阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

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指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Tuesday, February 01, 2011

UPM Union pour la Méditerranée commence 2011



L'Union pour la Méditerranée (UPM), officiellement dénommée « Processus de Barcelone : Union pour la Méditerranée »[citation nécessaire], est une organisation internationale intergouvernementale à vocation régionale. Fondée à l'initiative du président de la République française Nicolas Sarkozy, le 13 juillet 2008, dans le cadre de la présidence française de l'Union européenne, l'organisation est destinée à donner un nouveau souffle au processus de Barcelone, partenariat liant l'Europe aux pays riverains de la Méditerranée.

L'UPM, dont le siège est hébergé à Barcelone, rassemble des États riverains de la mer Méditerranée et l'ensemble des États membres de l'Union européenne (UE). Elle compte ainsi 44 membres : aux 27 membres de l'Union européenne s'ajoutent l'Albanie, l'Algérie, la Bosnie-Herzégovine, la Croatie, l'Égypte, Israël, la Jordanie, le Liban, le Maroc, la Mauritanie, Monaco, le Monténégro, l'Autorité palestinienne, la Syrie, la Tunisie, la Turquie et la Ligue arabe (en tant que telle).

Les principaux buts de l'organisation sont d'ordre énergétique et environnemental : l'eau, l'énergie (notamment solaire), l'environnement — tout particulièrement la dépollution de la Méditerranée — et l'autoroute de la mer comptent parmi les enjeux au cœur du projet. À l'inverse, des sujets moins consensuels comme l'immigration, la nature des régimes politiques des États membres ou le conflit israélo-palestinien ont été écartés.
Le sommet fondateur de l'Union pour la Méditerranée s'est déroule le 13 juillet 2008 à Paris à l'invitation de la France et de l'Égypte. Les pays riverains de la Méditerranée et de l'UE sont représentés à ce sommet au plus haut niveau de l'État. La Libye assiste au sommet au titre d'observateur et est représentée par son ministre des affaires étrangères. La France, qui assure la présidence du Conseil de l'Union européenne, invite également les chefs d'État et de gouvernement de l'UPM à assister au défilé militaire du 14 juillet.
La nouvelle institution doit prendre son essor sur six projets mobilisateurs : la dépollution de la Méditerranée, les autoroutes maritimes et terrestres, la protection civile pour répondre aux catastrophes naturelles, une université euro-méditerranéenne, l’énergie solaire et une « initiative méditerranéenne de développement des affaires ». L'omission de toute référence à la démocratie et aux droits de l'homme dans la déclaration marque une régression par rapport aux objectifs du Processus de Barcelone.

Son organisation est fondée sur une coprésidence entre un dirigeant de la rive nord, désigné selon les mécanismes de représentation en vigueur au sein de l'UE, et un dirigeant de la rive sud, désigné par consensus dans les États concernés. Le président égyptien et le président français sont les deux premiers coprésidents malgré les débats atour de la décision.

Le budget de l'organisation doit être assuré par le lancement du fonds Inframed par la Caisse des dépôts française et la Cassa depositi e prestiti italienne, qui a pour objectif d'atteindre un montant global de 600 millions d'euros. Les riches États du Golfe sont considérés comme des bailleurs de fonds potentiels.

Malgré ces manques, ce sommet marque un succès diplomatique pour la France notamment en offrant un cadre favorisant la paix au Proche-Orient. La présence au sein de la même enceinte des chefs d'État ou de gouvernement d'Israël, de la Syrie, du Liban et de l’Autorité palestinienne marque en effet une volonté de dialogue pour résoudre les conflits au Proche-Orient. Le 12 juillet 2008, le président syrien Bachar el-Assad et le président libanais Michel Sleimane annoncent chacun au palais de l'Élysée leur intention de normaliser leur relations diplomatiques en ouvrant une représentation diplomatique respectivement à Beyrouth et à Damas.

La contagion atteint la Jordanie et même la Syrie



Yves Bourdillon
Moyen-Orient : la contagion atteint la Jordanie et même la Syrie
Le roi Abdallah de Jordanie a nommé Maarouf Bakhit à la tête du gouvernement, et l'a chargé de mener des « réformes [...] en faveur de la démocratie. En Syrie a été lancé sur Facebook un appel à manifester vendredi.Ceux qui évoquent un « printemps arabe » ou une chute des régimes autoritaires comme des dominos, à l'image de ce qui s'était passé en Europe de l'Est en 1989, tournent désormais leurs yeux vers la Jordanie, la Syrie ou le Yémen. A Amman, le roi Abdallah a compris le message de la rue où, depuis la chute de Ben Ali en Tunisie, des milliers de manifestants protestent contre la vie chère, sans oser toutefois aller jusqu'à exiger un changement de régime. Il a nommé mardi 1er février Maarouf Bakhit à la tête du gouvernement jordanien en remplacement de Samir Rifaï et l'a chargé de « prendre des mesures claires et rapides pour des réformes politiques réelles [...] en faveur de la démocratie ».

La nomination de Maarouf Bakhit, un ancien ambassadeur qui avait dirigé le gouvernement entre 2005 et 2007, devrait calmer la rue car il jouit d'une grande popularité. Le Front de l'action islamique (FAI), principal parti d'opposition issu des Frères musulmans, qui a réitéré lundi qu'il reconnaissait la légitimité de la monarchie, a toutefois critiqué cette nomination. Il a estimé que le nouveau chef du gouvernement n'était pas un réformateur et a annoncé qu'il continuerait à organiser des manifestations sur le thème des impôts et des trucages électoraux. Le FAI avait boycotté les législatives de novembre dernier, qui s'étaient traduites par un raz-de-marée pour le parti au pouvoir.

