阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门
指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

retrouver ce média sur www.ina.fr

commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Sunday, April 10, 2011

Accord d’association Algérie - UE

Accord d’association Algérie - UE : Des retards à l’allumage La récente déclaration de M. Ahmed Ouyahia s’exprimant en qualité de secrétaire général du RND à propos de l’accord d’association algéro-européen n’a en réalité pas de quoi surprendre. La récente déclaration de M. Ahmed Ouyahia s’exprimant en qualité de secrétaire général du RND à propos de l’accord d’association algéro-européen n’a en réalité pas de quoi surprendre. Le secrétaire général de RND soulignait dans une récente intervention que l’accord d’association avec l’Union européenne entravait la relance de l’économie nationale. Dans l’esprit de M. Ahmed Ouyahia cette situation est le reflet de profonds déséquilibres qui existent entre les économies des co-signataires de cet accord. L’Algérie réalise avec l’Union européenne près des deux tiers de ses échanges commerciaux à l’importation comme à l’exportation. Cette situation amènent les autorités des deux côtés à définir l’Algérie comme un acteur majeur de l’Union européenne et qu’il était nécessaire de renforcer les relations entre eux. L’accord d’association, a été un processus d’ouverture commerciale important, mais qui au stade de l’évaluation a été considéré comme très contraignant. Les entreprises selon les spécialistes, considèrent pour leur part qu’elles étouffent sous le poids d’une ouverture commerciale unilatérale engagée à ce jour qui risque de se compliquer passablement lors de la conclusion d’un accord avec l’OMC. Il faut rappeler pour cela les termes des rapports. La structure des importations de l’Algérie relève l’intensité de la dépendance de l’économie algérienne vis-à-vis de celle de l’Union européenne. Les exportations hors hydrocarbures algériennes en direction de l’UE, restent pour leur part minimes. L’énergie déclarait M. Mourad Medelci, ministre des Affaires étrangères alors en visite à Bruxelles il y a quelques mois, n’était plus qu’un élément parmi d’autres de la relation Algérie-Union européenne mais ajoutait que pour l’Algérie, c’est encore la source quasi exclusive de sa richesse et que cette situation fragilisait l’ensemble. La diversification du tissu économique national pourrait aider à trouver les équilibres recherchés. La diversification des ressources énergétiques elle-même est évoquée à travers le développement des énergies renouvelables pour lesquelles l’Algérie dispose d’un potentiel important qui commence à susciter l’intérêt aussi bien des Algériens que de leurs partenaires. La vulnérabilité de l’économie nationale reste donc une source de problèmes, dans l’attente d’une diversification qui tarde pourtant à produire des effets. Cette vulnérabilité restreindrait la capacité du pays à définir et à appliquer des politiques compatibles avec les stratégies de développement qui sont déployées. L’ouverture commerciale ainsi imposée a un impact sur le niveau de protection qui doit être abaissé graduellement , celui du démantèlement tarifaire avec un partenaire qui, rappelons-le , concentre aujourd’hui près des deux tiers des échanges commerciaux. C’est aussi l’enjeu des négociations avec l’OMC. Pour les entrepreneurs nationaux, comme pour l’Etat d’ailleurs, la priorité aujourd’hui doit être accordée à la mobilisation de nos ressources nationales d’autant que le pays n’a pu drainer un niveau suffisant d’apports en capitaux étrangers particlièrement dans l’économie hors hydrocarbures . La promotion et la protection de la production nationale est inscrite au cœur du débat sur les conditions de la relance économique, celles même qui suscitaient les inquiétudes et interrogations du secrétaire général du RND. Cette question pose inévitablement le problème majeur de la préservation de l’outil national de production. En dépit de toutes les contraintes citées, rester en dehors des accords multilatéraux ne peut être raisonnablement pris en compte. L’Algérie n’est pas une île isolée dira à ce propos M Ahmed Ouyahia. M Mourad Medelci trouve même que les relations entre l’Algérie et l’UE s’étaient approfondies et avaient gagnées en intensité. Le ministre des Affaires étrangères rappelait pour l’occasion que l’accord d’association n’était pas seulement de nature économique, mais qu’il était global, renfermant un volet politique, sécuritaire, humain. L’Algérie souhaite faire des propositions pour corriger les déséquilibres existants. Le gouvernement est pressé par le monde des entreprises qui a toujours considéré que les termes de la négociation sont de la responsabilité des entreprises, quand la décision d’engagement relève des autorités politiques. Tahar Mohamed Al Anouar

