre le ministère de la Formation et de l'Enseignement professionnels et le ministère de l'Habitat et de l'Urbanisme.


Une convention de partenariat pour le développement des filières de formation du bâtiment et de l'urbanisme a été signée jeudi à Alger, entre le ministère de la Formation et de l'Enseignement professionnels et le ministère de l'Habitat et de l'Urbanisme.

La convention, signée par les deux ministres respectivement M. El Hadi Khaldi et M. Nouredine Moussa, vise la création de 30.000 postes d'apprentissage annuellement pour le secteur du bâtiment et le lancement de nouveaux métiers à travers des comités techniques mixtes, entre les deux ministères.
La convention s'intéresse également au contenu de la formation et prévoit l'ouverture et le développement d'un centre de formation ainsi que la création d'un pôle d'excellence dans les métiers du bâtiment.
Il s'agit aussi, dans le cadre de cette convention, de développer la formation par apprentissage, les entreprises du secteur étant considérées comme des lieux de formation permettant de renforcer et de mobiliser le potentiel existant mais non suffisamment exploité, a-t-on expliqué.
Dans son intervention, M. Khaldi a indiqué que le gouvernement prônait une politique basée sur l'offre, ce qui permet de créer 30.000 emplois pour le secteur du bâtiment en faveur des stagiaires du secteur de Formation et de l'Enseignement professionnels.
Selon le ministre, les stagiaires bénéficient désormais d'un contrat d'emploi à l'avance, ce qui n'était pas le cas quand ils étaient contraints de chercher un emploi.
De son côté, M. Moussa a affirmé que le secteur de l'habitat et de l'urbanisme était un "partenaire" du département de l'enseignement et de la formation professionnels, soulignant que durant la période 2005-2009, quelque 70.000 emplois avaient été créés à cet effet et qu'il s'attendait à ce que ce chiffre soit doublé, pour passer à 150.000 durant l'actuel quinquennat (2010-2014).
Il a précisé que son secteur était un "utilisateur direct" des diplômés de la formation professionnelle, et a ainsi appelé à "moderniser" la formation par l'introduction de nouvelles spécialités, notamment celle en rapport avec l'entretien et la réhabilitation du vieux bâti.
Publié par radio web europe

Thursday, July 21, 2011

secteur du tourisme en Algérie




l'expression dz
Par Entretien réalisé par Achira MAMMERI
Dans cet entretien accordé à L'Expression, le ministre revient sur les principales préoccupations du secteur. Mimoun nie tout blocage des projets touristiques, affirme qu'en aucun cas le tourisme en Algérie n'est tenté de tirer profit de la situation de trouble qui prévaut à ses frontières et reconnaît que les prestations de services et la formation sont les maillons faibles de la chaîne du tourisme.

L'Expression: Le secteur du tourisme en Algérie peine à prendre son envol en dépit des nombreux programmes mis en place. Au centre de toutes les polémiques, le blocage des projets touristiques algériens et étrangers. Certaines informations font état de l'intervention personnelle du Premier ministre pour débloquer la situation...
Smaïl Mimoun: Je ne partage pas votre opinion concernant le blocage des projets touristiques. Bien au contraire, ces dernières années ont vu la validation de plusieurs projets qui permettront, une fois achevés, d'augmenter la capacité d'accueil qui ne dépasse pas actuellement les 90.000 lits, mais feront aussi partie de notre stratégie pour la promotion de la destination algérienne.
Rassurez-vous, il n' y a aucun blocage. Parmi les principaux projets, deux seront réalisés par les Emiratis pour un montant atteignant les 54 milliards de DA. Les nationaux sont associés dans ce vaste chantier. En plus des projets étudiés par le Conseil national des investissements (CNI), présidé par le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, le ministère du Tourisme a donné son accord pour 550 projets au profit des nationaux pour une capacité d'accueil additionnelle de 50.000 places. Avec la création de 60.000 postes d'emploi, il s'agit d'hôtels de petits complexes ou encore au niveau du Sud. Nous nous intéressons aussi au tourisme thermal. A la fin du mois de février, nous avons délivré une dizaine de concessions pour des nationaux. Nous avons recensé plus de 200 sources thermales.10 d'envergure nationale, 40 de portée régionale. L'Etat a aussi un parc immobilier vieux qui a besoin de rénovation. Au mois de mars, le Conseil des participations de l'Etat a donné son accord pour la réhabilitation de ce patrimoine immobilier pour un montant de 46 milliards de DA. Nous avons également consacré 770 millions de Da pour la formation.

