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指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Friday, April 15, 2011

Mr le Président Nicolas Sarkozy à Port-Louis le 8 mai Bretagne Morbihan

Depuis son élection, chaque année, le Président de la République, Nicolas Sarkozy, commémore le 8 mai 1945 dans des lieux particulièrement emblématiques de l’histoire de la libération du territoire national. Cette année il se déplacera dans le Morbihan, le dimanche 8 mai, au mémorial des fusillés de la citadelle de Port-Louis, près de Lorient. Ce monument occupe l’emplacement d’un ancien stand de tir où en 1944, les nazis enfouirent les corps de 69 personnes. Ce charnier fut découvert à la libération et les victimes exhumées le 23 mai 1945. Six d’entre elles, qui n’ont pu être identifiées, sont enterrées sous six dalles de granit recouvertes d’une croix. À Port Louis, le Président de la République évoquera l’histoire des poches de Lorient et Saint-Nazaire. Rappelons que le 10 mai 1945, après neuf mois de siège, le commandant de la région Bretagne pour la Wehrmacht, le général Fahrmacher, avait rendu les armes à Caudan près de Lorient. Il s’était replié dans la poche de Lorient le 7 août 1944 avec 26 000 soldats allemands. La ville et ses 20 000 habitants étaient enfin libres, neuf mois après le reste du Morbihan.

Mr Le president Algérie: Le président Abdelaziz Bouteflika annonce la révision de la Constitution

Le président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, a annoncé vendredi 15 avril une révision de la Constitution. Dans un discours télévisé adressé à la nation, le chef de l'Etat a annoncé, à cet effet, la création d'une commission constitutionnelle, à laquelle participeront les courants politiques agissants et des experts en droit constitutionnel. "Elle (la commission) me fera des propositions dont je m'assurerai de la conformité avec les valeurs fondamentales de notre société, avant de les soumettre à l'approbation du parlement ou par la voie référendaire", a-t-il expliqué. Le président Bouteflika a souligné que pour couronner l'édifice institutionnel visant à renforcer la démocratie, il importe d'introduire les "amendements nécessaires" à la Constitution du pays. "J'ai exprimé, à maintes reprises, ma volonté de faire réviser la Constitution et j'ai réaffirmé cette conviction et cette volonté à plusieurs occasions", a rappelé le chef de l'Etat. Le président de la République a affirmé en outre qu'il demandera au parlement de réviser une série de textes législatifs relatifs à l'exercice démocratique afin de permettre le libre choix des citoyens. "M'appuyant sur la Constitution, j'userai du droit qu'elle me confère pour demander au parlement de réviser l'ensemble de l'arsenal législatif sur lequel reposent les règles de l'exercice démocratique et le libre choix des citoyens". "Conscient de la responsabilité qui m'incombe, fort de votre soutien et soucieux de préserver l'équilibre des pouvoirs, j''oeuvrerai à introduire des amendements législatifs et constitutionnels en vue de renforcer la démocratie représentative dans notre pays", a ajouté le président Bouteflika. Révision de la loi électorale et celle relative aux partis politiques Ce dernier a, par ailleurs, une révision "profonde" de la loi électorale, afin de permettre aux citoyens d'exercer leur droit électoral dans des conditions "empreintes de démocratie et de transparence". "Il sera procédé à une profonde révision de la loi électorale. Cette révision doit répondre à l'aspiration de nos concitoyens à exercer leur droit