阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门
指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

retrouver ce média sur www.ina.fr

commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Friday, February 25, 2011

Mr le président Nicolas Sarkozy refonder l'UPM l'Union pour la Méditerranée 2011


Par Charles Jaigu
Sarkozy promet de revenir «en famille» en Turquie

Le chef de l'État s'est efforcé de calmer la grogne des Turcs et a évoqué un «compromis possible» avec l'Union européenne.

À Ankara

Nicolas Sarkozy est arrivé à Ankara vendredi dans une ambiance de crise larvée, après les sorties martiales du premier ministre, Recep Tayyip ­Erdogan, qui a déploré la visite de «seulement» six heures du président français et stigmatisé son refus d'une adhésion de la Turquie. Il en est reparti dans un climat beaucoup moins belliqueux, après avoir accepté de revenir pour une visite d'État, «en famille», dès cette année si possible. «J'accepte avec enthousiasme», a dit Sarkozy, en émettant le vœu de visiter Istanbul.


«La franchise de l'amitié»

L'objectif de cette visite de travail était avant tout de préparer le rendez-vous du G20, à Cannes, en novembre prochain. «Les Turcs ont une diplomatie à 360 degrés, ils estiment qu'ils ont leur mot à dire sur tous les sujets du G20», assurait vendredi l'entourage du chef de l'État pour justifier cette visite, considérée comme risquée par son entou­rage. Au final, un séminaire sur la régulation du prix de matières premières devrait se tenir en Turquie «au mois d'avril», a annoncé Nicolas Sarkozy. Mais les Turcs et les Français avaient bien autre chose en tête: la présence du président français était l'occasion de s'expliquer sur le refus d'une entrée de la Turquie en Europe.

«Depuis dix-neuf ans, aucun président français n'était venu en Turquie», a rappelé Nicolas Sarkozy lors de la conférence de presse conjointe avec son homologue Abdullah Gül. Il a fait valoir que lui, au moins, a accepté de venir s'expliquer en Turquie «avec franchise», mais «en ami». «Encore faut-il que les dirigeants aient le courage de venir» , a-t-il glissé, en allusion à ses prédécesseurs. «Entre l'adhésion et l'association, il y a un chemin d'équilibre et un compromis possibles», a aussi plaidé Sarkozy. Il a avancé que la ­France ne s'opposait pas pour le moment à la poursuite de la négociation: «Nous avons ouvert deux chapitres sous la présidence française», a-t-il rappelé. Et si les négociations sont aujourd'hui au point mort, «ce n'est pas la France» qui en est la cause, a encore expliqué Sarkozy. Il a notamment rappelé que c'est la Commission européenne qui a gelé le processus tant que le gouvernement turc refusera de reconnaître la partie grecque de Chypre.


«Refonder l'UPM»

Il s'agissait aussi du premier déplacement de Nicolas Sarkozy dans un pays proche des zones de turbulences du Maghreb et du Moyen-Orient. L'occasion, pour lui, de proposer «une relance» de l'Union pour la Méditerranée portée avec faste sur les fonds baptismaux en juillet 2008, mais paralysée depuis. «Le temps est sans doute venu de refonder l'UPM. Jusqu'à présent et depuis la guerre, nous traitions avec des régimes autoritaires, sans alternative crédible», a-t-il analysé, en annonçant qu'il souhaitait demander «la réunion d'un Conseil européen sur cette question».

«C'est un tournant historique que personne n'avait prévu», a-t-il lancé, en visant notamment les commentaires qui couvrent d'éloges la diplomatie américaine et regrettent une France restée «sans voix». «Vous voulez que nous décidions à la place des Tunisiens et des Égyptiens ?», a-t-il interrogé, en mettant en garde contre toute tentative de récupération venue de Washington ou d'ailleurs, car «ce qui se passe au Moyen-Orient appartient d'abord aux peuples du Moyen-Orient». Il s'est notamment étendu sur les massacres perpétrés en Libye par le régime du colonel Kadhafi. «M. Kadhafi doit partir», a-t-il martelé. En ajoutant que la France souhaitait que l'on saisisse la Cour pénale internationale. Il s'est en revanche opposé à toute intervention militaire : «Il faut être prudent et ne pas donner de crédibilité à ceux qui crient au complot de l'étranger», a-t-il observé.