Les ressources humaines justement, c'est l'autre maillon faible du secteur. Nous avons beaucoup entendu parler de la carte de formation. Pouvez-vous nous parler de ce projet?
Effectivement, le secteur est en train de préparer la carte de formation qui prend en compte l'appareil actuel, avec les écoles de tourisme, d'Alger, de Boussaâda, de Tlemcen et celle de Aïn Témouchent qui est en cours de réalisation. L'objectif étant d'exploiter toutes nos capacités. Nous avons évalué nos besoins quantitativement et qualitativement, recensé tous les métiers en relation avec l'hôtellerie et à la gestion des infrastructures existantes et en cours de réalisation. Autrement dit, nous voulons adapter la formation aux besoins du secteur. En matière de formation, nos capacités pédagogiques sont limitées aussi. En plus des 136 structures de formation professionnelle il y a une quarantaine d'écoles privées liées au secteur. A cette démarche, seront associés les professionnels du secteur et des anciens stagiaires qui ont brillé par leur parcours. Cette carte sera discutée en réunion du gouvernement au mois de septembre.

Promouvoir le tourisme interne, une option qui revient en force ces derniers mois. Cela est-il lié à la conjoncture politique de la région qui a vu les algériens boycotter des destinations phares telles que la Tunisie ou encore l'Egypte? Ou cela répond-il à une vision pragmatique qui tend à convaincre les Algériens à rester dans le pays. Après avoir presque échoué à relancer la destination Algérie?
De prime abord, je tiens à rassurer qu'au ministère du Tourisme, nous n'avons pas de vision conjoncturelle. Notre stratégie dépasse les troubles dans la région.
Le 8 décembre (avant la Révolution des jasmins), et en marge du Salon international du tourisme, nous avons programmé une journée sur le tourisme domestique, une journée à laquelle ont assisté des experts aussi bien algériens qu'étrangers. Parmi les recommandations prises, il y a la diminution du flux des Algériens vers l'étranger. Et l'opportunité de miser sur le tourisme interne, parce que justement ce tourisme est indifférent aux conjonctures internationales. Nous ne sommes pas là, bien évidemment, en train de remettre en cause le droit des Algériens à passer leurs vacances à l'étranger, nous voulons juste insister sur le fait que l'Algérie est un beau pays qui dispose de sites merveilleux à découvrir et que beaucoup d'Algériens ignorent.

Avons-nous une carte des sites touristiques en Algérie?
Nous venons de lancer un recensement des sites touristiques en Algérie. Une enveloppe de 50 millions de DA est allouée à chaque wilaya avec comme objectif de définir les zones touristiques exploitables. A chaque région, sa spécificité. Nous voulons justement promouvoir les richesses et les potentialités de chaque région. Il y a par exemple le tourisme écologique, très peu fréquenté par les Algériens et pourtant le pays dispose de sites extraordinaires.
La particularité de ce tourisme est qu'il ne nécessite pas de grands investissements. Il y a comme je l'ai déjà cité, le tourisme thermal. Il y a le tourisme dans le Sud. En somme, nous voulons créer des pôles touristiques, proposer des circuits pour les touristes étrangers et algériens...

Cela doit se faire notamment avec la contribution des agences de voyages.
Ces dernières doivent se professionnaliser pour contribuer à la vente de produits touristiques. Il ne suffit pas d'être présent dans des salons pour promouvoir la destination Algérie. Il faut ouvrir d'autres perspectives avec l'intégration des TIC. Justement, dans le nouveau cahier des charges, nous faisons obligation aux agences d'utiliser les TIC dans leur processus avec l'engagement de l'Etat de les accompagner. Nous avons signé un accord avec le ministère des Postes et des Technologies de l'information et de la communication. Cet accord permettra entre autres, aux tourisites de faire des réservations et choisir des circuits via Internet.

Qu'en est-il du tourisme dans le Sud? Ne pensez-vous pas que les efforts consentis pour promouvoir cette destination s'ébrèchent face aux actes isolés d'enlèvements de touristes étrangers?
Je ne cesserai de dire et de répéter que le tourisme est l'affaire de tout le monde. J'insisterai là, sur le comportement des citoyens et sur l'implication de tous les secteurs. Ensemble on arrivera à faire de l'Algérie une destination de prédilection pour des millions d'étrangers. Nous nous référons au schéma directeur du secteur tracé pour l'horizon 2030. Un schéma qui s'articule autour des cinq principaux chapitres dont je citerai: la reconstruction de la destination Algérie; l'augmentation des capacités d'accueil à travers la promotion des investissements, l'amélioration des prestations de services, le financement, et l'encouragement du partenariat privé-public. Nous avons un pays riche en potentialités qui restent à l'état brut. Nous voulons les transformer en produits touristiques capables de drainer le plus grand nombre de touristes, mais pour cela on doit réunir toutes les conditions, à commencer par l'amélioration de la qualité des services.
Dans la perspective de la reconstruction de la destination Algérie, nous allons élaborer des guides qui seront offerts gratuitement aux voyageurs de la compagnie nationale Air Algérie, nous associerons aussi les représentations consulaires.