électoral dans les meilleures conditions, empreintes de démocratie et de transparence, afin de choisir leurs représentants dans les assemblées élues", a déclaré le chef de l'Etat dans un discours télévisé adressé à la nation. S'agissant de la participation des partis politiques dans la révision de la loi électorale, le président Bouteflika a indiqué que "tous les partis politiques, qu'ils soient représentés ou non au parlement, seront mis à contribution et consultés en vue d'élaborer le nouveau système électoral". A propos des mécanismes de contrôle des élections, il a souligné qu"'une fois cette loi électorale adoptée, toutes les mesures seront prises afin de garantir la transparence et la régularité des scrutins, y compris la supervision des élections par des observateurs internationaux, et ce, en concertation avec tous les partis agréés". Le président Bouteflika a annoncé, en outre, qu"'une loi organique sur les cas d'incompatibilité avec le mandat parlementaire, sera introduite en conformité avec la Constitution". Outre la révision de la loi électorale, le chef de l'Etat a annoncé également la révision prochaine de la loi relative aux partis politiques devant permettre une contribution "plus efficace" de ces partis au processus de renouveau du pays. Cette démarche concernera la révision du rôle des partis politiques, leur mission et leur organisation, afin qu'ils "contribuent plus efficacement au processus de renouveau", a expliqué le chef de l'Etat dans un discours télévisé adressé à la nation. De ce fait, "il appartiendra alors aux partis de s'organiser, de renforcer leurs rangs, d'exprimer leurs opinions et d'activer dans le cadre de la Constitution et de la loi, afin de convaincre les citoyens, notamment les plus jeunes, de la pertinence et de l'utilité de leurs programmes", a-t-il souligné. Le président de la République a fait état, en outre, du dépôt et de la promulgation de la loi organique relative à la représentation des femmes au sein des assemblées élues interviendront avant les prochaines échéances électorales. Le Parlement avait adopté, en novembre 2008, la loi relative à la révision de la Constitution, initiée par le président Bouteflika, et qui a porté sur cinq principaux axes, dont celui relatif au renforcement des droits politiques de la femme à travers l'élargissement des chances de sa représentation au sein des Assemblées élues. Abdelaziz Bouteflika a en outre insisté sur l'importance de la réhabilitation de la place des associations dans la société "en tant qu'espaces d'intermédiation et de médiation entre les citoyens et les pouvoirs publics". "En attendant la révision prévue de la loi régissant l'activité des associations, j'appelle les organisations du mouvement associatif à intensifier les initiatives, dans le cadre de leur mission, en s'inscrivant dès à présent dans cette vision", a souligné le président de la République. Le président a par ailleurs invité le peuple algérien à apporter son soutien pour le renouveau du pays et la réalisation de ses ambitions au développement dans un climat de liberté, de paix et d'entraide. "Je m'adresse à l'ensemble des citoyennes et des citoyens, que j'invite à apporter leur soutien pour le renouveau de notre pays et la réalisation des ambitions de notre peuple au développement dans un climat de liberté, de paix et d'entraide", a indiqué le Président Bouteflika dans un discours à la Nation. Il a ajouté "plus nous sommes unis, plus nous ferons de notre cher pays la patrie du progrès, de la justice et de la fraternité". El Watan avec APS