En Syrie, considérée comme l'un des régimes les plus répressifs de la région, un appel à manifester vendredi après la prière contre « la monocratie, la corruption et la tyrannie » a été lancé récemment par un groupe sur Facebook. Celui-ci, qui réunissait 7.800 membres hier, dénonce l'accaparement des richesses du pays par les proches du président Bachar al-Assad. Facebook est bloqué par les autorités mais les internautes, grâce à certains programmes, peuvent contourner la censure.

Cette vague de contestation, si elle est généralement vue avec bienveillance en Occident, inquiète les pays du Golfe. Ces derniers, à l'abri d'une contestation sociale en raison d'un Etat providence très généreux, affirment craindre la déstabilisation de leurs voisins. Riyad a vivement critiqué les manifestations égyptiennes. En revanche, l'Iran chiite, qui avait durement réprimé en 2009 des manifestations contestant la réélection de Mahmoud Ahmadinejad, affirme que la révolte en Egypte va aider à créer « un Moyen-Orient islamique ».

En Israël, le gouvernement, comme la presse, a critiqué l'Europe et, surtout, l'administration Obama pour avoir « laissé tomber un allié loyal » en Hosni Moubarak, garant de la paix régionale. Angela Merkel, la chancelière allemande, a rétorqué hier à Israël qu'en matière de droits de vote, de liberté ou de chômage des jeunes, « vous ne pouvez pas diviser vos principes et dire qu'ils s'appliquent dans certains pays et pas du tout dans d'autres ».

YVES BOURDILLON

Jordanie communication 2011


Le roi Abdallah de Jordanie limoge le gouvernement
AMMAN (AP) — Le roi Abdallah II de Jordanie a limogé son gouvernement à la suite des manifestations dans plusieurs villes du pays et chargé un ancien général, Marouf al-Bakhit, de former un nouveau cabinet, a annoncé mardi le Palais royal.

Le gouvernement du Premier ministre Samir Rifai a présenté mardi sa démission, ajoute-t-on de même source. Des milliers de personnes ont manifesté pour exiger la démission du gouvernement, des mesures contre la vie chère et plus d'ouverture démocratique dans le pays.

Imitant l'exemple du mouvement de protestation en Tunisie, les Jordaniens sont descendues dans la rue pour plus de démocratie et de pouvoir d'achat.

Inquiet de la colère de la rue, le gouvernement jordanien a notamment annoncé des subventions équivalant à 91 millions d'euros sur les produits alimentaires de base et le carburant, et une augmentation surprise pour les fonctionnaires.

L'opposition a dénoncé des effets d'annonce et exigé que les Jordaniens élisent eux-mêmes leur Premier ministre, nommé par le roi Abdallah II. Actuellement en Jordanie, seuls les députés de la chambre basse du Parlement, ainsi que les maires et conseils municipaux, sont élus au suffrage universel.

Allié des Etats-Unis dans la région, Abdallah II a accédé au trône en 1999, s'engageant à faire du royaume un modèle de démocratie dans le monde musulman. Les réformes se sont toutefois avérées lentes, officiellement pour limiter l'influence islamiste dans la région. AP

ll/v0330

Egypte BFMTV YOUTUBE communication 2011

Egypte communication Google Tweeter 2011



afp 01.02.2011 09:09
Egypte: Google permet de «tweeter» par téléphone
cOMMUNICATIONS Google a annoncé lundi que les Egyptiens pourront communiquer avec Twitter via le téléphone. Une manière de contourner le blocage d’internet.


Le groupe internet Google a annoncé lundi qu’il avait coopéré avec Twitter pour mettre en place un système permettant aux Egyptiens d’envoyer des messages sur le site de microblogs par téléphone, en contournant le blocage d’internet. Le dernier fournisseur d’accès qui fonctionnait encore en Egypte a auparavant été coupé.

«Cela marche déjà et tout le monde peut ’tweeter’ en laissant simplement un message téléphonique à l’un des numéros internationaux suivants: +1 650 419 4196 ou +39 06 62 20 72 94 ou + 97 316 199 855. Le service mettra instantanément le message (sur Twitter) en utilisant le mot-clé ’egypt’», ont annoncé des responsables de Google sur le blog officiel du groupe.

«Aucune connection internet n’est nécessaire. Les gens peuvent écouter les messages en faisant les mêmes numéros de téléphone ou en allant (sur le site internet) twitter.com/speak2tweet», ont-ils ajouté.

Fournisseur d’accès bloqué

«Nous espérons que cela contribuera à aider les gens en Egypte à rester connectés dans cette période très difficile», concluent Ujjwal Singh, le co-fondateur de la société SayNow qui vient de se faire racheter par Google, et AbdelKarim Mardini, directeur produits pour le Moyen-Orient et l’Afrique.

Cette annonce intervient alors que selon le site américain Renesys, spécialisé dans la surveillance de la Toile, le dernier fournisseur d’accès à internet qui fonctionnait encore en Egypte, celui du groupe Noor, a été bloqué lundi.

«Nous avons réfléchi à ce que nous pouvions faire pour aider les gens sur le terrain», ont encore expliqué MM. Singh et Mardini. «Durant le week-end nous avons eu l’idée d’un service permettant de ’parler pour tweeter’: la possibilité de ’tweeter’ avec une connexion téléphonique vocale».

Google, dont la devise est «ne pas faire le mal», est un défenseur affiché de la liberté d’internet. Il y a un an il avait menacé de quitter la Chine si c’était le prix à payer pour refuser la censure de son moteur de recherche.