Chaque année, les pèlerins se plaignent de la mauvaise prise en charge dans les Lieux Saints et remettent en cause les engagements pris par les agences de voyages. Qu'avez-vous prévu cette année?
Il faut savoir que le ministère du Tourisme octroie les agréments pour les agences de voyages.
Mais lorsqu'il s'agit des Lieux Saints en plus de l'agrément, les agences sont soumises à un cahier des charges élaboré par le ministère des Affaires religieuses et l'Office du Hadj. Mon département intervient pour appliquer une sanction, comme la fermeture d'une agence de voyages, à titre d'exemple.
A retenir aussi que cette année, le gouvernement a pris les choses en main à temps. A mon avis, il ne faut pas incriminer toutes les agences. La majorité fait son travail correctement. Les défaillances sont l'oeuvre d'une minorité qui est sévèrement sanctionnée.

Alger Algerie 'INVESTISSEMENT DEVELOPPEMENT



Vous êtes à la recherche d'un partenaire pour réaliser un projet d’investissement en Algérie
Vous êtes à la recherche d'une idée pour un projet de partenariat en Algérie.
contact plbdeu@gmail.com

Alger un bon réseau relationnel


Un bon réseau relationnel parmi les organismes privés et publics, vous permettent de prospecter, de préparer des offres de prestations d'études, d'assurer leur suivi, et ce, jusqu'à la finalisation des contrats. Patrick le berrigaud vous informe
plbdeu@gmail.com

UBIFRANCE ALGERIE FRANCE



Premier partenaire commercial de la France sur le continent africain, l’Algérie demeure un partenaire de premier plan”, relève l’Agence pour le développement international des entreprises (Ubi France) dans une fiche pays.

Wednesday, July 20, 2011

europemaghreb

Partenariat Europe–Maghreb, magazine mensuel édité par les éditions KRTKM, a pour objectif de promouvoir le partenariat euro–maghrébin dans tous les secteurs

Tuesday, July 19, 2011

Métro d'alger prix du ticket sera soutenu par l'état



L'Etat interviendra pour soutenir les tarifs du ticket de métro, a affirmé lundi à Alger le ministre des Transports, M. Amar Tou, précisant que ''le juste prix'' sera fixé avant la fin septembre en prévision de la mise en service du métro début novembre. Selon le ministre, le fonds de soutien aux transports collectifs qui intervient déjà dans le soutien des prix de l'ETUSA et du tramway d'Alger, sera également sollicité pour soutenir la tarification du prix du ticket de métro.

Monday, July 18, 2011

Foncier-Algérie


Foncier-Algérie: L'Etat déterminé à assainir le dossier du foncier
Immobilier-Algérie - Les conflits à propos du foncier sont le thème d'une journée d'étude organisée, hier, par le Conseil de la nation en présence de ses membres, des hommes de la loi et des professeurs universitaires. Après avoir fait un rappel historique des règlementations qui régissent le foncier et leur évolution, M. Benjeloul Belkacem, sous-directeur au niveau de la Direction générale des domaines, a déclaré que l'opération d'assainissement du foncier à travers le recensement s'achèvera en 2014. Un ambitieux programme, rappelle-t-il, a été mis en place à cet effet. L'Agence nationale de recensement du foncier s'attelle justement à mener à bien cette opération nationale en signant des contrats avec des experts dans ce domaine capables de l'accompagner dans cette tâche.

Cette opération de recensement du foncier a vu son texte de loi promulgué dans les années 70, mais n'a connu son lancement à grande échelle que dans les années 90, fait savoir l'intervenant.

Revenant sur la problématique de la carte foncière, le conférencier a expliqué que, conformément à l'article 42 de la loi de finances 2010, les services des conservations foncières ont entamé l'opération d'actualisation de la carte foncière des propriétés objet de titres ayant perdu leur valeur juridique.

A cet effet, les services du foncier ont recensé à ce jour 17 298 cas de biens vacants datant de l'ère coloniale, des immeubles bâtis dans leur majorité. Parmi ces cas, 1 523 dossiers ont déjà été traités.

Interrogé pour savoir si d'anciens propriétaires sont revenus réclamer leurs biens en Algérie et quel est le nombre de contentieux enregistrés, M. Benjeloul expliquera qu'il y a eu des cas sans avancer de chiffres.

