阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门
指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

retrouver ce média sur www.ina.fr

commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Saturday, January 22, 2011

Hommage à l'abbé Pierre 2011 Youtube



En hommage à l'abbé Pierre, décédé il y a tout juste quatre ans, une oeuvre commémorative réalisée par Jonone, un street artiste-graffeur, a été dévoilée samedi au square des Deux-Nethes, situé dans le 18e arrondissement de Paris. Le délégué général de la Fondation Abbé Pierre, Patrick Doutreligne, le maire de Paris Bertrand Delanoë et son adjointe chargée de la solidarité, Olga Trostiansky, étaient présents.

Henri Grouès, dit l’abbé Pierre, né le 5 août 1912 à Lyon et mort le 22 janvier 2007 à Paris, était un prêtre catholique français, résistant puis député, fondateur du Mouvement Emmaüs (organisation laïque de lutte contre l'exclusion) comprenant la Fondation Abbé-Pierre pour le logement des défavorisés et de nombreuses autres associations, fondations et entreprises de l'économie sociale, en France et partout dans le monde.
Henri Grouès est né le 5 août 1912 à Lyon (IVe) dans une famille bourgeoise aisée et pieuse de négociants en soie lyonnais, originaire, du côté paternel, du hameau de Fouillouse à Saint-Paul-sur-Ubaye, et de Tarare dans le Rhône du côté maternel. Il est le cinquième de huit enfants. Il a été baptisé à l'église Saint-Eucher, dans le 4e arrondissement de Lyon. Il passe son enfance à Irigny, une commune au Sud-Ouest de Lyon. À 12 ans, il accompagne son père à la confrérie séculaire des Hospitaliers veilleurs, où les bourgeois se font coiffeurs barbiers pour les pauvres.

Élève à l'externat Saint-Joseph (actuel lycée Saint-Marc), il fit partie des scouts de France, dans lesquels il fut totémisé « Castor Méditatif ». En 1928 à 16 ans, après un « coup de foudre avec Dieu » selon ses propres mots, il veut entrer dans les ordres franciscains, cependant il devra attendre d'avoir 17 ans et demi. À ce sujet il déclara « On me disait beau gosse, peut-être même un peu mondain, pourtant, le lendemain je serai moine. »
En 1931, il fait profession chez les capucins où il prononce ses vœux. Il renonce cette année-là à sa part du patrimoine familial, et donne tout ce qu’il possède à des œuvres caritatives. En religion, Henri Grouès devient frère Philippe. En 1932, il entre au cloître, au couvent de Crest où il passe sept années d'austérité religieuse.

Le samedi 18 décembre 1937, il est ordonné diacre par Mgr Pic, évêque de Valence (Drôme) dans la chapelle du Grand Séminaire, 75 rue Montplaisir, qui abrite aujourd'hui le Lycée Privé Catholique Montplaisir.

Il est ordonné prêtre le 24 août 1938 en la chapelle du lycée Saint-Marc. En avril 1939, il est nommé vicaire à la Basilique Saint-Joseph de Grenoble.
Il est mobilisé comme sous-officier dans le régiment du train des équipages, en décembre 1939, au début de la Seconde Guerre mondiale.

Selon sa biographie officielle issue des archives officielles du Ministère de la Défense Nationale, « vicaire à la Cathédrale Notre-Dame de Grenoble, il recueille des enfants juifs dont les familles ont été arrêtées lors des rafles des Juifs étrangers en zone Sud, en août 1942 .

La même année, il fait passer en Suisse le plus jeune frère du général de Gaulle, Jacques, ainsi que son épouse. Il participe à la création de maquis dont il est un des leaders dans le massif du Vercors et le massif de la Chartreuse. C'est à cette époque qu'il rencontre Lucie Coutaz, qui le cache sous un faux nom, et restera sa secrétaire particulière jusqu'à sa mort en 1983. Elle est considérée comme la cofondatrice du Mouvement Emmaüs.

Il aide les réfractaires au Service du travail obligatoire (STO). Il prend le nom d’abbé Pierre dans la clandestinité. En 1944, il est arrêté par l’armée allemande à Cambo-les-Bains, dans les Pyrénées-Atlantiques, mais est relâché et passe en Espagne puis rejoint via Gibraltar le général de Gaulle à Alger en Algérie. Il devient aumônier de la Marine sur le Jean Bart à Casablanca (Maroc).

Ses actions dans la résistance lui valent la Croix de guerre avec palme à la Libération. De son expérience passée et des drames dont il a été témoin, il doit, comme bien d’autres résistants de tout bord qui l’ont côtoyé, son engagement politique pour restaurer une société digne fondée sur les droits humains fondamentaux, mais aussi sa profonde détermination à agir pour des causes qu’il croit justes, y compris parfois dans l’illégalité, et à mobiliser autour de lui pour faire changer les lois établies et les regards indifférents
wikipedia

Madame Catherine Ashton, haute représentante de la diplomatie européenne Istanbul 2011,



par David Brunnstrom et Parisa Hafezi
Les négociations avec l'Iran échappent à une fin prématurée
ISTANBUL (Reuters) - Les négociations entre l'Iran et les grandes puissances sur le programme nucléaire de Téhéran se heurtent à l'intransigeance des deux parties mais reprennent ce samedi après avoir échappé à une fin prématurée.