Mr Muammar Kadhafi a accepté une "feuille de route" pour la paix

Mr Muammar Kadhafi a accepté une "feuille de route" pour la paix prévoyant un cessez-le-feu immédiat en Libye lors d'une rencontre avec une délégation de l'Union africaine, qui doit s'entretenir ce lundi avec des responsables de l'insurrection dans leur fief de Benghazi. Le président sud-africain Jacob Zuma, qui dirigeait la délégation africaine à Tripoli dimanche, a invité l'Otan à mettre fin à ses bombardements contre les forces de Muammar Kadhafi

Europe aide humanitaire pour Misrata

Alors que les combats font rage entre les forces loyales à Kadhafi et les insurgés, l'Union européenne s'est dite prête à apporter une aide humanitaire à la ville libyenne assiégée de Misrata. Une opération sécurisée si nécessaire par des moyens militaires, évoquée dans une lettre adressée vendredi par sa chef de la diplomatie, Madame Catherine Ashton, au secrétaire général de l'ONU

Social l'Union européenne

L'Union européenne agit dans de nombreux domaines de la vie sociale : éducation et jeunesse, santé, sport... L'exemple le plus symbolique et le plus souvent cité reste le programme Erasmus, dont 1 million et demi de jeunes Européens ont déjà bénéficié. Un domaine plus méconnu de l'action européenne est celui de l'emploi et des relations sociales. L'UE a édicté un certain nombre de normes protectrices pour les salariés, notamment en ce qui concerne l'égalité hommes-femmes ou la mobilité des travailleurs.

La Politique européenne de voisinage a pour objectif de renforcer la coopération politique, sécuritaire, économique et culturelle

La résolution adoptée jeudi 7 avril par le Parlement européen n'y va pas par quatre chemins. Dans ce texte, les parlementaires affirment que "depuis son lancement en 2004, la Politique européenne de voisinage (PEV) a fait la preuve qu'elle n'était pas en mesure d'atteindre ses objectifs en matière de démocratie et de droits de l'homme ni de faire aboutir les réformes politiques, sociales et institutionnelles indispensables".

Google Youtube avril 2011

Google s'apprêterait à refondre YouTube D'après le Wall Street Journal, Google projette une refonte de YouTube. Ainsi Google (Cet article ou cette section doit être recyclé. Sa qualité devrait être largement améliorée en le réorganisant et en le clarifiant. L'utilisateur qui appose ce bandeau est invité à énoncer les points à améliorer en page de discussion.) compterait investir 100 millions de dollars (70 millions d'euros) pour produire du contenu spécifiquement dédié à sa plateforme vidéo (La vidéo regroupe l'ensemble des techniques, technologie, permettant l'enregistrement ainsi que la restitution d'images animées, accompagnées ou non de son, sur un support...).

Mr Gagarine Youri le premier homme dans l’espace

AFP Mr Youri Gagarine devait être un bon vivant. Alors qu'il s'apprêtait à décoller avec une navette spatiale pour être le premier homme dans l'espace, il pensait déjà à ce qu'il allait boire pour fêter son retour sur terre: de la vodka!"Et c'est parti!" lorsqu'il a décollé le 12 avril 1961, direction l'espace.