Pour lui, l'article 42 de la loi de finances est justement venu régler définitivement ce problème et inscrire ce patrimoine au nom de l'Etat. Selon le sous-directeur de la Direction des domaines, l'assainissement de la carte foncière demande un travail de longue haleine et des enquêtes précises au niveau des wilayas, des domaines, des archives et des conservations foncières.

Les services concernés, à savoir la Conservation foncière, poursuivent cette opération qui vise la protection des intérêts de l'Etat et l'assainissement de la situation juridique des biens fonciers.

Badiâa Amarni

Wednesday, July 13, 2011

Mr George Soros Europe Euro 2011



Le milliardaire américain et le spéculateur boursier a prononcé une terrible prophétie. L’entrepreneur prédit la faillite de la Grèce et ensuite de toute la zone euro. Cependant, il souligne qu’on peut éviter un scénario aussi négatif. L’Europe doit renforcer les processus d’intégration.


Dans le journal britannique Financial Times, le milliardaire a sa colonne. Cette fois, il l’a consacrée à la situation en Europe. Ce n’est pas pour la première fois que Soros appelle les autorités de l’ancien monde à préparer un plan « B » si les mesures qui doivent sauver la Grèce n’aident pas et le pays se déclare en défaut de paiement. Outre cela, il propose d’entreprendre des démarches anticipées pour limiter la crise de dette au Portugal, en Irlande, enGrèce et en Espagne. Soros est persuadé que pour ce faire, les Européens doivent prendre une décision sérieuse et fonder un ministère supranational des Finances. Voici le commentaire Mr d’Oleg Solodoukhine, vice-président de la compagnie « KROS » :


« Sa proposition de renforcer l’intégration politique en Europe est une seule issue juste. Il souligne justement que l’Europe a une banque centrale unie mais n’a pas de Ministère des finances uni. Actuellement, on cherche une sortie de crise dans le cadre de la régularisation nationale des marchés et non pas de la régularisation européenne des marchés. Une menace sérieuse apparaît. Il est très sérieux, qu’aujourd’hui, dans les conditions de la crise, l’opinion publique des pays européens est contre l’UE. C'est-à-dire qu'il y a beaucoup de ceux qui se prononcent pour que l’UE soit détruite. »


Mr George Soros est persuadé que les hommes politiques qui ont crée au XX siècle, l’Union Européenne a surestimé la capacité d’autocontrôle de certains Etats, maintenant toute l’Europe doit le payer. Bien sûr que cela provoque des protestations sociales. De plus en plus de gens se prononcent contre l’intégration européenne et le sauvetage des voisins. Le professeur de l’Ecole des sciences économiques de Russie Mr Oleg Zamouline est d’accord avec l’opinion de Mr Soros, cependant, il souligne que les déclarations de l’entrepreneur peuvent servir de provocation avec l’objectif de gagner à la bourse.


Pas tous les mots de Mr george Soros représentent un jeu. Il annonce souvent son point de vue et probablement, il le fait honnêtement. Cependant, nous savons également qu’il avait prononcé des phrases qui avaient dévalué une monnaie. Je pense qu’en ce cas là, il dit des choses sensibles. Si en Europe il y a une monnaie unie, le pouvoir financier doit avoir une grande coordination entre les pays. »


Selon mr George Soros, le défaut de payement en Grèce est presque inévitable. Cependant, il est persuadé que l’Europe peut en tirer une bonne leçon et transformer le mal en bien, en devenant vraiment forte et unie.

les PME en Méditerranée


Le Maroc et la France appellent à mettre en oeuvre un plan pour l'innovation et les PME en Méditerranée

Sunday, July 10, 2011

Google+quasi-unanimité



le réseau social lancé en catimini, fait la quasi-unanimité parmi ceux qui ont eu la chance de l'essayer. Il est plus intuitif et permet de gérer plus simplement ses "amis".

Saturday, July 09, 2011

Grèce Europe sortie de l'euro plaidée




Un économiste allemand de renom, président de l'un des instituts d'études les plus réputés, s'est prononcé samedi pour une sortie temporaire de la Grèce de la zone euro, estimant que le pays était en faillite depuis un an.