Mr le President Nicolas Sarkozy faire de la France une puissance mondiale

L'ambition des Mr le President Nicolas Sarkozy de faire de la France une puissance mondiale est la motivation principale qui a poussé Paris à passer rapidement à l'action dès le début des troubles en Libye et à intervenir militairement en convainquant la Grande-Bretagne de l'accompagner que chaque Français reconnaissent au President Mr Nicolas sarkozy ses effets qui résulte d'une grande ambition pour la France et pour les générations à venir.

Réinsertion scolaire :Mr le President Nicolas Sarkozy promet vingt internats

En visite en Haute-Garonne, le président a incité les enseignants à «ne pas avoir peur du changement». Très contestés après des débuts chaotiques, les établissements de réinsertion scolaire (ERS) vont être pérennisés et renforcés. Ces internats pour élèves en échec scolaire seront au nombre de vingt à la rentrée prochaine, a annoncé jeudi Nicolas Sarkozy, à l'issue d'une visite en Haute-Garonne dans l'un de ces collèges. «Il existe désormais un espace pour les élèves qui ne trouvent plus leur place dans un cursus classique» , a indiqué le président de la République, défendant les réformes engagées par son ministre de l'Éducation nationale, Luc Chatel, dans un contexte tendu de suppressions de postes d'enseignants. Rappelant «le concert de critiques» qui a accompagné la création des premiers ERS, le chef de l'État a ainsi insisté sur la nécessité d'expérimenter de nouvelles formules, «sans idéologie mais avec bon sens». Après un lancement difficile, ces internats semblent de fait avoir trouvé leur rythme de croisière. Onze structures ont été ouvertes depuis la rentrée 2010. À mi-chemin entre les centres éducatifs fermés pour délinquants et les classes relais, ils accueillent pendant un an des élèves de 13 à 16 ans devenus imperméables à la sanction scolaire. «Cela permet aussi de ramener une certaine sérénité dans les collèges d'origine de ces élèves», a témoigné jeudi un principal de collège. Une large place pour le sport À Bagnères-de-Luchon, une petite ville de montagne située à deux heures de route de Toulouse, l'établissement de réinsertion a ouvert en novembre au sein d'une cité scolaire de 250 élèves. Les huit collégiens - huit garçons - scolarisés dans cet établissement ont résumé leur parcours scolaire jeudi devant le chef de l'État. Perturbateurs, absentéistes, insolents, parfois violents, tous étaient en rupture avec l'institution scolaire. Florian, 13 ans, avait « 2 de moyenne en maths» et encore moins en français. Après quelques mois, ses notes sont remontées au-dessus de la moyenne. «On est moins nombreux, donc on se concentre mieux, et les profs ont plus de temps pour nous aider» , raconte le garçon, qui veut devenir chaudronnier, comme son père. Loin de chez eux (ils viennent de toute l'académie), très encadrés, les adolescents bénéficient d'une scolarité aménagée. «L'objectif est de les remettre à niveau dans les matières les plus importantes, indique David Neuman, professeur volontaire de français, d'histoire-géographie et d'anglais. On les laisse travailler à leur rythme. Pour obtenir des résultats, il faut avant tout reconstruire un lien de confiance.» D'où la large place donnée au sport dans l'emploi du temps de la journée. Réaffirmant l'intérêt de ces structures, Nicolas Sarkozy a toutefois précisé jeudi que le dispositif allait évoluer, avec une généralisation du sport et une évolution des sanctions prononcées vers les travaux d'intérêt général. «Il faut aussi laisser faire confiance aux équipes pédagogiques, en introduisant de la liberté» , a déclaré le chef de l'État, confirmant sa volonté d'aller vers une autonomie plus large des établissements scolaires, fer de lance des réformes engagées par son ministre de l'Éducation nationale, Luc Chatel. Au cours d'une table ronde, le président de la République s'est adressé aux enseignants, leur promettant d'être «très présent» : «Je veux que les enseignants ne perdent pas confiance dans leur mission. C'est un métier magnifique dont on a besoin.» «Il ne faut pas avoir peur du changement. Face à des élèves qui changent, nos méthodes doivent changer. Il n'y a aucun avenir possible dans l'immobilisme.» Delphine Chayet

Mr le Président Nicolas Sarkozy Mr le Président Barack Obama Mr le Premier Ministre David Cameron Libye Euronews Youtube


Le président de la République, Mr Abdelaziz Bouteflika discours télévisé à la nation

[Aps 15/4/11] ALGER - Le président de la République, Mr Abdelaziz Bouteflika, prononcera, vendredi à 20h00, un discours télévisé à la nation, a-t-on appris de source officielle. Le chef de l'Etat annoncera, à cette occasion, d'importantes décisions concernant l'approfondissement du processus démocratique, le renforcement des bases de l'Etat de droit, la réduction des disparités et l'accélération du développement socioéconomique, a-t-on indiqué de même source. Dans son message à l'occasion de la Journée internationale de la femme, le président Bouteflika avait affirmé, le 7 mars dernier, que les décisions prises récemment dans les domaines économique et politique, "visent à approfondir la démarche démocratique pluraliste, élargir l'espace des libertés et ouvrir les perspectives, notamment devant les jeunes, pour exprimer leurs opinions et leurs idées ainsi que leurs aspirations à la paix et au progrès"