Goncourt 2011 Mr Kamel Daoud

Goncourt de la meilleure nouvelle 2011 Fait rare. La très selecte et la très opaque académie littéraire au monde, l'institution du Goncourt a sélectionné les titres pour le prix Goncourt de la nouvelle 2011. Dans la liste, il y a six ouvrages et parmi eux, il y a une signature algérienne, Kamel Daoud. L'on est presque sûr que ça ne va pas apaiser les cœurs qui sont outragement vilipendés outre-mer à cause de leur appartenance raciale ou religieuse, mais un trophée de cette envergure est une carte certaine pour la réputation de l'écrivain, les intérêts du politique… Son livre s'appelle gravement "Le Minotaure 504". C'est le livre le plus frais parmi les publications de Barzakh dans le recueil collectif " Alger quand la ville dort ". Evénement d'ailleurs pour Barzhakh qui a fêté l'an dernier sa décade et qui était récipiendaires du Grand Prix Prince Claus 2010. La maison était l'heureuse élue de la Fondation Prince Claus pour la Culture et le Développement. Une fondation princière des Pays-Bas qui existe depuis 1997 et qui félicitait en 1999 avec le même prix, le dramaturge et comédien Fellag exilé en France depuis cette date. En septembre dernier, l'ambassade des Pays-Bas à Alger, avait annoncé cette bonne nouvelle, puis le 17 décembre 2010, les fondateurs de Barzakh se sont rendus à Amsterdam pour recevoir le trophée de 100.000 euros des mains de la noblesse hollandaise. Bref…. Ces éditions avaient en tout cas lancé l'idée de contribuer à un ouvrage collectif, il y a eu beaucoup de signatures et c'est, Kamel Daoud, auteur et journaliste au quotidien d'Oran qui fut l'heureux élu des sélections du Goncourt. " Minotaure 504" sera donc en compétition avec Claire Castillon, "Les bulles" (Fayard), Frédérique Clémençon, "Les petits" (L'Olivier), Bernard Comment, "Tout passe" (Bourgois), Hubert Haddad, "Nouvelles du jour et de la nuit" (Zulma), Gilles Perrault, "Les deux Français" (Fayard). Mais, " Le minotaure 504" ne partira pas dans sa pochette de récit collectif, il sera séparé de l'édition Barzakh pour être publié en France le 5 mai aux éditions Sabine Wespieser. Le verdict de cette compétition à enjeu sera dévoilé le mardi 3 mai et remis le 24 septembre à Strasbourg. Par ailleurs, Le Minotaure 504 est le titre de l'édition française du recueil de Kamel Daoud " La Préface " du nègre paru aux éditions Barzakh en 2009 et lauréat du Prix Mohammed Dib. Né en 1970 à Mostaganem, Kamel Daoud, tient la chronique quotidienne "Raïna Raïkoum". Il a publié en Algérie des recueils de nouvelles et de chroniques et travaille actuellement à un roman "Contre Meursault " qui paraîtra en janvier 2012. Le très convoité prix Goncourt, qui a couronné en 2010 Michel Houellebecq pour "La carte et le territoire" (Flammarion), sera quant à lui proclamé le mercredi 2 novembre, en même temps que le Renaudot. Il faut dire que c'est l'une des rares fois qu'un algérien accède à cette tribune très serrée du Trophée littéraire du Goncourt, sauf qu'avant ça il y a eu Salim Bachi. " Le silence de Mahomet ", publié en septembre 2008 a été sélectionné pour le Prix Goncourt, le Prix Goncourt des Lycéens et le Prix Renaudot. Dans ce livre, le Prophète devient le sujet d'un roman où quatre de ses plus proches fidèles se souviennent de l'homme qu'il a été, avec ses doutes et ses espérances, ses faiblesses et sa grandeur. Il obtient un vif succès critique et public. Après une année de résidence à la prestigieuse Villa Médicis à Rome en 2007, son troisième roman, "Tuez-les tous", marque un tournant dans son inspiration avec le choix d'un sujet complexe et douloureux. Il se place dans la peau d'un terroriste du 11 septembre, décortiquant les mécanismes de violence et d'aliénation des terroristes. Il poursuit l'étude romanesque du fait religieux - un choix jamais innocent. Par Yasmine Ben