Monday, July 04, 2011

Mr Alain Juppé à Barcelone pour la réunion de l’Union pour la Méditerranée (5 juillet 2011)



Déplacement de Mr Alain Juppé à Barcelone pour la réunion de l’Union pour la Méditerranée (5 juillet 2011)
.Le ministre d’Etat, ministre des affaires étrangères et européennes, se rendra à Barcelone, mardi 5 juillet, à l’occasion de la prise de fonction du nouveau Secrétaire général de l’Union pour la Méditerranée (UpM), Mr Youssef Amrani. Il sera accompagné du ministre en charge de l’industrie, Mr Eric Besson.

métro d'Alger circule déjà dans les entrailles de la ville



Sur la route qui descend de Hussein Dey à Bachdjerrah, une grande bâtisse bleue et blanche a été pompeusement dressée. C'est la station Haï El Badr, le premier point d'arrêt de la ligne 1 du métro d'Alger. D'un aspect qui tranche avec l'architecture algéroise, elle a comme un air de ces nouveaux bâtiments prétentieusement plantés en plein milieu du désert. Guichets de vente des titres de transport, portillons automatiques, escaliers pour accéder aux quais, un parking et une station de bus y ont été aménagés. « Les indicateurs d'itinéraires seront installés incessamment », assure notre accompagnateur. Les mâts, ces signaux indiquant l'entrée des différentes stations, aussi.

Vingt heures passées de quelques minutes, la première rame arrive sur le quai. Elle est composée de six wagons, peints en bleu et blanc eux aussi. Ils rappelleront sans doute aux futurs passagers les bus de l'Entreprise de transport urbain et suburbain d'Alger (ETUSA) qui circulent dans la capitale. Quelques minutes plus tard, la deuxième est de passage. À bord, les sièges bleus sont disposés les uns en face des autres donnant l'allure d'une grande salle d'attente climatisée. « Il y aura une rame toutes les 3 mn 20 s dans les stations pendant les heures de pointe », indique un jeune conducteur.


Il travaillait pour une entreprise d'emballage avant d'être recruté par la RATP El Djazaïr. Il fait partie d'une première promotion formée par ce groupe français qui va exploiter le métro d'Alger. « Je travaillerai huit heures par jour. Et j'aurai droit à deux pauses », poursuit‑il avec un enthousiasme juvénile. Une cinquantaine de conducteurs se relaieront pour assurer la conduite des quatorze rames de la ligne 1, selon lui. Pourtant, cette ligne pourrait être exploitée de manière complètement automatique. « Le métro aura aussi permis le recrutement de centaines de personnes. Leur nombre augmentera certainement avec le projet en étude de la ligne 2 », se réjouit très optimiste notre accompagnateur.

Au‑dessus des portes de chaque wagon, les dix points d'arrêt sont indiqués sur un plan d'itinéraires. De Hai El Badr (Bachdjerrah), la seule station où le métro circule en plein air, à la Grande poste en passant par Mer et Soleil, Cité Amirouche (Hussein Dey,) Les Fusillés (à Ruisseau), Aissat Idir et 1er Mai (Belouizdad) et enfin Khelifa Boukhalfa (centre d'Alger), les stations sont encore sombres. Leur aménagement est très sobre. Les panneaux d'indication n'ont toujours pas été installés dans certaines d'entre elles. « Ce sont des choses qui peuvent être rattrapées par la suite », affirment nos interlocuteurs. La traversée des neuf kilomètres de la ligne s'effectue en quinze minutes montre en main. « Le métro circule actuellement à 40 kilomètres à l'heure puisqu'on est en période d'essai. Après la mise en service, il circulera à 70. Le temps d'arrêt dans les stations n'ira pas au‑delà de 21 secondes pendant les heures de pointe », indique le conducteur.

Deux extensions sont prévues pour cette première ligne afin d'améliorer davantage les conditions de circulation automobile. Elle s'étendra de la Grande Poste jusqu'à la place des Martyrs. Elle passera notamment par la place Emir Abdelkader et la Casbah. Du côté de Haï El Badr, la ligne s'étendra jusqu'à El Harrach et passera par Bachdjerrah. Le succès de cette ligne est assuré. Nos interlocuteurs n'en doutent pas. Dans une capitale très mal lotie et dont le réseau de transport public est défectueux, « les besoins en la matière restent énormes », rappellent‑ils.


Les Algérois en rêvent depuis presque trente ans. Les politiques font sa promotion depuis des années. Cela fait quelques mois seulement qu'il circule dans les entrailles de la ville pour une période d'essai avant sa mise en service définitive prévue pour le 31 octobre.

Sunday, July 03, 2011

Algerie sépultures de Français regroupées en Algérie


La croix.com

Les sépultures civiles de 135 petits cimetières français en Algérie vont être regroupées prochainement dans 22 cimetières de grandes villes algériennes, selon un arrêté du Quai d’Orsay paru samedi au Journal officiel, qui publie cette liste.

Le texte précise que les familles, pouvant justifier « par tout moyen » de la présence de dépouilles de parents dans ces cimetières « disposent à partir de ce jour de quatre mois pour faire savoir au consul général de France territorialement compétent si elles souhaitent effectuer le transfert en France, à leurs frais, des restes mortels de leurs défunts ».