Mr le Président Nicolas sarkozy remet à la une la diplomatie des valeurs

Côte d'Ivoire, Libye: Sarkozy remet à la "une" la diplomatie des valeurs De Philippe ALFROY (AFP) PARIS — Défense de la liberté et promotion de la démocratie. Après avoir valu moult critiques à Nicolas Sarkozy, accusé de les avoir oubliées, ces valeurs ont réapparu en tête des priorités déclarées de sa politique étrangère, à la faveur des conflits en Libye et en Côte d'Ivoire. Depuis quelques semaines, l'action diplomatique du chef de l'Etat fait la "une" des grands titres de la presse internationale, qui rivalisent d'éloges pour saluer le rôle éminent tenu par la France pour protéger les populations civiles de Benghazi ou Abidjan et y défendre leurs droits. L'intervention française en Côte d'Ivoire était "juste et nécessaire", a salué le Times de Londres, "elle illustre le soutien de Sarkozy à la liberté". "La déclaration des droits de l'Homme et du citoyen est un argument de poids qui justifie de protéger Benghazi", a renchéri le New York Times, comparant le président français à un "Ronald Reagan gaulois". Bref, la France a la cote. Un étonnant renversement car, depuis le début de son mandat, le locataire de l'Elysée a été éreinté plus souvent qu'à son tour sur le front des droits de l'Homme. En 2007, le candidat Sarkozy avait pourtant fait campagne sur ce thème, déclinaison de la fameuse "rupture" appliquée à la politique extérieure. Par souci de se démarquer de son prédécesseur Jacques Chirac, il raillait alors sa "realpolitik", qui "cantonne l'action diplomatique à un effort pour ne rien changer à la réalité du monde". Mais quelques mois d'exercice du pouvoir ont suffi à mettre un bémol à ce discours. A son premier voyage en Chine, Nicolas Sarkozy est étrillé pour avoir préféré les contrats aux dissidents. Et les critiques se déchaînent, y compris dans son camp, lors du séjour ubuesque du colonel Kadhafi en France fin 2007... La ligne semble alors tracée. Priorité aux intérêts économiques. C'est à l'hiver 2010 que le ton change, à la faveur du "printemps arabe". Blâmé pour sa prudence excessive face aux soulèvements qui ont fait chuter les régimes "amis" de Tunisie et d'Egypte, Nicolas Sarkozy change de cap. Fin janvier, il prône le "changement pacifique" en Afrique au nom des "valeurs universelles". Et à la veille de lancer les Rafale sur Benghazi, il promet de "revisiter le vocabulaire diplomatique". "Au nom de la stabilité, est-ce qu'on n'a pas condamné des peuples (...) à l'injustice, au non-respect des droits de l'Homme ?", lance-t-il. Depuis, le chef de l'Etat ne rate plus une occasion de souligner le devoir de la France "pour la démocratie et la paix". "Il était temps", soupire un diplomate autoproclamé "sarkozyste", "le président est trop longtemps resté en porte-à-faux avec son discours de candidat". Même les ONG avouent suivre avec intérêt le virage présidentiel. "Je m'en réjouis", dit Jean-Marie Fardeau, de Human Rights Watch, "mais j'attends que toute notre politique étrangère soit revue à cette aune démocratique et qu'elle s'applique aussi à la Syrie ou à la Chine". L'entourage présidentiel ne semble pas aussi pressé. "La France est fière de mettre en oeuvre pour la première fois en Libye et en Côte d'Ivoire le devoir de protéger théorisé par l'Onu", glisse-t-on, "mais tout cela est d'abord une question de moment et d'équilibre"... "Ce n'est qu'un changement circonstanciel", estime un ancien ministre, "même s'ils doivent en être une composante importante, les droits de l'Homme ne peuvent être la seule priorité d'une politique étrangère". "Je ne vois pas que Nicolas Sarkozy ait une analyse globale ou une référence stable en politique étrangère. En bon avocat, il fait d'abord des +coups+", remarque un autre ex-ministre, "et à chaque problème, il ajuste ses pensées, ses alliances et détermine ses arguments". Copyright © 2011 AFP.

Mr Charlie Chaplin Google Doodle Youtube

Mr le Président Nicolas Sarkozy Internet GOOGLE FACEBOOK WIKIPEDIA FREE Paris France

Mr le Président Nicolas Sarkozy Internet Le président de la République Nicolas Sarkozy invite à Paris Google, Facebook, Wikipedia ou encore Free pour parler de l'avenir du Web et proposer des changements au G8 forum pouvant donner lieu à des propositions, juste avant la réunion des huit principales puissances économiques au monde, le G8, qui doit se tenir les 26 et 27 mai à Deauville.

Le ministre de l'Economie numérique est aux Etats-Unis depuis mardi pour préparer ce "sommet Web". Il doit rencontrer à peu près tout ce que la Silicon Valley compte de vice-présidents de poids. Twitter (Madame Katie Stanton) et Facebook (Mr Sheryl Sandberg) mercredi. Google ( Mr David Drummond) et l'Icann (Akram Atallah) jeudi. En fin de semaine, Il rencontrera aussi Mr Paul Otelinni, PDG D'Intel et Aneesh Chopra, conseiller de Mr le president Barack Obama chargé des nouvelles technologies