Syndicat interhospitalier de Bretagne Algerie partenariat

Robert Crepeaux, directeur technique au Syndicat interhospitalier de Bretagne au Maghreb "Nous sommes à la recherche de partenaires algériens" En marge du Salon international hospitalier et médical (SIHEM) qui a fermé ses portes, hier, au Palais des expositions (Pin maritimes), nous avons rencontré M. Robert Crepeaux, directeur technique au Syndicat français interhospitalier de Bretagne qui a bien voulu accorder un entretien à notre quotidien. Le pavillon français représente le plus grand nombre d'entreprises spécialisées et exposantes à cette manifestation organisée par l'agence de communication Events en partenariat avec Ubifrance Algérie. Il a insisté essentiellement sur les nouvelles technologies de gestion des hôpitaux et des dossiers des patients qui sont introduites en France. Il est à la recherche de partenaires algériens pour les introduire en Algérie au niveau des hôpitaux... Le Maghreb : En quoi consiste la nouvelle technologie de gestion des dossiers de patients ? Robert Crepeaux : Nous sommes une structure qui édite des logiciels dans le domaine du système d'information médicale avec tout ce qui concerne les applications informatiques nécessaires dans les hôpitaux. Donc nous pouvons parler des dossiers médicaux informatisés, des systèmes permettant aux médecins de prescrire des médicaments, aux laboratoires de prescrire des examens complémentaires et de soins. Et puis nous aidons avec nos systèmes informatiques les soignants à administrer les médicaments, les soins et faire des prélèvements indiqués. D'un bout à l'autre de la chaîne, plus aucun papier sur la table. Toutes les données sont saisies dans un système informatique médical. Il y a donc une sécurité complète du circuit de la prise en charge du patient. Depuis trois mois, l'un des systèmes est mis sur le marché en France. 20 établissements hospitaliers français allant de 200 lits jusqu'au niveau des CHU, comme celui de Lille disposant 3 000 lits, sont équipés de ce système informatique. Notre produit peut donc s'adapter à la taille des établissements avec toutes les facilités voulues comme gestion et accès aux données. Et il y a actuellement 15 autres projets d'équipement d'établissements hospitaliers qui sont en cours de négociations en France. Est-ce que vous êtes présent en Algérie ? Nous sommes venus au mois de novembre 2010 en Algérie dans le cadre d'une mission exploratoire pour rencontrer les responsables algériens et voir les hôpitaux en termes de besoins et d'équipements existants. Nous avons visité quelques hôpitaux d'Alger, comme celui de Kouba, de Blida ainsi que des cliniques privées. A l'issue de ce voyage, nous avons remarqué l'expression d'un intérêt manifeste pour nos solutions technologiques de la part des responsables algériens. Nous allons donc continuer à investir en venant notamment dans les salons organisés en Algérie, pour aller à la rencontre des professionnels afin de leur proposer nos solutions avec plus de précisions par rapport à ce que nous avons fait jusqu'à présent. Nous ne sommes pas encore donc implantés. Et c'est pourquoi nous cherchons des partenaires algériens dans le secteur de la distribution. Les organisations hospitalières algérienne et française sont très proches en termes notamment de coopération et d'échanges d'expériences scientifiques et médicales. Ces solutions sont-elles usitées à l'étranger ? Nos technologies qui sont utilisées en France sont aussi utilisées dans de nombreux hôpitaux européens et occidentaux. Pourquoi ? C'est par ce qu'il s'agit d'une technologie de l'Internet avec toutes les facilités d'accès et de simplifications qui existent sur l'Internet en termes notamment de recherches et de communication. Et puis il s'agit de solutions où nous avons travaillé tout ce qui concerne la saisie de données. Nous avons ainsi développé les saisies tactiles avec de grands écrans et des saisies vocales qui permettent une dictée numérique ou une reconnaissance vocale. Ce qui permet le transfert immédiat des données qui sont versées dans le dossier du patient. On peut ainsi transmettre les données d'un médecin à un autre par voie de l'Internet. L'information revient ainsi moins chère, plus fluide et plus sûre avec ces logiciels mis en fonction en France il y a seulement trois ans. Qu'en est-il du transfert de savoir-faire et de la formation ? C'est ce que nous voulons faire ici en ciblant l'Algérie. Nous voulons d'abord trouver des prestataires locaux pour les former, soit sur place en Algérie, soit en France. Nous allons les qualifier nous-mêmes en termes de formation et de normes. Nous tenons compte de certaines spécificités propres à chacun des pays, comme l'identification et noms patronymes des patients. Ce qui nécessite, bien entendu, l'adaptation des logiciels. Notre idée est de transférer notre savoir faire dans le cadre d'une structure de coopération entre l'Algérie et la France où 20 hôpitaux regroupant 3 000 lits travaillent avec nous depuis le mois de juin 2010. Nous voulons donc mettre en place en Algérie et dans d'autres pays africains francophones ayant les mêmes organisations de santé que les nôtres, une telle structure de gestion numérique des dossiers médicaux. Notre technologie s'adapte aussi bien pour une clinique disposant 90 lits qu'aux CHU de 3000 lits. Les conditions de vente sont d'ailleurs liées à la taille de la structure et de la ressource financière de l'établissement hospitalier. Cela coûte combien ? Il y a un coût en France et il y a un coût hors France. Nous ne pouvons pas pratiquer les mêmes coûts en Algérie ou au Maghreb que ceux en vigueur en France. Les coûts des logiciels pratiqués en France correspondent au niveau économique du pays. Nous sommes prêts à entamer des discussions avec les responsables algériens pour adapter les coûts au niveau économique de l'Algérie. Par exemple un établissement d'une capacité de 1 500 lits, le prix en France sera de l'ordre de 150 000 euros environ. Pour l'Algérie le coût sera moindre, bien entendu. On s'adapte aux capacités économiques des pays. C'est pour cela que nous voulons trouver des prestataires locaux pour réduire les coûts. Dans le cas contraire, l'installation des équipements reviendra plus chère, si on comptabilise les frais de déplacement des techniciens français, ce que nous ne voulons pas envisager. Et c'est pourquoi nous avons décidé de participer au Salon international hospitalier et médical d'Alger (SIHEMA) pour trouver des partenaires algériens. Entretien réalisé par Meziane Atmani

Syrie Euronews Youtube