Les associations de rapatriés, tout en se déclarant « sensibles » à la recherche d’une solution pour l’entretien de ces tombes, estiment qu’« il revient à l’État de prendre en charge les frais de rapatriement des corps ».

Partenariat Algérie-UE jumelage économie



EL WATAN.com quotidien
Trois projets de jumelage d’un montant de 3,5 millions d’euros
Cinq jumelages avaient été lancés au début de l’année en cours dans le cadre de la première étape de l’accord d’association P3A.

Parmi les trois projets de jumelage préparés par l’unité de gestion du Programme d’appui à la mise en œuvre de l’accord d’association (P3A) entre l’Algérie et l’Union européenne, on en compte deux pour le secteur économique. Il s’agit plus précisément de l’énergie et de l’aquaculture.
Ces deux projets, en plus d’«un troisième dédié à la justice sont dotés d’un budget global de 3,5 millions d’euros consommables sur 24 mois». Selon une note d’information de P3A, reprise par l’APS, la sélection des institutions partenaires, représentant les Etats de l’Union européenne (UE), doit se faire prochainement. Le premier des trois jumelages, doté de 1,23 million d’euros, porte sur le renforcement des structures, pouvoirs et compétences de la commission de régulation de l’électricité et du gaz (CREG), relevant du ministère de l’Energie et des Mines. Il vise «l’amélioration de la qualité du service public et de la régulation des marchés de l’électricité et du gaz dans l’intérêt des consommateurs algériens», selon la note.


La direction de la concurrence au ministère du Commerce ainsi que le conseil de la concurrence, qui doit être réactivé avant la fin de l’année, doivent également bénéficier de cet appui. Le deuxième projet de jumelage est relatif au renforcement des capacités du Centre national de recherche pour le développement de l’aquaculture (CNDPA), relevant du ministère de la Pêche et des Ressources halieutiques.
Doté d’un budget prévisionnel de 1,13 million d’euros, il mise sur «l’optimisation de l’organisation, du management et de l’efficacité opérationnelle du CNDPA, en tant qu’instrument essentiel d’aide à la décision», selon la même source. Plusieurs autres projets de jumelage institutionnels au profit d’autres ministères et institutions algériens sont en cours d’identification par les experts du P3A, a avancé la même source. Cinq jumelages avaient été lancés au début de l’année en cours dans le cadre de la première étape du P3A. Depuis son lancement en mai 2009, P3A a, par ailleurs, réussi à réaliser 24 opérations d’assistance technique et d’échange d’informations (Taiex), qui consistent à encourager les échanges de connaissances et d’information, pendant une courte durée, entre des fonctionnaires algériens et leurs homologues européens activant dans un même domaine.


Zhor Hadjam

Algerie France Dunkerque et Annaba COOPÉRATION



La voix du Nord
Dunkerque et Annaba (Algérie), main dans la main sur le volet économique

Les liens entre Dunkerque et la ville portuaire d'Annaba en Algérie ne datent pas d'hier. ...

Tissés dès la fin des années 1970, ils ont pris en 2004 la forme d'un accord de coopération entre la CUD et la ville de l'est algérien, capitale africaine de la sidérurgie. La même année, un déplacement d'entreprises dunkerquoises avait été organisé par la CCI de Dunkerque. Ce volet économique de la coopération entre les deux territoires vient de se renforcer avec la visite, les 4 et 6 juin dernier, à Annaba, d'une délégation de dix entreprises dunkerquoises, la communauté urbaine faisant ici office d'organisatrice. « Dans le cadre du Plan local de développement économique, déclinaison du Schéma régional de développement économique, nous jouons le rôle de facilitateur, d'accompagnateur de nos entreprises à l'étranger », souligne Jo Dairin, chargé de l'action économique à la CUD.
Business to business
Reçus par le président de la CCI d'Annaba, les entrepreneurs nordistes ont pu effectuer du B2B (business to business) avec une trentaine de sociétés algériennes. « J'ai eu des contacts intéressants avec ArcelorMittal sur place. Ils souhaitent des mises à niveau en matière de formation », raconte Philippe Mattern, de la société Ciisco, spécialisée dans la formation aux risques incendie. Bertrand Mougenot (STE Mougenot, matériels de soudure) est déjà en relation sur place avec un partenaire qui prospecte pour lui de nouveaux marchés. « J'ai également profité de ce déplacement pour rencontrer Arcelor et j'ai pris contact avec un distributeur de matériel de soudure. » Pour David Kermoal, de la société Lamblin (construction de voies ferrées), qui travaille déjà au Maroc, « Annaba est un fief intéressant car on y retrouve les mêmes secteurs d'activités qu'à Dunkerque. Nous avons pris quatre contacts sérieux, dont deux sont déjà sur de bonnes bases. » Stéphane Plancque, de la société Terenvi, qui fabrique des terrains de sport synthétique, a rencontré des responsables des services techniques de la ville d'Annaba pour échanger sur des projets locaux. L'école de commerce de Dunkerque ISCID était aussi du voyage pour dynamiser les relations avec son homologue d'Alger et l'université d'Annaba. Le but étant de permettre la mobilité entre les étudiants des deux pays. Un séminaire sur le thème « Université et entrepreunariat » est fixé du 21 au 23 novembre à Annaba.
« Il faut être clair. Tout cela prend du temps, avant que les premiers marchés ne soient décrochés, précise Jo Dairin. Les entreprises qui ont fait le déplacement doivent faire preuve de ténacité, mais nous engageons ces partenariats sur la durée. Les opportunités de faire travailler nos entreprises là-bas, surtout en matière d'encadrement et de transfert de compétences, sont énormes. L'Algérie a de l'argent, de la main d'oeuvre, nos deux pays ont une culture commune, la même langue. Il était temps de rattraper ce retard. La CUD s'y emploie. » Face au succès de cette mission, des rencontres sont programmées, à Dunkerque cette fois, en 2012. • B. C.