Mr le Ministre Dominique de Villepin accepter la Proposition de Mr le president Nicolas Sarkozy



Villepin n'a pas (encore) refusé le Quai d'Orsay
Par Anna Cabana Nicolas Sarkozy a bel et bien proposé à Dominique de Villepin de devenir ministre d'État, ministre des Affaires étrangères et numéro deux du gouvernement. Cette offre audacieuse a été faite jeudi 24 février au matin, lors de leur interminable rendez-vous à l'Élysée. "Dominique, j'ai besoin de vous", a assuré le chef de l'État. Nicolas Sarkozy n'a pas demandé une réponse immédiate à l'ancien Premier ministre, qui n'a pas dévoilé ses intentions.

mr le Président Nicolas sarkozy Mr le ministre Dominique de Villepin le Quai d'Orsay




Mr le Président nicolas Sarkozy a proposé le Quai d'Orsay à mr le Ministre Dominique Villepin

Mr le Président Nicolas Sarkozy dailymotion Turquie


Sarkozy et la question turque ..
envoyé par rubeyda. - Regardez les dernières vidéos d'actu.

Mr le president Nicolas Sarlozy Turquie


Sarkozy propose un séminaire en Turquie
Nicolas Sarkozy a proposé vendredi à la Turquie d'accueillir en avril un séminaire ministériel sur la régulation des prix des matières premières, une des priorités de la présidence française du G20. Lors d'une conférence de presse au côté du président turc Abdullah Gül, le président français a jugé "très important pour la France" d'avoir le soutien de la Turquie sur cette question et celle d'une réforme du système monétaire international.

"La présidence française serait très heureuse qu'on puisse organiser un séminaire au mois d'avril en Turquie, en accord avec nos amis russes qui jouent un rôle essentiel sur le sujet" de la régulation du prix des matières premières, a-t-il dit. "On pourrait parfaitement imaginer une co-animation turque et française. Ça sera un élément décisif parce que le soutien de la Turquie sur cette question est absolument essentiel."

Turquie Europe France



Sondage: 53% des Français pas favorables à l'entrée de la Turquie dans l'UE
(AFP) – Il y a 3 heures

PARIS — Une majorité de Français (53%) ne sont pas favorables à l'entrée de la Turquie dans l'Union européenne, une opinion toutefois en baisse, selon un sondage publié en France vendredi, jour d'une visite du président Nicolas Sarkozy à Ankara.

Quelque 21% des personnes interrogées sont "plutôt pas favorables" à l'entrée de la Turquie au sein de l'UE, et 32% "pas favorables du tout" à cette idée, selon ce sondage TNS-Sofres qui précise toutefois que ces catégories sont en baisse (-2 % et -3 %) par rapport à une enquête similaire de 2002.

Parmi les plus fervents opposants à l'entrée de la Turquie dans l'UE figurent les sympathisants du parti majoritaire UMP (droite) de Nicolas Sarkozy (71%) et du parti d'extrême droite FN (87%), ainsi que ceux des centristes du MoDem (68%).

A l'inverse, 29% des personnes interrogées se disent "plutôt favorables" (+5%) à l'entrée de la Turquie, tandis que le nombre de personnes "très favorables" s'élèvent à 6% (+1%), selon ce sondage réalisé en février pour la chaîne de télévision Canal +.

On y retrouve surtout les 18-24 ans (45%), les cadres et professions intellectuelles (48%), les sympathisants de gauche (47%) et les sympathisants écologistes Verts (50%).

Les Français opposés à l'entrée de la Turquie avancent comme principaux motifs "les différences culturelles et religieuses" (44%) et sa situation géographique par rapport à l'Europe (38%).

Viennent ensuite le manque de démocratie (33 %), le nombre important de pays déjà membres de l'UE (24%) et l'attitude de la Turquie sur certaines questions internationales (22%). Seuls 16% évoquent des raisons économiques.