Catherine Ashton, haute représentante de la diplomatie européenne, a convaincu la délégation iranienne de ne pas quitter Istanbul, a dit un diplomate occidental.

Le groupe des Six - Allemagne, Grande-Bretagne, France, Russie, Chine, Etats-Unis - ne s'attend pas pour autant à des avancées majeures, l'Iran n'ayant se refusant à envisager de suspendre l'enrichissement d'uranium.

Les puissances occidentales soupçonnent l'Iran de vouloir se doter de l'arme nucléaire, ce dont Téhéran se défend, affirmant vouloir utiliser l'énergie atomique pour produire de l'électricité.

Les deux jours de discussions d'Istanbul constituent le prolongement d'entretiens qui se sont déroulés le mois dernier à Genève, les premiers à se tenir en plus d'un an.

"Nous étions préparés à la possibilité d'un potentiel effondrement" des pourparlers, a dit un diplomate occidental, saluant la ligne dure adoptée par Ashton et l'unité des Six.

"Elle semble avoir réussi à réduire le fossé et les Iraniens semblent négocier positivement avec elle", a dit un autre diplomate.

Le Conseil national de sécurité iranien a publié un communiqué repris par la télévision iranienne dans lequel il fait état d'une "atmosphère positive" lors de la première journée de discussions, vendredi.

ÉCHANGE

L'un des collaborateurs à Istanbul du négociateur iranien Saeed Jalili a fixé lors de la réunion les limites que Téhéran n'entend pas laisser franchir.

"Nous n'admettrons aucune discussion à la réunion d'Istanbul sur le gel ou la suspension des activités iraniennes d'enrichissement (de l'uranium)", a dit Abolfazl Zohrevand.

"Jusqu'ici cette question n'a pas été abordée, n'a pas été soulevée ou mentionnée par l'autre partie", a-t-il ajouté. "Il ne peut être question de discuter des droits nucléaires de l'Iran."

Durant leur entretien d'une heure et demie, Ashton et Jalili sont restés sur leurs positions.

La diplomate britannique avait pour objectif de le convaincre d'accepter une série de réunions bilatérales, en particulier avec les Etats-Unis avec lesquels l'Iran n'entretient pas de relations depuis trente ans. Washington se dit prêt à débattre avec Téhéran.

"Nous avons fortement mis en avant le fait que nous voudrions entamer ce processus", a dit Ahston. "Nous n'avons pas encore réussi à entrer dans les détails."

Ashton a ébauché une possible nouvelle offre d'échange de combustible nucléaire mais ne l'a pas encore formulée, l'Iran posant comme condition la suspension des sanctions économiques.

Cette offre consisterait à transférer à l'étranger du combustible faiblement enrichi en échange de combustible nucléaire enrichi à 20% pour alimenter un réacteur de recherches médicales à Téhéran.

Le but serait de faire sortir d'Iran assez d'uranium faiblement enrichi pour éviter que Téhéran en accumule des quantités suffisantes pour se doter de l'arme atomique.

L'Iran en avait accepté le principe en octobre 2009, avant de faire marche arrière quelques semaines plus tard. Depuis lors, les stocks iraniens d'uranium faiblement enrichi ont doublé et Téhéran a commencé à purifier de l'uranium à 20%.

On estime que les 1.200 kg évoqués en 2009 correspondent en gros à la quantité de combustible nécessaire à la fabrication d'une bombe, à condition qu'il soit enrichi à plus de 90%. Les grandes puissances estiment dès lors que tout futur échange devra porter sur des quantités supérieures à ces 1.200 kg. L'Iran s'en tient à la proposition initiale.

Avec Simon Cameron-Moore; Nicole Dupont et Clément Guillou pour le service français

le président américain Mr Barack Obama via YouTube 27 janvier 2011


Obama interviewé jeudi via YouTube
Le président américain Barack Obama répondra en direct à des questions posées par les utilisateurs de YouTube jeudi prochain, annonce la Maison-Blanche.
M. Obama répondra en direct sur le site de partage de vidéos à 20h30 (heure de Paris), deux jours après avoir prononcé devant le Congrès le discours annuel sur l'état de l'Union, qui est traditionnellement l'occasion pour les présidents américains de définir les enjeux et leur programme pour l'année à venir.
M. Obama avait déjà mené 40 minutes d'interview avec les utilisateurs de YouTube à la suite du discours de l'an dernier, une initiative qui s'inscrit dans la volonté de la Maison Blanche d'être au contact des internautes.
Mardi soir, de hauts responsables de la Maison Blanche répondront sur le site de la présidence WhiteHouse.gov aux questions posées par les utilisateurs de Twitter ou Facebook dès que le discours aura été prononcé.
Quant au porte-parole de M. Obama, Robert Gibbs, il répondra aux questions sur son fil Twitter @PressSec dès avant le discours.
YouTube retransmettra en direct le discours de M. Obama et la réponse des républicains.
Les questions adressées au Président devront être envoyées à youtube.com/askobama, si possible sous forme de vidéos d'une vingtaine de secondes. M. Obama répondra aux questions qui auront reçu le plus de voix de la part des utilisateurs du site.
L'an dernier, l'une des questions les plus populaires avait porté sur la légalisation de la marijuana, certains groupes de pression ayant mobilisé leurs partisans sur YouTube à cet effet.