Saturday, July 02, 2011

États‑Unis Algérie Sahel partenariat régional


Hadjer Naili, à New York
Washington veut encourager un partenariat régional entre l’Algérie et les pays du Sahel
Les États‑Unis ont dévoilé, ce jeudi 30 juin, leur nouvelle stratégie de lutte contre le terrorisme. La stratégie n’est pas si nouvelle en soi mais tente plutôt de formaliser la politique en matière de lutte anti‑terroriste adoptée depuis deux ans et demie sous l’Administration Obama. En revanche, le document dévoilé par Mr John Brennan, le conseiller antiterrorisme à la Maison Blanche, lors d’un discours à l’Université Mr Johns Hopkins à Washington, prend en compte de récents facteurs tels que l’après‑Oussama Ben Laden et les soulèvements au Moyen‑Orient et au Maghreb.

Les États‑Unis craignent de voir Al Qaida profiter du vide politique dans certains pays arabes pour s’imposer. Mr John Brennan a expliqué que les États‑Unis vont soigneusement choisir entre différentes approche : offensive, défensive ou diplomatique. L’objectif est de cibler Al Qaida là où l’organisation est la plus vulnérable, a expliqué Mr Brennan ajoutant que les opérations ciblées de drones au Pakistan allaient se poursuivre.

La Maison Blanche entend renforcer sa coopération avec les pays où Al Qaida tenterait de trouver refuge, tels que l’Afghanistan, le Pakistan et la Somalie mais aussi des pays d’Afrique du Nord, comme l’Algérie.

Dans son document, la Maison Blanche mentionne que la présence d’Al Qaida au Maghreb Islamique, fortement implantée en Algérie dans un premier temps, se fait aujourd’hui davantage ressentir au sud de la région, à savoir le Mali et les pays frontaliers du Sahel. Washington cherche ainsi à encourager un partenariat régional entre l’Algérie et les pays du Sahel tels que la Mauritanie, le Niger et le Mali pour lutter contre AQMI.

Le conseiller à la sécurité nationale et à la lutte anti terroriste s’est toutefois réjoui de la mort du leader d’Al Qaida et d’autres leaders du réseau. Cela « nous permet pour la première fois d’envisager la fin du noyau dur d’Al Qaida dans les années à venir », s’est enthousiasmé John Brennan. Il a rappelé que les informations retrouvées à l’intérieur de la villa dans laquelle Oussama Ben Laden a passé ses derniers jours ont révélé que le leader lui‑même « avait clairement senti qu’Al Qaida perdait de son influence dans les cœurs et les esprits ».

« Nous continuerons à être clairs et précis avec notre ennemi. Nous continuerons à utiliser tous les outils à notre disposition et les appliquerons de manière judicieuse », a déclaré mr John Brennan. Al Qaida, ainsi que « ses affiliés et supporters » resteront la cible principales des opérations américaines a‑t‑il poursuivi.

La Maison Blanche s’inquiète également de voir Al Qaida prendre le contrôle dans les pays arabes traversés par une vague de révolutions populaires, notamment au Yémen où est fortement implanté le réseau Al Qaida dans la Péninsule arabique, considéré comme « la plus active des branches », selon John Brennan.