Copyright © 2011 AFP

Union pour la Méditerranée le figaro.fr

Algerie UPM Union pour la méditerranée 2011,



Les banques UniCredit et Intesa Sanpaolo rejoignent le projet


Les deux plus grandes banques italiennes UniCredit et Intesa Sanpaolo ont annoncé, hier, qu'elles rejoignaient le projet Desertec de centrales solaires géantes en Afrique du Nord et au Moyen-Orient. UniCredit a indiqué, dans un communiqué, qu'elle prenait part à Desertec en devenant actionnaire de la société DII, qui chapeaute le projet, sans préciser le niveau de sa participation. Intesa Sanpaolo a annoncé de son côté, dans un communiqué qu'elle rejoignait Desertec en tant que "partenaire associé et sponsor". Sa division banque de financement et d'investissement prendra part aux "activités et aux phases de réalisation du projet".
Le projet Desertec vise à créer d'ici 40 ans un vaste réseau d'installations éoliennes et solaires en Afrique du Nord et au Moyen-Orient, censées fournir à terme jusqu'à 15% de la consommation d'électricité de l'Europe. L'investissement nécessaire est estimé à quelque 400 milliards d'euros.
D'ici fin 2012, DII s'est fixé comme objectif d'avoir défini les grandes lignes de Desertec: emplacement des installations, financement, répartition approximative entre solaire et éolien. Les principaux initiateurs du projet lancé en 2009 sont Allemands. Parmi eux figurent le réassureur Munich Re, les groupes d'énergie EON et RWE ou encore Deutsche Bank. Au fur et à mesure, d'autres groupes ont pris une part du projet comme les Italiens Enel Green Power et Terna, le français Saint-Gobain ou encore l'Espagnol Red Electrica. De nombreux autres groupes ont rejoint le projet en tant que partenaires associés sans prendre de part de DII.
Il s'agit de construire une trentaine de centrales thermiques (et non photovoltaïques) dans le Sahara, lesquelles pourraient fournir, dans un délai de 40 ans, environ 15 % de l'énergie consommée par les Européens. Dix-sept partenaires industriels ont uni leurs forces dans le projet Desertec, soutenus par le gouvernement allemand, l'Union européenne et Greenpeace. Parmi ces partenaires : le groupe Saint-Gobain. Mais un certain flou entoure les modalités de financement de ce chantier, d'autant plus que des difficultés politiques ne manqueront pas d'apparaître. Reste donc à mettre en place les infrastructures qui achemineront cette énergie solaire vers les pays du vieux continent, d'où la nécessité de déployer le le projet Transgreen. Consultant auprès de l'UMP, Patrick Le Berrigaud commente: "Des scientifiques travaillent sur ce projet, mais nous en sommes encore aux balbutiements (dudit projet), d'autant plus que la Méditerranée étant un écosystème fragile, il faudra prendre toutes les précautions environnementales nécessaires pour faire passer autant de câbles sous les eaux". La société Dii a été fondée pour mettre en place le cadre nécessaire aux investissements destinés à approvisionner les pays de la région Mena et de l'Europe en électricité produite à partir des sources d'énergie solaire et éolienne. L'objectif à long terme est de satisfaire une part substantielle des besoins en électricité des pays de la zone Mena et de répondre à hauteur de 15 % à la demande d'électricité de l'Europe d'ici à 2050.
Dii compte actuellement 17 actionnaires. Les membres fondateurs de Dii étaient ABB, Abengoa Solar, Cevital, la Fondation Desertec, Deutsche Bank, E.ON, HSH Nordbank, Man Solar Millenium, Munich Re, M+W Zander, RWE, Schott Solar et Siemens. Au début du mois, l'initiative industrielle a obtenu le soutien du professeur Klaus Töpfer, ancien directeur exécutif du Programme des Nations Unies pour l'Environnement (PNUE). Töpfer conseillera Dii sur les questions stratégiques.
I. B.

Mr le Ministre Dominique de Villepin Mr le président Nicolas Sarkozy BFMTV Youtube