Autre nouveauté de ce document : la possibilité d’une menace terroriste venant de l’intérieur du territoire américain. Ces dernières années, les États‑Unis ont en effet arrêté plusieurs ressortissants ou résidents américains sur le point de commettre un attentat. Mr John Brennan a rappelé le cas de l’Americano‑Pakistanais Faisal Shahzad qui a tenté de faire exploser un véhicule piégé en plein Times Square en mai 2010. Il y a aussi eu les cas de Najibullah Zazi, originaire du Pakistan, arrêté en 2009 pour avoir préparé des attaques suicides dans le métro new yorkais, ainsi que le cas de Umar Farouk Abdulmutallab, Nigérian résidant aux États‑Unis, qui a tenté de faire exploser un avion de la compagnie American Airlines à destination de Détroit, le 25 décembre 2009.

« C’est la première fois que la stratégie de lutte antiterrorisme se concentre sur la capacité d’Al Qaida et ses réseaux affiliés à encourager des individus résidant sur le sol américain pour nous attaquer de l’intérieur », a expliqué John Brennan. Dans ce contexte, il a appelé à une forte collaboration avec les musulmans américains pour aider à combattre la montée de l’extrémisme local aux États‑Unis. « Les musulmans ne sont pas une partie du problème mais une partie de la solution », a‑t‑il déclaré, rappelant que les États‑Unis n’étaient pas en guerre contre l’Islam.

Algerie France Madame Zhor Drif Bitat



Algérie : Des élus du conseil de la nation en France
A l’invitation du groupe d’amitié « Algérie-France », une délégation du conseil de la nation se rendra ce Lundi en France. La délégation Algérienne sera Présidée par Madame Zhor Drif Bitat.

cadres algériens reçoivent le MBA à la Sorbonne



Ils sont cadres à Sonatrach, Sonelgaz, BNP-Paribas ou même Emploitic.com et forment la 6e promotion MBA de la MDI Business School d'Alger, premier établissement privé d’enseignement supérieur de gestion en Algérie. Dans un amphi de la prestigieuse université parisienne Panthéon-Sorbonne, ils ont reçu mercredi leur diplôme, couronnement de dix-huit mois d'intenses efforts. Les étudiants de MDI étaient là avec ceux de l'université Saint-Joseph de Beyrouth, un établissement célèbre et plus que centenaire qui a vu passer sur ses bancs nombre de personnalités libanaises (chefs d'État, ministres, écrivains, journalistes), et ceux de l'Analysis Institute of Management de l'île Maurice. Le diplôme est le fruit d'un partenariat entre ces universités et Paris-Dauphine, la plus cotée en France dans la filière gestion et l'IAE (Institut d'administration de l'entreprise) de Paris. Solennelle, la cérémonie a été parrainée par le président de Wataniya Télécom Algérie (Nedjma), Joseph Ged, qui a loué “la réussite algérienne”, encourageant les cadres installés en France à aller travailler en Algérie qui “a besoin de vous”. Dans son allocution, M. Ged a même formulé l'espoir que le “printemps des peuples” arabes puisse apporter plus de “stabilité” et de “démocratie” dans les pays qu'il illumine de ses rayons de liberté. Interrogé ensuite par Liberté,
M. Ged a qualifié de “success story” l'aventure de MDI, l'établissement dirigé par Brahim Benabdeslem et qui fête cette année ses 15 ans dans un pays où les sociétés étrangères peinent à trouver les cadres qualifiés tant la formation universitaire n'est pas adaptée au monde de l'entreprise. Nedjma, a rappelé
M. Ged, a d'ailleurs mis en place son propre institut de formation qui a assuré plus de 65 000 heures d'enseignement depuis 2004. Pour autant, “l'Algérie est capable de s'affirmer dans n'importe quel secteur”, juge-t-il. Pour preuve, la réussite de Nedjma qui a réalisé en 2010 un taux de croissance de 50%, le plus fort de la zone Mena.“Ce n'est pas le fruit du hasard” mais celui “des cadres algériens dont je suis particulièrement fier”. Sur les 2 000 salariés de sa société, l'équipe dirigeante est formée pour moitié d'Algériens et pour moitié d'expatriés. Dans d'autres proportions, le site Emploitic.com est un autre exemple de réussite. Alors que l'Algérie est à la traîne sur l’Internet, le site est devenu, avec une moyenne de 2 000 connexions jour, la référence en matière d'offres et de recherche d'emploi pour les cadres. Il compte aujourd'hui une trentaine de collaborateurs, selon Lila Aït Hamlet, responsable de l'équipe commerciale, qui a suivi la formation MBA en marketing et management de la distribution. Par : A. O LIBERTE